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Les nouvelles du lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy » 2

Co-construire l'avenir à partir de nos sols .

Face à l'illusoire développement de la mécanisation profitant à l'enrichissement de la minorité dirigeante de l'agroalimentaire chimico -industrielle, nous vivons depuis des décennies la difficulté d'une transition agricole mettant en lien direct des producteurs locaux avec les consommateurs pour répondre à la demande croissante d'une alimentation saine. En nous éloignant les uns des autres avec le chômage, la recherche d'un travail, la lutte pour la survie, la course de l'agrandissement des exploitations , cette voie du gigantisme matériel finit par des désastres sociaux dans la  guerre économique qui isole l'agriculteur. Les solutions autour d'un sujet qui concerne tout être humain : une nourriture saine existent cependant et permettent de  co-construire une souveraineté alimentaire des peuples alliant les compétences différentes aux complémentarités diversifiées.

Une nouvelle production peut s'organiser en une transition, car elle appelle à des recherches sur la culture de nouvelles plantes alimentaires s'adaptant au changement climatique. Ce travail ne peut pas se faire dans la logique de la course à la compétition qui isole d'une part et en servant d'autre part;  les intérêts des vendeurs et des créateurs de machines de plus en plus  gigantesques aux coûts considérables développant une dette inutile, une exploitation et une stéralisation des sols.

Nos modèles de société conçus pour entasser des habitants dans les villes tout en désertifiant les Zones rurales ( Zones à faibles densités de population ) accompagnés de la croissance permanente du chômage sont à repenser de la base même de la réalité économique . Rééquilibrer les tendances qui accroissent les problèmes des uns et des autres est le nouveau travail à prendre en considération tant le manque de communication de nouvelles bonnes pratiques à mettre en œuvre devient indispensable pour la bonne santé des consommateurs et de notre société. 

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Treffort-Cuisiat (01) Une ferme d’un genre inédit . Ne rien jeter, tout réutiliser

Rémi Rufer et Laurence Debourg se préparent à démarrer leur grand projet, la création d’une ferme de permaculture. « Tout est dans le mot, explique Rémi. La permaculture n’est pas une technique mais une philosophie qui tend à préserver les ressources. Il s’agit de travailler la terre avec elle et non contre elle comme le fait aujourd’hui l’agriculture traditionnelle. » lire l'article 

Les consommateurs veulent des bons produits . Qu'est-ce qu'un bon produit ?

On Va déguster dresse le couvert au Salon de l’agriculture. Et à l’heure où nos producteurs s’interrogent sur leur avenir. Des trésors du terroir bons pour sous le palais, bons pour la santé, bon pour l’environnement par des paysans heureux ! écouter l'émission radio 

Les agriculteurs et le changement climatique : « On en entend parler, mais qu’est-ce qu’on peut faire ? »

Le changement climatique ? Les agriculteurs l’observent, par l’avancée des saisons et la météo de plus en plus irrégulière. Mais que faire ? En arpentant les allées du Salon de l’agriculture, Reporterre a discuté avec les témoins avancés du plus grand changement. lire l'article 

Climat: les 2/3 des réserves d'énergies fossiles doivent rester intacts

Dans son sous-sol, la planète compte encore d’importantes réserves d’énergies fossiles. L’exploitation de ces stocks constitue une véritable menace pour le climat et le réchauffement planétaire global.

Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), pour contenir le réchauffement planétaire nous devons restreindre nos émissions de gaz à effet de serre provenant essentiellement de la combustion des pétrole, gaz et charbon, ainsi que du secteur agricole (plus particulièrement l’élevage). Ainsi, pour contenir la hausse des températures sous la barre de 2 °C par rapport à la période préindustrielle, les émissions mondiales d’équivalent CO2 ne devront pas dépasser, entre 2011 à 2050, une fourchette se situant entre 860 à 1 180 milliards de tonnes. Or les réserves mondiales, exploitables à ce jour, sont évaluées à quelque 2 900 milliards de tonnes, soit environ trois fois le tonnage « tolérable ». lire la suite 

Censés nourrir l’humanité, ils vivent du RSA : portraits d’agriculteurs au bout du rouleau

Ils sont censés nourrir l’humanité, mais ils n’arrivent pas à joindre les deux bouts. Paysans en Bretagne et en Picardie, ils vivent dans la précarité, font face au surendettement et aux procédures judiciaires. Des hommes et des femmes qui aiment leur métier et ne peuvent plus en vivre dignement. Reportage photo au cœur d’une pauvreté souvent invisible. lire la suite 

Comment avoir une agriculture sans souffrance animale ?

Guillaume Erner et son équipe animeront cette émission spéciale depuis le salon de l'agriculture.

L’élevage intensif provoque des souffrances animales intenses. Comment savoir si les produits d’origines animales que nous consommons ont été produits de manière éthique ? C’est la question que nous nous poserons en direct du salon de l’agriculture. lire la suite

L'accaparement des terres par la financiarisation .

Grande menace pour les zones rurales ( dites zones à faible densité de population ) par la financiarisation de ces espaces pour de grands projets inutiles voire nuisibles pour les populations.

Les golfs sont actuellement la grande folie un peu partout en France dans les zones rurales pour les grandes fortunes ( un est prévu à Réalville). Les agriculteurs sont bien souvent prêts à vendre leurs terres pour ces projets incompatibles avec le développement et une économie durables du territoire rural qui doivent avoir une vocation de nourrir les populations et ancrer des économies locales vivables pour nos territoires .

La demande des consommateurs pour des aliments sécurisés est en croissance constante , les consommateurs veulent en grande majorité ( 87 %) des aliments produits par des paysans locaux qui sécurisent d'une part la qualité ( l'alimentation avariée s'ajoute au danger des grands projets de l'industrie alimentaire sur l'environnement ) et d'autre part cette demande permet à une agriculture consommant beaucoup moins de pesticides et moins d'eau de se développer . Les méthodes ( bio-dynamique et biologique ) et la permaculture répondent à ces demandes car l'utilisation des pesticides est réduite à zéro. La problématique de l'agriculture est sa gestion par la tête nationale de grandes idées (l'agro-écologie ) descendant des bureaux du ministère de l'agriculture, mais du fait qu'elles ne sont pas vraiment partagées avec les habitants dans nos zones rurales , elles restent des idées sans résultats.

Voir Salon de l'agriculture : bio, es-tu là ?

 Les agriculteurs "bio" du salon se comptent sur les doigts d'une main, comme le nombre d'exploitations de ce type en France. À l'occasion du Salon de l'agriculture 2015, Le Point est allé à la rencontre des agriculteurs biologiques. Peine perdue : sur la dizaine d'éleveurs et producteurs interrogés, aucun n'est engagé dans ce type d'agriculture. Si certains insistent sur leur passage imminent au tout-bio, ou sur leur engagement "naturel", beaucoup restent en dehors du circuit de "l'agroécologie". "Si tous les agriculteurs passaient aujourd'hui en bio, peu arriveraient vraiment à s'en sortir", avoue un éleveur de vaches. voir la vidéo 

Le développement de la nourriture saine reste le socle fondamental de l'avenir social et économique pour nos zones rurales , par la demande croissante en France et dans le monde de nourriture . La gestion de coopératives incluant producteurs , consommateurs et les médias numériques participant avec les réseaux sociaux à réorganiser les filières courtes, réduiront les coûts des transports et gaspillage ( 40 à 50 % de l'alimentation remplissent nos poubelles entre empaquetage et déchets ) . Elles permettront d'anticiper des politiques d'accueil pour des porteurs de projets alimentaires mais aussi pour l'habitat et tous les projets innovants qui actuellement sont en plein développement dans les réseaux sociaux coopératifs.

L'économie participative est une voie pour gérer notre avenir entre décideurs , acteurs locaux impliqués dans la conduite des projets et les habitants , ils ouvrent des voies de coopération d'avenir avec d'autres pays sur la souveraineté alimentaire avec et pour les peuples.

Cette économie participative entend de mettre en place des projets participatifs pour les générations futures et co-construire l'Avenir tout en évitant de subir la loi des grands spéculateurs financiers.

Une autre menace si nous ne prenons pas localement la politique participative rurale est de voir ces zones se désertifier et devenir une aubaine pour l'exploitation des ressources naturelles ( eau , gaz de schiste) par les grands lobbies.

 

Voir Lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy ici 

Les nouvelles du « Lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy » ici 

COMMUNIQUÉ 25/02/2015 Faudra-t-il manger 100 fruits par jour pour compenser le déficit nutritionnel des aliments industriels ?

A l’occasion du Salon International de l’Agriculture, le collectif d’associations du mouvement « Graines de Vie », lève le voile sur la face cachée de l’alimentation industrielle, en particulier sur les conséquences de l’érosion génétique dans nos assiettes.

75% des variétés comestibles ont disparu en à peine un siècle, à cause de la standardisation des industries semencières qui réduisent le patrimoine génétique, un peu plus chaque année, sous l’emprise des obtentions et brevets commerciaux.

 La conséquence de cette standardisation est l’effondrement des indices nutritionnels dans la composition de nos aliments par comparaison avec les aliments des années 50-60, avant que la révolution industrielle ne domine l’agriculture.

 Plusieurs études internationales récentes confirment ce phénomène, déjà abordé par des études plus anciennes, où l’on observe l’effondrement des valeurs nutritionnelles, notamment les vitamines et les oligo-éléments dans les variétés modernes par comparaison avec les variétés traditionnelles, ainsi :

 - il faudrait manger 26 pêches d’aujourd’hui pour retrouver le niveau nutritionnel d’une pêche de 1950.

- Idem pour les oranges dont il faudrait en consommer 21 aujourd’hui pour retrouver le niveau de vitamine A d’une orange des années 50.

Les études montrent que la plupart de nos fruits et légumes sont altérés par les pratiques culturales et l’uniformisation génétique, de même que le blé et la viande qui a perdu la moitié de sa teneur en fer, justifiant plus que jamais la notion « d’aliments creux »

 Il est urgent, en parallèle du Plan National Nutrition Santé (PNNS) qui se termine en 2015, et n’aborde nullement cet aspect lorsqu’il recommande de manger 5 fruits et légumes par jour, que l’on puisse réactualiser les Tables Nutritionnelles notamment celles de Lucie Randouin qui datent des années 40- 50, car nos aliments ont subi de grandes transformations depuis.

 Pour le collectif des associations : Intelligence Verte, Slow Food, Slow Money, Fondation Ecocert, Jardins de Cocagne, Graines de Troc…

Contact : Philippe Desbrosses

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - tél. 06 08 27 36 53.

 Retrouvez toutes les études ici :

http://organic-center.org/reportfiles/YieldsReport.pdf

L’étude canadienne synthétisée pour CTV News
L’étude « Still no free lunch », de Brian Halweil, chercheur au Worldwatch Institute
L’étude de l’université du Texas
L’étude américaine de l’université du Minnesota sur le blé
L’étude du chercheur américain David Thomas publiée dans la revue Nutrition et Health
L’étude de l’université du Texas sur les rendements

http://environnement-lanconnais.asso.fr/spip.php?article49

Les nouveaux visages de l'agriculture - Niger, Inde, Vietnam : la haute technologie pour tous

Aujourd'hui, avant-dernière étape de notre série d'émissions consacrée aux nouveaux visages de l'agriculture ... Ce matin, nous discutons des nouvelles technologies mises au service des agriculteurs dans le monde. écouter l'émission radio

 Dans les nouvelles Le numérique et le développement de nos territoires ruraux, vous trouverez un concept, des propositions de méthodes de co-construction sociétale voir la page