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2018 : Congrès Soigner l’Homme, Sauver la Terre 2021 : Appel à la construction d’une communication entre territoires pour favoriser une économie sociale en accord avec la nature

Rappel du congrès    Soigner l’Homme, Sauver la Terre


La Terre et l’Humanité sont à un moment charnière de leur histoire.
Chaque être humain sur cette planète, qui est notre bien commun, peut par sa conscience et sa responsabilité accompagner la Terre et l’Humanité vers une évolution positive.
Les maladies chroniques et toxiques, l’autisme, la pollution, la disparition des espèces, la déforestation, les scandales alimentaires… nous montrent à quel point la santé de l’être humain est intimement liée à la santé de la planète.
Ces éléments sont surtout présents depuis les trente dernières années et si rien ne change dans les trente prochaines, l’humanité pourrait aller irréversiblement vers son extinction.
Ce congrès Soigner l’Homme, Sauver la Terre a réuni différentes personnalités qui œuvrent, chacune dans leurs domaines de compétence, pour un réel équilibre écologique entre l’être humain et la planète.
14 conférences avec la participation de : Annick de SOUZENELLE - Dr Vandana SHIVA - Isabelle FILLIOZAT - Dr Jean-Louis ETIENNE - Bertrand VERGELY - Pr Barbara DEMENEIX - Dr Nicole DELEPINE - Marianne SEBASTIEN - Raphaël COLICCI - Philippe DAUTAIS - Dr Guy LONDECHAMP - Susan GEORGE - Pr Gilles-Eric SERALINI - Dr Olivier SOULIER Voir la suite 

2021 : Appel à la construction d’une communication entre territoires pour favoriser une économie sociale en accord avec la nature .
Bonjour , j’habite un village animé l'été pour la saison touristique mais qui oublie les nécessités des habitants qui vivent toute l’année et notamment le projet que nous proposons Christiane Roques et moi-même pour développer une économie en accord avec la nature.
Nous proposons un projet avec Christiane Roques s’appuyant sur une vision à long terme face aux problèmes sociaux et climatiques qui ne manqueront pas de toucher les territoires y compris celui dans lequel nous habitons .
Ma question est : pourriez vous contribuer à faire connaître et participer à ce projet inter-territoires que vous pourrez consulter à ces liens ?
Voulez-vous participer à l’organisation de la mise en pratique du bien vivre ensemble à Caylus – Saint Antonin Noble Val voire au-delà avec des villages de la ruralité ?   voir à ce lien

Voir toutes les publications vues pour « pays midi quercy rené chaboy » à ce lien

Je vous remercie pour votre attention qui nous permettrait de construire une communication entre territoires pour favoriser une économie sociale en accord avec la nature
Bien cordialement René Chaboy

Informations complémentaires
La théorie de l'effondrement appelle à réfléchir à une gouvernance  dépassant les privilèges
Le problème est systémique
La politique imposée du haut de la pyramide centralisée de l’État par son chef Monsieur Macron  suivie par des partis politiques et des décideurs  est-elle légitime avec l’aménagement du territoire face au dérèglement climatique et la sécurité alimentaire ?

L’autoritarisme imposé par une pensée unique ne permet pas la multiplicité des libertés d’entreprendre  en réfléchissant et en agissant pour créer des services de biens communs face à la croissance de la pauvreté et de la misère sociale .

Ne faut-il pas élaborer un droit à l'expérimentation pour que la société civile ( les Ongs  puissent construire ) des services publics pour les populations face au dérèglement climatique et à l'insécurité alimentaire ? Ce droit permettrait de se défendre face aux puissances financières gouvernant l'Etat français.
« Pour construire ensemble les métamorphoses sociales et sociétales post-crise, pensons et imaginons le monde autrement dès maintenant, allons au-delà du concept de Citoyen, devenons des Civiliens! » Via ce site  vous pourrez participer en direct à des rencontres en vidéo conférence entre civiliens, qui n'hésiteront pas à sortir complètement des sentiers battus, tout en restant les pieds sur terre !  
14 rencontres civiliennes sont accessibles à ce lien


Les décideurs , du haut de la pyramide centralisent les intérêts financiers de l'économie malade , refusant d'entendre le bon sens de la vie sur Terre ..... voir sur Facebook               voir sur linkedin
Pensez-vous que le Conseil constitutionnel en France puisse prendre des décisions en toute impartialité ? Conseil constitutionnel: Une partie des rémunérations des sages serait illégale voir à la suite à ce lien

Loi lanceurs d’alerte : 29 organisations lancent un appel à la société civile

« Chaque semaine, de nouveaux scandales apparaissent : Panama papers, Mediator, Dépakine, contaminations et fraudes alimentaires, pollutions environnementales... Derrière ces affaires, il y a des hommes et des femmes qui décident de prendre la parole pour dénoncer des dysfonctionnements et éviter des crises sanitaires, écologiques ou économiques. Malheureusement, suite à cet engagement fort, leur quotidien devient intolérable et leurs alertes sont encore trop rarement entendues. Cette situation doit cesser. Suite

- ET SI LA SOCIÉTÉ CIVILE ÉTAIT L'ÉTAT ?
Animation : Michel Laloux et Stéphane Lejoly
Une nouvelle ère s’ouvre. Le besoin d’une santé de la vie sociale et économique est devenu criant. Le modèle de l’État central et unitaire a fait son temps. Celui des Civiliens est venu. Ensemble, posons les bases d’une démocratie de la société civile.
suite à ce lien

- LES SERVICES PUBLICS DE LA SOCIÉTÉ CIVILE
Animation : Michel Laloux et Stéphane Lejoly
L’économie est malade de la financiarisation. Comment la rendre saine ? Comment transformer la monnaie, le capital, le travail et le foncier-immobilier pour que l’économie soit au service de l’humain et de la terre ?
Dans quelles limites ?
Avec quelles règles et garde-fous ?
Nous aborderons ces questions en détaillant le mode de fonctionnement de ce que nous appellerons les services publics de la société civile, une forme d'organisation ni centralisée, ni décentralisée.
Au préalable, nous aurons besoin de préciser la différence entre l'économie marchande et l'économie non-marchande et comment l'une ne peut aller sans l'autre. Ceci nous permettra de saisir l'impasse dans laquelle nous conduit l'économie libérale lorsqu'elle veut diminuer les services publics pour rétablir l'équilibre économique ; et l'illusion qui consiste à vouloir défendre les services publics par l'action d'un gouvernement exécutif central.  suite à ce lien

- UN SERVICE CIVILIEN ORGANISÉ EN RÉSEAUX COOPÉRATIFS ASSURERA UNE NOURRITURE DE QUALITÉ POUR LES PLUS DÉMUNIS avec le Droit à l’expérimentation pour un bien commun : la terre nourricière


Voir les informations sur Facebook


Ensemble construisons une filière alimentaire en réseaux coopératifs alliant sécurité et qualité. L’alimentation gérée par la société civile pour éviter la famine et la malnutrition
Le droit à l'expérimentation pour un bien commun : la terre nourricière.
Acheter des terres locales pour répondre à la demande croissante de l’alimentation de qualité locale
Cette filière alimentaire de qualité
- respectera la nourriture et l’être humain
- évitera le gaspillage
- permettra une sécurité alimentaire en évitant la consommation de produits à risque de maladies ( voire d’épidémies) issus des poubelles

 

Le Droit à l’expérimentation pour un bien commun : la terre nourricière   voir la suite

 La méthanisation concerne la société civile :  les solutions

La solution pour la méthanisation proposée par Hubert SERRET Créateur fondateur sherpa du projet NegaCarbOne

Vous pouvez contacter Hubert SERRET sur Facebook et Linkedin
Le projet NegaCarbOne que j'essaie de porter est bloqué au niveau des prêts financiers parce que nous sommes dans une vision inverse : celle de produire le méthane dans chaque ferme et de le valoriser in situ, sans prétraitement, en cogénération ce qui permet de quadrupler l'efficacité énergétique par la valorisation de l'énergie thermique résiduelle post combustion. Notre solution passe par un générateur à combustion externe et une phase très couteuse de réingénierie et surtout de prototypage, sauf à trouver un Mc Gyver génial, expérimenté et surtout passionné en mesure de le réaliser. Notre solution apportant l'autonomie localement aux petites exploitations agricoles, notre projet est par conséquent, bloqué par le pouvoir politique qui préfère que les agriculteurs soient dépendant des multinationales, toujours au nom du fameux "intérêt général", celle de la caste énarchique du jacobinisme centralisateur français, plutôt que libres et indépendants, au quel cas, ils échappent à la puissance des multinationales, alliées dans une même volonté de prédation et de dépendance, avec le pouvoir politique centralisateur parisien jacobin qui se trouverait dépossédé de facto d'un pouvoir de dépendance sur les agriculteurs.
Hubert Serret
Pourquoi ce projet n'est pas soutenu c'est très simple :
1 - monopole du transport du gaz = GRDF état = commissions sur tous les volumes entrant transportés et distribués = censé être l'intérêt général mais selon la vision "énarchique" c'est à dire les intérêts particuliers d'une caste centralisatrice jacobine.
2 - ENGIE : dans laquelle l'état à 20 à 30 % du capital donc des dividendes = intérêt général toujours selon la vision "énarchique" de la même caste.
3 - au nom de "l'intérêt général"(....), pour protéger son monopole, ENGIE fait passer un texte de loi qui oblige à demander une autorisation préalable AVANT de réaliser une installation de valorisation de méthane ; le préfet se trouve contraint par la loi à prioriser l'injection dans le réseau propriété de l'état et transformation épuration compression distribution commercialisation assurée par ENGIE détenue entre 20 et 30% par l'état.
4 - objectif : apporter une aide déguisée aux agriculteurs sous fond de greenwashing de décarbonation en collectant les déchets fermentescibles via des norias de camions et de tracteurs sur les routes de France, tous émetteurs massifs de CO2, pour amener ces déchets sur d'énormes méthaniseurs judicieusement positionnés à proximité d'une conduite de gaz propriété de l'état et qui sera traité-distribué-commercialisé par ENGIE dont l'état détient 20 à 30% du capital. Sans parler du risque que ces norias de camions et de tracteurs mis sur les routes, font peser sur la sécurité routière et l'encombrement des petites voies de campagne en particulier.
5 - il faudra ensuite encore des norias de camions et de tracteurs pour épandre les fortes concentrations de digestats (résidus des méthaniseurs, nouvelles émissions massives de CO2 et pollution des nappes phréatiques en prime du fait de l'énorme concentration de digestats mais toujours au nom du fameux "intérêt général" d'une caste jacobine centralisatrice parisienne.
6 - habiller le tout d'une apparence "scientifique" via un rapport de Negawatt financé par ENGIE au travers de l'ADEME et invention franco-français greenwashing du fameux méthane "biogénique" qui n'émettrait pas de CO2 lors de sa combustion, c'est magique et bien pratique, sauf que c'est FAUX : l'ADEME dans sa propre base carbone mentionne 250 gCO2/kWh de CH4 page 45 cliquer ici

Yoann Lang Fondateur "La Forêt de Higas" sur Linkedin "Promue pour valoriser les déchets organiques et lutter contre le réchauffement climatique" A la "Forêt de Higas" nous récupérons tous les déchets verts possibles. Particuliers, élagueurs, paysagistes, communes, et même les déchetteries environnantes nous ramènent leurs déchets que nous compostons, et utilisons pour nos cultures, afin de proposer localement des produits sains et naturels, cultivés en partie sur les "déchets" de la population, la boucle est bouclée. Réduction des transports, des coûts pour toutes les parties, circularité et relocalisation des productions. Ne serait-ce pas une meilleur idée de traitement que de grosses usines discutables en bien des points ? 🤔 voir le site ici

Pour plus d’informations
Vandana Shiva : « La démocratie représentative a été piratée par les milliardaires »
Par Fabien Benoit
Rencontre avec l’activiste indienne Vandana Shiva, dont le dernier livre est une charge contre les multinationales, et particulièrement les géants du numérique   voir la suite

 

Faire sécession : une politique de nous même

Si la gouvernance d’en haut au service de l’agonie du  néolibéralisme veut faire taire les Humains qui s’opposent à  la suivre aveuglément dans son économie malade ; elle ne peut faire taire la nature qui réagit par des catastrophes . Selon un rapport de l’ Organisation météorologique mondiale rattachée à  l’ONU  ces catastrophes se sont  multilipliées par cinq en 50 ans ..
Ces catastrophes détruisent les infrastructures , le néolibéralisme répare mais jusqu’à quand ? Si rien n’est fait pour réduire les causes découlant d’une économie malade  , les réparations risquent de ne plus suivrent pour toutes et tous ,  les catastrophes continuant à se multiplier toujours plus vite  engendreront  toujours plus de dégâts . Des services basés sur les besoins existentiels en accord avec l’économie de la nature sont à construire en réseaux coopératifs pour éviter que les désastres prolongent les catastrophes.

Faire sécession
Une politique de nous-mêmes

Éric Sadin


Un phénomène impensable est en train de se produire : l’agonie du néolibéralisme. Tous ses excès – et la crise du covid – ont confirmé sa nocivité. Nous nous mettons alors à espérer un monde plus juste qui adviendrait grâce au retour de l’État providence, à la prise en compte des questions écologiques et à une participation citoyenne accrue. Un véritable paysage de carte postale en somme.
Or, rien de cela ne nous sauvera du pouvoir des algorithmes, de la marchandisation intégrale de nos vies par l’industrie numérique, ou du déploiement d’une télésocialité contribuant à notre « isolement collectif ». Autant de processus qui engendrent de nouveaux types d’assujettissement, ignorés de la « grande politique ».
Si nous savons que l’enjeu majeur de notre époque est d’être partie prenante des affaires qui nous regardent, cette aspiration prend des formes trop éparses, ne répondant à aucun projet commun défini en ce sens. Suite ce lien

Climat : le nombre de catastrophes a été multiplié par cinq en 50 ans
Par SudOuest.fr avec AFP
Le nombre de catastrophes d’origine météorologique, climatique ou hydrologique a bondi au cours des 50 dernières années et elles ont causé plus de dégâts mais moins de décès, selon un rapport de l’ONU suite

Climat : « Les compagnies d’assurance tirent la sonnette d’alarme et commencent à refuser certains risques »
Par Jean-Michel Bezat
Depuis 1970, le nombre de catastrophes d’origine météorologique a été multiplié par cinq, selon l’OMM, rattachée à l’ONU. Les assureurs préviennent que les dommages liés aux sécheresses, aux incendies ou à la montée des eaux seront de plus en plus difficiles à couvrir, explique Jean-Michel Bezat, journaliste économique au « Monde. suite à ce lien

Le G7 ne parvient pas à prendre des mesures ambitieuses face à l’urgence climatique
Les sept grandes puissances se sont engagées à arrêter de financer les nouvelles centrales à charbon à l’étranger d’ici à la fin 2021, mais ont échoué à fixer une date de sortie du charbon et à s’attaquer aux autres énergies fossiles. Suite à ce lien

Et si nous réfléchissions ensemble à des fonctionnements sociétaux pour donner à  l’argent un esprit fraternel en  accord avec l’économie de la Nature ?  
Voir les rencontres civiliennes à ce lien

Jeunes agriculteurs Attention danger!
Philippe est dans l'pré
Les personnes qui ont l'argent n'investissent pas dans l'élevage. voir la vidéo à ce lien
 
 Une solution pour construire l’avenir d'une agriculture dans une convergence démocratique : une filière impliquant producteurs -consommateurs et distributeurs en réseaux coopératifs favorisant la Souveraineté-autonomie-résilience alimentaire suite à ce lien

Quelle éducation pour la paix sociale ?   Le problème est systémique,  l'Etat centralisé pyramidal n'est plus adapté à gérer les problèmes écologiques et économiques auxquels s'ajoute le développement de la fracture sociale .
Face à cette fracture qui proliférera dans nos villages , nous devrons " associations pour la Paix sociale " demander un droit à l'expérimentation pour développer des projets ne séparant pas social,  écologie et économie
voir Marseille : le maire dénonce la circulation des armes, Gérald Darmanin parle de "faillite" collective  suite à ce lien
Les titres
- Le problème est systémique,  l'Etat centralisé pyramidal n'est plus adapté à gérer les problèmes écologiques et économiques auxquels s'ajoute le développement de la fracture sociale les violences et les escroqueries .
Les solutions portées par le réseau coopératif de la société civile de Pays Midi-Quercy ne manquent pas.
- La paix sociale s’appuie sur le développement durable que les Etats et notamment l’État français n’ont  pas su déléguer aux Organisations Non Gouvernementales ( la société civile), pour gérer cette fracture,  un droit à l’expérimentation devient indispensable.
- Les associations sont un rempart contre l’autoritarisme
Par Jean-Louis Laville sur Reporterre

- De la démocratie en France- En finir avec les faux-semblants
Par  Loïc Blondiaux
- Et le civisme dans l’éducation ? Les vols de ruche se multiplient partout en France
Selon le président du Syndicat national d’apiculture, Frank Alétru, les vols de ruches auraient augmenté de 50 % cette année : de janvier à mai 2021, 617 cambriolages ont été recensés par l’organisation interprofessionnelle, contre 400 sur la même période l’année dernière. voir la suite à ce lien
-  A propos des "réformes" de l'école. Les droits de l'enfant existent - Construire une Europe pour et avec les enfants
- Et si la société civile était l’État ?
Par Michel Laloux et Stéphane Lejoly
-  Société civile et pouvoir exécutif
Par Michel Laloux
- Climat, épidémies : l’Histoire de Rome serait-elle l’ébauche de notre actualité ?
par Charles-Elie Guzman

La paix sociale s’appuie sur le développement durable que les Etats et notamment l’État français n’ont  pas su déléguer aux Organisations Non Gouvernementales ( la société civile), pour gérer cette fracture,  un droit à l’expérimentation devient indispensable.
Définition officielle internationale en 1987
Le rapport Brundtland en 1987 définit le développement durable comme « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs."
Le développement durable doit être à la fois économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement tolérable. Le social doit être un objectif, l’économie un moyen et l’environnement une condition. Voir plus

Les associations sont un rempart contre l’autoritarisme
Par Jean-Louis Laville sur Reporterre
André Gorz, pionnier de l’écologie politique, était persuadé que l’association permettait d’inventer la démocratie sociale. Pour l’auteur de cette tribune, les initiatives citoyennes d’aujourd’hui pourraient revivifier la démocratie, si l’État les reconnaissait comme de vrais partenaires.
Jean-Louis Laville est professeur au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) et auteur de nombreux ouvrages sur la question de l’association, parmi lesquels le Dictionnaire de l’autre économie (Folio-Gallimard), L’Économie sociale et solidaire (Points-Seuil) et Réinventer l’association (Desclée de Brouwer). Il vient de publier, en coopération avec des responsables associatifs et d’autres chercheurs, la synthèse d’une recherche participative intitulée Quel monde associatif demain ? Mouvements citoyens et démocratie (Érès).
Avec la démocratie, un autre rapport social devient possible, plaidait le philosophe et homme politique Pierre Leroux en 1840, soit un demi-siècle après la Révolution française. Fini la charité, qui suppose une inégalité entre celui qui donne et celui qui reçoit, et vive la solidarité démocratique, permise par l’association volontaire de citoyens libres et égaux. Partant de la liberté d’accès de toutes et tous à l’espace public, des penseurs, des femmes et hommes politiques ont dès lors défendu l’association comme possibilité de prolonger la démocratie politique dans la vie sociale.
C’est en s’associant pour produire en commun, assurer les secours mutuels et faire ensemble des revendications politiques que l’on pourra avancer dans cette démocratie dont on vient juste d’ouvrir le chemin. Dans toute l’Europe, cette approche dite associationniste veut traiter ensemble, dans un même mouvement, les questions économique, sociale et politique. Suite

De la démocratie en France-En finir avec les faux-semblants
Par  Loïc Blondiaux
La démocratie française révèle aujourd’hui des insuffisances structurelles, qui la rendent inapte à affronter les crises écologique, sociale et sanitaire. Face à cette décomposition, il est urgent de prendre à bras-le-corps la question démocratique et de redonner sa place à la délibération.
La démocratie française va mal. Les citoyens et les savants convergent pour une fois dans leur jugement. Enquête après enquête, le sentiment de n’être pas bien gouverné s’exprime chez les premiers1 quand les seconds, livre après livre, diagnostiquent la fin prochaine d’un régime moribond. Le constat n’est nullement spécifique à la France, et les analyses les plus pertinentes de la déconsolidation des systèmes démocratiques nous viennent des États-Unis, où l’assaut contre le Capitole le 6 janvier 2021 a marqué un point de rupture2.
Les symptômes et les multiples pathologies des démocraties en Occident sont clairement identifiés : dévitalisation des institutions classiques de la représentation politique (assemblées parlementaires, médias, syndicats, partis politiques) ; défiance croissante vis-à-vis des élites sociales, intellectuelles et politiques ; désintermédiation des relations sociales et affaiblissement des corps intermédiaires ; brutalisation du débat public sur les réseaux sociaux comme dans les espaces de discussion les plus traditionnels ; poids de plus en plus important des groupes d’intérêts et des acteurs du monde économique et financier dans la décision politique ; montée en puissance des exécutifs ; régression des libertés publiques… Sans faire ici l’inventaire exhaustif des causes de ce malaise démocratique, il suffit juste de rappeler que ce processus de déconsolidation affecte toutes les démocraties occidentales. Suite
Avec une gouvernance fondée uniquement sur la loi du plus fort dans  une économie malade , il faut s’attendre à ce que la plupart des gens deviennent fous Les solutions portées par le réseau coopératif de la société civile de Pays Midi-Quercy ne manquent pas,  vous pouvez les consulter à ce lien

A propos des "réformes" de l'école. Les droits de l'enfant existent suite à ce lien

Construire une Europe pour et avec les enfants Suite à ce lien

Et si la société civile était l’État ?
Par Michel Laloux et Stéphane Lejoly
Une nouvelle ère s’ouvre. Le besoin d’une santé de la vie sociale et économique est devenu criant. Le modèle de l’État central et unitaire a fait son temps. Celui des Civiliens est venu. Ensemble, posons les bases d’une démocratie de la société civile.
L’économie est malade de la financiarisation. Comment la rendre saine ? Comment transformer la monnaie, le capital, le travail et le foncier-immobilier pour que l’économie soit au service de l’humain et de la terre ?
Lors de cette première rencontre, nous commençons par l’État. Que devrait être son rôle dans une société équilibrée et viable ?
L’idée que nous avons de l’État est-elle encore compatible avec une véritable démocratie, celle de la société civile ? Comment changer vraiment de modèle, sans faire une République de plus, une sixième, puis une septième, puis… ?
Et si la société civile était l’État ?
Et si la représentativité était le plus grand leurre ?
Nous sentons tous qu’un grand changement est nécessaire. Sommes-nous prêts à lâcher nos propres schémas, ceux avec lesquels nous avons grandi et que l’école et la société ont peut-être imprimés en nous, sans que nous nous en rendions compte ?
Osons traiter ces questions sur le fond. Faisons du neuf, avec du neuf.
Comment ? C’est ce dont nous parlerons lors de cette première rencontre civilienne animée par Stéphane Lejoly et Michel Laloux. Voir la rencontre en replay à ce lien
Société civile et pouvoir exécutif
Par Michel Laloux
Il n’est pas simple de parvenir à l’idée que, dans la plupart des domaines, l’État ne devrait pas avoir de pouvoir exécutif. Il y a deux obstacles principaux à cette approche nouvelle du rôle de l’État. Le premier est celui de notre représentation de l’État comme étant une structure à part de la société civile, comme s’il l’encadrait. La plupart d’entre nous se tourne, plus ou moins consciemment, vers cette structure en attendant d’elle qu’elle résolve les problèmes de la société. Ce faisant, nous légitimons la structure qui nous emprisonne. Nous devenons les gardiens de la prison dont nous sommes également les prisonniers. Selon l’expérience que je fais dans les séminaires sur ces questions, il faut du temps pour se défaire de cette représentation de l’État. Pour y parvenir, il est nécessaire d’acquérir une vision très mobile de la façon dont les choses pourraient se passer dans chaque domaine où les acteurs de la société civile feraient eux-mêmes, là où ils ont leurs compétences, alors que la structure étatique prétend faire pour eux. Il est rare que l’on se pose la question : qu’est-ce que l’État ? Pourtant, cette interrogation devient de plus en plus incontournable, tant la forme que l’on croit être la démocratie est devenue inadaptée à notre monde. Mais revisiter l’État peut conduire à des réflexions très générales, voire philosophiques dans lesquelles on risque de s’enliser. Il me semble plus simple de commencer à revisiter des notions de base comme celle des trois pouvoirs : exécutif, législatif et judiciaire. Si l’on se tourne d’abord vers le pouvoir exécutif, l’on arrivera directement au cœur du problème. S’interroger sur le pouvoir exécutif peut, là encore, nous entraîner dans d’interminables considérations. Il est plus direct de traiter chaque domaine pour lui-même : la santé, l’éducation, la recherche, la culture, les transports, les communications, l’économie, la monnaie, etc. Bref, chaque domaine qui est pris en charge par un ministère. Il suffit de commencer par l’un d’entre eux en se demandant : 1) en quoi la structure étatique a les compétences pour s’en occuper ? D’où viendrait ces compétences ? 2) Ne peut-on pas imaginer des formes et des règles grâce auxquelles les acteurs du domaine concerné le prendraient en charge ? Lorsque l’on fait méthodiquement cet exercice, on s’aperçoit que la réponse au premier point est que l’État exécutif n’a pas les compétences et qu’il est même, bien souvent, un obstacle à l’évolution saine du domaine concerné. Pour ce qui concerne le deuxième point, la plupart du temps, les formes existent déjà à l’état de germe dans la société ou bien ont été expérimentées, même sous une forme partielle. Il suffit de les conduire un peu plus loin. C’est l’exercice que j’ai fait dans le détail, pour l’éducation et pour la monnaie. On trouvera des propositions concrètes dans mes livres Démocratie Évolutive (avec le modèle des Écoles de la Société Civile) et Dépolluer l’économie (avec les trois modèles d’institutions monétaires dont il sera question dans les Rencontres Civiliennes 11, 12 et 13). (Il y a aussi beaucoup d’éléments sur le site democratieevolutive.fr qui, pour des raisons techniques, est actuellement hors ligne, mais devrait être accessible prochainement). On en arrive ainsi à une toute nouvelle conception de la notion de services publics gérés par des groupes d’acteurs de la société civile qui sont en lien avec le domaine pour lequel ils ont des compétences, par exemple la santé, l’éducation, etc. Comment peut-on parler de démocratie si l’on n’accorde pas la confiance aux citoyens pour qu’ils gèrent eux-mêmes les institutions de service public ? Je parle de confiance et non de confiance aveugle. C’est-à-dire que cette confiance doit être éclairée par un certain nombre de règles et de moyens d’interventions en cas de dérives. Ceci nous conduit à examiner la nature de l’État. S’il n’a pas de rôle exécutif et si l’on veut une justice indépendante, on voit alors que son cœur d’activité est le domaine juridique, c’est-à-dire les lois, les règles de ce nouveau jeu qui consiste à confier aux acteurs de terrains le rôle de la mise en œuvre et le respect de ces règles. Une comparaison simple permettra de comprendre en quoi consiste la confusion des rôles. Dans un sport comme le football, peut-on imaginer un arbitre qui serait en même temps joueur dans l’une des équipes ? Ou bien que l’arbitre indique aux joueurs ce qu’ils doivent faire sur le terrain, se substituant à l’entraineur ? L’arbitre agit dans un cadre qui est prédéterminé par les règles du jeu, en l’occurrence le football. Ces règles sont convenues au sein d’une instance, l’IFAB (International Football Association Board). Dans notre comparaison, cette instance a un rôle analogue à celui d’un parlement. Il écrit la loi. Les joueurs sont comme les citoyens. Ils doivent se conformer aux règles. L’arbitre, tout comme la police au niveau de l’État, n’intervient que s’il y a faute. Le reste du temps, il laisse le jeu se dérouler. Cette clarté dans les rôles de chacun est évidente dans un sport comme le football. Pourquoi ne l’est-elle pas lorsqu’il s’agit de l’État ? Les formes héritées du passé sont-elles à ce point prégnantes que nous ne parvenons pas à nous en libérer ? Peut-être que nous n’y pensons même pas ? Maintenant, nous pouvons aussi regarder qu’une comparaison a toujours des limites et qu’il ne faut pas la pousser trop loin. Elle donne simplement des indications permettant de faciliter la compréhension. En particulier, elle ne dit rien de la façon dont les lois sont décidées et du rôle que les civiliens pourraient y jouer. Comme dans les autres thèmes que nous avons abordés, lors des Rencontres Civiliennes, nous pouvons imaginer de nouvelles formes qui pourraient conduire à une transformation profonde du parlement central. Il reste que, dans l’optique de ce que nous venons de dire, le rôle de l’État apparait comme étant essentiellement législatif. C’est déjà, en soi, une véritable révolution de nos conceptions et il nous faudra en tirer les conséquences. Le deuxième obstacle à la compréhension du problème du pouvoir exécutif réside dans l’image que l’on se fait de la société civile. Elle ne peut être considérée comme un bloc ou même comme un tout. Cette image devrait être extrêmement différenciée et mobile. En réalité, il n’y a pas une société civile, mais cent, mille, un million, … Chaque fois que des Civiliens se regroupent pour former une association, c’est un nouveau champ de la société civile qui commence à être labouré. De même lorsque des parents créent une école pour leurs enfants ou font l’école à la maison ou encore défendent l’école gérée par l’État, parce que c’est leur choix. Les médecins et les soignants qui décident librement de l’orientation de leurs choix médicaux, les artistes qui créent librement, les journaux qui affirment leur indépendance, les personnes qui choisissent d’autres modes de production et de distribution des marchandises et des services, etc. Tout ce qui jaillit au sein de ces champs d’activités est un des multiples visages de la société civile. Elle n’a pas un mode de pensée unique. Elle est multiple et doit apprendre, en permanence, à vivre cette multiplicité. Pour ce faire, elle a besoin de règles qu’elle doit pouvoir se donner elle-même, en fonction des besoins et de la conscience qu’elle a des nécessités du bien vivre ensemble. À ce propos, la détermination des règles pourrait être faite de façon normative et uniforme ou de façon à favoriser la créativité sociétale. Nous en avons un bon exemple dans les systèmes de qualité utilisés dans les entreprises et les institutions. En Suisse, au début des années 90, il a été décidé que toutes les institutions du domaine socio-éducatif devaient se doter d’un système de qualité. Mais il n’a pas été ordonné d’appliquer un même modèle pour toutes les institutions. Chacune avait le choix, soit parmi les systèmes existant, soit en en créant un nouveau. Cet exemple illustre une façon différente de concevoir la loi. Au fond, qu’est-ce qui est préférable : une loi qui impose un mode de conduite uniformisant ou une loi qui donne aux acteurs l’obligation de mettre en place eux-mêmes la solution, celle-ci pouvant être variée. Je crois que l’on peut dire que la première forme de loi appartient à la citoyenneté passée ; la seconde est celle d’une nouvelle civilianité. Elle favorise l’engagement, la responsabilisation, le dynamisme et la créativité sociétale. Elle permet des formes sociales en constante évolution au lieu des « uni-formes » dont on ne sait plus comment les transformer et s’en libérer. Ce qui est dit ici ne signifie pas que le fait de passer à cette nouvelle civilianité résoudrait tous les problèmes. Certaines difficultés émanant du passé trouveraient leur résolution. Mais de nouveaux obstacles surgiraient bientôt. Toute la question est de savoir si les nouvelles formes sociales mises en place par les civiliens se révèleront suffisamment évolutives et résilientes pour surmonter les obstacles et les crises. Si l’on comprend ce qui est esquissé ici, on pourra se faire une image suffisamment nuancée de ce qui a été dit, lors de la Rencontre Civilienne 9, à propos de la gouvernance des entreprises qui seraient considérées comme des « communs » d’un genre nouveau. En tant que telles, ces entreprises se devraient de rendre lisible le fait qu’elles agissent en tant que « commun », c’est-à-dire qu’elles sont au service de la vie sociale et que si elles favorisent également des aspirations personnelles, elles ne le font pas au détriment de l’ensemble, par exemple par la pollution, la détérioration de la santé des consommateurs, des conditions de travail génératrices de mal-être, etc. Le fait que cette lisibilité soit rendue obligatoire par la loi, ne dit pas comment l’entreprise devrait procéder pour parvenir à un degré de lisibilité objective. Le recours à une aide extérieure pour objectiver les choses peut faciliter. C’est d’ailleurs l’esprit qui est à la base de tous les systèmes de qualités. On peut le résumer ainsi : l’entreprise dit ce qu’elle fait et montre qu’elle fait ce qu’elle dit[i]. Habituellement, lors de l’assemblée générale d’une entreprise ou d’une association, la direction présente le rapport moral, celui d’activité et le rapport financier. Dans de nombreux cas, la loi impose que ce dernier rapport soit fait par des commissaires au comptes et qu’un cabinet d’expert-comptable certifie ces comptes. Il s’agit donc bien d’un audit externe de la comptabilité. Si l’entreprise n’appartient plus à des actionnaires et est donc devenue un « commun », l’expertise comptable peut aller voir dans les chiffres si des questions se posent à ce niveau. Les chiffres d’une comptabilité disent beaucoup plus qu’on ne le pense. Un nombre croissant d’entreprises d’une certaine taille ont un comité d’éthique qui intervient dans le rapport moral et celui d’activité. La plupart du temps, ses membres ne sont pas dans l’opérationnel, de façon qu’ils apportent un regard extérieur. On peut imaginer que cette forme évolue jusqu’au point où des cercles de concertations entre les différents partenaires de l’entreprise - fournisseurs, distributeurs et consommateurs – joueraient un tel rôle[ii]. On voit donc que la société civile peut être conçue de la façon la plus variée qui soit et non comme un monolithe. Ce qui nous manque le plus, c’est une imagination sociale qui saisit autrement les situations et les aborde, non pas à partir de nos schémas anciens ou de nos peurs actuelles, mais d’une façon mobile et nuancée. Au fond cette faculté de l’imagination sociale est probablement ce qui manque le plus et qui devrait être cultivée en tout premier lieu. C’est par elle que l’on trouvera les ressources nécessaires à la transformation de l’exécutif étatisé et à « l’empowerment » de la société civile. [i] Qu’on ne se méprenne pas : je ne suis pas en train de dire que les systèmes de qualités sont parfaits. Mal employés, et c’est souvent le cas, ils deviennent des processus lourds, tatillons et même factices. Ici comme ailleurs, on touche du doigt que le mieux est souvent l’ennemi du bien. [ii] Là encore, dans de nombreux cas, le comité d’éthique et la charte d’éthique sont utilisés comme des outils destinés à magnifier, avant tout, l’image de l’entreprise. À notre époque, tout peut être détourné. Mais il est intéressant que de telles instances soient apparues dans le domaine de l’entreprise. La plupart des outils nécessaires à un organisme social en bonne santé sont déjà là, parfois sous une forme caricaturale. Si l’on a en soi une image de ce que serait un organisme social sain, on trouve la forme archétypale qui correspond à l’outil véritable. Partagez vos idées Inscrivez-vous pour laisser un commentaire à ce lien

Climat, épidémies : l’Histoire de Rome serait-elle l’ébauche de notre actualité ?
15 août 2021
par Charles-Elie Guzman
L’Empire romain a duré cinq siècles et a profondément marqué notre culture et notre civilisation. Longtemps on a cru que cet Empire, apparemment indestructible, avait subi une longue dégradation, une décadence, jusqu’à sa fin. Or les historiens de la Rome antique ne sont plus de vieux sages, latinistes distingués parcheminés sur leurs grimoires. Non, aujourd’hui ils font appel à toutes les ressources des sciences et technologies actuelles pour comprendre ce qui s’est passé il y a près de 2000 ans. Et leurs découvertes sont stupéfiantes. L’Empire romain a littéralement disparu, la population de Rome passant d’un million à 20 000 habitants, à cause des modifications climatiques et des épidémies s’engouffrant dans les Voies romaines construites à travers le monde connu. Les légionnaires romains n’ont été terrassés ni par Astérix, ni par les Barbares ou les Germains. Ils l’ont été par les germes voyageant dans la mondialisation romaine et par les soubresauts du climat. Une histoire à méditer pour comprendre ce qui pourrait nous arriver demain. Suite à ce lien

Voulons-nous construire la paix ?

Réfléchir ensemble à la situation sociale et économique qui a conduit les guerres en Europe .

Guerre en Ukraine : à quoi ressemble une neutralité façon Autriche ou Suède, réclamée par le Kremlin ?
La neutralité, un statut qui existe dans le droit international   Lire la suite

Après le « plus jamais ça » de la guerre 1914-18 ;  la deuxième guerre mondiale  de 1939-45 , 20 années plus tard  a suivi . Les  victoires alliées de ces deux guerres ont été très lourdes en sacrifice humain et en destructions matérielles.
Aujourd’hui la guerre de la Russie en Ukraine est aux portes de l’Europe. Beaucoup de personnes ne croyaient pas que cela puisse de nouveau arriver.
 Depuis la fin de la seconde guerre mondiale , nous constatons que la concurrence dans l’économie mondialisée n’apporte pas  la paix ni dans la vie politique , ni dans la vie sociale . Le dérèglement climatique et l’écologie sont bien sûr des conséquences de cette concurrence et de la lutte pour le pouvoir politique et  économique matérialiste sans que la collaboration et la solidarité économique puissent s’organiser réellement à partir de la société civile.
En 1917 , alors que l’Europe dite « civilisée » avait basculée dans une barbarie inédite , le comte Otto von Lerchenfeld écrivait dans son journal «  j’étais aujourd’hui pendant trois heures à la Motzstrasse chez le Dr Steiner . J’ai devant moi la solution de tout . Il est clair qu’il ne peut y en avoir d’autre . Ce qu’il m’a montré , c’est comme «  l’oeuf de Colomb » . Il a appelé ça la Tri-articulation de l’organisme social.
99 ans après la naissance de la  Tri-articulation sociale ( Dreigliederung ) est sorti le premier film consacré aux idées sociales de Rudolf Steiner .
Aujourd’hui , saurons-nous enfin tirer partie de ce qui constitue , pour l’humanité en péril, une authentique «  troisième voie » ?
L'Économique, le Juridique, le Spirituel, selon Rudolf Steiner voir la vidéo

Plaidoyer pour Rudolf Steiner  
Éditions Triades et Éditions Anthroposophiques Romandes
Présentation de l'éditeur Ce livre s’adresse à celles et ceux qui cherchent à mieux comprendre quelle place l’anthropo­sophie tient, ou pourrait tenir, dans un monde en quête de sens et de transformation profonde. Un siècle après sa mort, Rudolf Steiner reste sans doute l’une des figures les plus admirées et les plus décriées de notre époque. Au-delà de la ­violence de ces passions, il est souvent difficile de garder les idées claires. Il est cependant incontestable qu’aujourd’hui, partout dans le monde, des écoles, des hôpitaux, des fermes, des écoles d’art, travaillent selon une conception holistique de l’homme et du monde fondée sur l’approche « scientifique médi­tative » qu’il a impulsée. Voir la suite

Tri-articulation de l'organisme social
Informer sur la tri-articulation de l'organisme social et la tripartition sociale sur Pinterest à ce lien

Et si la société civile était l’État ?
Animation : Michel Laloux et Stéphane Lejoly
Une nouvelle ère s’ouvre. Le besoin d’une santé de la vie sociale et économique est devenu criant. Le modèle de l’État central et unitaire a fait son temps. Celui des Civiliens est venu. Ensemble, posons les bases d’une démocratie de la société civile.
L’économie est malade de la financiarisation. Comment la rendre saine ? Comment transformer la monnaie, le capital, le travail et le foncier-immobilier pour que l’économie soit au service de l’humain et de la terre ?
Lors de cette première rencontre, nous commençons par l’État. Que devrait être son rôle dans une société équilibrée et viable ?
L’idée que nous avons de l’État est-elle encore compatible avec une véritable démocratie, celle de la société civile ? Comment changer vraiment de modèle, sans faire une République de plus, une sixième, puis une septième, puis… ? Et si la société civile était l’État ?
Et si la représentativité était le plus grand leurre ? Voir la rencontre en replay à ce lien
L'économie selon Rudolf Steiner  sur le blog de l’Esprit du temps à ce lien

L’Économique, le Juridique, le Spirituel -- L'argent – sur le blog de l’Esprit du temps à ce lien

De Valérie Bugault à Rudolf Steiner : l’argent n’est pas une marchandise
Contrairement à ce que l’on pense, la monnaie n’est rien d’autre qu’un droit à consommer lié par des lois et règles que l’État a la charge de faire respecter.
Le flux permanent de l’argent, qu’il soit pour payer ses dettes ou recevoir des créances, rend impossible de retrouver concrètement la valeur économique dont la monnaie est le miroir. Cette impossibilité amène alors à un formidable oubli qui nous fait penser que ce qui reste sur notre compte est une « chose ». Et c’est sur ce terreau qu’apparait un certain nombre de pratiques rendant malade notre société. sur Youtube à ce lien
De Valérie Bugault à Rudolf Steiner : l’argent n’est pas une marchandise sur Linkedin à ce lien

La tri-organisation sociale : la 3 ème voie entre l'Est et l'Ouest pour éviter les guerres

Liberté-Egalité-Fraternité -Tri-organisation sociale .

- La devise "Liberté, Égalité, Fraternité" sur la façade de l'ENA                                  
Si nous voulons la paix , il est indispensable de réfléchir par nous-mêmes et d’élever notre conscience au-delà des intérêts des gouvernances de l’Est ou de l’Ouest.
Les 3 idéaux : Liberté -Egalité - Fraternité ont-ils atteint la perfection ?  Peut-on vaincre l'immobilisme avec un système de pouvoir figé  dans la  dualité ? L'être humain est-il  seulement un corps et une âme ou est-il tripartite avec un esprit , un corps et une âme ?

La vision  binaire comme seule vision de la société réduit l'humanité à ne pas développer  l'esprit . Les gouvernants gouvernés par les puissances financières ne sont plus que des mécaniques de lutte pour le pouvoir . Ce pouvoir pense à faire travailler l’argent sans  penser à une voie qui éviterait à la société de devenir malade en faisant émerger les guerres. 

Après la démission de Tugan Sokhiev de ses postes de directeur musical à Moscou et à Toulouse, le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc s’est expliqué dans la presse à propos de son courrier adressé au chef d’orchestre lui demandant de s’exprimer sur la guerre en Ukraine.
Dans sa réponse à Jean-Luc Moudenc, le chef ossète se présente en musicien: «(...) Nous, musiciens, sommes là pour rappeler à travers la musique de Chostakovitch les horreurs de la guerre. Nous les musiciens sommes les ambassadeurs de la paix».
Suite à ce lien
Partagé dans le tableau La musique classique adoucit les mœurs à ce lien

Voici la conséquence d’une vision de l’État centralisé ( jacobin bonapartiste )  qui mêle la guerre , la culture et l’économie .voir La tri-organisation sociale : la 3 ème voie entre l'Est et l'Ouest pour éviter les guerres

Ensemble réfléchissons avec des outils coopératifs Ensemble nous pouvons construire un réseau pour répondre aux besoins réels . voir à ce lien

Gerald Häfner sur la guerre en Ukraine | Goetheanum télévision
Le chef de la Section des sciences sociales du Goetheanum a exprimé son choc et son dégoût face à l’invasion russe de l’Ukraine. Si les conflits armés qui ont commencé ne sont pas arrêtés immédiatement, des millions de personnes en souffriront. La guerre ne devrait plus être un moyen de faire de la politique en Europe.
Häfner voit dans le bras de fer entre l’Est et l’Ouest sur l’Ukraine le résultat d’une paralysie collective de la conscience : « Les crises sont normales. Mais il n’est pas normal de réagir aux crises d’aujourd’hui avec les réponses d’hier. Les tensions à l’intérieur et autour de l’Ukraine ne doivent pas être une occasion de retomber dans la pensée de bloc dépassée des décennies passées, mais une occasion de surmonter enfin précisément cela.
Les développements des dernières semaines ont conduit à un rétrécissement désespéré de la pensée et de la politique. Les vieux réflexes et les rivalités déterminaient les actions. Häfner : « La logique traditionnelle du noir ou du blanc, de l’OTAN ou de la Russie, est fausse. L’Ukraine a besoin d’une voie qui mène non pas à un passé guerrier, mais à un avenir pacifique : neutralité active, autodétermination et coopération collégiale au-delà des blocs militaires. Cela pourrait également résoudre les tensions au sein de l’Ukraine: autonomie culturelle des différentes langues et groupes ethniques, égalité des droits et coopération pacifique au-delà des frontières.
 Aucun pays n’a une aussi longue et bonne expérience de la neutralité et de l’autodétermination politique de ses citoyens que la Suisse. Par conséquent, le gouvernement suisse devrait immédiatement s’adresser à toutes les parties combattantes en tant que médiateur honnête et neutre avec une proposition appropriée. Même si le succès ne peut être prédit avec certitude, une telle initiative serait une lueur d’espoir en ces temps sombres.

Guerre et humanité fraternelle
Ces forces d'humanité fraternelle extérieuriseront la construction d'un pôle d'équilibre entre l'Est et l'Ouest dans un monde chaotique. L'économie réelle trouvera sa place pour répondre aux besoins essentiels ( nourriture , logement ) et réseaux coopératifs d'informations et de mises en relation . voir la suite
 

Le premier film consacré aux idées sociales de Rudolf Steiner.



La tri-articulation sociale Un siècle après la naissance de la Tri-articulation sociale (Dreigliederung), sort le premier film de cette ampleur consacré aux idées sociales de Rudolf Steiner. Aujourd’hui, saurons-nous enfin tirer partie de ce qui constitue, pour l’humanité en péril, une authentique “troisième voie” ? Voir la vidéo

Dans ses conférences Guilhem Cayzac  fait le lien spirituel entre ce que l’humanité vit aujourd’hui et la prophétie de Rudolf Steiner faite en 1917.


[Partie 1] La prophétie de Rudolf Steiner est-elle réalisée ? Quels sont les effets spirituels ? voir la vidéo 
[Partie 2] La prophétie de Rudolf Steiner est-elle réalisée ? Questions-réponses (voir description)
- Informer sur la tri-articulation de l'organisme social et la tripartition sociale à ce lien

Dépolluer l'économie

L’État prend de plus en plus de décisions dans nos vies tout en laissant un vide dans l’écologie . Déjà très malade par l’habitude de faire travailler l’argent ; avec l’helicopter monney l’économie entretient toujours plus sa maladie par l’endettement des Etats . La santé de l’économie et de la vie sociale dépend, en grande partie, du fait que nous parvenions à trouver la vraie nature de l’argent qui n’est pas une chose, pas une marchandise .

 L’économie malade résultant d’un manque d’équilibre avec la nature développe la fracture sociale et n’assure pas les services liés aux populations .
Face à ce constat , la société civile par le développement d’Organisations Non Gouvernementales propose un projet pour combler ce vide avec la nature humaine.
Voici venu le Temps des civiliens
Comment Dépolluer l'économie ?  lire la suite
 

« Pour construire ensemble les métamorphoses sociales et sociétales post-crise, pensons et imaginons le monde autrement dès maintenant, allons au-delà du concept de Citoyen, devenons des Civiliens! »
Via ce site https://www.civiliens.net/ ,  vous pourrez participer en direct à des rencontres en vidéo conférence entre civiliens, qui n'hésiteront pas à sortir complètement des sentiers battus, tout en restant les pieds sur terre !
Les archives vidéo de nos rencontres civiliennes sont disponibles à ce lien  

Osons l'Etat civilien  sur Pinterest à ce lien

La Convivéncia, un art de vivre ensemble…

Si nous voulons que tous les Français se sentent citoyens, il faut faire des actions dans ce sens là , leur montrer que les valeurs de la République c’est la Fraternité, c’est l’Egalité ... voir la vidéo
Le Pays d'OC peut retrouver sa liberté d'avant les croisades et l'inquisition contre le Sud de la France . suite cliquer ici

 

 

Avec Or Périph
💥🎥 Le média positif de la banlieue parisienne

Moi c'est Clément, je suis né à Paris il y a 28 ans, j'ai vécu en France, en Italie et en Belgique. Après mes études je suis rentré dans le 95 et j'ai créé Or Périph. Dans cette vidéo j'explique les raisons pour lesquelles j'ai lancé ce projet.
N'hésitez pas à m'écrire si vous souhaitez participer à Or Périph par la vidéo, la photo, l'écriture, le podcast, le dessin, le graphisme, les réseaux sociaux etc...
Merci à toutes celles et ceux qui soutiennent voir la vidéo

René Chaboy Bravo pour l’initiative  Or Périph  Moi c’est René , j’ai 75 ans , mon métier était cuisinier , j’ai fondé un magasin bio avec plats cuisinés à Toulouse en 1984 ; je suis toujours actif dans les actions non gouvernementales sur les questions alimentaires , logements . Depuis 1993 , nous avons lancé une association pour rapprocher les producteurs , les consommateurs et les intermédiaires ( distributeurs, transformateurs, médias)  sur l’alimentation de qualité pour la population .
Cette association a pour objectif de rapprocher les villes et les campagnes .
Vous pouvez joindre notre réseau coopératif par ce groupe Caylus , 82 et civiliens de la Planète cliquer ici
 

J’habite Caylus dans le Tarn&Garonne : un village qui persiste à ajouter les points de restauration les uns aux autres sans prendre en considération que nous manquons de production de maraîchage et agricole de qualité que nous allons chercher à 20 ou 30 kms dans les villes voisines. L’avenir humain du village se construira avec les jardins d’autonomie alimentaire coopératifs et les fermes en biodiversité pour se donner les moyens de cuisiner en priorité par soi-même. Dans une économie de plus en plus malade parce que toujours gouvernée par les puissances financières industrielles détruisant environnement et lien social les pauvres augmenteront et devront réfléchir à des formes d'économie réelle.

Des exemples à suivre à Caylus

Elfe, épicerie locale favorisant l’entraide


Pour une épicerie solidaire itinérante en pays de Brocéliande.
 par Association l'ELFE (Mauron)
Plus de lien solidaire en Broceliande...!

Face à la disparition des commerces et services de proximité dans nos campagnes, face à la précarité grandissante et l'isolement social et/ou géographique, l'épicerie solidaire veut recréer du lien entre les habitants de plusieurs communes du secteur de Brocéliande.
Nos objectifs

    • proposer une alimentation saine, en vrac, en privilégiant les petits producteurs et artisans en circuit court, et des produits hygiène/entretien (en vrac aussi !).

    • permettre aux personnes ayant peu de ressources de faire leurs courses aux prix les plus adaptés (jusqu'à 50 % du prix de vente), en y utilisant des aides accordées par des partenaires sociaux. Nous souhaitons changer l'image de l'aide alimentaire en permettant aux personnes bénéficiaires de CHOISIR ce qu'elles mettront dans leur panier, de manière anonyme (par le biais d'une carte de fidelité) et donc sans stigmatisation : Ce petit commerce associatif sera ouvert à tous (client solidaire/client aidé), permettant ainsi à chacun de se rencontrer, discuter, partager, sans distinction sociale.

    • mettre à disposition du materiel informatique (ordinateur portable, scanner et accès internet) pour favoriser l'accès aux droits pour tou-te-s et lutter contre la précarité numérique. Un accompagnement administratif sera proposé aux personnes qui le souhaitent. L'idée est de favoriser l'information dans un lieu d'écoute convivial, de faire remonter les besoins individuels et collectifs des personnes isolées en campagne et d'organiser des ateliers en fonction des demandes. Suite à ce lien

- Plantons ensemble un verger-maraîcher Le Jardin des BienFées grandit avec ses Lutins et avec un verger-maraîcher agroécologique à Vignols (Corrèze). par le Jardin des BienFées (Vignols ) à ce lien
Dans le hameau de Lancharre nous avons enraciné le premier verger d’amélanchier de France. suite à ce lien
- Un autre exemple proche de Caylus est porté par Patrick Jimena voir à ce lien

- Avec la micro-ferme “Graines de Saint Germain”, nous souhaitons produire des légumes, des oeufs, des plantes aromatiques et médicinales et des conserves en Agriculture Biologique ; proposer de l’accueil pédagogique et de la formation ; mettre en place un magasin de producteurs ; tout ça sur un même lieu à Erdeven, dans le pays d’Auray (Morbihan - Bretagne). voir la suite
 

Des partenaires au projet  Alimentation&Habitat pour un développement du lien social dans l'aménagement civilien du territoire

Autonomie alimentaire 2020  à ce lien

Terre de Liens - Et si vous faisiez pousser des fermes  à ce lien

Zeste par la Nef - crowdfunding éthique
Zeste est administrée par la société Nef Gestion, immatriculée ORIAS N°18003623. Son siège social est basé au 8 avenue des Canuts à Vaulx-en-Velin (69120). Pour nous joindre, nous contacter au 04.72.69.64.48. Zeste est une plateforme de financement participatif régulée par les autorités françaises. voir plus

Habitat coopératif et jardins solidaires pour une transition   à ce lien

Confédération paysanne —
La Confédération paysanne est un syndicat agricole français. Elle est membre fondateur de la coordination paysanne européenne, de Via Campesina et d' Attac.  voir plus

Confédération Paysanne Ardèche
 QUELLE AGRICULTURE POUR UN MONDE DURABLE ? Ecouter l'émission
 
 David Loupiac, castanéiculteur à #Désaignes en #Ardèche et ancien porte-parole de la Confédération Paysanne Ardèche
répond à RCF Ardèche

 

Un autre système économique est possible ! Il existe une alternative au néo-libéralisme et à la dictature des marchés financiers.



Pour Michel Laloux* , l'économie devient malade dès l'instant où l'un de ces quatre facteurs - monnaie, capital, immobilier, travail - est considéré comme une marchandise (voir ci-dessous "la croix de l'économie"). Il s'agit donc de trouver des formes qui permettent de les sortir de ce domaine. Alors l'économie cessera d'être spéculative. Elle s'affranchira de tout ce qui est devenu virtuel en elle.
Une économie entièrement basée sur le réel est possible. Il s'agit d'un économie qui ne prend en compte que ce qui provient d'une activité issue des capacités humaines, c'est-à-dire une valeur ajoutée qui procède de l'être humain et non d'un mécanisme spéculatif.
En explorant la croix de l'économie, nous découvrons les conditions d'une Économie à Valeurs Ajoutées Humaines, c'est-à-dire une économie conçue et organisée pour l'être humain. Car il est une chose qui est indispensable d'affirmer et de fonder: l'asservissement de l'humain aux mécanismes du capitalisme sauvage n'est nullement une fatalité. Il cessera de l'être à partir du moment où nous développerons une citoyenneté active, capable d'intervenir dans la sphère de l'économie et de la dompter.
Dans "Dépolluer l'économie - Tome 1: Révolution dans la monnaie", l'auteur propose un nouveau fonctionnement monétaire permettant à l'économie d'un pays de se passer du virtuel et de la spéculation, tout en libérant celui-ci de la dictature des marchés financiers. Il nous fait découvrir une triple circulation monétaire — pour la consommation quotidienne, le financement des entreprises et la contribution à l'économie non-marchande — au service de l'économie réelle. Trois formes d'institutions monétaires conçues comme un nouveau type de service public géré par la société civile organisent cette triple circulation, sans recours aux investisseurs et à une banque centrale. Une nouvelle approche des taux de changes, basée sur l'économie réelle, permettra de résoudre la question des dumpings salariaux, sociaux et environnementaux. Ce nouveau concept donnera les bases d'un Système Monétaire International pour l'Économie Réelle dont nous découvrirons les mécanismes et les institutions.

* Michel Laloux est économiste et philosophe de l'éducation voir la page Bienvenue sur la page Facebook "Dépolluer l'économie".
Vous retrouverez La démocratie évolutive de Michel Laloux sur Esprit du Temps cliquer ici
Et dans les rencontres sur le site du Temps des civiliens cliquer ici

Par ces temps où l'arbitraire prévaut et où la loi est faite et défaite par l'exécutif, il peut être intéressant de connaître nos droits.
"Car si nous ne connaissons pas nos droits, nous n'en avons pas. Et si nous ne les utilisons pas, nous n'en aurons plus".
Le site aimonsnosdroits.com est très bien fait : vous y trouverez Le Manuel de survie en dictature cliquer ici

Liberté-Inégalité-Fraternité ou Liberté -Egalité-Fraternité ? Les incontournables pour construire la société éthique et équitable évolutive  voir la suite

L'alimentation et la faim dans le monde nous concernent

La faim dans le monde s'aggrave, sombres perspectives en 2020
Climat : des moissons compromises
Des récoltes faibles depuis dix ans
La faim pourrait tuer 12 000 personnes par jour à la fin de l'année

De l’importance de la coopération et de la solidarité dans le combat contre la faim et la pauvreté*

par Daniel Gustafson**

Les deux dernières années ont démontré avec éclat combien les problèmes les plus sérieux auxquels le monde fait face sont indéniablement de nature planétaire et, en même temps, posent des questions graves sur notre capacité d’affronter l’ampleur des problèmes et des injustices affligeant l’humanité.
L’extraordinaire rapidité de la mondialisation et des communications a amplifié considérablement la circulation des personnes, des biens et des connaissances autour de la Terre. Elle a créé une explosion de nouvelles interdépendances entre les individus, les nations et les régions, qui a évoluée plus vite que notre faculté de bien comprendre la totalité de leurs implications sur nos vies et nos sociétés, ou d’atténuer leurs conséquences négatives. suite à ce lien

La faim dans le monde s'aggrave, sombres perspectives en 2020 

Près d'un humain sur neuf souffrait de sous-alimentation chronique en 2019, une proportion appelée à s'aggraver en raison de la pandémie de Covid-19, selon un rapport annuel de l'ONU publié lundi. voir plus

Climat : des moissons compromises - Des récoltes faibles depuis dix ans

Commencer les moissons en avance n’est pas forcément une bonne nouvelle. Ici, dans le Tarn, près d’Albi, les moissonneuses sont entrées dans ce champ d’orge avec deux semaines d’avance. La récolte s’annonce décevante. Principale raison : les conditions météo. “Il y a eu beaucoup trop de pluie en hiver, et de suite, on est passés à un printemps chaud et sec qui a stressé la plante au niveau hydrique. Cela engendre de mauvais rendements et une mauvaise qualité du grain”, explique Marc Puech, agriculteur-éleveur.  suite
La faim pourrait tuer 12 000 personnes par jour à la fin de l'année

Selon un rapport d'Oxfam publié ce jeudi, le ralentissement de l'économie et le confinement généralisé risquent de pousser 121 millions de personnes vers un niveau critique de faim.  suite

Pour faire face au développement de la faim
Décidons de notre alimentation ! Pour une véritable démocratie alimentaire
Formons un Conseil Citoyen de Souveraineté Autonomie Résilience Alimentaire et aménagement civilien du territoire

Informations complémentaires
Sécheresse : "une approche globale au cycle de l’eau est absolument nécessaire"
Par  Adèle Magnard
En plus des mesures à court-terme, comme l’interdiction d’alimenter les méthaniseurs avec des fourrages, la Confédération paysanne prône une approche globale du cycle de l’eau, afin de faire face aux pénuries de plus en plus fréquentes.
« Pour les années qui viennent, une approche globale au cycle de l’eau est absolument nécessaire », alerte la Confédération paysanne dans un communiqué le 17 juin. L'été 2019 a vu près de 90 départements en alerte pénurie d’eau ou soumis à restrictions de prélèvements. « Cette année, les prévisions ne sont guère meilleures, note le syndicat. Des territoires ont subi des graves inondations, tandis que d’autres n’ont pas été touchés par des précipitations suffisantes ». voir plus

Crise alimentaire mondiale : « Nous sommes au bord d’une pandémie de faim »
par Sophie Chapelle
Un risque de pénurie alimentaire n’est, pour le moment, pas à craindre. Mais des dizaines de millions de personnes sont menacées de ne plus pouvoir manger à leur faim, du fait de l’absence de revenus, de protections sociales et de rupture des chaînes d’approvisionnement. Voir plus

- Le départ en retraite d’un agriculteur sur trois d’ici trois ans va bouleverser le paysage agricole
Par Laurence Girard , Mathilde Costil , Sylvie Gittus et Floriane Picard
Décryptages La France en cartes. Près d’un tiers des agriculteurs ont plus de 55 ans. La question de la transmission se fait donc de plus en plus pressante à l’heure où le nombre des installations ne cesse de baisser. Suite

- Face au défi des départs en retraite massifs d’agriculteurs dans les 10 ans
Sur Agrimutuel
La moitié des exploitants agricoles va partir à la retraite dans les 10 prochaines années, un problème de société autant qu'un défi pour la mutualité sociale agricole (MSA) qui prend en charge les pensions de retraite, a souligné mercredi la MSA. Suite 

Avec les départs en retraite massifs de nos paysans , les suicides, les consommateurs devront bientôt pour se nourrir , compter sur leurs productions personnelles si ils ne veulent pas  attendre  le bateau de légumes et de fruits venu du bout du monde !!! Des coopérations entre fermes locales de tailles raisonnables et jardins coopératifs civiliens sont à mettre en activité.

FRANCE. Sans nouvelle loi foncière, la destruction des espaces naturels se poursuivra à un rythme insoutenable
20 janvier 2020
Source: AGTER (link is external), Le Monde
Tribune publiée par lemonde.fr le 3 décembre 2019
Rédigé par : Collectif
Date de rédaction : 3 décembre 2019
Organismes : Association pour contribuer à l’Amélioration de la Gouvernance de la Terre, de l’Eau et des Ressources naturelles (AGTER) (link is external), Alternatives agroécologiques solidaires (SOL) (link is external), Comité Catholique Contre la Faim - Terre Solidaire (CCFD-Terre Solidaire) (link is external), France Nature Environnement (FNE) (link is external), Confédération Paysanne (link is external), Terre de Liens (link is external), Fédération des conservatoires d’espaces naturels (link is external), Notre affaire à tous (link is external), Solidarités nouvelles pour le logement (SNL) (link is external), Fédération nationale d’agriculture biologique (FNAB) (link is external)
Type de document : Communiqué
Documents sources
Le Monde. 3 décembre 2019 lire ici

TRIBUNE publiée par le journal LE MONDE le 3 décembre 2019
Collectif
Tant pour maintenir et créer des emplois que pour préserver la terre nourricière, il est urgent de refonder la politique foncière, affirme dans une tribune au « Monde » un collectif de dix organisations actives dans l’agriculture, le logement et le développement.
De nombreuses voix s’élèvent avec raison contre les incendies en forêt amazonienne dont les causes sont structurelles et mondiales. Au même titre qu’il faut en combattre les effets là-bas, il convient de s’insurger contre la destruction des terres agricoles en France et en Europe. L’abandon du projet Europa City est à cet égard un bon signal, mais ne suffit pas : chaque jour l’agriculture française perd plus de 100 hectares et vingt emplois.
Parce que les espaces agricoles et forestiers sont à la fois limités et indispensables à la vie de chacune et chacun d’entre nous, ils constituent un patrimoine commun. A l’échelle mondiale, ce patrimoine procure 97 % des calories alimentaires consommées par l’humanité. Or, la production alimentaire sera de plus en plus affectée par le dérèglement climatique et l’érosion de la biodiversité.
Il est donc impératif de préserver ces espaces, tant en quantité qu’en qualité. Ce sont eux qui captent et séquestrent le carbone et qui accueillent la biodiversité. La préservation de ces espaces dès maintenant est la condition d’un système alimentaire mondial sain et durable pour demain.
La France et l’accaparement foncier
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Il faut « instaurer une démocratie alimentaire qui vise une meilleure santé économique, sociale, environnementale et humaine »   voir l'article
Oui mais avec les
consommateurs responsables et un aménagement civilien des territoires .

Le Ceta ou la trahison démocratique permanente
 Des associations et syndicats écologistes
Il y a un an, le Ceta était ratifié, soulevant l’ire, entre autres, des écologistes. « Le chapitre sur l’environnement n’a qu’une fonction ornementale, puisqu’il n’est pas contraignant », soulignent les auteurs de cette tribune, qui rappellent que lutter contre le dérèglement climatique, c’est sortir des accords de libre-échange climaticides.
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 Le besoin essentiel des peuples : celui de se nourrir et la difficile réforme de la loi illégitime sur les semences de l'Europe

Avec le développement de la sous alimentation , de la famine et des mauvaises récoltes réunir la souveraineté-l’autonomie et la résilience alimentaire permettra la liberté des semences en respectant le Développement Durable tel que le rapport Bruntland l’a défini en 1987.

Le développement durable selon le rapport Bruntland de 1987 s’appuie sur les 3 piliers : social-écologie et économie
Devant l’ONU ce rapport a fait date pour sa définition « un mode de développement qui répond aux besoins du présent en incluant les plus pauvres tout en permettant aux générations futures de répondre aux leurs Le projet politique que sous -tend cette définition repose sur une solidarité intra et inter générationnelle , c’est l’ambition sociale aujourd’hui qui est essentielle , la préservation de l’environnement est une contrainte pour demain. »
En attaquant la France pour la vente des semences l’Europe ne respecte pas le Développement Durable voir Difficile réforme de la loi illégitime sur les semences ! À ce lien

Nous vous invitons dans notre réseau souveraineté autonomie et résilience alimentaire pour faire face au développement de la sous alimentation et des famines. Un modèle de résilience alimentaire pour l’aménagement de nos territoires Voici l'initiative de Colomiers dans la Haute Garonne que nous soutenons avec notre réseau civilien alliant souveraineté autonomie résilience alimentaire et social-écologie - économie Voir le communiqué de Patrick Jimena suite sur le site

Université Francophone de l'Autonomie Alimentaire En route pour l’autonomie alimentaire
Le blog de François Rouillay   voir le site


Habitat coopératif et jardins solidaires pour une transition  sur Facebook

Engageons nous  dans la coconstruction d’une production coopérative alimentaire civilienne  de qualité pour nous évader  du piège des grands lobbies de l’agro-industrie  et participons  à l’organisation sociale face au développement de la misère en participant à créer des entreprises durables et des distributions coopératives .
Si nous n’entreprenons pas ce travail en cours , nous risquons de continuer à subir le pouvoir qui ne change jamais ; se nourrissant perpétuellement de notre incapacité à nous organiser civiliennement . Depuis les années 1960 ( traité de Rome :1957 lire Le Scandale de l'agriculture folle de André Pochon ) , l’organisation sociale au début d’une écolonomie alimentaire n’a pas rempli son travail.
Rester sous le pouvoir des lobbies de l’agrochimie business nous a fait subir le coût de l'exportation à coups de subventions pour acheter matériels démesurés , pesticides et autres poisons ainsi que la constitution d' institutions que nous payons toutes et tous avec nos impôts ( TVA)  mais sans se faire entendre par les propositions faites d'en bas.
Les parallèles qui ne se rencontrent jamais.....développent des doublons voir des triplons sans pour autant résoudre les réels problèmes puisque les initiatives  créant le lien social au début d'un autre mouvement sont ignorées.
Contrairement au système millefeuilles ajoutant des outils numériques qui coûtent en énergie et à tous les contribuables en créant des oppositions permanentes sans résoudre les réels problèmes sociaux ; voici un réseau civilien qui évitera les voies qui ne se rencontrent jamais en Construisant avec le numérique des entreprises coopératives capables de s'adapter à la demande conciliant : social -écologie et économie
 Ces 4 campagnes prenant en comte des organisations transversales civiliennes ( ONG) feront pression d'en bas auprès d'élus ( comme Joël Labbé ) pour ne pas continuer à subir les millefeuilles administratifs d'en haut Europe, Etat, Region, Départements, Communauté de Communes, Territoires, Communes ....et la cumulation d’outils numériques qui les prolongent.

Le développement durable selon le rapport Bruntland de 1987 s’appuie sur les 3 piliers : social-écologie et économie faisons le respecter

Un exemple d’oppositions permanentes  dans le système qui évite d’avancer dans une coconstruction bénéfique pour les 3 piliers : social-écologie-économie .

Un pas en avant , un pas en arrière , rien ne bouge tout reste figé sur le surplace pour la liberté des semences et la démocratie alimentaire et cela depuis une quarantaine d’années   Explications

Organisons une communication et mise en relation d’en  bas vers les étoiles
Alimentation de qualité et habitat: des besoins prioritaires cliquer ici

L’après confinement ...la souveraineté , l'autonomie , la résilience alimentaire dans un territoire sont devenues indispensables cliquer ici
Conseil Citoyen de Souveraineté Autonomie Résilience Alimentaire et aménagement civilien du territoire
Voir plus 
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Vivre les mureaux ont organisé un Débat résilience alimentaire et sécurité nationale avec Stéphane Linou que vous retrouverez à ce lien
Résilience alimentaire et sécurité nationale: oser le sujet & le lier à celui de l'effondrement  voir ici

L’intelligence artificielle au service de l’avenir de l’être humain ou de la Grande illusion ?

L'humain au risque de l'intelligence artificielle
Pierre Rabhi, Juliette Duquesne

Pour un monde moins numérique et plus éthique
Le nouveau « Carnet d’alerte » de Pierre Rabhi et Juliette Duquesne s’attaque aux dérives de l’intelligence artificielle, à la protection de nos données numériques et à l’influence néfaste des Gafam.
Que cache au juste l’intelligence artificielle ? Pierre Rabhi nous rappelle qu’elle est avant tout fille de l’aptitude humaine. Les ordinateurs, en effet, n’ont ni intelligence propre ni états d’âme : ils sont surtout d’incroyables machines à calculer, à « avaler » des données. Les entreprises rivalisent d’imagination pour les récolter afin de cibler... voir la présentation du livre en vidéo 

Éric Sadin : l'asservissement par l'Intelligence Artificielle ? [EN DIRECT]
Thinkerview voir la vidéo à ce lien
 

Image de Patrick Mignard Sur Facebook

Quelle est cette cyberattaque qui menace des milliers d'entreprises ?
Sur FUTURA TECH par Louis Neveu journaliste
[EN VIDÉO] Qu'est-ce qu'une cyberattaque ?  Avec le développement d'Internet et du cloud, les cyberattaques sont de plus en plus fréquentes et perfectionnées. Qui est derrière ces attaques et dans quel but ? Quelles sont les méthodes des hackers et quelles sont les cyberattaques les plus massives ?
Une attaque par ransomware massive pourrait impacter des milliers d'entreprises à travers le monde. Une enseigne de supermarché suédoise a carrément été contrainte de fermer ses 800 boutiques ce week-end. L'attaque pourrait provenir d'un groupe de hackers russes déjà connu. Suite

Enquête Projet Pegasus : en France comme au Maroc, des journalistes ciblés par Rabat
Elodie Gueguen, Cellule investigation de Radio France - franceinfo
Le logiciel espion Pegasus a été utilisé par le Maroc pour surveiller des journalistes et des patrons de presse au Maroc mais aussi en France, selon l'enquête menée par le Forbidden Stories et ses partenaires, dont Radio France. Suite

Un logiciel de piratage des smartphones
Le logiciel espion dont il est question porte le nom très évocateur de Pegasus. Il n’est commercialisé qu’auprès d’États ou d’agences gouvernementales, avec l’aval du gouvernement israélien, par une société baptisée NSO, qui emploie 750 salariés à Herzliya, dans la banlieue de Tel Aviv, mais aussi à Chypre et en Bulgarie. Officiellement, il a pour but d’aider les services de renseignement à lutter contre la criminalité. Voir Le "projet Pegasus" : un logiciel espion utilisé par des États pour cibler des politiques, des journalistes, des avocats... y compris des Français Voir l’article complet à ce lien 

Autres titres
- L'humain au risque de l'intelligence artificielle
Pierre Rabhi, Juliette Duquesne
- La technologie s’est accaparée nos rêves et nos fantasmes
Dans ce monologue, l’humoriste Blanche Gardin nous explique l’arnaque de la technologie.
Est-ce possible de comprendre la population avec….la machine ? .
- Macron ou le mystère du verbe - Ses discours décryptés par la machine
- Reprendre la terre aux machines
Manifeste pour une autonomie paysanne et alimentaire

- Transition énergétique : le mirage de la croissance verte
par Pascal Hérard
- Pour « sauver la planète », l’industrie tue les campagnes
Par Blandine Vue
- Véhicules électriques : 700 000 tonnes de batteries à recycler en 2035
Par Vincent Verier

La technologie s’est accaparée nos rêves et nos fantasmes
Publié le 5 juillet 2019 par Karl  14 750 visites
Dans ce monologue, l’humoriste Blanche Gardin nous explique l’arnaque de la technologie. On nous met entre les mains des outils technologiques de plus en plus sophistiqués, de plus en plus complexes. En les utilisant, on peut avoir l’impression d’être nous aussi toujours plus sophistiqués et intelligents. Alors qu’en fait, non, pas du tout. On est juste en train de devenir des merdes en tant qu’humains…
voir la vidéo


Est-ce possible de comprendre la population avec….la machine ? .

Macron ou le mystère du verbe - Ses discours décryptés par la machine
Damon Mayaffre (Auteur) Paru le 6 mai 2021 Essai (broché)
Résumé sur la FNAC
Le mystère Emmanuel Macron est un mystère du verbe. Tel est le postulat de cet ouvrage qui pose que la compréhension du macronisme passe par l'étude critique des prises de position de Macron. Mille discours, prononcés par les présidents de la Ve?République, ont été rassemblés en corpus pour servir de comparaison avec les cent plus grands discours de Macron. L'intelligence artificielle a appris les tournures et les mots favoris, les propositions originales ou celles au contraire reprises, les emprunts sinon les plagiats, les références revendiquées ou les idéologies cachées, les tics et les éléments de langage… De quels discours Macron s'inspire-t-il le plus?? Quelles sont ses thématiques favorites?? Est-il jacobin ou girondin?? Classique ou moderne?? De droite ou de gauche?? Saint-simonien ou ricœurien?? Que nous révèle de lui cette analyse des mots qu'il a faits siens?? L'ouvrage se termine avec la projection algorithmique du discours du président Macron lorsqu'il annoncera sa candidature à sa réélection. Épatant?!
Damon Mayaffre, linguiste, historien et spécialiste d'analyse du discours assistée par ordinateur, est chercheur au CNRS et chargé d'enseignement à l'Université Côte d'Azur.  voir plus

Reprendre la terre aux machines
Manifeste pour une autonomie paysanne et alimentaire
Le temps joue pour nous : les AMAP, la Bio et les circuits courts apparaissent de plus en plus dans les médias comme dans nos assiettes – l'opinion publique est acquise. Si chaque consommateur change ses habitudes alimentaires, si chaque agriculteur se forme à l'agroécologie, alors la victoire est au bout de la fourchette.
Ceci est une fable.
L'appel à la responsabilité individuelle, ce " chacun doit faire sa part ", ne mettra jamais fin au modèle alimentaire industriel et marchand. Celui-ci est une machine à produire Voir la suite

L’atelier paysan sur Facebook
 

 

 Transition énergétique : le mirage de la croissance verte

par Pascal Hérard

Un "Green new deal" européen pour lutter contre le changement climatique et relancer l'économie est souhaité par de nombreux acteurs politiques, économiques ou défenseurs du climat. Pourtant, la théorie de la "croissance verte" et ses programmes de production d'énergie par les renouvelables sont contredits par de nombreuses recherches. Voir plus

 

Pour « sauver la planète », l’industrie tue les campagnes

Par Blandine Vue

Au nom de la transition énergétique, les campagnes s’industrialisent à grande vitesse. L’autrice de cette tribune raconte la métamorphose de la Haute-Marne, autrefois vivante et dorénavant colonisée par les éoliennes, les méthaniseurs, les plantations de biomasse…

Blandine Vue est docteur ès lettres, diplômée en sciences du langage, lauréate de la Fondation Nicolas Hulot pour ses activités pédagogiques de terrain. Elle a publié plusieurs ouvrages, dont Histoire des paysages (éd. Errance) et un roman, La Colonie (éditions L’Harmattan). Voir plus

Véhicules électriques : 700 000 tonnes de batteries à recycler en 2035
Par Vincent Verier
L’Europe doit créer sa filière de recyclage de batteries pour limiter l’impact de la voiture électrique sur l’environnement. En France, la SNAM, une entreprise spécialisée dans le recyclage, s’y prépare.

Des métaux toxiques, rares, précieux, du plastique mais aussi des acides. Dans les batteries de voitures électriques , on retrouve un peu de tout. Des matières valorisables, mais aussi dangereuses et polluantes . À la SNAM, une des deux principales entreprises françaises spécialisées dans le recyclage des batteries, on se prépare à vivre de grands bouleversements dans les prochaines années. Voir plus

Acheter un Véhicule Electrique , un geste vert ou pas ?

Écrit par Pierre Langlois

Les véhicules routiers auront beau tous être électriques, ça ne règle pas les problèmes de la congestion routière et des stationnements en ville. Par ailleurs, d’ici 2050 l’humanité devrait avoir atteint une population de 10 milliards d’individus sur la Terre, qui voudrons, eux aussi, une part de notre confort pour les transports, entre autres. On se doit donc de changer de paradigme, car on va épuiser toutes les ressources de la planète, très rapidement, et la polluer à outrance encore plus, pour extraire les ressources nécessaires et fabriquer les nombreux véhicules nécessaires, si on continue « business as usual ».

« Chaque jour de la semaine dans les grandes villes du Québec, les Québécois transportent avec eux 25 millions de sièges vides dans leur voiture, dont 14,8 millions dans la région de Montréal. Les problèmes de congestion qui s’aggravent sont causés par une vérité qui dérange : nos routes sont saturées de voitures vides. »

Que dire de plus, sinon qu’il est plus que temps d’agir pour remédier à ce gaspillage de ressources, au lieu de multiplier les routes et autoroutes. La solution est simple, le covoiturage  lire l’article complet

Les véhicules autonomes dans la neige et le brouillard

Écrit par Pierre Langlois  lire l'article


 

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AADUR- info  à tous ses adhérents et sympathisants, L’association Albi Ville Comestible nous a informé qu’elle avait contribué à créer une Société Foncière Locale dénommée «...