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Infos à la Une

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Les nouvelles du « Lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy » 1

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François Cusset : « Une histoire critique des années 90 »

Editeur, traducteur, chroniqueur et essayiste en histoire des idées, François Cusset est professeur d'études américaines à l'Université de Paris Ouest Nanterre. Il a vécu dix ans à New York, où il a notamment dirigé le Bureau du Livre Français. Parmi ses principales publications: "Queer Critics: la littérature française déshabillée par ses homo-lecteurs" (PUF, 2002), "French Theory: Foucault, Derrida, Deleuze & Cie et les mutations de la vie intellectuelle aux Etats-Unis" (La Découverte, 2003, traduit en dix langues), "La Décennie: le grand cauchemar des années 1980" (La Découverte, 2006) et "Contre-discours de Mai" (Actes Sud, 2008). voir la vidéo

Et maintenant co-construisons l'avenir avec nos territoires ruraux

Le numérique et le développement de nos territoires ruraux

Peut-on concevoir dans l' "économie de consommation mondialisée actuelle "  l'aménagement et le développement de nos territoires pour produire mieux et notamment  : une alimentation ( plus sécurisée, plus saine, plus nutritionnelle ) sans utiliser le numérique ? Doit-on s'adapter au numérique ou le numérique doit-il s'adapter à un projet de développement territorial ? Question rappelant celle-ci : est-ce que l'oeuf fait la poule ou la poule qui fait l'oeuf ? Quelques articles pour nous aider à la mise en marche d'une réflexion co-constructive qui réduira les distances entre la production et la consommation : les circuits courts. Ces circuits courts  dont on parle de plus en plus sont dans l'ère du temps , ils engagent cependant un vaste chantier à mettre en œuvre à partir de nos têtes , ils nous permettraient : la réduction du gaspillage alimentaire fortement développé pour nos poubelles , les voyages des denrées alimentaires mortes et des animaux vivants transportés sur nos routes. L'énergie de la longue filière de réfrigération et de congélation ajoute un coût  à celle consommée par les « va et vient » des véhicules transportant notre alimentation « moderne » ; la spéculation sur les stocks alimentaires sont des défis à relever si nous voulons une économie plus juste ; le numérique peut-il apporter à une logistique réinventée en une co-construction à partir du local rural ; une dynamique à la vie économique alimentaire de nos territoires s'inscrivant dans une logique globalisée ? Quelques articles pour nous mettre en appétit.

Outils collaboratifs : ne m’expliquez-pas comment, dites-moi pourquoi…

Transition numérique, télécommunications, informatique, internet – le développement des outils de communication, et donc de collaboration et de coopération, est sans précédent… Pourtant, derrière cette agitation se cache une réalité plus confuse : beaucoup d’organisations, et parmi elles, beaucoup d’entreprises en particulier, ont bien du mal à tirer parti de ces outils révolutionnaires. Il n’y a pas d’usage, ni de projet, sans finalité…

Les Nouvelles Technologies permettent de concrétiser des projets qui n’étaient que des « concepts » lire la suite

L’Avenir en numérique

Depuis la fin du IXème siècle, le progrès s’est identifié à la croissance économique. Une croissance qui liait augmentation des productions et création de richesses, donc au prix d’un prélèvement croissant des ressources naturelles. Qui peut croire que nous pourrions indéfiniment puiser dans la nature ces matières premières devenues rares et coûteuses sans mettre en question ce modèle quasi-mécanique selon lequel consommation et croissance économique ne font qu’un ? L’écologie actuelle fait, en intelligence économique, une erreur de casting : notre problème majeur n’est pas celui de l’overdose de pollution, c’est le rationnement des ressources. Les grands cycles de croissance sont donc bien terminés, hormis dans les états-majors gouvernementaux où ils relèvent encore de la pensée magique. Ne reste que le levier du numérique pour accroitre la productivité des écosystèmes, pour inventer des modèles d’organisation plus productifs et consommant moins de ressources matérielles. Un chambardement considérable est en marche, comparable à celui provoqué par l’entrée de nos sociétés dans l’ère industrielle. En savoir plus

Résumé de la journée contributive Ambition numérique #4 du 4 février à Nantes voir la vidéo 

La publicité à l'ère numérique

Comment Internet et le numérique ont-ils bouleversé le secteur de la publicité ? Comment les agences, les régies publicitaires, les annonceurs s’adaptent-il à cette petite révolution ? Avec quelles conséquences économiques ? Avec Natalie Rastoin, directrice générale d'Ogilvy France et Loïc Souberyand, co-fondateur et directeur général de Teads (plateforme de publicité vidéo) Ecouter l'émission

Le numérique, c’est politique

La NSA nous surveille. La Chine censure. Logiciels et robots détruisent nos emplois. Booking.com et Uber prolétarisent ceux qui restent. Grâce aux big data, Google, Apple, Facebook et Amazon (les « Gafa ») achèvent de nous aliéner tandis que, sur leurs Silk Road1 et autres darknets2, mafias, trafiquants et terroristes font leurs affaires… Quel tableau du monde numérique nous peignent aujourd'hui l'opinion et les médias ! Force est de constater que notre monde numérisé, interconnecté, n’est guère plus éclairé, plus prospère, plus sûr, plus ouvert, plus égalitaire, ni même plus libre que le monde d’avant. Sur plusieurs points, c’est même le contraire. Il y a bien matière à blues. Pourquoi l’Internet continue-t-il de fonder l’espérance – et l’action – de ceux qui militent en faveur (... ) d’une démocratie plus ouverte et plus participative ? lire la suite

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Comment Internet dérange l'ordre établi

Un iPhone est plus puissant que 
l’ordinateur de la fusée Apollo en 1970. 35 millions de Français ont déjà utilisé 
Leboncoin.fr pour acheter ou vendre. Les fondateurs de Google, d’Amazon, 
de Microsoft et de Facebook font partie 
des vingt-cinq plus grosses fortunes de la planète. Nos « données personnelles » sont recueillies 
et décortiquées par des machines. Facebook touche un Terrien sur cinq. Aujourd’hui, un titre boursier change de mains 
en moyenne toutes les 25 secondes. En 2008, 
c’était tous les deux mois. Cela vous inquiète ou cela vous excite ? Le fait est que cette société est déjà la nôtre. Ordinateur ou smartphone en main, les citoyens s’informent, s’expriment, achètent, se financent en court-circuitant les intermédiaires classiques. Des secteurs économiques entiers sont bousculés. Cette accélération du monde laisse sur le bord de la route une élite dépassée : des énarques, des intellectuels, des politiques, des chercheurs, des banquiers, des chefs d’entreprise ne saisissent pas les nouveaux usages qui sont en train de balayer les habitudes et les normes. Internet a contrecarré l’ordre établi. Le pouvoir change de mains. Quel avenir nous réservent ces nouveaux acteurs ? Jusqu’où a-t-on le droit d’analyser nos données personnelles ? Qui pose les limites dans ce monde, où quelques groupes privés surpuissants sont déjà plus influents que nombre d’États ? Qui pense ce monde qui vient ? Enquête pionnière et passionnante, La Déconnexion des élites nous dévoile cette révolution qui nous concerne tous. Et raconte un monde qui avance comme une fusée voir la page 

Le commun (1/5) : Le commun comme principe révolutionnaire

Toute cette semaine, nous parlons du commun. Aujourd’hui, nous sommes avec le philosophe Pierre Dardot, auteur avec Christian Laval de Commun, Essai sur la révolution au XXIème siècle (La Découverte, 2014). Dans cet essai, les deux auteurs tentent de refonder le concept de commun pour en faire un principe réel d’action permettant de « sortir du capitalisme ». lire la suite 

L’innovation territoriale, une porte de sortie pour des collectivités en crise ?

Article publié sur lagazettedescommunes.com le 18/02/2015 par Hugo Soutra Dans un contexte de défiance vis-à-vis des institutions, de diminution des dépenses publiques et d’explosion des besoins sociaux, des professionnels de l’action publique et de l’économie sociale et solidaire (ESS) appellent à créer les conditions d’une résilience territoriale. Lors d’une conférence organisée mardi 17 février à Paris avec la ministre de la Décentralisation Marylise Lebranchu, ils ont évoqué dans cet objectif la mise en réseau des acteurs locaux (fonctionnaires d’Etat et territoriaux, élus, responsables associatifs, chefs d’entreprises, universitaires, citoyens) pour co-construire les politiques publiques et concevoir les services publics de demain. « Faire autrement tout de suite », « faire mieux », « faire plus intelligemment donc ensemble », etc. Par-delà les slogans creux, les bonnes volontés désireuses de réformer en profondeur l’action publique ne manquaient pas, mardi 17 février au café « Monde et Médias » du groupe SOS, leader français de l’économie sociale et solidaire (ESS). Parmi eux : des professionnels du secteur public, de l’Etat comme des collectivités territoriales, mais aussi des entrepreneurs sociaux et des acteurs associatifs.

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Les nouveaux visages de l'agriculture - Niger, Inde, Vietnam : la haute technologie pour tous

Aujourd'hui, avant-dernière étape de notre série d'émissions consacrée aux nouveaux visages de l'agriculture ... Ce matin, nous discutons des nouvelles technologies mises au service des agriculteurs dans le monde.écouter l'émission 

N'oublions pas la stratégie de l'agrobusiness dans l'art de la récupération . Cet art de la récupération est plus pour l'accaparement des terres que développer des idées pour la souveraineté alimentaire.

Les produits bios rachetés par des géants américains de l’agro-alimentaire: un risque pour le consommateur?

A en croire les chiffres de la Commission, chaque année, 500.000 hectares supplémentaires sont consacrés à l’agriculture biologique en Europe. Impossible pour les géants de l’agro-alimentaire de rester indifférents à cette importante progression. Du coup, les grands groupes rachètent des marques bios rentables. Ces rachats menacent-ils l’éthique de ce commerce durable? La rédaction de RTLinfo.be a mené l’enquête.lire la suite

Aurélie Trouvé : « Il faut stopper la mise en concurrence sauvage de notre agriculture »

Quel avenir pour l’agriculture ? Des fermes-usines rassemblant des milliers de vaches ou de porcelets ? Une participation massive des banques et fonds de pension dans le financement de l’agriculture ? Une dérégulation totale des marchés et une augmentation des importations ? Alors que se tient cette semaine à Paris le Salon de l’agriculture, l’économiste Aurélie Trouvé, qui vient de publier Le business est dans le pré, dresse le bilan des dérives de notre modèle agricole. Pour mieux comprendre les défis actuels et les mesures essentielles à mettre en œuvre pour inventer une autre agriculture. Entretien. lire la suite 

Les nouveaux visages de l'agriculture - Quand la finance investit dans la terre

Quatrième et dernière étape de notre semaine dédiée aux nouveaux visages de l'agriculture, ce matin: l'intérêt croissant des investisseurs pour "la terre". écoutrer l'émission radio 

 Spéculation sur les denrées agricoles : les banques récidivent

Les banques françaises ont décidément du mal à se sevrer de la spéculation sur les matières premières agricoles. En 2013, Oxfam France avait mis quatre grands groupes bancaires face à leur responsabilités et obtenu, de la part de certains d’entre eux, des engagements.  Deux ans après, l’ONG livre un bilan mitigé des avancées.

« La spéculation galopante sur les marchés dérivés de matières premières agricoles aggrave la volatilité des prix alimentaires, et prive les populations les plus pauvres de l’accès aux denré alimentaires de base, explique Clara Jamart, co-auteure de l’étude pour Oxfam France. Ces activités toxiques mettent en péril le droit à l’alimentation de centaines de millions de personnes ». lire la suite 

Salon de l'agriculture. Manifestation contre les brevets sur le vivant

« Non au biopiratage, non aux brevets sur le vivant ! » Ce lundi, la Confédération paysanne a manifesté dans les travées du salon de l'agriculture.

Ce lundi, la Confédération paysanne a manifesté sur les stands du Centre international de la recherche agronomique pour le développement (Cirad), de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) et du ministère de l’Agriculture.

Le syndicat paysan demande que la loi sur la biodiversié, discutée à l’Assemblée nationale le 17 mars, interdise les brevets sur les gènes ou séquences de gènes naturellement présents dans les graines sélectionnées depuis des générations par les agriculteurs. lire la suite 

Informations complémentaires

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