L'alimentation : un bien commun à préserver ou à construire.
Photo de Assez de tous nos politiques ici
La meilleure vigilance est celle de produire juste et bien , ce qui n'est pas le cas puisqu'un surplus de très mauvaise alimentation part aux poubelles. Depuis une quarantaine d'années nous informons de ces disfonctionnements sans que cela change vraiment la gouvernance . Nous pouvons toutefois soutenir les actions qui vont dans le bon sens pour produire juste et bien pour nos concitoyens.
« On peut lutter contre le chômage et préserver l’environnement en produisant de la bonne nourriture » ici
Nous sommes, petits et grands, concernés par l'alimentation de qualité capable de nous préserver des maladies. Deux choix s'offrent à nous :
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une production agricole et maraîchère respectant la nutrition, la santé et l'environnement
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une production agricole et maraîchère polluante et empoisonnante créant le chômage en plus.
La deuxième voie est toujours gouvernée contre notre gré, elle n'est cependant pas une fatalité. Si nous nous engageons à organiser des circuits locaux coopératifs de production de la semence au recyclage nous préserverons la biodiversité et nous pourrons réussir la première voie.
Neuf années après l'étude faite par l'expansion en 2006 ( l'agriculture française condamnée à l'excellence pour ceux qui ne l'ont pas lu ici , ) l'agriculture française ne semble toujours pas vouloir ou pouvoir se réformer vers l'excellence.
« Mettre moins de pesticides, cela ne marche pas. Il faut changer les systèmes de culture »
En 2008, le plan « Ecophyto » prévoyait de baisser l’usage des pesticides tout en conservant une agriculture économiquement performante. Une nouvelle mouture est présentée aujourd’hui par le gouvernement. Entretien avec François Veillerette, porte-parole de Générations futures : les solutions sont là, il manque la volonté politique de les mettre en œuvre. lire la suite
Pourquoi un deuxième plan aurait-il plus de chances de réussir que le premier ?
La France consomme beaucoup de pesticides parce qu’elle a beaucoup de surface agricole, viticole et arboricole : on cumule donc un volume plus important que les autres pays européens. Ramené à l’hectare, on est, avec 3,4 kg/ha, dans la moyenne européenne [4 kg/ha en 2011-2012]. Mais on ne peut se contenter de cela. Si le premier plan n’a pas marché, c’est qu’on a fixé un objectif trop ambitieux sans se donner les moyens de changer de modèle de production. lire la suite
Le premier groupe coopératif agricole français se lance dans la production de pesticides
En 2013, la consommation de pesticides a augmenté de 9%. La politique française agricole peine à enrayer la consommation de produits chimiques. Et tandis que le gouvernement présente le nouveau plan Ecophyto, In Vivo, le premier groupe coopératif français, avec un chiffre d’affaires de 5,7 milliards d’euros, investit dans les produits phytosanitaires. lire la suite
La loi Macron achoppe aussi sur le droit de l’environnement
A l’Assemblée nationale, l’examen du projet de loi Macron n’en était pas encore arrivé au tour de l’article 28 que celui-ci animait déjà la séance de questions au gouvernement mercredi 28 janvier. En réponse à l’inquiétude exprimée à son sujet par la députée écologiste Michèle Bonneton, Ségolène Royal s’est voulue conciliante : « Le gouvernement est tout à fait ouvert au dépôt et au vote d’un amendemement destiné à garantir la non-régression en matière de droit à l’environnement. » En savoir plus
Je viens de signer la pétition "Stéphane Le Foll: Soutenons Benoit Biteau ! Et plus généralement, demandons le règlement des primes aux agriculteurs bio !" et je souhaitais savoir si vous voudriez nous aider en ajoutant votre signature.
Notre objectif est d'atteindre 1 000 signatures et nous avons besoin de plus de soutiens. Pour en savoir plus et pour signer, c'est ici:
Merci!
René
OGM : l'article controversé du Pr Séralini republié
Au cours de sa conférence de presse, le professeur Séralini a de nouveau dénoncé le fait que le retrait de son article de Food and chemical toxicology, en novembre 2013, correspondait avec l'arrivée dans le comité éditorial de la revue de Richard Goodman, "un biologiste qui a travaillé plusieurs années chez Monsanto".
"La plupart de nos détracteurs ont des liens avec l'industrie des biotechnologies", a accusé le biologiste de l'Université de Caen, en mettant en avant la publication des données brutes de ses travaux.
"Nous aimerions qu'il en soit de même pour les industriels", a-t-il ajouté. "Or, il n'en est rien, l'opacité sur les données des industriels est aujourd'hui complètement anormale, c'est une anomalie scientifique", a-t-il estimé. lire la suite
Qui possède le pouvoir du modèle de l'agriculture nationale Stéphane Le Foll, Emmanuel Macron ou Xavier Beulin ? lire l'article
Pour mieux comprendre la supercherie de la gouvernance agroalimentaire en France ici
L’Homme coupable ou la gouvernance du pouvoir actuel? Les fruits et les légumes sont jusqu’à 100 fois plus pauvres qu’il y a 50 ans…ici
Ça y est ! J’ai compris ce qu’est la permaculture !
La permaculture, tout le monde en parle, mais personne ne sait vraiment de quoi il s’agit. Une branche radicale de l’agroécologie ? Une nouvelle tendance New Age ? Notre reporter s’est rendue à un week-end d’initiation, pour tenter de lever le voile. lire la suite
Encore de la permaculture ici
La petite agriculture, clé de la sécurité alimentaire
Première forme d’agriculture dans le monde avec près de 500 millions d’exploitations, l’agriculture familiale produit aujourd’hui plus de 80 % de l’alimentation mondiale. « Les exploitations agricoles familiales sont l’une des clés de la sécurité alimentaire et du développement rural durable », affirme l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) qui publie, jeudi 16 octobre, à l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, un rapport appelant à « ouvrir l’agriculture familiale à l’innovation ».
« L’appui public à l’innovation doit tenir compte de la structure particulière de l’agriculture familiale dans chaque pays et chaque contexte », insiste l’organisation onusienne dans son rapport, précisant que « la grande majorité des exploitations agricoles dans le monde sont petites voire très petites, et dans bon nombre de pays à faible revenu ne cessent de voir leur superficie diminuer ». en savoir plus
La micro-ferme, modèle agricole pour le 21ème siècle ?
Dernièrement, nous évoquions une tendance durable pour produire soi-même son propre jardin : le micro-jardin. Aujourd’hui, c’est un autre modèle que nous vous présentons : la micro-ferme. Zoom sur les avantages d’un tel procédé. Micro-ferme : une ferme de moins d’un hectare lire la suite
Et si vous faisiez pousser des fermes ! ici
Les vertus de l'agriculture biodynamique enfin reconnues !
Enfin, une vraie étude scientifique suisse a comparé les différents modes de culture : biodynamique, biologique et conventionnel et ce, pendant 21 années. Le résutat prouve que l'agriculture biodynamique génère un sol plus riche et de meilleure qualité. lire la suiteDe l'arbre au sol, les Bois Raméaux Fragmentés ici
BRF = branches de 7cm de diamètre maxi. Du bois frais et vert issu de fueillus (20% de résineux sont tolérables). broyer le tout et les étendre le plus vite possible sur le sol. Les incorporer au bout de quelques semaines lorsque les supers champignons dits "pourriture blanche" se développent.
les BRf peuvent également être transformés en terreau avec un peu d'argile et de litière forestière.
La façon de procéder peut varier suivant les sols, le climat, les plantes cultivées... quelques fois il faudra donner un coup de pouce voir la page
2015 sera l’Année internationale des sols
La première célébration officielle de la Journée mondiale des sols a eu lieu le 5 décembre 2014. Ce fut aussi l’occasion de lancer l’Année internationale des sols (AIS).
Les objectifs de l’AIS sont :
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•« Sensibiliser pleinement la société civile et les décideurs à l’importance cruciale des sols pour la vie humaine
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•Instruire le public sur le rôle crucial que jouent les sols dans la sécurité alimentaire, l’adaptation au changement climatique et l’atténuation de ses effets, les services écosystémiques essentiels, la réduction de la pauvreté et le développement durable
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•Soutenir des politiques et des actions efficaces axées sur la gestion et la protection durables des ressources en sols
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•Promouvoir l’investissement dans des activités de gestion durable des sols afin que les différents utilisateurs de terres et groupes de population puissent disposer de sols en bon état et entretenus
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•Catalyser des initiatives en rapport avec le processus des objectifs de développement durable et le programme de développement pour l'après-2015
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•Plaider en faveur d'un renforcement rapide des capacités de collecte d'information sur les sols et de surveillance à tous les niveaux (mondial, régional et national). » lire la suite
Nature et potager en ville accéder aux échanges
Complément d'informations
La démocratie alimentaire : “La vie ne peut devenir la propriété d’entreprises” ici
Pourquoi une agriculture sociale dans nos territoires? ici
L'agriculture doit changer pour nourrir le monde
Un expert de la FAO préconise une approche plus durable ici
Le déséquilibre planétaire actuel : famine pour les uns et dangers alimentaires pour les autres
ouvre des voies à des pratiques adaptées aux besoins émergeants. Nos territoires ruraux à faible densité peuvent y répondre en développant une alimentation nutritionnelle pour la demande grandissante en santé individuelle et à la croissance des moyens de production économique respectueux de l'écologie. Sortir du vieux système polluant et destructeur, créateur de guerres, de divisions, de maladies, de misères et de peurs en l'avenir sera un des enjeux sociaux,à partir des solutions citoyennes existantes ...en n'oubliant pas, bien sûr les créateurs de liens avec les réseaux numériques.
Passer dans l'ére nouvelle en s'appuyant sur les constructions de réseaux fraternels liés au numérique c'est possible , si le monde politique lui donne tous les moyens de se développer en lâchant prise avec le système productiviste industriel de compétition dit de croissance mais tourné vers toujours plus de productions polluantes.
Les avantages collectifs en biens communs seront nombreux avec l'implication libre d' acteurs locaux engagés dans la construction des filières courtes : échanges, solidarités, transports en communs , diminution de l'utilisation de l'énergie et des grands projets inutiles pour construire une économie équitable abandonnant l'économie des privilèges et de la minorité polluante .
Un projet à soutenir : Agro-écologie urbaine : Les jardins du temps
Mon activité de vie, l'agro-écologie !
Mon projet 3 en 1: Former, créer et produire
… en agroécologie urbaine...
L' « agro-écologie urbaine » ... en quelques mots ;-)
Utiliser toutes techniques de production totalement respectueuses de l'environnement ( agriculture biologique, permaculture...) et les intégrer au paysage urbain, en optimisant les petites surfaces disponibles, au plus proche des consom'acteurs .
Sensibiliser ...
Tout d'abord, je souhaite promouvoir l'agroécologie urbaine grâce à l'association : « Les jardins du temps », par l'organisation de visites pédagogiques et de stages de formation sur ma propre micro-production !
Et puisque la planète appartient aux générations futures, nous leur devons de leur transmettre notre savoir aussi !
C'est pourquoi je propose d'adapter mes ateliers à tout public, adultes ou groupes scolaires, dés l'âge de 5 ans .
Arrêtez de croire que l'on crée de la valeur sur les marchés financiers
Entretien avec Patrick Viveret, philosophe (chargé par le gouvernement Jospin de réfléchir aux alternatives concrètes à la croissance) : « Débloquer l'imaginaire pour sortir de la sidération. » voir la vidéo
Changer d'altitude avec Bertrand Piccard
Après avoir réalisé un tour du monde en ballon, après nous avoir fait rêver avec son avion solaire Solar Impulse, bertrand Piccard nous offre une autre forem de voyage un voyage intérieur cet explorateur de génie utilise une métaphore pour nous aider à comprendre que changer d'altitude peut nous éviter de lutter contre les vents de la vie. Rappelons que Bertrand Piccard est aussi médecin psychiatre et la psyché il connait !Cet aventurier des temps modernes nous propose également un projet de société : l''ÉCOMANITÉ, qui allie écologie, économie et humanisme.écouter l'émission
Sacrée croissance ! (Bande annonce du film)
" La croissance va revenir " : n’y a-t-il pas mieux que cette incantation pour répondre à la crise (économique, financière, écologique) ? Peut-on continuer d’imaginer une croissance illimitée, alors que les ressources naturelles de la planète sont limitées ? Au Nord, au Sud, ils sont de plus en plus nombreux, les « lanceurs d’avenir » (comme on parle de « lanceurs d’alerte »), qui nous invitent à conjuguer leurs initiatives pour construire
demain. voir la vidéo
Pour le dogme de la croissance sans fin l'exploitation du Gaz de schiste: les lobbies contre attaquent !!
Depuis des années, les lobbyistes, hommes de main des industriels, jouent dans l'ombre des parties qui sacrifient la santé publique aux intérêts financiers. voir la vidéo
Penser par le Bien commun pour Imaginer le Territoire
Penser par le Bien commun permet d’envisager, de façon pragmatique, les choix collectifs, - au-delà de la notion abstraite d’intérêt général. Dans une ville considérée comme sensible, l’affirmation des capacités de l’Homme à évaluer les situations, et les conduites à tenir en tant qu’expression de désir, sont alors pris en compte.
La ville sensible du XXIème siècle semble se rapprocher de l’humain et donner la part belle aux émotions. Elle permet surtout d’aborder de manière holistique la durabilité spatiale, de sortir d’une approche essentiellement centrée sur les questions techniques, et d’intégrer une vision plus phénoménologique et sociale. L’Homme n’est plus considéré comme un simple homo-economicus isolé et rationnel, mais comme un être communautaire doué d’affect, de spiritualité et d’imagination. Le matérialisme de Marx trouve là ses limites, dans la mesure où il considérait que la réalisation du Bien commun ne devait pas être attendue des personnes, mais simplement du développement de la société industrielle. lire la suite
L'économie sociale et solidaire peut-elle se recycler grâce à l'économie circulaire ? Le compte-rendu de la conférence
Dans le cadre du cycle de conférences dédiées aux nouvelles économies, l'Atelier - en collaboration avec ses partenaires Rue de l'échiquier et Socialter - a organisé le mercredi 10 décembre son second événement sur la thématique de l'économie circulaire. Dans les locaux de La Recyclerie , sur le thème « l'économie sociale et solidaire peut-elle se recycler grâce à l'économie circulaire ? », connaisseurs et néophytes se sont retrouvés pour échanger sur les passerelles possibles entre ces deux formes d'économie. Qu'est-ce que l'économie circulaire ? voir la vidéo
Agriculture et territoires ruraux en Midi-Pyrénées : quelle place pour la co-construction dans l'action publique ?
Depuis deux ans le pôle de compétence Toulouse AgriCampus et la DRAAF de Midi-Pyrénées ont engagé conjointement des processus associant les bénéficiaires des politiques publiques à leur mise en œuvre.
Synthèse du séminaire du 18 Novembre 2014 ici
Jardin des Fraternités Ouvrières: Visite de la RTBF
Petite visite au Jardin des Fraternités Ouvrières à Mouscron (Belgique ) - limite frontière française -
Un jardin comme j'en ai toujours rêvé ...
Jardin forêt comestible mise en place depuis 40 ans avec les méthodes de la permaculture, jardin spectaculaire à visiter absolument si vous en avez l'occasion! voir la vidéo
Comment démarrer un potager en permaculture
Bonjour à tous, voici une excellente fiche pratique du site Wikihow que je viens de découvrir
C'est le moment de s'y mettre non ?
Un potager en permaculture est conçu de manière à imiter la nature du point de vue de la croissance des végétaux et de l'interaction entre les espèces. Aucun engrais ni pesticide n'est utilisé. Le potager en permaculture est composé de plantes indigènes, exploite la lumière du soleil et les ressources en eau de manière optimale, sur une surface souvent plus réduite que le potager traditionnel. Les principes de base de la permaculture étant de ne pas endommager l'écosystème et de s'appuyer sur les lois de la Nature, on obtient en conséquence des jardins extrêmement diversifiés et qui nécessitent relativement peu de soins. lire la suite