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Projet de visio-plateforme rencontre pour l'aménagement du territoire Pays Midi-Quercy

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Pourquoi ce projet ?

La loi Macron achoppe aussi sur le droit de l’environnement

Censé « moderniser le droit de l’environnement (…) au bénéfice, notamment, des entreprises et qui vise à accélérer la réalisation des projets publics et privés », il est dans le collimateur des écologistes, de certains socialistes et de communistes. En effet, afin de « faciliter les relations entre l’administration et les porteurs de projets ayant des incidences sur l’environnement », la loi propose de confier au gouvernement le pouvoir de décider lui-même par ordonnance des règles du jeu en la matière. Ce recadrage pourrait aider à venir à bout d’une bonne partie des recours déposés par les opposants « aux grands chantiers », comme le barrage de Sivens. En savoir plus 

Il est indispensable de diriger des projets en partant de la Société Civile et de la transversalité des engagés dans la réflexion d'une économie réelle tenant compte de l'environnement et des générations futures et de respecter les enjeux planétaires .

Le développement durable (anglais : sustainable development qui peut aussi être traduit en français par développement soutenable) est une conception du bien commun développée depuis la fin du XXe siècle. Considérée à l'échelle de la planète, cette notion vise à prendre en compte, outre l'économie, les aspects environnementaux et sociaux qui sont liés à des enjeux de long terme. Selon la définition donnée dans le rapport Brundtland en 1987, le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins.
Le projet qui suit, tient compte de tous, ce concept en mettant en relation des acteurs locaux avec des acteurs conscients que l'engagement est planétaire et non replié sur des intérêts de pouvoir politique qui serait lié aux intérêts des lobbies industriels spéculatifs et de la financiarisation des espaces .

Hervé Juvin : "La fin du XXe siècle, c'est la liquidation du monde pour fabriquer de la richesse" voir la vidéo

Projet de visio-plateforme rencontre pour l'aménagement du territoire Pays Midi-Quercy . 

avec un groupe d'associations et d'entreprises locales impliquées dans le développement économique du territoire . Dans ce premier cercle nous aurions environ une cinquantaine de personnes concernées.

La visio-plateforme rencontre sera portée par Lien en Pays d'OC et autres associations locales ( ex : Vigie Quercy 82 à confirmer).

Autres associations et institutions  concernées pour intervenir dans cette visio-plateforme rencontre : Filière Paysanne, producteurs de Graines de terroir , membres de Union des Professionnels des Plantes à Parfum, Aromatiquues et Médicinales encadrée par APABA producteurs Bio de l'Aveyron, lycée agricole de Montauban, lycée agricole de Monteils, les Funambules...

avec le soutien attendu et espéré de Pays Midi Quercy et Communauté de Communes Quercy Rouergue Gorges de l'Aveyron .

Le thème sera le développement économique durable dans notre territoire rural Pays Midi-Quercy s'appuyant sur les circuits courts alimentaires de produits sains nutritionnels issus des petites et moyennes entreprises et mise en réseaux coopératifs .

Le développement d'un Groupement d'Achat et l'accompagnement des installations en Agroécologie, Agroforesterie&Permaculture en partenariat avec Filière paysanne pour démultiplier des Plateformes Paysannes Locales.

 

Cette visio-plateforme rencontre sera filmée en direct dans la salle des associations de Caylus en lien avec le matériel de la Cyberbase et distribuée par un serveur . L'heure de programmation sera annoncée dans tous les groupes des réseaux sociaux internet ( Facebook, LinkedIn, Twitter, Google , plus 5000 abonnés de la liste mailing ) qui reçoivent régulièrement les infos de lien en pays d'OC ) depuis 5 ans.

 

Cette visio-plateforme rencontre sera enregistrée sur DVD . Les actes et le DVD seraient mis à disposition par Lien en Pays d'OC avec pour objectif de favoriser la dynamique d'une formation d'un Pôle Territorial de Coopération Economique pour l'accueil de micro-entreprises innovantes dans le Pays Midi-Quercy, ce concept pourra se dupliquer dans d'autres territoires.

 

A ce jour un financement participatif est prêt à suivre ce projet , je suis en recherche d'une entreprise qui pourra réaliser le film et le serveur pour diffuser la visio-plateforme rencontre, la filmer et l'enregistrer sur DVD  .

Complément d'informations.

Le film sera une présentation de professionnels et amateurs producteurs alimentaires (dans la proximité de Caylus ) engagés dans la permaculture, l'agroforesterie, l'agriculture bio&biodynamie .

Ce film d'une demi heure sera projeté et diffusé aux divers groupes ( facebook, LinkedIn, Google, Twitter.....) avec lesquels des liens sont entretenus sur le thème avenir alimentaire et développement rural dans co-construisons l'avenir. Le jour de la projection du film les intervenants seront mis en inter-activité de discussions avec les correspondants du net : cette rencontre sera à son tour filmée . Cette communication ouverte sur le monde en utilisant la voie du numérique a pour objectif de faire connaître un village « vers son avenir » bien que vieillissant avec le monde intérieur et extérieur de l'entreprise de notre temps .

  • En resserrant les liens locaux autour d'un développement productif d'une alimentation saine l'ouverture des réseaux sociaux permettra au village de Caylus de se développer .

  • En assurant la visibilité concrète du travail d'accueil pour de nouvelles petites et moyennes entreprises en recherche de nouvelles dynamiques adaptées aux nouvelles technologies de communication et de cultures anticipant le changement climatique le village entrera dans l'ére de co-construire son avenir en alternance avec sa filière locale et globale. en recherche de nouvelles dynamiques adaptées aux nouvelles technologies de communication et de cultures anticipant le changement climatique,  le village entrera dans son avenir  en  co-construisant  sa filière  locale dans l'ère planétaire.

Voir Élevage: le gigantisme devient l'impitoyable règle. Les fermes usines et de multiples autres raisons de co-construire l'avenir du milieu rural en réseaux fraternels de souveraineté alimentaire pour les peuples

 

Le développement de la malbouffe ( danger et insécurité alimentaire ) pour les uns et famine pour les autres, conséquences d'une économie inconsciente et inhumaine ?

Un projet qui peut nous relier si nous le souhaitons fortement : le développement de notre alimentation humaine.

http://www.lienenpaysdoc.com/index.php?option=com_content&view=article&id=593:des-raisons-multiples-&catid=13:agenda&Itemid=59#.VPcSs44l8_Q





 

Les nouvelles du lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy 3

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Les fermes usines, les golfs pour le jeu des riches prédateurs du monde de la finance . Attention Danger pour les territoires ruraux , la financiarisation des espaces est en marche....

Voir l'excellente vidéo de Hervé Junin : "La fin du XXe siècle, c'est la liquidation du monde pour fabriquer de la richesse"

L'espace rural de nos territoires dévoré pour les jeux des riches prédateurs du monde de la finance

L'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, le Center Parc de Roybon ou le barrage de Sivens... les lieux de contestation sur l'aménagement du territoire se multiplient, donnant parfois lieu à de violents débordements.

Nouveau lieu de conflit, à Tosse, dans les Landes, des militants se sont regroupés pour lutter contre l'implantation d'un golf. Sur place, les opposants expliquent ne pas être des militants écologistes ou anticapitalistes.

"Les opposants ne se rendent pas compte des enjeux"  voir la vidéo

En Auvergne, un absurde projet de golf dévore des terres agricoles

À Montcombroux-les-Mines, dans l’Allier, ont démarré les travaux d’un projet démentiel : un golf, que l’on ne peut qualifier autrement que d’idiot, est en train d’artificialiser 300 hectares de terre, dont des terres agricoles. Un projet similaire dans la région s’est soldé il y a quelques années par un fiasco complet. lire la suite 

L'arrogance et l'inconscience des prédateurs du monde de la finance " Extrait du magazine Cash Investigation .

Elise Lucet se rend à l’assemblée générale des actionnaires de Sanofi. Elle veut savoir si le patron du groupe pharmaceutique ne juge pas sa rémunération excessive : « Vous gagnez 508 fois le Smic par an [...] Est-ce que ça n’est pas trop au vu des résultats [de l’entreprise] et du contexte actuel ? »

Juste avant son intervention, un salarié de Sanofi à Montpellier (site où 200 personnes viennent d’être licenciées) saisit un micro. « Sans nous, vous ne seriez rien », lance-t-il aux actionnaires. L’homme finit évacué." voir la vidéo 

La valeur marchande écrase tout !

Comment ne pas s’indigner devant la prise de position de nos gouvernements qui affirmrnt que l’austérité sauve l’Europe ?! Ne conviendrait-il pas de mentionner également le nombre de victimes dont l’économie néo-libérale est responsable ? Comment faire confiance à un système qui sait que la richesse d’un pays est sa populaton mais qui préfère ses bénéfices sur les besoins fondamentaux que sont l’alimentation, la santé, le logement et le travail … au profit des plus riches !!   Le billet d’humeur de Patrick Figeac est ici !!

Élevage: le gigantisme devient l'impitoyable règle. Les fermes usines et de multiples autres raisons de co-construire l'avenir du milieu rural en réseaux fraternels de souveraineté alimentaire pour les peuples

Après une première ferme aux mille vaches ouverte il y a quelques mois en Picardie, malgré l'indignation des habitants de la région et la mobilisation de la Confédération paysanne, pas moins de 30 projets similaires sont en préparation en France. Une ferme de 2200 animaux n'attend ainsi plus que le feu vert du préfet pour voir le jour près de Tours, malgré l'opposition de la commune. lire la suite 

Le développement de la malbouffe ( danger et insécurité alimentaire ) pour les uns et famine pour les autres conséquences d'une économie inconsciente et inhumaine ?

Un projet qui peut nous relier tous, si nous le souhaitons fortement : le développement de notre alimentation humaine.

Quand la malbouffe continue ! Des ingrédients édifiants dans nos aliments ! Jambon, yaourt, brioche... Des ingrédients inattendus - et peu ragoûtants- se cachent dans les aliments que nous mangeons chaque jour. Le magazine 60 millions de consommateurs a déchiffré leurs étiquettes dans son édition de mai. Voici l'essentiel à savoir. voir la page 

" L'alimentation en otage " écrit par José Bové avec Gilles Luneau (éditions Autrement) voir la vidéo 

La révolution commence dans l'assiette: Vandana Shiva voir l'excellente vidéo 

6 Français sur 10 consomment bio régulièrement

La Bio est véritablement entrée dans le quotidien des Français. D’après le nouveau Baromètre Agence BIO / CSA de janvier 2015, les Français sont plus nombreux à consommer des produits bio et de plus en plus souvent. En 2014, près de 9 Français sur 10 en ont consommé au moins occasionnellement (88 % vs 75 % en 2013) et 6 sur 10 régulièrement, c’est-à-dire au moins un produit bio au moins une fois par mois (62 % vs 49 % en 2013). La Bio fait désormais partie des habitudes des Français, qui ne sont plus que 12 % à déclarer ne jamais en consommer, alors qu’ils étaient 46 % en 2003. lire la suite 

Les  multiples conséquences issues des mêmes causes sont les raisons diverses  de co-construire l'avenir du milieu rural en réseaux fraternels de souveraineté alimentaire pour les peuples

Un nouveau plan de réduction des pesticides après l'échec du plan Ecophyto

Le Plan Ecophyto, adopté dans le cadre du Grenelle de l’Environnement et lancé en 2008, visait à diviser par deux l’usage des produits phytosanitaires en zone agricole, en ville et dans les jardins.

Adopté dans le cadre du Grenelle de l’Environnement et lancé en 2008, le Plan Ecophyto visait à diviser par deux, «si possible», l’usage des produits phytosanitaires aussi bien en zone agricole qu’en ville et dans les jardins. Or le bilan 2013 publié lundi par le ministère de l’Agriculture a montré un usage en hausse de plus de 9% pour l’année, en raison de conditions climatiques difficiles il est vrai, et de 5% en moyenne entre 2009 et 2013.

«Pendant ses six premières années, le Plan a créé les conditions nécessaires mais non suffisantes pour atteindre ses objectifs», note la mission. «La dynamique collective n’a pas encore diffusé au-delà des réseaux de praticiens pionniers alors même que des succès probants commencent à être enregistrés». lire la suite 

Le vrai suicide français On assassine notre sol

Périco Légasse

Chaque seconde, 26 m2 de terres fertiles se transforment en acier ou en béton, le reste étant empoisonné par l'agrochimie. Un fléau bien plus grave que la crise, car si la France ne dispose plus d'un socle viable et durable, fondement de toute civilisation, alors les autres enjeux de société ne seront que chimères. Sauvons le droit du sol.

Article paru dans Marianne du 27 février

Voici un livre* que le président de la République, le Premier ministre, le gouvernement, les parlementaires, les chefs de parti, les leaders syndicaux et le patronat, les intellectuels et les philosophes, le corps enseignant, en somme tous les décideurs politiques, économiques et sociaux de ce pays, doivent lire d'urgence. Mais aussi les agriculteurs lire la suite 

Il est temps qu'on parle des sols

Il n'y a pas de vie sans eux, ils nous nourrissent et nous en sommes responsables. Les sols sont formés de roches qui sont décomposées lentement par le soleil, le vent et la pluie, les animaux et les plantes. Mais ils sont en danger à cause de l'expansion rapide des villes, de la déforestation, de l'utilisation irrationnelle des terres, du surpâturage et du changement climatique. La dégradation rapide des sols menace la capacité à répondre aux besoins des générations futures. Promouvoir une gestion durable du sol et des terres est indispensable pour assurer un système alimentaire productif, une amélioration des moyens d'existence ruraux et un environnement sain. lire la suite 

Sans construire et développer le concept Défense&Transition:le deuxième plan Ecophyto se terminera par un nouvel échec.

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Défense&Transition: une co-construction avec les acteurs de développement durable local engagés pour diffuser l'information: une  nécessité de travailler le lien social . Le lien social  avec les consommateurs habitants est indispensable pour co-construire une transition vers une réelle économie participative libérée de la gouvernance prédatrice pour les  jeux des plus riches laissant la malbouffe et la famine pour les autres.

L'information diffusée en réseaux coopératifs peut continuer à répéter le bien fondé des nouvelles technologies autant dans la voie du numérique que dans les nouvelles méthodes de culture : agroforesterie , permaculture s'ajoutant à celle de la biodynamie pour co-construire des filières de circuits courts alimentaires . Ces circuits courts prenant en compte des constats déjà fait depuis bien des années par ceux qui voyaient l'incohérence et les dangers d'un pouvoir chimico-industriel dominant l'alimentation.

 

Répétons-Répétons cet excellent constat fait en 2006 ( déjà 9 ans ) par l'Expansion

Voir article original de l'Expansion : l'agriculture française condamnée à l'excellence

 

Effarant ! Il doit détruire 100kg de nourriture chaque jour !

Ce sont des tomates. Des kilos et des kilos de tomates comestibles, passées à la broyeuses sous nos yeux. Cette vidéo a été prise dans le sud de la France en février 2015. Selon la personne qui l’a publiée, ce spectacle est tristement quotidien. Témoignage. voir la vidéo 

Le gaspillage alimentaire coûte plus de 350 milliards d'euros par an

Selon un rapport britannique, un tiers de la production alimentaire mondiale est jeté chaque année. Plus de 350 milliards d'euros seraient ainsi gaspillés.

Un tiers de la production mondiale de nourriture est perdu chaque année. C'est ce qu'indique un rapport de l'organisation britannique Wrap (The Waste and resources action programm) rendu public cette semaine. L'ensemble de ces déchets alimentaires représente plus de 400 milliards de dollars par an, soit plus de 350 milliards d'euros.

Et le gaspillage risque d'empirer, selon l'organisation. Avec le développement de la classe moyenne, dans les dix prochaines années, ce coût pourrait attendre 600 milliards de dollars, soit plus de 530 milliards d'euros par an. Pour le directeur de l'organisation, réduire ces déchets est donc "une priorité". De nombreux programmes sont lancés dans le monde. "La difficulté est souvent de savoir par où commencer", ajoute-t-il. lire la suite 

Pourquoi des fermes usines??? Un article bien fouillé sur Reporterre:

ENQUÊTE - 1 - Le maître caché de l’industrialisation de l’agriculture française

"Les nombreux projets de ferme-usines en cours annoncent l’industrialisation de l’agriculture. Un chemin totalement différent du modèle mis en scène par le Salon de l’agriculture qui s’ouvre samedi. Le but : une agro-industrie avec peu de travailleurs et maximisant le profit de grandes entreprises. Une holding nommée Avril – nouvel avatar de Sofiprotéol – joue un rôle clé dans cette mutation forcée. Reporterre a exploré les méandres du maître secret de l’agriculture française la suite

ENQUÊTE - 2 - Au coeur de l’agro-industrie française, les tentacules d’Avril Sofiproteol

Au coeur de l’agro-industrie française, les tentacules d’Avril Sofiproteol

Leader de plusieurs filières, présent de l’amont à l’aval, Sofiprotéol est un des opérateurs les plus puissants de l’agro-industrie française. Devenu groupe Avril le mois dernier, il assoit son hégémonie en diversifiant toujours plus ses activités et ouvre ses ambitions à l’international. Enquête dans les eaux où prospère la pieuvre Sofiprotéol. lire la suite 


Tant que ce système arrogant, prédateur, illusoire  dirigera le monde, il sera un leurre y compris pour ceux qui ont choisi de le servir.

Voir la suite des multiples raisons de co-construire l'avenir du milieu rural en réseaux fraternels de souveraineté alimentaire pour les peuples

Les nouvelles du lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy » 2 Co-construire l'avenir à partir de nos sols . voir la page 

Les nouvelles du « Lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy » 1 Le numérique et le développement de nos territoires ruraux. voir la page 



Les nouvelles du lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy » 2

Co-construire l'avenir à partir de nos sols .

Face à l'illusoire développement de la mécanisation profitant à l'enrichissement de la minorité dirigeante de l'agroalimentaire chimico -industrielle, nous vivons depuis des décennies la difficulté d'une transition agricole mettant en lien direct des producteurs locaux avec les consommateurs pour répondre à la demande croissante d'une alimentation saine. En nous éloignant les uns des autres avec le chômage, la recherche d'un travail, la lutte pour la survie, la course de l'agrandissement des exploitations , cette voie du gigantisme matériel finit par des désastres sociaux dans la  guerre économique qui isole l'agriculteur. Les solutions autour d'un sujet qui concerne tout être humain : une nourriture saine existent cependant et permettent de  co-construire une souveraineté alimentaire des peuples alliant les compétences différentes aux complémentarités diversifiées.

Une nouvelle production peut s'organiser en une transition, car elle appelle à des recherches sur la culture de nouvelles plantes alimentaires s'adaptant au changement climatique. Ce travail ne peut pas se faire dans la logique de la course à la compétition qui isole d'une part et en servant d'autre part;  les intérêts des vendeurs et des créateurs de machines de plus en plus  gigantesques aux coûts considérables développant une dette inutile, une exploitation et une stéralisation des sols.

Nos modèles de société conçus pour entasser des habitants dans les villes tout en désertifiant les Zones rurales ( Zones à faibles densités de population ) accompagnés de la croissance permanente du chômage sont à repenser de la base même de la réalité économique . Rééquilibrer les tendances qui accroissent les problèmes des uns et des autres est le nouveau travail à prendre en considération tant le manque de communication de nouvelles bonnes pratiques à mettre en œuvre devient indispensable pour la bonne santé des consommateurs et de notre société. 

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Treffort-Cuisiat (01) Une ferme d’un genre inédit . Ne rien jeter, tout réutiliser

Rémi Rufer et Laurence Debourg se préparent à démarrer leur grand projet, la création d’une ferme de permaculture. « Tout est dans le mot, explique Rémi. La permaculture n’est pas une technique mais une philosophie qui tend à préserver les ressources. Il s’agit de travailler la terre avec elle et non contre elle comme le fait aujourd’hui l’agriculture traditionnelle. » lire l'article 

Les consommateurs veulent des bons produits . Qu'est-ce qu'un bon produit ?

On Va déguster dresse le couvert au Salon de l’agriculture. Et à l’heure où nos producteurs s’interrogent sur leur avenir. Des trésors du terroir bons pour sous le palais, bons pour la santé, bon pour l’environnement par des paysans heureux ! écouter l'émission radio 

Les agriculteurs et le changement climatique : « On en entend parler, mais qu’est-ce qu’on peut faire ? »

Le changement climatique ? Les agriculteurs l’observent, par l’avancée des saisons et la météo de plus en plus irrégulière. Mais que faire ? En arpentant les allées du Salon de l’agriculture, Reporterre a discuté avec les témoins avancés du plus grand changement. lire l'article 

Climat: les 2/3 des réserves d'énergies fossiles doivent rester intacts

Dans son sous-sol, la planète compte encore d’importantes réserves d’énergies fossiles. L’exploitation de ces stocks constitue une véritable menace pour le climat et le réchauffement planétaire global.

Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), pour contenir le réchauffement planétaire nous devons restreindre nos émissions de gaz à effet de serre provenant essentiellement de la combustion des pétrole, gaz et charbon, ainsi que du secteur agricole (plus particulièrement l’élevage). Ainsi, pour contenir la hausse des températures sous la barre de 2 °C par rapport à la période préindustrielle, les émissions mondiales d’équivalent CO2 ne devront pas dépasser, entre 2011 à 2050, une fourchette se situant entre 860 à 1 180 milliards de tonnes. Or les réserves mondiales, exploitables à ce jour, sont évaluées à quelque 2 900 milliards de tonnes, soit environ trois fois le tonnage « tolérable ». lire la suite 

Censés nourrir l’humanité, ils vivent du RSA : portraits d’agriculteurs au bout du rouleau

Ils sont censés nourrir l’humanité, mais ils n’arrivent pas à joindre les deux bouts. Paysans en Bretagne et en Picardie, ils vivent dans la précarité, font face au surendettement et aux procédures judiciaires. Des hommes et des femmes qui aiment leur métier et ne peuvent plus en vivre dignement. Reportage photo au cœur d’une pauvreté souvent invisible. lire la suite 

Comment avoir une agriculture sans souffrance animale ?

Guillaume Erner et son équipe animeront cette émission spéciale depuis le salon de l'agriculture.

L’élevage intensif provoque des souffrances animales intenses. Comment savoir si les produits d’origines animales que nous consommons ont été produits de manière éthique ? C’est la question que nous nous poserons en direct du salon de l’agriculture. lire la suite

L'accaparement des terres par la financiarisation .

Grande menace pour les zones rurales ( dites zones à faible densité de population ) par la financiarisation de ces espaces pour de grands projets inutiles voire nuisibles pour les populations.

Les golfs sont actuellement la grande folie un peu partout en France dans les zones rurales pour les grandes fortunes ( un est prévu à Réalville). Les agriculteurs sont bien souvent prêts à vendre leurs terres pour ces projets incompatibles avec le développement et une économie durables du territoire rural qui doivent avoir une vocation de nourrir les populations et ancrer des économies locales vivables pour nos territoires .

La demande des consommateurs pour des aliments sécurisés est en croissance constante , les consommateurs veulent en grande majorité ( 87 %) des aliments produits par des paysans locaux qui sécurisent d'une part la qualité ( l'alimentation avariée s'ajoute au danger des grands projets de l'industrie alimentaire sur l'environnement ) et d'autre part cette demande permet à une agriculture consommant beaucoup moins de pesticides et moins d'eau de se développer . Les méthodes ( bio-dynamique et biologique ) et la permaculture répondent à ces demandes car l'utilisation des pesticides est réduite à zéro. La problématique de l'agriculture est sa gestion par la tête nationale de grandes idées (l'agro-écologie ) descendant des bureaux du ministère de l'agriculture, mais du fait qu'elles ne sont pas vraiment partagées avec les habitants dans nos zones rurales , elles restent des idées sans résultats.

Voir Salon de l'agriculture : bio, es-tu là ?

 Les agriculteurs "bio" du salon se comptent sur les doigts d'une main, comme le nombre d'exploitations de ce type en France. À l'occasion du Salon de l'agriculture 2015, Le Point est allé à la rencontre des agriculteurs biologiques. Peine perdue : sur la dizaine d'éleveurs et producteurs interrogés, aucun n'est engagé dans ce type d'agriculture. Si certains insistent sur leur passage imminent au tout-bio, ou sur leur engagement "naturel", beaucoup restent en dehors du circuit de "l'agroécologie". "Si tous les agriculteurs passaient aujourd'hui en bio, peu arriveraient vraiment à s'en sortir", avoue un éleveur de vaches. voir la vidéo 

Le développement de la nourriture saine reste le socle fondamental de l'avenir social et économique pour nos zones rurales , par la demande croissante en France et dans le monde de nourriture . La gestion de coopératives incluant producteurs , consommateurs et les médias numériques participant avec les réseaux sociaux à réorganiser les filières courtes, réduiront les coûts des transports et gaspillage ( 40 à 50 % de l'alimentation remplissent nos poubelles entre empaquetage et déchets ) . Elles permettront d'anticiper des politiques d'accueil pour des porteurs de projets alimentaires mais aussi pour l'habitat et tous les projets innovants qui actuellement sont en plein développement dans les réseaux sociaux coopératifs.

L'économie participative est une voie pour gérer notre avenir entre décideurs , acteurs locaux impliqués dans la conduite des projets et les habitants , ils ouvrent des voies de coopération d'avenir avec d'autres pays sur la souveraineté alimentaire avec et pour les peuples.

Cette économie participative entend de mettre en place des projets participatifs pour les générations futures et co-construire l'Avenir tout en évitant de subir la loi des grands spéculateurs financiers.

Une autre menace si nous ne prenons pas localement la politique participative rurale est de voir ces zones se désertifier et devenir une aubaine pour l'exploitation des ressources naturelles ( eau , gaz de schiste) par les grands lobbies.

 

Voir Lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy ici 

Les nouvelles du « Lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy » ici 

COMMUNIQUÉ 25/02/2015 Faudra-t-il manger 100 fruits par jour pour compenser le déficit nutritionnel des aliments industriels ?

A l’occasion du Salon International de l’Agriculture, le collectif d’associations du mouvement « Graines de Vie », lève le voile sur la face cachée de l’alimentation industrielle, en particulier sur les conséquences de l’érosion génétique dans nos assiettes.

75% des variétés comestibles ont disparu en à peine un siècle, à cause de la standardisation des industries semencières qui réduisent le patrimoine génétique, un peu plus chaque année, sous l’emprise des obtentions et brevets commerciaux.

 La conséquence de cette standardisation est l’effondrement des indices nutritionnels dans la composition de nos aliments par comparaison avec les aliments des années 50-60, avant que la révolution industrielle ne domine l’agriculture.

 Plusieurs études internationales récentes confirment ce phénomène, déjà abordé par des études plus anciennes, où l’on observe l’effondrement des valeurs nutritionnelles, notamment les vitamines et les oligo-éléments dans les variétés modernes par comparaison avec les variétés traditionnelles, ainsi :

 - il faudrait manger 26 pêches d’aujourd’hui pour retrouver le niveau nutritionnel d’une pêche de 1950.

- Idem pour les oranges dont il faudrait en consommer 21 aujourd’hui pour retrouver le niveau de vitamine A d’une orange des années 50.

Les études montrent que la plupart de nos fruits et légumes sont altérés par les pratiques culturales et l’uniformisation génétique, de même que le blé et la viande qui a perdu la moitié de sa teneur en fer, justifiant plus que jamais la notion « d’aliments creux »

 Il est urgent, en parallèle du Plan National Nutrition Santé (PNNS) qui se termine en 2015, et n’aborde nullement cet aspect lorsqu’il recommande de manger 5 fruits et légumes par jour, que l’on puisse réactualiser les Tables Nutritionnelles notamment celles de Lucie Randouin qui datent des années 40- 50, car nos aliments ont subi de grandes transformations depuis.

 Pour le collectif des associations : Intelligence Verte, Slow Food, Slow Money, Fondation Ecocert, Jardins de Cocagne, Graines de Troc…

Contact : Philippe Desbrosses

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - tél. 06 08 27 36 53.

 Retrouvez toutes les études ici :

http://organic-center.org/reportfiles/YieldsReport.pdf

L’étude canadienne synthétisée pour CTV News
L’étude « Still no free lunch », de Brian Halweil, chercheur au Worldwatch Institute
L’étude de l’université du Texas
L’étude américaine de l’université du Minnesota sur le blé
L’étude du chercheur américain David Thomas publiée dans la revue Nutrition et Health
L’étude de l’université du Texas sur les rendements

http://environnement-lanconnais.asso.fr/spip.php?article49

Les nouveaux visages de l'agriculture - Niger, Inde, Vietnam : la haute technologie pour tous

Aujourd'hui, avant-dernière étape de notre série d'émissions consacrée aux nouveaux visages de l'agriculture ... Ce matin, nous discutons des nouvelles technologies mises au service des agriculteurs dans le monde. écouter l'émission radio

 Dans les nouvelles Le numérique et le développement de nos territoires ruraux, vous trouverez un concept, des propositions de méthodes de co-construction sociétale voir la page 

Les nouvelles du « Lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy » 1

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François Cusset : « Une histoire critique des années 90 »

Editeur, traducteur, chroniqueur et essayiste en histoire des idées, François Cusset est professeur d'études américaines à l'Université de Paris Ouest Nanterre. Il a vécu dix ans à New York, où il a notamment dirigé le Bureau du Livre Français. Parmi ses principales publications: "Queer Critics: la littérature française déshabillée par ses homo-lecteurs" (PUF, 2002), "French Theory: Foucault, Derrida, Deleuze & Cie et les mutations de la vie intellectuelle aux Etats-Unis" (La Découverte, 2003, traduit en dix langues), "La Décennie: le grand cauchemar des années 1980" (La Découverte, 2006) et "Contre-discours de Mai" (Actes Sud, 2008). voir la vidéo

Et maintenant co-construisons l'avenir avec nos territoires ruraux

Le numérique et le développement de nos territoires ruraux

Peut-on concevoir dans l' "économie de consommation mondialisée actuelle "  l'aménagement et le développement de nos territoires pour produire mieux et notamment  : une alimentation ( plus sécurisée, plus saine, plus nutritionnelle ) sans utiliser le numérique ? Doit-on s'adapter au numérique ou le numérique doit-il s'adapter à un projet de développement territorial ? Question rappelant celle-ci : est-ce que l'oeuf fait la poule ou la poule qui fait l'oeuf ? Quelques articles pour nous aider à la mise en marche d'une réflexion co-constructive qui réduira les distances entre la production et la consommation : les circuits courts. Ces circuits courts  dont on parle de plus en plus sont dans l'ère du temps , ils engagent cependant un vaste chantier à mettre en œuvre à partir de nos têtes , ils nous permettraient : la réduction du gaspillage alimentaire fortement développé pour nos poubelles , les voyages des denrées alimentaires mortes et des animaux vivants transportés sur nos routes. L'énergie de la longue filière de réfrigération et de congélation ajoute un coût  à celle consommée par les « va et vient » des véhicules transportant notre alimentation « moderne » ; la spéculation sur les stocks alimentaires sont des défis à relever si nous voulons une économie plus juste ; le numérique peut-il apporter à une logistique réinventée en une co-construction à partir du local rural ; une dynamique à la vie économique alimentaire de nos territoires s'inscrivant dans une logique globalisée ? Quelques articles pour nous mettre en appétit.

Outils collaboratifs : ne m’expliquez-pas comment, dites-moi pourquoi…

Transition numérique, télécommunications, informatique, internet – le développement des outils de communication, et donc de collaboration et de coopération, est sans précédent… Pourtant, derrière cette agitation se cache une réalité plus confuse : beaucoup d’organisations, et parmi elles, beaucoup d’entreprises en particulier, ont bien du mal à tirer parti de ces outils révolutionnaires. Il n’y a pas d’usage, ni de projet, sans finalité…

Les Nouvelles Technologies permettent de concrétiser des projets qui n’étaient que des « concepts » lire la suite

L’Avenir en numérique

Depuis la fin du IXème siècle, le progrès s’est identifié à la croissance économique. Une croissance qui liait augmentation des productions et création de richesses, donc au prix d’un prélèvement croissant des ressources naturelles. Qui peut croire que nous pourrions indéfiniment puiser dans la nature ces matières premières devenues rares et coûteuses sans mettre en question ce modèle quasi-mécanique selon lequel consommation et croissance économique ne font qu’un ? L’écologie actuelle fait, en intelligence économique, une erreur de casting : notre problème majeur n’est pas celui de l’overdose de pollution, c’est le rationnement des ressources. Les grands cycles de croissance sont donc bien terminés, hormis dans les états-majors gouvernementaux où ils relèvent encore de la pensée magique. Ne reste que le levier du numérique pour accroitre la productivité des écosystèmes, pour inventer des modèles d’organisation plus productifs et consommant moins de ressources matérielles. Un chambardement considérable est en marche, comparable à celui provoqué par l’entrée de nos sociétés dans l’ère industrielle. En savoir plus

Résumé de la journée contributive Ambition numérique #4 du 4 février à Nantes voir la vidéo 

La publicité à l'ère numérique

Comment Internet et le numérique ont-ils bouleversé le secteur de la publicité ? Comment les agences, les régies publicitaires, les annonceurs s’adaptent-il à cette petite révolution ? Avec quelles conséquences économiques ? Avec Natalie Rastoin, directrice générale d'Ogilvy France et Loïc Souberyand, co-fondateur et directeur général de Teads (plateforme de publicité vidéo) Ecouter l'émission

Le numérique, c’est politique

La NSA nous surveille. La Chine censure. Logiciels et robots détruisent nos emplois. Booking.com et Uber prolétarisent ceux qui restent. Grâce aux big data, Google, Apple, Facebook et Amazon (les « Gafa ») achèvent de nous aliéner tandis que, sur leurs Silk Road1 et autres darknets2, mafias, trafiquants et terroristes font leurs affaires… Quel tableau du monde numérique nous peignent aujourd'hui l'opinion et les médias ! Force est de constater que notre monde numérisé, interconnecté, n’est guère plus éclairé, plus prospère, plus sûr, plus ouvert, plus égalitaire, ni même plus libre que le monde d’avant. Sur plusieurs points, c’est même le contraire. Il y a bien matière à blues. Pourquoi l’Internet continue-t-il de fonder l’espérance – et l’action – de ceux qui militent en faveur (... ) d’une démocratie plus ouverte et plus participative ? lire la suite

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Comment Internet dérange l'ordre établi

Un iPhone est plus puissant que 
l’ordinateur de la fusée Apollo en 1970. 35 millions de Français ont déjà utilisé 
Leboncoin.fr pour acheter ou vendre. Les fondateurs de Google, d’Amazon, 
de Microsoft et de Facebook font partie 
des vingt-cinq plus grosses fortunes de la planète. Nos « données personnelles » sont recueillies 
et décortiquées par des machines. Facebook touche un Terrien sur cinq. Aujourd’hui, un titre boursier change de mains 
en moyenne toutes les 25 secondes. En 2008, 
c’était tous les deux mois. Cela vous inquiète ou cela vous excite ? Le fait est que cette société est déjà la nôtre. Ordinateur ou smartphone en main, les citoyens s’informent, s’expriment, achètent, se financent en court-circuitant les intermédiaires classiques. Des secteurs économiques entiers sont bousculés. Cette accélération du monde laisse sur le bord de la route une élite dépassée : des énarques, des intellectuels, des politiques, des chercheurs, des banquiers, des chefs d’entreprise ne saisissent pas les nouveaux usages qui sont en train de balayer les habitudes et les normes. Internet a contrecarré l’ordre établi. Le pouvoir change de mains. Quel avenir nous réservent ces nouveaux acteurs ? Jusqu’où a-t-on le droit d’analyser nos données personnelles ? Qui pose les limites dans ce monde, où quelques groupes privés surpuissants sont déjà plus influents que nombre d’États ? Qui pense ce monde qui vient ? Enquête pionnière et passionnante, La Déconnexion des élites nous dévoile cette révolution qui nous concerne tous. Et raconte un monde qui avance comme une fusée voir la page 

Le commun (1/5) : Le commun comme principe révolutionnaire

Toute cette semaine, nous parlons du commun. Aujourd’hui, nous sommes avec le philosophe Pierre Dardot, auteur avec Christian Laval de Commun, Essai sur la révolution au XXIème siècle (La Découverte, 2014). Dans cet essai, les deux auteurs tentent de refonder le concept de commun pour en faire un principe réel d’action permettant de « sortir du capitalisme ». lire la suite 

L’innovation territoriale, une porte de sortie pour des collectivités en crise ?

Article publié sur lagazettedescommunes.com le 18/02/2015 par Hugo Soutra Dans un contexte de défiance vis-à-vis des institutions, de diminution des dépenses publiques et d’explosion des besoins sociaux, des professionnels de l’action publique et de l’économie sociale et solidaire (ESS) appellent à créer les conditions d’une résilience territoriale. Lors d’une conférence organisée mardi 17 février à Paris avec la ministre de la Décentralisation Marylise Lebranchu, ils ont évoqué dans cet objectif la mise en réseau des acteurs locaux (fonctionnaires d’Etat et territoriaux, élus, responsables associatifs, chefs d’entreprises, universitaires, citoyens) pour co-construire les politiques publiques et concevoir les services publics de demain. « Faire autrement tout de suite », « faire mieux », « faire plus intelligemment donc ensemble », etc. Par-delà les slogans creux, les bonnes volontés désireuses de réformer en profondeur l’action publique ne manquaient pas, mardi 17 février au café « Monde et Médias » du groupe SOS, leader français de l’économie sociale et solidaire (ESS). Parmi eux : des professionnels du secteur public, de l’Etat comme des collectivités territoriales, mais aussi des entrepreneurs sociaux et des acteurs associatifs.

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Les nouveaux visages de l'agriculture - Niger, Inde, Vietnam : la haute technologie pour tous

Aujourd'hui, avant-dernière étape de notre série d'émissions consacrée aux nouveaux visages de l'agriculture ... Ce matin, nous discutons des nouvelles technologies mises au service des agriculteurs dans le monde.écouter l'émission 

N'oublions pas la stratégie de l'agrobusiness dans l'art de la récupération . Cet art de la récupération est plus pour l'accaparement des terres que développer des idées pour la souveraineté alimentaire.

Les produits bios rachetés par des géants américains de l’agro-alimentaire: un risque pour le consommateur?

A en croire les chiffres de la Commission, chaque année, 500.000 hectares supplémentaires sont consacrés à l’agriculture biologique en Europe. Impossible pour les géants de l’agro-alimentaire de rester indifférents à cette importante progression. Du coup, les grands groupes rachètent des marques bios rentables. Ces rachats menacent-ils l’éthique de ce commerce durable? La rédaction de RTLinfo.be a mené l’enquête.lire la suite

Aurélie Trouvé : « Il faut stopper la mise en concurrence sauvage de notre agriculture »

Quel avenir pour l’agriculture ? Des fermes-usines rassemblant des milliers de vaches ou de porcelets ? Une participation massive des banques et fonds de pension dans le financement de l’agriculture ? Une dérégulation totale des marchés et une augmentation des importations ? Alors que se tient cette semaine à Paris le Salon de l’agriculture, l’économiste Aurélie Trouvé, qui vient de publier Le business est dans le pré, dresse le bilan des dérives de notre modèle agricole. Pour mieux comprendre les défis actuels et les mesures essentielles à mettre en œuvre pour inventer une autre agriculture. Entretien. lire la suite 

Les nouveaux visages de l'agriculture - Quand la finance investit dans la terre

Quatrième et dernière étape de notre semaine dédiée aux nouveaux visages de l'agriculture, ce matin: l'intérêt croissant des investisseurs pour "la terre". écoutrer l'émission radio 

 Spéculation sur les denrées agricoles : les banques récidivent

Les banques françaises ont décidément du mal à se sevrer de la spéculation sur les matières premières agricoles. En 2013, Oxfam France avait mis quatre grands groupes bancaires face à leur responsabilités et obtenu, de la part de certains d’entre eux, des engagements.  Deux ans après, l’ONG livre un bilan mitigé des avancées.

« La spéculation galopante sur les marchés dérivés de matières premières agricoles aggrave la volatilité des prix alimentaires, et prive les populations les plus pauvres de l’accès aux denré alimentaires de base, explique Clara Jamart, co-auteure de l’étude pour Oxfam France. Ces activités toxiques mettent en péril le droit à l’alimentation de centaines de millions de personnes ». lire la suite 

Salon de l'agriculture. Manifestation contre les brevets sur le vivant

« Non au biopiratage, non aux brevets sur le vivant ! » Ce lundi, la Confédération paysanne a manifesté dans les travées du salon de l'agriculture.

Ce lundi, la Confédération paysanne a manifesté sur les stands du Centre international de la recherche agronomique pour le développement (Cirad), de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) et du ministère de l’Agriculture.

Le syndicat paysan demande que la loi sur la biodiversié, discutée à l’Assemblée nationale le 17 mars, interdise les brevets sur les gènes ou séquences de gènes naturellement présents dans les graines sélectionnées depuis des générations par les agriculteurs. lire la suite 

Informations complémentaires

Lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy lire la page 

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