Lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy
'La meilleure façon pour atteindre son objectif dans une organisation c'est d'aider, ceux dont on a besoin, à atteindre les leurs ! ( Pierre Doré )'
Un regard sur les nouvelles coopératives du Monde: le 24 et le 27 février, pour participer au premier Forum international sur l´agroécologie.
Mali: La Via Campesina et ses alliés organisent le Forum international sur l´Agroécologie orientée vers la Souveraineté alimentaire
Bonjour à toutes et à tous ,
laboratoire rural, coopérative de citoyens autant de termes qui donnent un sens plus concret de ce que nous souhaitons partager en Pays Midi Quercy (territoire principalement rural) avec le monde urbain dans une co-construction d'avenir. Ce documentaire est un retour d'expériences qui peut nous donner une idée du projet qui demande à être partagé autour d'une nourriture saine dans une époque troublée par la co-existence croissante de la famine pour les uns et danger alimentaire pour les autres. .
Le documentaire «Le pouvoir de l'intelligence collective» est le bilan de quatre années d'expérimentation d'un nouveau modèle de gouvernance participative, la sociocratie, organisé en coopérative de solidarité. Réalisé dans le cadre du projet du laboratoire rural «Mon rêve, mon village» à la Coop Csur situé à Très-Saint-Rédempteur, le documentaire vise à transmettre les connaissances et expériences acquises tout au long du projet voir la vidéo
Quelques constats à rappeler pour comprendre qu'un développement durable des territoires ne doit pas être combattu par les financiarisations des espaces qui ne prennent pas en compte les projets de nos concitoyens s'adaptant à la crise et à la transformation de la société à partir de leurs besoins d'Existence.
Sans les acteurs locaux des territoires une économie peut-elle exister ?
Où va notre système économique ? Où vont nos sociétés qui en subissent si violemment les soubresauts ? Comment en est-t-on arrivé là ? Comment réagir ?
La situation actuelle ne révèle pas seulement une crise de l’économie, mais également une crise intellectuelle profonde, celle de la pensée économique. Les causes de cette crise sont nombreuses, les solutions se situent entre autres dans l’inventivité théorique, pratique, politique. Mais il existe aussi une cause institutionnelle, qui bloque cette inventivité et à laquelle une réponse politique, simple et rapide, pourrait être apportée. Une solution qui redonnerait, immédiatement, du souffle à la réflexion sur les affaires économiques et sociales de notre temps : la création d’une nouvelle section du Conseil National des Universités (CNU) permettant de valoriser une autre manière de penser l’économie. lire la suite
La confiance est la base fondamentale pour rassembler des femmes et des hommes autour d'un projet national ; un projet : culturel, écologique, économique et politique, ce projet sera capable de créer des emplois car les Français sont anxieux ne voyant aucune solution venir malgré les discours.
Des emplois sont à créer dans l'agroécologie et la permaculture pour répondre à la demande croissante des consommateurs qui veulent des produits alimentaires sains pas des poisons quotidiens .Mais Mr Macron ministre de l'économie ne semble pas comprendre ces règles de base .
Le gouvernement devrait assurer dans la constitution actuelle ce rassemblement mais dans la réalité, nous constatons une crise politique, fracture entre ceux qui décident , ceux qui proposent des solutions sans qu'ils soient entendus et ceux qui n'ont plus confiance dans le système : dites ce que vous pensez à condition que le système ne soit pas changé . Cette vidéo pleine d'humour résume très bien cette situation
Le billet de Nicole Ferroni :"Simplifions la politique" voir la vidéo
Sur facebook ici
Pourquoi Emmanuel Macron ne donne -t-il pas confiance par SA loi ? Pourquoi SA loi ne sauvera ni la France ni ses territoires ?
M. le Ministre, soyez tranquille, Les chômeurs n’attendent rien de vous !
M. Macron, vous avez cru bon de vous en prendre aux chômeurs en déclarant : « si j’étais chômeur, je n’attendrais pas tout des autres, je me battrai par moi-même ». Nous y sommes habitués mais nous hésitons sur ce qui vous motive.
Est-ce une maladresse due à votre inexpérience et votre jeunesse politiques ? Ou bien est-ce une conviction sur la culpabilité des chômeurs paresseux et parasites ? Y a-t-il un lien avec les travailleurs que vous pensiez illettrés ? lire la suite
Il aurait fallu que Mr Macron ministre de l'économie prenne des positions fermes contre les projets de financiarisation des espaces à faibles densité de population dans le monde rural .
Ces projets détruisent des surfaces qui permettraient aux jeunes agriculteurs et maraîchers de répondre à la demande croissante des aliments bio qui nourrissent ( l'agriculture dominante empoisonne et détruit l'environnement ) L'agroécologie et la permaculture est l'avenir durable de notre économie et le gouvernement doit prendre ses responsabilités ce qu'il ne fait pas depuis quarante ans voir Ces décideurs qui ont une balle de golf à la place du cerveau
Nos décideurs ont une balle de golf à la place du cerveau. Il n’y a pas d’autre explication possible à la volonté obstinée d’implanter des zones golfiques à des endroits qui ont besoin de tout, sauf d’un golf. Exemple avec cette nouvelle ZAD de Saint Hilaire, dans le Gard, réunissant toutes les tares des Grands Projets Inutiles qui pullulent en France lire la suite
Plutôt que laisser les golfs pulluler le gouvernement doit soutenir le développement de l'agroécologie et la permaculture en priorité.
J'ai signé la pétition "Stéphane Le Foll: Soutenons Benoit Biteau ! Pour s'être lancé dans une démarche de « désirrigation » Benoît Biteau s'est vu retirer ses aides de la PAC. Et plus généralement, demandons le règlement des primes aux agriculteurs bio !" et je souhaitais savoir si vous voudriez nous aider en ajoutant votre signature. lire la suite
Gaspillage de l’eau : le gouvernement se couche devant la FNSEA
Le gouvernement relance la politique des réservoirs pour l’irrigation, pour complaire à la FNSEA, et au mépris de la logique environnementale. Il y a le fond et la forme. Ils sont ici également consternants et scandaleux. Trois jours avant l’ouverture du salon de l’Agriculture samedi 21 février, un mois avant des élections départementales qui s’annoncent comme une nouvelle débâcle pour un parti socialiste en voie d’implosion, Manuel Valls cède tout au syndicat agricole majoritaire, qui vote et a toujours voté à droite, dont le gouvernement n’a donc strictement rien à attendre, et à qui il vient pourtant d’annoncer qu’il cédait à toutes ses exigences. lire la suite
Il faudrait que le ministre de l'économie et le gouvernement comprennent que les emplois sont détruits par l'exploitation intensive agricole tout en permettant une alimentation dangereuse pour les consommateurs .
Germes tueurs : le fléau de l'élevage intensif - Arte -
Arte fait la lumière sur la responsabilité de l'élevage intensif dans la multiplication des infections que l'homme n'arrive plus à soigner. En cause, l'usage torrentiel d'antibiotiques pour les animaux d'élevage qui induisent une résistance toujours plus grande des bactéries.
Nous sommes confrontés à un nombre croissant de bactéries qui résistent aux traitements dont nous disposons. En cause, l’élevage industriel qui gave les bêtes d’antibiotiques. Pour Arte, Valentin Thurn et Frank Bowinkelmann, documentaristes allemands ont mené l’enquête dans plusieurs pays européens auprès de chercheurs, d’éleveurs, de vétérinaires et de médecins. lire la suite
Carte de l’industrialisation de l’agriculture : Une dérive destructrice pour les paysans
Confédération Paysanne
A la veille de l’ouverture du Salon de l’agriculture, la Confédération paysanne rend publique la carte de l’industrialisation de l’agriculture. Certes non exhaustive, elle met cependant en évidence comment, au-delà du symbole des 1000 vaches, une agriculture destructrice se met en place. La Loi Macron (articles 27 à 30) et les récentes annonces de Manuel Valls démontrent clairement que cette dérive correspond à la volonté du gouvernement.
Il y a donc une réelle intention de livrer notre métier aux mains d’industriels plus soucieux de leurs parts de marché que de l’emploi, de l’alimentation ou de l’environnement. L’exemple de la pieuvre Sofiprotéol (avec sa nouvelle entité Avril) est particulièrement parlant. Producteur d’aliments, fournisseur de conseils et de débouchés, financeur, la société du Président de la FNSEA s’accapare la production et la valeur ajoutée au mépris des paysans.
Mais cette carte n’est que la partie immergée d’un énorme iceberg. Quotidiennement, les paysans sont poussés par la profession agricole, les banques et les politiques vers l’agrandissement, la modernisation à outrance et la déconnexion de leur métier, accentuant leurs difficultés.
Avec des paysans plus fragiles, qui deviennent les travailleurs à façon de l’agro-alimentaire, et moins soutenus par les pouvoirs publics que les projets industriels, le calcul est vite fait. Sous couvert d’une prétendue compétitivité, le gouvernement fait le choix d’une agriculture de production sans producteurs, à quoi s’ajoute un déni des préoccupations environnementales et climatiques.
Pourtant, les solutions existent avec l’agriculture paysanne, autonome, relocalisée, respectueuse de ses travailleurs. C’est pour eux, avec le soutien d’une large majorité des citoyens, que la Confédération paysanne poursuit son combat. voir la carte
Avènement de l’industrie agro-alimentaire : L’alimentation, entre calories vides et érosion génétique
Depuis des années, l’avènement de l’industrie agro-alimentaire soulève des questions à propos des produits alimentaires, notamment concernant leur qualité nutritionnelle qui serait en chute libre. Pourquoi nos aliments ne nous nourrissent pratiquement plus ?
« Après des décennies de croisements, l’industrie agroalimentaire a sélectionné les légumes les plus beaux et les plus résistants, mais rarement les plus riches sur le plan nutritif », explique Philippe Desbrosses, docteur en sciences de l’environnement à l’université Diderot Paris-VII. lire la suite
Loi macron : une loi pour rien - Monnaie Terre : une monnaie pour l'être humain
Deux incidents inaperçus survenus au Salon de l'agriculture qui en disent long sur le gouffre entre le gouvernement et la Société Civile lire la page
Xavier Beulin, l'« agrobusiness man », va rempiler à la tête de la FNSEA
Une élection présidentielle sans suspense. Xavier Beulin devrait être réélu, dans un fauteuil, à la tête de la FNSEA, principal syndicat agricole français, mercredi 9 avril. Un nouveau mandat décroché sans combattre puisqu'aucun adversaire ne s'est présenté sur le ring face à cet admirateur du boxeur Muhammad Ali.
L'ambiance était tout autre en décembre 2010, lorsque M. Beulin a brigué sa première investiture. L'heure était à l'affrontement. Eleveurs contre céréaliers, partisans d'une agriculture patrimoniale contre tenants de l'agrobusiness, syndicalisme de terroir contre engagement à visée économico-politique, rarement les lignes de clivage de l'agriculture française n'ont été aussi visibles. lire la suite
Avec M. Beulin, les « grandes cultures », que sont les céréales, le colza, le tournesol ou la juteuse betterave, mais aussi l'agrobusiness, prenaient pour la première fois, le pouvoir. Ce pouvoir s'est conforté alors que les agriculteurs s'interrogent sur leur avenir.
Pourquoi l' empereur de l'agrobusiness serait-il seul à décider des projets alimentaires en France et pour le monde de la finance? Et les consommateurs contribuables n'ont-ils pas leur mot à dire? Sans les acteurs locaux des territoires une économie peut-elle exister ?
Rappelons une nouvelle fois que la solution existe l'Expansion dès 2006 écrivait Si elle veut rester une puissance agricole, la France doit vivre une nouvelle révolution verte. Deux voies s'offrent à ses paysans: la niche de qualité ou la chasse aux rendements. Et il n'y aura pas de place pour tout le monde... Au fil des kilomètres,le long des routes départementales, défilent des villages abandonnés- sauf de quelques retraités- et des prairies envahies par les broussailles, séparées par des talus pleins de ronces......lire la suite dans L'agriculture française condamnée à l'excellence
C'est dans l'orientation de la coopération entre consommateurs, producteurs paysans s'engageant dans la qualité et médias des réseaux sociaux que nous appelons à prendre ensemble la voie du bon sens: celle de la construction de réseaux de biens communs alimentaires .
Lancement du projet de développement rural durable en Pays Midi Quercy
Resserrer les liens autour d'associations porteuses d'avenir dans le rural ( Permaculture&Agoécologie, défense des ressources naturelles contre la financiarisation des espaces) dans des village ruraux en difficultés sociales et économiques avec les moyens dont nous disposons et sans augmentation de frais pour les contribuables.
L'expérimentation peut se faire à Caylus 82, ce village dispose d'une Cyberbase un espace permettant l'organisation de visio-conférences.
Nous pouvons compter sur le complément participatif des groupes sociaux engagés via le numérique ( Facebook, LinkedIn , Google, Twitter...) et l'idée serait de faire un premier lien entre ces réseaux et les assos locales du territoire par une visio conférence expliquant les problématiques mal connues dans la vie rurale , mais aussi les solutions qui sont portées par des associations de la Société Civile ; les groupes sociaux internet seraient prévenus de l'heure .
Cette visio conférence amorcerait des rencontres ( forum ateliers) qui perdureraient dans un événement alliant économie rurale et travail de réflexion pour la transition vers l'avenir . Nous pourrions envisager le matériel de la Cyberbase et la salle des assos de Caylus 82. Pour mettre ce projet en place, le responsable de la Cyberbase m'a confirmé qu'il fallait construire un serveur .
Je compte sur Groupez http://www.groupe-z.fr/ et d'autres groupes de LinkedIn pour la mise en place de ce projet. Intervenants et budgetisation de l'opération.
Dans cette visioconférence nous aborderions des solutions portées par filière paysanne et la solution Monnaie terre voir la bande annonce de présentation
La première conférence pourrait avoir comme thème
Intelligence collective et co-construction en Pays d'OC pour territoires sans frontières
René Chaboy
tél 05 63 67 02 36
site Lien en Pays d'OC
Cliquer sur nos réseaux sociaux et nos groupes pour rejoindre contacts et échanges fructueux
Promouvoir une nourriture sociale saine en réseaux coopératifs fraternels locaux et dans le monde.
Un autre monde est possible et indispensable
Consommer, semer et entreprendre librement sur nos territoires
Nous comptons sur votre paticipationIntelligence collective et co-construction : deux mots qui prennent toujours plus de place dans le langage des groupes en recherche de gouvernance équitable , économique et culturelle . Le territoire devient l'espace pour reconstruire le socle d'un fondement solide redynamisant les échanges entre les besoins des consommateurs et les valeurs qui sous-tendent la qualité d'une production pour y répondre. Là ou le système des lobbies industriels échoue dans l'économie d'existence mais continue à imposer sa force de perdurer dans l'économie artificielle celle du gaspillage des ressources humaines et naturelles, l'économie circulaire cherche et propose des solutions.
Le vaste système d'exploitation mondial agroalimentaire basé sur la croissance sans fin est devenu par la spéculation le moyen de répéter régulièrement contrastes et déséquilibres :famines pour de nombreux peuples de la planète ou abondance d'une alimentation douteuse voire dangereuse quand le modèle productiviste des empires occidentaux a décidé de maintenir sa place . Ce dogme de croissance impose comme fatalités des échecs permanents la bio entre business et projet de société : un livre à lire pour mieux comprendre. Le plan récent de Stéphane LeFoll pour réduire les pesticides est un exemple des visions mécanistes répétitives productivistes à dépasser pour concevoir le concept d'une gouvernance de co-construction introduisant des voies intermédiaires.
Comment introduire une gouvernance économique d'existence territoriale et inter-territoriales dans ce monde de financiarisation et de spéculation mécaniste binaire, s'introduisant insidieusement dans le marché de notre vie ? Le numérique dans la gouvernance de la souveraineté alimentaire citoyenne coopérative est le moyen de réintroduire des échanges entre les êtres humains, de réduire les fractures de société et les ghettos qui se forment : entassement dans les villes et désertification des espaces ruraux alors que les deux par les échanges peuvent bâtir des complémentarités de savoirs , de savoirs faire et de savoirs être.
Développons une intelligence collective dépassant bien entendu la gouvernance des Etats sous l'emprise des banques privées transnationales.
Passons d'un système d'exploitation de l'être humain et du règne vivant de la nature à une fraternité économique coopérative au-delà des intérêts privés .
Cela suppose de ne pas transformer superficiellement le système en changeant simplement la couleur mais bien de laisser à chacun sa part de gouvernance créative. Cette transition est indispensable pour sortir de l'élitisme gouvernant un système bloqué dont l'objectif de la réussite sociale est celui de rester toujours plus riche que le développement des pauvres qu'il engendre par l'exploitation sans fin des ressources humaines et naturelles.
Ne dominons plus la nature, travaillons avec elle en reconnaissant le travail d'organisation pour un autre paradigme.
Positivons l'emploi des réseaux sociaux pour dépasser l'opposition vers l'inter-action et l'inter-relation.
Les informations complémentaires
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