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Infos à la Une

site internet montauban

Les biens communs avec la cocontruction d'une économie alimentaire de qualité dans un territoire

Trop de dépenses publiques fait augmenter les impôts et la dette
L’explosion des échelons administratifs ruine la France
Par Marc-Antoine Charguéraud, depuis la Suisse.
A la création d’échelons administratifs comme les régions devrait correspondre la suppression des échelons devenus obsolètes et le regroupement des communes. L’absence de telles mesures ruine la France. Voir la suite

 L'Argus des communes de Contribuables Associés évalue chacune des communes de France sur le critère de la dépense publique par habitant.

Plus la commune est dépensière par rapport à la moyenne des communes de même taille, plus sa note est faible. pour plus de détails, voir la méthodologie à ce lien
Trop de dépenses publiques fait augmenter les impôts et la dette.

"Les dépenses d'aujourd'hui sont les impôts de demain et la dette d'après-demain." Si vous voulez éviter les hausses d'impôts locaux et l'endettement de votre commune, surveillez les dépenses de la municipalité !
L'intercommunalité est parfois l'occasion de dépenser encore plus.
Cet échelon supplémentaire dans le millefeuilles de nos collectivités locales a été mis en place théoriquement pour faire des économies. En réalité, les dépenses des intercommunalités ont tendance à s'ajouter à celles des communes.
Voir  Argus des communes : votre commune est-elle bien gérée   à ce lien

Comptes et budgets de Caylus
Données disponibles: 2011 à 2020
La fiche d’information synthétique présente une partie des comptes et de la situation financière que vous pouvez obtenir en commandant un des rapports sur Caylus.
Les données présentées sont des données en Euro par habitant ce qui permet de comparer Caylus à la moyenne de la strate (classification de la Direction Générale des Collectivités Locales regroupant les communes de taille et de fiscalité similaire). lire la suite

Caylus 82160 conjugue de nombreux avantages pour gérer la commune si elle décide de s’appuyer  sur les 3 piliers du Développement Durable  suite ici

- Ni Département des Sombres Projets –
Voir Jeu de Rôle Magazine à ce lien  
- Ni la Gentrification rurale voir La gentrification rurale, un regard critique sur les évolutions des campagnes françaises suite à ce  lien
 auront les moyens de porter des projets durables ne prenant pas en compte le   Développement Durable de  la commune de Caylus 82160
Qu’est- ce que le Développement Durable ?
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
Le développement durable est né avec le concept d’entreprise citoyenne dans les années 1985-90.  
Il s’agit , selon les termes de la déclaration  de madame Brundland du nom de la norvégienne Gro Harlem Brundland dans un rapport à l’ONU en 1987 qui a fait date sur la définition du développement durable devant l’ONU, d’un mode de développement « qui répond aux besoins du présent en incluant les plus pauvres tout en permettant aux générations futures de répondre aux leurs. Le projet politique que sous -tend cette définition repose sur une solidarité intra et inter générationnelle , c’est l’ambition sociale aujourd’hui qui est essentielle , la préservation de l’environnement est une contrainte pour demain. »

Dans Projets à essayer sur Pinterest la diversité et la complémentarité des projets et méthodes à concilier permet de combler la fracture sociale inter-générationnelle voir la suite
Face au pouvoir des multinationales développons un réseau coopératif d'informations
Voici plus de 40 ans que notre réseau informe du projet d’une filière alimentaire concernant producteurs-consommateurs et intermédiaires ( distributeurs -transformateurs )
Voici la dernière information du réseau .
Le soutien apporté à l’agriculture par les États a encouragé des produits nocifs pour la santé et l’environnement, en renforçant les inégalités au niveau mondial
Par La faim expliquée Suite à ce lien
Les gouvernances d’en haut ne s’intéressent pas à l’économie écologique et sociale capable de créer des emplois.
Les emplois donneront un revenu pour chaque travail concernant les biens communs . Pour y parvenir Vous pouvez collaborer à développer un réseau coopératif s’appuyant les pieds sur terre . Voir tableaux et épingles idées à ce lien 

Réduire les coûts et les dépenses publiques est possible en rénovant les services publics et les communes par l'engagement de la société civile avec les principes de la Démocratie Évolutive

1. Une gestion des affaires publiques par la société civile

La Démocratie Évolutive permet à chacun de développer une citoyenneté créative, favorisant l'émergence de nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes sociales sont évolutives, à la mesure de la mobilité et de la créativité des citoyens.

2. La fin des réformes par le haut

Un mythe tenace empêche la réalisation d'une véritable démocratie. Il s'agit de la croyance que l'on peut réformer par le haut. On attend alors la femme ou l'homme providentiel qui prendra en main les destinnées du pays et apportera les solutions. Cette illusion s'intensifie lors de chaque campagne présidentielle et culmine le jour du vote populaire.

Mais les surlendemains ont toujours un air de « gueule de bois ». Au fond de lui, le citoyen sait que toute réforme par le haut est mission impossible. Mais il s'adonne à ce mirage, faute d'une autre perspective.

Refondre la démocratie c'est se tourner vers le changement qui, en permanence, cherche à prendre corps sur le terrain, là où les citoyens vivent et agissent.

3. Le droit à l'expérimentation  sociétale  En France, comme dans beaucoup d’autres pays dits démocratiques, les transformations doivent passer par le pouvoir exécutif centralisé. Les citoyens qui veulent innover dans le domaine sociétal se heurtent à des obstacles qui deviennent de plus en plus difficiles à surmonter. La plupart des gens voient que nous sommes parvenus à un point de blocage du fonctionnement des institutions. Mais nous constatons une impuissance à débloquer cette situation, quelles que soient les personnes qui se trouvent à la tête de l’exécutif. lire la suite
 

Les biens communs ne peuvent ignorer la cocontruction d'une économie alimentaire de qualité dans un territoire .

En cette période d’effondrement  de nombreuses solutions sont entendues : favoriser les circuits courts, favoriser les producteurs et commerces locaux, mais qu’en est-il de la place des  consommateurs dans ces initiatives pour exprimer leurs besoins existentiels ?

Et si l’information , la mise en relation devenait un bien commun dans les réseaux coopératifs ?

Cuisinier depuis 1967 , je propose un projet de résilience alimentaire avec l’implication de la société civile pour gérer l’espace naturel des territoires.  Parce que nous mangeons toutes et tous , la qualité alimentaire nous concerne .  voir la suite à ce lien

Voir les tableaux et les épingles idées vues plus de 10000 fois ce jour à ce lien ici

 

Et si les « communs » constituaient cette fameuse « troisième voie », sociale et écologique, entre le marché et l’État ?

Qu'est-ce qu'un bien  commun?

Un bien commun est un bien non excluable (ou non excludable ou non exclusif) et rival. On parle aussi parfois de « ressources communes ».

En économie, on peut classer les biens en fonction de 2 critères : la notion de rivalité d’usage entre consommateurs, la consommation d’un bien par un consommateur limitant la capacité des autres à se fournir le même bien, et la notion d’exclusion, qui renvoie à la capacité de s’accaparer un bien en en payant le prix. Un bien commun est alors un bien non excluable (ou non excludable) et rival. . voir la suite

Le Mouvement commun

Le « nous » des causes communes où s’invente concrètement l’espérance, là où nous vivons, là où nous travaillons, dans tous ces lieux où nous faisons déjà route ensemble. Nos savoirs, nos infrastructures, nos richesses ainsi cumulés devraient, s’ils étaient bien utilisés et bien répartis, contribuer largement au bien-être de chacun. Les sciences et les connaissances mises au service de l’intérêt général sont en mesure de nous permettre de résoudre les immenses défis qui nous sont posés. Signez l'appel

A qui faut-il confier nos biens communs ?

On les définit encore sous forme de listes : l’eau potable, les forêts, le patrimoine historique, Internet, ou encore la connaissance universitaire. Des ressources communes qui sont parfois gérées par quelques uns. Faut-il miser sur l’Etat ou sur le marché pour garantir leur meilleure répartition ? A moins qu’il ne faille inventer d’autres modèles ?   écouter l'émission

Quand les grands projets inutiles piétinent l’intérêt général

Réalisé par Sophie Metrich et Julien Milanesi, L’Intérêt général et moi plonge le spectateur dans une réflexion vivante et sensible sur cette notion d’intérêt général.

Qu’est-ce qu’une démocratie au XXIe siècle ? Quelle société organise-t-elle ? Élus, dirigeants politiques nationaux et locaux, militants associatifs, journalistes, fonctionnaires, exposent leurs points de vue et la question interpelle le spectateur lui-même, naturellement. On ressort de ce film l’esprit concerné pour longtemps. Lire la suite

L’entreprise et la fabrique du bien commun

Par LA TAILLE-RIVERO Marthe (de)

En dépit des « œuvres sociales » développées dès le XIXe siècle par des entrepreneurs, taxés plus tard de « paternalisme », il fut longtemps considéré en France que le rôle des entreprises consistait quasi uniquement à faire des profits au bénéfice essentiel de leurs actionnaires, que tout ce qui relevait de l’intérêt collectif était du ressort presque exclusif de l’État. Mais cette répartition des rôles est peut-être en train de voler en éclats sous l’effet d’une multitude de facteurs. D’un côté, l’entreprise ne peut en effet plus ignorer les aspirations de son personnel à œuvrer au profit de finalités ayant un sens, ni les préoccupations de ses clients concernant les aspects éthiques, ni le fait qu’elle-même puise dans le bien commun (les ressources naturelles) et que ses activités peuvent être destructrices d’un écosystème dont la fragilité devient évidente… D’un autre côté, l’État, dont les ressources sont limitées, ne peut pas tout et n’a peut-être pas vocation à être le seul à prétendre incarner le bien commun. Ces observations nous amènent à lancer, sous la conduite de Marthe de La Taille-Rivero, une série d’articles publiés dans plusieurs numéros de Futuribles sur « l’entreprise et la fabrique du bien commun ». lire la suite

Chômage : le conseil d'Emmanuel Macron détourné sur internet

Et si l'État investissait massivement dans la création de nouveaux passages piétons pour combattre le chômage ? Une idée parmi d'autres !

Par Axel Leclercq

- La dernière sortie d’Emmanuel Macron stimule une nouvelle fois l’imagination fertile des internautes les plus créatifs et facétieux. Pour preuve, cette sélection de posts drôles et bien sentis publiés ces dernières vingt-quatre heures sur le web.

À un jeune horticulteur au chômage, le Président de la République a lancé : Du travail ? « Je traverse la rue, je vous en trouve. » Du coup, outre les réactions politiques à cette sorte de mise au défi, beaucoup y sont allés de leur réplique, prenant cette remarque au pied de la lettre. Quelques exemples ici

Bien sûr ce ne sont que des plaisanteries qui prouvent la déconnexion du Pdt E Macron avec la réalité économique des Français (e)s qui ne profitent pas des avantages de la tête au pouvoir. La solution au chômage longue durée est d'éviter le bénévolat destiné au développement des biens communs car ce travail est indispensable face au changement climatique et au développement de la dette publique .

Le chômage est une conséquence d'un manque d'emplois et un emploi est un travail rémunéré ; Mr Macron ne semble pas sensible aux biens communs puisqu'il n'a pas de problème de rémunération .

Les biens communs n'ignorent pas la coconstruction et la gestion d'une économie alimentaire de qualité entre producteurs, consommateurs et distributeurs

Plusieurs exemples qui raccourcissent le système d'exploitation de l'alimentation en consolidant les liens nécessaires pour construire l'économie alimentaire de qualité

Paysans des Baronnies est une association qui rassemble depuis une dizaine d'années des agriculteurs, distributeurs et consommateurs afin de promouvoir la production, la distribution et la consommation d'aliments de qualité dans les Baronnies, un très beau pays situé au nord des premiers contreforts des Pyrénées. Son but est de mettre à la disposition du plus grand nombre de consommateurs la meilleure nourriture possible, provenant de fermes recherchant la biodiversité, dans une nouvelle économie permettant les prix les plus justes pour tous.

Au cours de rencontres ouvertes à tous (selon la démarche de l'économie associative), se déroulant sur le territoire, différents contrats sont élaborés :

  • Par ceux qui produisent;

  • Par ceux qui distribuent;

  • Par ceux qui consomment la production.

On introduit ainsi les bienfaits du commerce équitable, car les besoins des 3 types de partenaires sont satisfaits ; les intérêts s'équilibrent. Les biens circulent alors à leur juste et vrai prix. L'argent reste dans le pays.

Voir la vidéo sur youtube https://www.youtube.com/watch?v=guzElzSkPSU & site site Paysans des Baronnies http://paysans-baronnies.com/

Biocoop un réseau de magasins bio qui propose de nombreuses solutions écologiques par la consommation économique

BIOCOOP : Entreprendre autrement c’est possible Voir la vidéo BIOCOOP

L'avantage d'un réseau est de conjuguer l'esprit libre d'entreprendre et l'accompagnement social d'entrepreneurs qui ont réaliser ensemble une expérience des biens communs de la distribution qui respecte l'économie et l'écologie

Biocoop est partenaire de terre de liens le réseau Faites pousser des fermes à taille humaine donnant la possibilité aux consommateurs de participer financièrement au développement de producteurs respectant la biodiversité

Nous observons dans nos ruralités la difficulté à trouver des magasins respectant le juste prix pour la qualité . De plus les magasins qui se créent disparaissent 2 ou 3 ans après leur ouverture. Le manque d'expérience des organismes d'accompagnement dans l'économie coopérative de distribution est la conséquence de ces échecs qui se répètent.

Si nous voulons que nos ruralités vivent économiquement nous devons éviter la multiplication des trajets pour aller faire nos courses alimentaires de qualité dans les villes voisines. Un magasin biocoop possède tous les atouts pour répondre à la demande des consommateurs surtout , si comme à Caylus 82160 , il se situe sur un axe de passage

6000 véhicules passent aujourd'hui tous les jours dans le village*, les commerces du centre du village ne  profitent  pas de cet avantage du fait que les parkings sont insuffisants, quant aux nouveaux commerces ils disparaissent dans les 2 ou 3 années qui suivent leur inauguration .

Un commerce issu d'un réseau coopératif à l'entrée du village sur ce lieu de passage serait le bienvenu pour  l'économie du village et de ses habitants ; mais sans groupe porteur de la société civile, une grande distribution ne s'imposera-t-elle pas ?

  • Chiffres communiqués par la Direction Départementale des Territoire

Le local chez Biocoop voir la suite

Implication dans la construction de filière voir la suite

Et si je l'ouvrais (mon magasin Biocoop) ? voir la suite

Créer mon magasin Biocoop voir la suite

Pour lutter contre la pollution environnementale et limiter la masse de déchets d’emballage, Biocoop propose aux consommateurs de nombreux produits en vrac  voir la suite

Cette initiative de biens communs est une solution pour réduire les problèmes de production des déchets et apporter un soutien pratique aux élus qui luttent contre l'incivilité du tri-civique

"Incivilités STOP" dans le mot du maire de Caylus-Caylus. Tri civique: rien n'est gagné! Voir la suite

Les biens communs n'ignorent pas les Paysages Résilients – Approche Systémique du Territoire post-effondrement – Pierre Lacroix

Changements climatiques, érosion des sols et de la biodiversité, pollution, crise des intrants et des énergies, disparition de l’agriculture familiale, déconnexion urbain-rural, menaces à la sécurité alimentaire… Nous sommes actuellement face à une masse d’enjeux complexes et interconnectés que nous n’arrivons plus à appréhender dans leur globalité.

Et si l’on considérait tous ces facteurs ensemble, et pas isolément ?

Une approche systémique de l’accélération des crises environnementales, sociales et économiques permet de dégager une certitude : notre avenir n’est pas linéaire. Une hypothèse désormais réaliste est celle d’un effondrement systémique global dans les prochaines années. lire la suite

Mise en pratique des biens communs

Cette plateforme organise la solidarité entre voisins et redonne du sens au commun
Par Mr Mondialisation
Les réseaux sociaux peuvent-ils permettre de redonner vie aux quartiers et de créer des liens de voisinage ? C’est le pari qu’à fait le projet Mesvoisins.fr, plateforme ouverte en 2017 et active dans 15 grandes villes françaises, notamment Paris et Lyon. Élise Magnin, la fondatrice, nous explique les principaux objectifs de ce jeune projet prometteur pour la communauté.
Mr Mondialisation : Pouvez-vous expliquer à nos lecteurs ce qu’est la plateforme mesvoisins.fr ?

Élise Magnin : Disponible sur application et site internet, mesvoisins.fr connecte en quelques clics les habitants d’un même quartier : se rencontrer, échanger des bons plans, se rendre des petits services ou encore se prêter des objets, le tout facilement et gratuitement.
Mr Mondialisation : En pratique, comment est-ce que ça fonctionne exactement ? lire la suite

voici le message de l'une de mes correspondantes Anne Poirier  sur LinkedIn Chaboy René Je suis inscrite sur le #réseau social de #quartier #mesvoisins.fr depuis sa création. Je confirme ce qu'en dit sa fondatrice #EliseMagnin.

Démocratie Evolutive : une nouvelle approche...de la Démocratie...de l'Economie....du Travail

Principes de la Démocratie Évolutive

Une économie dépolluée

Le travail n'est pas une marchandise  voir la suite

La Nef, en chemin vers la banque éthique

Découvrir la nef

Unique en France, la Nef est une coopérative financière qui offre des solutions d’épargne et de crédit orientées vers des projets ayant une utilité sociale, écologique et/ou culturelle.

où va mon argent ?

La Nef est le seul établissement financier à publier chaque année l’ensemble des prêts qu’elle octroie, et ce depuis sa création en 1988.

Retrouvez dans la cartographie des projets une présentation de nombreuses réalisations qui ont bénéficié d'un prêt de la Nef. Voir la suite

5 raisons de choisir la Nef pour épargner le climat

#1 : La Nef finance uniquement des projets respectueux de l’environnement

La Nef finance uniquement des projets ayant une plus-value environnementale, sociale et/ou culturelle. Elle refuse le financement de projets climaticides et le prouve chaque année en publiant l’intégralité des financements qu’elle a accordés. Pionnière et experte de l’accompagnement des filières bio et des énergies renouvelables depuis 30 ans, la Nef a permis notamment le développement de sociétés comme Biocoop et Enercoop.

En 2017, 70% des financement de la Nef, ont été destinés à des projets du secteur écologique.

#2 : Vous pouvez choisir d’orienter votre argent vers des projets écologiques Voir la suite

Avec Terre de Liens, faites pousser des fermes ! -Les terres agricoles, un bien commun en voie de disparition ?

Convoitées, surexploitées et exposées à la spéculation immobilière, les terres agricoles, socle de notre alimentation et nos paysages, se font de plus en plus rares dans l'Hexagone. Les modèles agricoles intensifs et l'usage de produits phytosanitaires remplacent une agriculture paysanne de qualité avec pour conséquences des paysages, des sols et des ressources naturelles qui se dégradent au fil des jours. Plus grave, un petit nombre d'exploitations continuent de s'agrandir en accaparant la ressource foncière, au détriment de jeunes agriculteurs qui se découragent face aux difficultés d'installation.

Comment, dans un tel contexte, permettre aux nouvelles générations d'assurer la relève agricole et la redynamisation économique dans les territoires ruraux?

Un projet collectif entre les mains des citoyens

L'avenir de nos territoires ruraux passe par la reconstruction d'un maillage d'activités et de liens sociaux qui redonnent vie aux campagnes. L'agriculture de proximité, par son ancrage local, est au coeur de cette dynamique: elle favorise l'éclosion de fermes à taille humaine et permet de tisser des relations entre les citoyens et les paysans et paysannes qui produisent notre alimentation. Lire la suite        site 

Institut pour une triarticulation sociale

..pour une tri-articulation de l'organisme social...
...et les aptitudes nécessaires... voir la suite

Tri-articualtion de l'organisme social

Nos vies s’écoulent dans les conditions qui nous sont fournies par la nature, mais tout autant par celles de la vie en société. Concernant ces dernières, c’est souvent une insatisfaction du moment qui fait regarder vers le politique, la démocratie. De la même façon qu’il existe des « appartenances » religieuses, il y en a des politiques. Mais ici, il ne s'agit pas seulement de propositions faites à un moment historique donné, pour une culture donnée, mais bien de présentations issues d’une science sociale en cours d’élaboration.  Elle repose sur une anthropologie et une science du rapport de l’esprit à la nature et à l’esprit lui-même. Elle peut être un chemin vers une émancipation à conquérir. COMMENT voir la suite

Informations complémentaires

A Loos, le maraîchage pour combattre le chômage de longue durée

Par AFP

Ce dispositif sera étendu dans le cadre du plan pauvreté.

A une vingtaine de minutes du centre de Lille, dans le quartier sensible des Oliveaux, le long de la façade grisâtre d’un lycée professionnel, un sentier terreux mène depuis juin 2017 au «Potager de l’espoir». Sur ce terrain municipal, ce maraîchage agrémenté de petites serres offre depuis le printemps ses premiers légumes.

Loos est un des dix sites participant à cette expérimentation, qui a pour objectif de redonner un travail (et aussi l’espoir) à des hommes et femmes coupés du circuit de l’emploi. Suite

Pierre Larrouturou : « Il est urgent de faire naître une société plus juste, plus frugale, plus conviviale »

Par Mr Mondialisation

Afin de financer une transition énergétique qui se fait attendre, Pierre Larrouturou* et Jean Jouzel** s’engagent pour un pacte finance-climat au niveau européen sous la forme d’un traité. Selon eux, il ne sera pas possible de lutter contre le changement climatique si les budgets alloués à la cause ne sont pas ajustés à la hauteur de l’enjeu. Interview.

Mr Mondialisation : Face au changement climatique, l’inaction collective de l’UE et de ses États membres est patente. Comment expliquer cet échec ? suite

L’esclavage moderne par la dette

Par La Relève et La Peste

À l'époque, l'esclavage se réduisait à des chaînes en métal, aujourd'hui l'esclavage est invisible mais bien présent.

Ça vient d’où la dette ?

C’est tout sauf une invention moderne ! Depuis les Sumériens les citoyens s’endettaient auprès des gouvernants ou des créanciers quand ils ne disposaient pas de ressources suffisantes (dû à une mauvaise récolte par exemple).

« L’endettement est une forme d’esclavage parce qu’on est lié personnellement à une institution. »

Il y a donc une relation de pouvoir entre le créancier et le débiteur mais aussi entre l’État souverain et les créanciers, parce que les grands créanciers se retrouvent avec un pouvoir immense sur les citoyens.

Pendant longtemps, les États régulaient ce marché des dettes privées mais aujourd’hui on est passé dans le paradigme de l’autorégulation des marchés, ce qui a pu mener à des véritables désastres et notamment la crise des Subprimes. Suite

L'intérêt général et moi

Une autoroute construite mais vide (l’A65 Langon-Pau), un projet ferroviaire pharaonique (la Ligne à Grande Vitesse du sud-ouest), un projet d’aéroport vieux de plus de 40 ans (Notre Dame des Landes). Sous ces infrastructures, des vies, des territoires, des espaces naturels sacrifiés ou devant l’être, au nom de l’intérêt général.
Mais qui détermine l’intérêt général ? Comment ? Un film sur la démocratie des grands projets, sur la façon dont on prend et ressent ce type de décisions, aujourd’hui, en France. Voir la suite

Un million de travailleurs pauvres en France

Par observatoire des inégalités

Un million de travailleurs vivent avec moins de 850 euros par mois. Avoir un emploi ne protège pas de la pauvreté, notamment pour ceux qui travaillent à temps partiel ou alternent des périodes de travail précaire et de chômage.

La pauvreté des travailleurs évolue peu en France. Elle a légèrement diminué au début des années 2000, puis est remontée pour atteindre 1,1 million de personnes en 2011 au seuil à 50 % du niveau de vie médian. Après une nouvelle baisse au début des années 2010, elle a recommencé à augmenter dans les années récentes. De la même façon, le taux de travailleurs pauvres a oscillé entre 4 et 4,6 % entre 1998 et 2015. suite

Françoise Verchère vient d’écrire un livre sur Notre-Dame des Landes qui fera date. Un livre de combat, en trois courts chapitres, qui a le mérite de replacer le conflit en perspective.

Ce blog le publie intégralement.

Le dernier verdict du tribunal de Nantes met le gouvernement au pied du mur : soit expulser manu militari les zadistes du site de Notre-Dame des Landes, soit renoncer au projet d’aéroport du grand ouest. Avec la présidentielle à l’horizon, sa décision est à la fois très attendue et à très haut risque. Le conflit n’a que trop duré : il s’est enlisé et plus personne ne voit comment en sortir. La fenêtre de tir politique se restreint de jour en jour. À l’évidence, nous sommes à la veille d’un tournant décisif.

Beaucoup de citoyens (certains n’étaient pas nés lorsqu’il a commencé) ont une vision embrouillée du conflit. Des arguments techniques complexes de part et d’autre, des enjeux économique, écologique et sociétal qui s’opposent, une image de plus en plus négative des zadistes face à l’état de droit, des violences policières qui ont grièvement blessé de jeunes manifestants, des politiques qui s’invectivent ou qui s’observent… Il n’y a pas eu de mort comme à Sivens (et espérons qu’il n’y en ait pas !), toutefois le clivage laissera des traces douloureuses. voir la suite

Le sociologue Michel Wieviorka: « Nous vivons une période de ‘sale temps' »

Le sociologue Michel Wieviorka, président de la Fondation Maison des sciences de l’homme, décrit une « situation dangereuse ».

Comment définissez-vous la « lassitude française »?
C’est une forme de résignation. Une réponse passive. Quand ils sont mécontents, les individus ont trois solutions : exit, voice ou loyalty, en anglais*. Rester loyal, donner de la voix ou partir. Les Français disent aujourd’hui en nombre qu’ils sont ailleurs, qu’ils se dirigent vers la sortie. Certains physiquement.Des Juifs, pour ­Israël; de nombreux jeunes, pour vivre et travailler à l’étranger. Ceux qui restent se désintéressent d’une vie politiquequi leur semble s’organiser loin d’eux : le Président ou le Premier ministre lancent les débats, un jour c’est l’apartheid, un autre jour la déchéance de nationalité… Plus ou moins hors sol. La lassitude, c’est aussi le sentiment que le système que constituent les acteurs politiques et les grands médias est déphasé, à côté des attentes ou des demandes populaires.

Est-ce propre à la France?
Ce qui est propre à la France d’aujourd’hui, c’est la congélation du débat et l’absence de perspectives. Lire la suite

Pierre Rabhi veut donner la parole à ceux qui créent le changement
Pierre Rabhi, promeut l’agroécologie et notamment la pluriculture, le compostage ainsi que la recherche de complémentarité entre espèces. Il cherche à intégrer l’ensemble des paramètres de gestion écologique de l’espace cultivé tels qu’une meilleure utilisation de l’eau, la lutte contre l’érosion, la réintroduction des haies, le reboisement et la biodiversité. lire la suite 

Bastalmag " Les biens communs nous offrent davantage de liberté et de pouvoir que ne le font l'Etat et le marché "

Qu’y a-t-il de commun entre une coopérative, un potager partagé, un collectif de hackers ou une communauté autochtone gérant une forêt ? Tous « agissent et coopèrent avec leurs pairs, de manière auto-organisée, pour satisfaire leurs besoins essentiels », explique David Bollier. Ce chercheur états-unien et militant infatigable des biens communs nous invite à ne plus être des « créatures du marché », des consommateurs isolés sans autre pouvoir que de voter occasionnellement, mais à devenir plutôt des « commoneurs » : des acteurs d’un système de production, de relations sociales et de gouvernance alternatif au néolibéralisme. lire la suite

Comme je l’ai déjà plusieurs fois écrit, il vaut mieux du business vert que pas vert

Les dangers de la fracturation hydraulique (captage de gaz) « Démocratie & Entreprises

Dans le cadre du Triptyque Economique, le tiers « libéral » aurait un cahier des charges environnementales et sociales. Ce lien montre qu’il n’est pas impossible de trouver des entreprises qui accepteraient ces contraintes! lire la suite

Les travaux de la convivialité ont joyeusement commencé à la Zad de Notre-Dame-des-Landes

Samedi 30 et dimanche 31 janvier, plus d’un millier de personnes sont venues participer aux chantiers collectifs organisés sur la Zad. Une action festive et mobilisatrice, alors que le mouvement entend maintenir la pression dans les mois à venir. Lire la suite

Des biens communs sont à inventer pour permettre à la demande croissante des consommateurs d'une alimentation saine de concrétiser l'organisation d'une offre . Cette offre de biens communs se concrétise par un besoin de terres nourricières qui permettra aux cultures et religions différentes de la Planète de coopérer pour l'économie écologique alimentaire plutôt que tomber dans les conflits et les guerres . Cette coopération pour une économie réelle se fera avec les moyens numériques . lire la suite

Relocaliser l'économie alimentaire pour maitriser la production de déchets et notamment de plastique

La santé de l'être humain peut-elle participer à l'évolution  des biens communs? Thierry Janssen : notre approche de la santé

Saupoudrer quelques bonnes pratiques type yoga, méditation ou alimentation biologique sur notre vie quotidienne ne suffit pas à transformer en profondeur la relation au corps. Dans ce domaine, changer de paradigme à l’échelle individuelle nécessite d’accepter de nouvelles priorités. Cette évolution s’apparente davantage à un chemin spirituel qu’à l’application de recettes. Thierry Janssen en sait quelque chose lui qui, dans les années 1990, a bouleversé sa vie en tournant le dos à une brillante carrière de chirurgien pour se vouer aux médecines complémentaires et alternatives. Devenu psychothérapeute spécialisé dans l’accompagnement des malades atteints de pathologies somatiques, il nous livre son analyse et nous donne quelques clés pour trouver soi-même sa propre « solution intérieure[1] ». lire la suite 

Le plastique est partout : aujourd’hui la planète entière est polluée (par Robin McKie)

Les humains ont produit assez de plastique depuis la seconde Guerre Mondiale pour recouvrir toute la Terre de film alimentaire, c’est ce que révèle une étude internationale. Cette aptitude à recouvrir la planète de plastique est alarmante, expliquent les scientifiques — en ce qu’elle confirme l’impact pernicieux des activités humaines sur le monde. lire la suite

Mobilisation citoyenne contre TAFTA , contre l’exploration et l’exploitation des pétrole et gaz de schiste et de couche lire la page

Avec le nucléaire, les milliards valsent... Et les français trinquent

Chacun en a pris l'habitude, dans un projet nucléaire, il ne faut pas confondre le prix « avant » et le prix « après ». Ainsi, l'EPR de Flamanville a commencé à 3 milliards d'euros (2007), il en est à près de 10 milliards (2015) et n’est toujours pas fini...Le scénario se répète avec le projet d'enfouissement des déchets hautement radioactifs à vie longue à Bure : le projet Cigéo, programmé sur plus d'un siècle d'exploitation (140 ans!) et porté par l'ANDRA, futur exploitant. Pourtant, en 2013, il y a eu un débat public sur Cigéo. Enfin un débat public sans chiffrage du projet, donc un débat public que la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) aurait dû logiquement refuser... Malheureusement, les règles ne sont pas respectées quand il s’agit de nucléaire. Elle a donc accepté et le débat a tourné court. Décryptage de France Nature Environnement.

Alors, vous nous le faites à combien ? Lire la suite

A Colombes, la lutte d’une ferme urbaine contre un parking

Les défenseurs de l’Agrocité à Colombes (Hauts-de-Seine) sont en colère. Ils sont sommés par la justice de quitter les lieux alors que cette ferme urbaine est installée depuis cinq ans sur une ancienne friche. La nouvelle municipalité (Les Républicains) veut en faire un parking provisoire le temps des travaux de rénovation d’un ensemble d’immeubles mitoyens.

Samedi 6 février, dans une ambiance malgré tout chaleureuse, plus de 300 personnes, du quartier et au-delà, ont manifesté leur attachement à cette oasis de verdure qui, tranchant avec la couleur béton des tours environnantes, égaie le quartier populaire des Fossés Jean-Bouviers, au nord-est de la ville.  lire la suite 

Le Collectif pour une Transition Citoyenne

Le Collectif pour une Transition Citoyenne a élaboré un outil afin de mettre en place concrètement une dynamique positive en faveur de la Transition dans les collectivités.

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Pour plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

Le mouvement de transition en France

Le mouvement de Transition est né en Grande-Bretagne en septembre 2006 dans la petite ville de Totnes. L’enseignant en permaculture Rob Hopkins (voir son blog, en anglais) avait créé le modèle de Transition avec ses étudiants dans la ville de Kinsale en Irlande un an auparavant. Il y a aujourd’hui plus de 250 initiatives de Transition dans une quinzaine de pays (voir la liste officielle) réunies dans le réseau de Transition (Transition Network). Des initiatives s’organisent dans des communautés francophones en Europe et en Amérique du Nord. Vous pourrez découvrir certaines d’entre elles sur ce site. Elles adhèrent aux objectifs centraux du mouvement de Transiton. Lire la suite

 

Les réseaux coopératifs de biens communs de l'information: un chantier à mettre en place pour garantir et organiser une économie alimentaire locale  lire la page 

Mobilisation citoyenne contre le TAFTA, l’exploration et l’exploitation des pétrole et gaz de schiste et de couche lire la page

Nouveau projet communnautaire de Partage et du Savoir , Mise en relation et Prêt de livres.

Permaculture et Autonomie - Plus de 50 PDF

De nombreux Documents au Formats PDF circulent librement sur la toile. Pour y faciliter l’accès au plus grand nombre et promouvoir le partage de ces connaissances, nous avons décidé d’en réunir quelques uns sur cette page. Permaculture, Agro-Ecologie, Auto-Suffisance…  Nous remercions fortement leur auteurs pour le travail informatif et l’esprit de partage de la science qui les a mené à publier ces documents. Merci en plus à ceux qui les diffusent sur internet . lire la suite 

Qu'est-ce qu'un bien commun? Les biens communs n'ignorent pas la cocontruction d'une économie alimentaire de qualité dans un territoire .

Et si les « communs » constituaient cette fameuse « troisième voie », sociale et écologique, entre le marché et l’État ?

Qu'est-ce qu'un bien  commun?

Un bien commun est un bien non excluable (ou non excludable ou non exclusif) et rival. On parle aussi parfois de « ressources communes ».

En économie, on peut classer les biens en fonction de 2 critères : la notion de rivalité d’usage entre consommateurs, la consommation d’un bien par un consommateur limitant la capacité des autres à se fournir le même bien, et la notion d’exclusion, qui renvoie à la capacité de s’accaparer un bien en en payant le prix. Un bien commun est alors un bien non excluable (ou non excludable) et rival. . voir la suite

Le Mouvement commun

Le « nous » des causes communes où s’invente concrètement l’espérance, là où nous vivons, là où nous travaillons, dans tous ces lieux où nous faisons déjà route ensemble. Nos savoirs, nos infrastructures, nos richesses ainsi cumulés devraient, s’ils étaient bien utilisés et bien répartis, contribuer largement au bien-être de chacun. Les sciences et les connaissances mises au service de l’intérêt général sont en mesure de nous permettre de résoudre les immenses défis qui nous sont posés. Signez l'appel

A qui faut-il confier nos biens communs ?

On les définit encore sous forme de listes : l’eau potable, les forêts, le patrimoine historique, Internet, ou encore la connaissance universitaire. Des ressources communes qui sont parfois gérées par quelques uns. Faut-il miser sur l’Etat ou sur le marché pour garantir leur meilleure répartition ? A moins qu’il ne faille inventer d’autres modèles ?   écouter l'émission

Quand les grands projets inutiles piétinent l’intérêt général

Réalisé par Sophie Metrich et Julien Milanesi, L’Intérêt général et moi plonge le spectateur dans une réflexion vivante et sensible sur cette notion d’intérêt général.

Qu’est-ce qu’une démocratie au XXIe siècle ? Quelle société organise-t-elle ? Élus, dirigeants politiques nationaux et locaux, militants associatifs, journalistes, fonctionnaires, exposent leurs points de vue et la question interpelle le spectateur lui-même, naturellement. On ressort de ce film l’esprit concerné pour longtemps. Lire la suite

L’entreprise et la fabrique du bien commun

Par LA TAILLE-RIVERO Marthe (de)

En dépit des « œuvres sociales » développées dès le XIXe siècle par des entrepreneurs, taxés plus tard de « paternalisme », il fut longtemps considéré en France que le rôle des entreprises consistait quasi uniquement à faire des profits au bénéfice essentiel de leurs actionnaires, que tout ce qui relevait de l’intérêt collectif était du ressort presque exclusif de l’État. Mais cette répartition des rôles est peut-être en train de voler en éclats sous l’effet d’une multitude de facteurs. D’un côté, l’entreprise ne peut en effet plus ignorer les aspirations de son personnel à œuvrer au profit de finalités ayant un sens, ni les préoccupations de ses clients concernant les aspects éthiques, ni le fait qu’elle-même puise dans le bien commun (les ressources naturelles) et que ses activités peuvent être destructrices d’un écosystème dont la fragilité devient évidente… D’un autre côté, l’État, dont les ressources sont limitées, ne peut pas tout et n’a peut-être pas vocation à être le seul à prétendre incarner le bien commun. Ces observations nous amènent à lancer, sous la conduite de Marthe de La Taille-Rivero, une série d’articles publiés dans plusieurs numéros de Futuribles sur « l’entreprise et la fabrique du bien commun ». lire la suite

 

"Incivilités STOP" dans le mot du maire de Caylus-Caylus. Tri civique: rien n'est gagné! Voir la suite

 

Les biens communs n'ignorent pas les Paysages Résilients – Approche Systémique du Territoire post-effondrement – Pierre Lacroix

Changements climatiques, érosion des sols et de la biodiversité, pollution, crise des intrants et des énergies, disparition de l’agriculture familiale, déconnexion urbain-rural, menaces à la sécurité alimentaire… Nous sommes actuellement face à une masse d’enjeux complexes et interconnectés que nous n’arrivons plus à appréhender dans leur globalité.

Et si l’on considérait tous ces facteurs ensemble, et pas isolément ?

Une approche systémique de l’accélération des crises environnementales, sociales et économiques permet de dégager une certitude : notre avenir n’est pas linéaire. Une hypothèse désormais réaliste est celle d’un effondrement systémique global dans les prochaines années. lire la suite

Mise en pratique des biens communs

Cette plateforme organise la solidarité entre voisins et redonne du sens au commun
Par Mr Mondialisation
Les réseaux sociaux peuvent-ils permettre de redonner vie aux quartiers et de créer des liens de voisinage ? C’est le pari qu’à fait le projet Mesvoisins.fr, plateforme ouverte en 2017 et active dans 15 grandes villes françaises, notamment Paris et Lyon. Élise Magnin, la fondatrice, nous explique les principaux objectifs de ce jeune projet prometteur pour la communauté.
Mr Mondialisation : Pouvez-vous expliquer à nos lecteurs ce qu’est la plateforme mesvoisins.fr ?

Élise Magnin : Disponible sur application et site internet, mesvoisins.fr connecte en quelques clics les habitants d’un même quartier : se rencontrer, échanger des bons plans, se rendre des petits services ou encore se prêter des objets, le tout facilement et gratuitement.
Mr Mondialisation : En pratique, comment est-ce que ça fonctionne exactement ? lire la suite

voici le message de l'une de mes correspondantes Anne Poirier  sur LinkedIn Chaboy René Je suis inscrite sur le #réseau social de #quartier #mesvoisins.fr depuis sa création. Je confirme ce qu'en dit sa fondatrice #EliseMagnin.

Démocratie Evolutive : une nouvelle approche...de la Démocratie...de l'Economie....du Travail

Principes de la Démocratie Évolutive

Une économie dépolluée

Le travail n'est pas une marchandise  voir la suite

La Nef, en chemin vers la banque éthique

Découvrir la nef

Unique en France, la Nef est une coopérative financière qui offre des solutions d’épargne et de crédit orientées vers des projets ayant une utilité sociale, écologique et/ou culturelle.

où va mon argent ?

La Nef est le seul établissement financier à publier chaque année l’ensemble des prêts qu’elle octroie, et ce depuis sa création en 1988.

Retrouvez dans la cartographie des projets une présentation de nombreuses réalisations qui ont bénéficié d'un prêt de la Nef. Voir la suite

5 raisons de choisir la Nef pour épargner le climat

#1 : La Nef finance uniquement des projets respectueux de l’environnement

La Nef finance uniquement des projets ayant une plus-value environnementale, sociale et/ou culturelle. Elle refuse le financement de projets climaticides et le prouve chaque année en publiant l’intégralité des financements qu’elle a accordés. Pionnière et experte de l’accompagnement des filières bio et des énergies renouvelables depuis 30 ans, la Nef a permis notamment le développement de sociétés comme Biocoop et Enercoop.

En 2017, 70% des financement de la Nef, ont été destinés à des projets du secteur écologique.

#2 : Vous pouvez choisir d’orienter votre argent vers des projets écologiques Voir la suite

Avec Terre de Liens, faites pousser des fermes ! -Les terres agricoles, un bien commun en voie de disparition ?

Convoitées, surexploitées et exposées à la spéculation immobilière, les terres agricoles, socle de notre alimentation et nos paysages, se font de plus en plus rares dans l'Hexagone. Les modèles agricoles intensifs et l'usage de produits phytosanitaires remplacent une agriculture paysanne de qualité avec pour conséquences des paysages, des sols et des ressources naturelles qui se dégradent au fil des jours. Plus grave, un petit nombre d'exploitations continuent de s'agrandir en accaparant la ressource foncière, au détriment de jeunes agriculteurs qui se découragent face aux difficultés d'installation.

Comment, dans un tel contexte, permettre aux nouvelles générations d'assurer la relève agricole et la redynamisation économique dans les territoires ruraux?

Un projet collectif entre les mains des citoyens

L'avenir de nos territoires ruraux passe par la reconstruction d'un maillage d'activités et de liens sociaux qui redonnent vie aux campagnes. L'agriculture de proximité, par son ancrage local, est au coeur de cette dynamique: elle favorise l'éclosion de fermes à taille humaine et permet de tisser des relations entre les citoyens et les paysans et paysannes qui produisent notre alimentation. Lire la suite        site 

Institut pour une triarticulation sociale

..pour une tri-articulation de l'organisme social...
...et les aptitudes nécessaires... voir la suite

Tri-articualtion de l'organisme social

Nos vies s’écoulent dans les conditions qui nous sont fournies par la nature, mais tout autant par celles de la vie en société. Concernant ces dernières, c’est souvent une insatisfaction du moment qui fait regarder vers le politique, la démocratie. De la même façon qu’il existe des « appartenances » religieuses, il y en a des politiques. Mais ici, il ne s'agit pas seulement de propositions faites à un moment historique donné, pour une culture donnée, mais bien de présentations issues d’une science sociale en cours d’élaboration.  Elle repose sur une anthropologie et une science du rapport de l’esprit à la nature et à l’esprit lui-même. Elle peut être un chemin vers une émancipation à conquérir. COMMENT voir la suite

Informations complémentaires

A Loos, le maraîchage pour combattre le chômage de longue durée

Par AFP

Ce dispositif sera étendu dans le cadre du plan pauvreté.

A une vingtaine de minutes du centre de Lille, dans le quartier sensible des Oliveaux, le long de la façade grisâtre d’un lycée professionnel, un sentier terreux mène depuis juin 2017 au «Potager de l’espoir». Sur ce terrain municipal, ce maraîchage agrémenté de petites serres offre depuis le printemps ses premiers légumes.

Loos est un des dix sites participant à cette expérimentation, qui a pour objectif de redonner un travail (et aussi l’espoir) à des hommes et femmes coupés du circuit de l’emploi. Suite

Pierre Larrouturou : « Il est urgent de faire naître une société plus juste, plus frugale, plus conviviale »

Par Mr Mondialisation

Afin de financer une transition énergétique qui se fait attendre, Pierre Larrouturou* et Jean Jouzel** s’engagent pour un pacte finance-climat au niveau européen sous la forme d’un traité. Selon eux, il ne sera pas possible de lutter contre le changement climatique si les budgets alloués à la cause ne sont pas ajustés à la hauteur de l’enjeu. Interview.

Mr Mondialisation : Face au changement climatique, l’inaction collective de l’UE et de ses États membres est patente. Comment expliquer cet échec ? suite

L’esclavage moderne par la dette

Par La Relève et La Peste

À l'époque, l'esclavage se réduisait à des chaînes en métal, aujourd'hui l'esclavage est invisible mais bien présent.

Ça vient d’où la dette ?

C’est tout sauf une invention moderne ! Depuis les Sumériens les citoyens s’endettaient auprès des gouvernants ou des créanciers quand ils ne disposaient pas de ressources suffisantes (dû à une mauvaise récolte par exemple).

« L’endettement est une forme d’esclavage parce qu’on est lié personnellement à une institution. »

Il y a donc une relation de pouvoir entre le créancier et le débiteur mais aussi entre l’État souverain et les créanciers, parce que les grands créanciers se retrouvent avec un pouvoir immense sur les citoyens.

Pendant longtemps, les États régulaient ce marché des dettes privées mais aujourd’hui on est passé dans le paradigme de l’autorégulation des marchés, ce qui a pu mener à des véritables désastres et notamment la crise des Subprimes. Suite

L'intérêt général et moi

Une autoroute construite mais vide (l’A65 Langon-Pau), un projet ferroviaire pharaonique (la Ligne à Grande Vitesse du sud-ouest), un projet d’aéroport vieux de plus de 40 ans (Notre Dame des Landes). Sous ces infrastructures, des vies, des territoires, des espaces naturels sacrifiés ou devant l’être, au nom de l’intérêt général.
Mais qui détermine l’intérêt général ? Comment ? Un film sur la démocratie des grands projets, sur la façon dont on prend et ressent ce type de décisions, aujourd’hui, en France. Voir la suite

Un million de travailleurs pauvres en France

Par observatoire des inégalités

Un million de travailleurs vivent avec moins de 850 euros par mois. Avoir un emploi ne protège pas de la pauvreté, notamment pour ceux qui travaillent à temps partiel ou alternent des périodes de travail précaire et de chômage.

La pauvreté des travailleurs évolue peu en France. Elle a légèrement diminué au début des années 2000, puis est remontée pour atteindre 1,1 million de personnes en 2011 au seuil à 50 % du niveau de vie médian. Après une nouvelle baisse au début des années 2010, elle a recommencé à augmenter dans les années récentes. De la même façon, le taux de travailleurs pauvres a oscillé entre 4 et 4,6 % entre 1998 et 2015. suite

Françoise Verchère vient d’écrire un livre sur Notre-Dame des Landes qui fera date. Un livre de combat, en trois courts chapitres, qui a le mérite de replacer le conflit en perspective.

Ce blog le publie intégralement.

Le dernier verdict du tribunal de Nantes met le gouvernement au pied du mur : soit expulser manu militari les zadistes du site de Notre-Dame des Landes, soit renoncer au projet d’aéroport du grand ouest. Avec la présidentielle à l’horizon, sa décision est à la fois très attendue et à très haut risque. Le conflit n’a que trop duré : il s’est enlisé et plus personne ne voit comment en sortir. La fenêtre de tir politique se restreint de jour en jour. À l’évidence, nous sommes à la veille d’un tournant décisif.

Beaucoup de citoyens (certains n’étaient pas nés lorsqu’il a commencé) ont une vision embrouillée du conflit. Des arguments techniques complexes de part et d’autre, des enjeux économique, écologique et sociétal qui s’opposent, une image de plus en plus négative des zadistes face à l’état de droit, des violences policières qui ont grièvement blessé de jeunes manifestants, des politiques qui s’invectivent ou qui s’observent… Il n’y a pas eu de mort comme à Sivens (et espérons qu’il n’y en ait pas !), toutefois le clivage laissera des traces douloureuses. voir la suite

Le sociologue Michel Wieviorka: « Nous vivons une période de ‘sale temps' »

Le sociologue Michel Wieviorka, président de la Fondation Maison des sciences de l’homme, décrit une « situation dangereuse ».

Comment définissez-vous la « lassitude française »?
C’est une forme de résignation. Une réponse passive. Quand ils sont mécontents, les individus ont trois solutions : exit, voice ou loyalty, en anglais*. Rester loyal, donner de la voix ou partir. Les Français disent aujourd’hui en nombre qu’ils sont ailleurs, qu’ils se dirigent vers la sortie. Certains physiquement.Des Juifs, pour ­Israël; de nombreux jeunes, pour vivre et travailler à l’étranger. Ceux qui restent se désintéressent d’une vie politiquequi leur semble s’organiser loin d’eux : le Président ou le Premier ministre lancent les débats, un jour c’est l’apartheid, un autre jour la déchéance de nationalité… Plus ou moins hors sol. La lassitude, c’est aussi le sentiment que le système que constituent les acteurs politiques et les grands médias est déphasé, à côté des attentes ou des demandes populaires.

Est-ce propre à la France?
Ce qui est propre à la France d’aujourd’hui, c’est la congélation du débat et l’absence de perspectives. Lire la suite

 

Bastalmag " Les biens communs nous offrent davantage de liberté et de pouvoir que ne le font l'Etat et le marché "

Qu’y a-t-il de commun entre une coopérative, un potager partagé, un collectif de hackers ou une communauté autochtone gérant une forêt ? Tous « agissent et coopèrent avec leurs pairs, de manière auto-organisée, pour satisfaire leurs besoins essentiels », explique David Bollier. Ce chercheur états-unien et militant infatigable des biens communs nous invite à ne plus être des « créatures du marché », des consommateurs isolés sans autre pouvoir que de voter occasionnellement, mais à devenir plutôt des « commoneurs » : des acteurs d’un système de production, de relations sociales et de gouvernance alternatif au néolibéralisme. lire la suite

Comme je l’ai déjà plusieurs fois écrit, il vaut mieux du business vert que pas vert

Les dangers de la fracturation hydraulique (captage de gaz) « Démocratie & Entreprises

Dans le cadre du Triptyque Economique, le tiers « libéral » aurait un cahier des charges environnementales et sociales. Ce lien montre qu’il n’est pas impossible de trouver des entreprises qui accepteraient ces contraintes! lire la suite

Les travaux de la convivialité ont joyeusement commencé à la Zad de Notre-Dame-des-Landes

Samedi 30 et dimanche 31 janvier, plus d’un millier de personnes sont venues participer aux chantiers collectifs organisés sur la Zad. Une action festive et mobilisatrice, alors que le mouvement entend maintenir la pression dans les mois à venir. Lire la suite

Des biens communs sont à inventer pour permettre à la demande croissante des consommateurs d'une alimentation saine de concrétiser l'organisation d'une offre . Cette offre de biens communs se concrétise par un besoin de terres nourricières qui permettra aux cultures et religions différentes de la Planète de coopérer pour l'économie écologique alimentaire plutôt que tomber dans les conflits et les guerres . Cette coopération pour une économie réelle se fera avec les moyens numériques . lire la suite

Relocaliser l'économie alimentaire pour maitriser la production de déchets et notamment de plastique

La santé de l'être humain peut-elle participer à l'évolution  des biens communs? Thierry Janssen : notre approche de la santé

Saupoudrer quelques bonnes pratiques type yoga, méditation ou alimentation biologique sur notre vie quotidienne ne suffit pas à transformer en profondeur la relation au corps. Dans ce domaine, changer de paradigme à l’échelle individuelle nécessite d’accepter de nouvelles priorités. Cette évolution s’apparente davantage à un chemin spirituel qu’à l’application de recettes. Thierry Janssen en sait quelque chose lui qui, dans les années 1990, a bouleversé sa vie en tournant le dos à une brillante carrière de chirurgien pour se vouer aux médecines complémentaires et alternatives. Devenu psychothérapeute spécialisé dans l’accompagnement des malades atteints de pathologies somatiques, il nous livre son analyse et nous donne quelques clés pour trouver soi-même sa propre « solution intérieure[1] ». lire la suite 

Le plastique est partout : aujourd’hui la planète entière est polluée (par Robin McKie)

Les humains ont produit assez de plastique depuis la seconde Guerre Mondiale pour recouvrir toute la Terre de film alimentaire, c’est ce que révèle une étude internationale. Cette aptitude à recouvrir la planète de plastique est alarmante, expliquent les scientifiques — en ce qu’elle confirme l’impact pernicieux des activités humaines sur le monde. lire la suite

Avec le nucléaire, les milliards valsent... Et les français trinquent

Chacun en a pris l'habitude, dans un projet nucléaire, il ne faut pas confondre le prix « avant » et le prix « après ». Ainsi, l'EPR de Flamanville a commencé à 3 milliards d'euros (2007), il en est à près de 10 milliards (2015) et n’est toujours pas fini...Le scénario se répète avec le projet d'enfouissement des déchets hautement radioactifs à vie longue à Bure : le projet Cigéo, programmé sur plus d'un siècle d'exploitation (140 ans!) et porté par l'ANDRA, futur exploitant. Pourtant, en 2013, il y a eu un débat public sur Cigéo. Enfin un débat public sans chiffrage du projet, donc un débat public que la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) aurait dû logiquement refuser... Malheureusement, les règles ne sont pas respectées quand il s’agit de nucléaire. Elle a donc accepté et le débat a tourné court. Décryptage de France Nature Environnement.

Alors, vous nous le faites à combien ? Lire la suite

A Colombes, la lutte d’une ferme urbaine contre un parking

Les défenseurs de l’Agrocité à Colombes (Hauts-de-Seine) sont en colère. Ils sont sommés par la justice de quitter les lieux alors que cette ferme urbaine est installée depuis cinq ans sur une ancienne friche. La nouvelle municipalité (Les Républicains) veut en faire un parking provisoire le temps des travaux de rénovation d’un ensemble d’immeubles mitoyens.

Samedi 6 février, dans une ambiance malgré tout chaleureuse, plus de 300 personnes, du quartier et au-delà, ont manifesté leur attachement à cette oasis de verdure qui, tranchant avec la couleur béton des tours environnantes, égaie le quartier populaire des Fossés Jean-Bouviers, au nord-est de la ville.  lire la suite 

Le Collectif pour une Transition Citoyenne

Le Collectif pour une Transition Citoyenne a élaboré un outil afin de mettre en place concrètement une dynamique positive en faveur de la Transition dans les collectivités.

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Le mouvement de transition en France

Le mouvement de Transition est né en Grande-Bretagne en septembre 2006 dans la petite ville de Totnes. L’enseignant en permaculture Rob Hopkins (voir son blog, en anglais) avait créé le modèle de Transition avec ses étudiants dans la ville de Kinsale en Irlande un an auparavant. Il y a aujourd’hui plus de 250 initiatives de Transition dans une quinzaine de pays (voir la liste officielle) réunies dans le réseau de Transition (Transition Network). Des initiatives s’organisent dans des communautés francophones en Europe et en Amérique du Nord. Vous pourrez découvrir certaines d’entre elles sur ce site. Elles adhèrent aux objectifs centraux du mouvement de Transiton. Lire la suite

Nouveau projet communnautaire de Partage et du Savoir , Mise en relation et Prêt de livres.

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