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Les ZADs ( Zone A Défendre) doivent se prolonger par des ZACs ( Zone A Construire ) pour que la consommation responsable de qualité puisse devenir un facteur Démocratique et Economique créateur d'emplois.

La consommation responsable de qualité :  facteur de créativité économique d'emplois

La recherche d'un emploi ou la mise en place d'un projet professionnel sont des besoins sociaux actuels face à la calamité du chômage.

Ces besoins sociaux nécessitent une orientation vers une activité économique capable de rémunérer de nouveaux postes .

Les dangers alimentaires régulièrement révélés contribuent à ouvrir les consciences : une consommation de  qualité est un besoin vital autant individuel que collectif .

La filière alimentaire de qualité de « la terre à l 'assiette» demande à s'organiser en inversant les tendances imposées par la gouvernance industrielle et spéculative basées sur des décennies d'exploitation. Cette inversion prend en compte les réflexions pratiques tendant à éviter le gaspillage .

En réfléchissant à éviter gaspillages et déchets d'emballages, des réorganisations de filières locales impliquant producteurs-consommateurs et distributeurs éviteront  de subir les méthodes des multinationales alimentaires  alliant  surproduction ,  surconservation, longs transports et tout le matériel assurant le fonctionnement d'intérêts contraires au développement coopératif

La consommation évolue, elle se responsabilise vers la recherche de la qualité voir ici 

Le gapillage alimentaire, la gestion des déchets : des solutions prioritaires à chercher coopérativement  entre producteurs, consommateurs et distributeurs pour commencer dès à présent à réduire la consommation d'énergie . Devenir autonome en énergie pour les décennies à venir pourrait s'avérer illusoire si nous oublions la mise en pratique de la première responsabilité coopérative économique de la tri-organisation sociale alimentaire   voir la suite 

L'exploitation découle d'un pouvoir à produire un asservissement au développement d'un matériel toujours plus envahissant , toujours plus sophistiqué nourrissant de moins en moins les populations , mais ayant aussi ce triste privilège de les empoisonner de plus en plus.

La filière alimentaire de qualité devient un besoin de la société civile de consommation capable de rémunérer des postes , puisqu'ils innovent de nouvelles manières de travailler ; reste qu'un financement responsable coopératif devient indispensable . Ce financement coopératif responsable développera le pouvoir de reconnaître l'utilité du travail de mise en relation et d'informations comme prioritaires à l'inter-activité dynamique des entreprises , des associations , des organisations et des projets engagés dans les biens communs de qualité et des méthodes innovantes à construire plutôt que continuer à les combattre parce qu'elles ne détruisent pas.

Lien en Pays d'OC depuis plus de 20 années informe et crée des espaces de rencontres pour s'organiser entre producteurs, consommateurs et distributeurs en mettant gratuitement à disposition du public un site et en développant des réseaux sur le net.

Par cette méthode pratique Lien en Pays d'OC s'est donné les moyens de prolonger les informations et de faire connaître régulièrement des réseaux comme : Terre de liens, Semences paysannes, Mouvement en Biodynamie, Nature&Progrès , CCFD terre solidaires, La faim expliquée ? ...et bien d'autres, autant d'associations responsables issues de la société civile constituant les piliers d'un fondement d'une qualité alimentaire et solidaire à développer pour nous mêmes et les générations futures.

Avec une banque éthique telle que la NEF mettant en avant la capacité de soutenir des entreprises en germes assurant le prolongement de l'innovation de l'avenir économique, le réseau coopératif citoyen pour une qualité alimentaire poursuivra son développement.

Ce développement durable n'est pas qu'une appellation comme d'autres pour obtenir des subventions publiques ; il assure dans la pratique un avenir économique respectant la Planète en sortant de l'enlisement de la guerre économique. La guerre économique elle, prolonge les lois et concepts issus de la fin des deux guerres mondiales 1914-18 et 1939-45 dévastatrices pour beaucoup de nos familles laissant derrière...des cimetières humains alors que les cimetières d 'épaves d'armements empoisonnent encore nos sols ou gisent au fond de nos océans.

Lien en Pays d'OC s'est engagée dans cette vision de qualité alimentaire en prolongeant aujourd'hui la vision coopérative des Biocoops mais aussi de tout commerce issu d'une économie au service des besoins essentiels unissant dans le concept de développement durable: social et culture. 

Ce développement durable reste une démarche de la société civile qui innove les réponses aux besoins essentiels avant que les institutions publiques aient toutes compris le réel sens de ces besoins essentiels.

Voir en complément

Le mouvement de la tri-organisation sociale informe

L'économie, le juridique, le spirituel - 1er épisode, "L'argent et l'économie", en accès libre voir ici .  

L’ascension d’Emmanuel Macron et l’avenir de l’Europe - Partie 2 : «Europe des États» ou bien «Europe des élites» ?  écrit par Alain Moreau voir ici   

Épaves et pollution – Les larmes noires de l’océan :
Epaves de la Seconde Guerre : face au risque de pollution aux hydrocarbures les scientifiques sonnent d’alarme.

Diffusé sur Arte le samedi 1 juillet 2017 à 22:16 – Durée : 53 min

Au large des côtes du monde entier reposent de véritables bombes à retardement, ignorées du grand public : six mille trois cents épaves de navires coulés pendant la Seconde Guerre mondiale, qui rouillent depuis plus de soixante-dix ans au fond de l’eau. Ces épaves, toujours chargées en carburant, représentent une source de pollution potentielle extrêmement préoccupante, la corrosion fissurant peu à peu les coques. Et la menace dépasse de loin les pires marées noires de l’histoire : à titre de comparaison, les 37 000 tonnes de carburant déversées par le pétrolier Exxon Valdez, qui s’échoua en 1989 au large de l’Alaska, ne constituent qu’une proportion infime de ce que pourraient contenir les épaves de la dernière guerre mondiale. Selon les estimations, leurs réservoirs renfermeraient jusqu’à 15 millions de tonnes de pétrole, qui menacent de s’échapper. Sur les côtes de Pologne, de Norvège ou des États-Unis, et jusqu’au fond de l’océan Pacifique, Christian Heynen suit des chercheurs qui évaluent l’ampleur de cette catastrophe à venir. Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme : si on veut éviter le drame, le contenu des cuves doit être pompé de toute urgence. Alors que la course contre la montre est désormais engagée, les gouvernements tardent pourtant à agir. Voir la vidéo sur youtube 

Pourquoi Lien en Pays d'OC s'engage avec le développement Biocoop mais aussi de tout commerce issu d'une économie au service des besoins essentiels unissant dans le concept de développement durable: social et culture. 

Le monde est en changement perpétuel. Les compétences développées dans le travail coopératif d'un réseau évolutif à valeurs ajoutées humaines évitent les incompétences liées aux entreprises de copinages qui découlent de la vision étroite d'une économie ni sociale , ni écologique et d'un développement durable qui tombe toujours en panne suite 

 

  Sur  facebook ici 

PROJET MULTIBOUTIQUES POUR ALIMENTATION DE QUALITE PRECEDENT UN PDV PHYSIQUE
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Questionnements et suggestions de Sylvie Léveillé du Cercle de Gindou suite à l'atelier coopératif organisé à Caylus le 10 Décembre

Réponse globale de René Chaboy engagé dans un projet de la société civile pour Caylus et le territoire s'appuyant sur le développement de la qualité alimentaire

L'atelier proposé avec post-it n'était pas adapté à la nature du projet que nous avions , du coup nous sommes partis avec des questions  mais pas encore de groupe porteur du projet. 

J'ai contacté Michel Laloux pour faire le point et préparer la suite avant sa venue du 7 Avril 2018.  Avec sa contribution et sa connaissance actuelle des projets et leurs tendances ;  nous avons réfléchi dans quel ordre ce projet de lien social dans l'organisation économique du village pouvait se réaliser . Le point de vente a été finalement retenu pour être mis en place dans une première étape, Michel Laloux a donné de forts arguments sur le fait que le site multi-boutiques sur le net serait compliqué à gérer, bien qu'utile pour la communication locale et le lien social . Lien en Pays d'OC avec son site gratuit mis à disposition du public régulièrement mis à jour et son réseau sur le net assure  déjà cette fonction .

Michel Laloux a insisté sur le fait qu'un groupe porteur était nécessaire .

Même si des Caylusiens ne s'investissaient pas directement dans ce groupe porteur, nous pouvons espérer que certains d'entre eux soutiendraient un projet de ventes de produits alimentaires de qualité dans le village plutôt qu'un système U .

J'ai contacté la Biocoop de Villefranche de Rouergue . La démarche Biocoop peut accompagner de différentes façons la création d'un point de vente . Des personnes qui souhaiteraient créer leurs emplois de gérants pourraient bénéficier d'une formation Biocoop . D'autre part ils bénéficieraient de l 'appui d'un groupe porteur qui se constituerait à partir des réunions organisées par Lien en pays d'OC . Cette démarche associative d'animation culturelle , sociale et de rencontres innovantes dans le village de Caylus apporterait la dynamique d'une société civile engagée pour l'organisation sociale , écologique et économique du village tourné vers son avenir. Ce groupe porteur s'engagerait à compenser ce manque de civilité du village que le maire a indiqué lors d'un message adressé aux habitants.
 

Le 7 Avril 2018  Michel Laloux interviendra pour favoriser la réflexion autour d'un projet coopératif pour le village de Caylus et le territoire .

Le projet alimentaire de qualité présenté et proposé par Lien en pays d'OC et dont la mise en place progressive pour porter la distribution , la communication et l'information déjà consultable sur le site ne peut qu'être partagé par un groupe porteur s'engageant dans la coopération.

Le dernier atelier coopératif du 10 Décembre n'a pas facilité la constitution de ce groupe porteur car afficher des « post-it » est sympathique mais n'a pas permis de faire avancer la démarche constructive économique rassemblant déjà tous les éléments mais ne définissant pas dans quel ordre commencer.

N'ayant pas perçu dans l'atelier du 10 Décembre cette capacité de l'engagement dans un groupe porteur ; j'ai contacté Michel Laloux économiste enseignant et accompagnateur de groupe voulant s'engager et porter en commun un projet économique ( bien réel). 

J'ai appelé Michel Laloux en lui laissant un message, quelques heures après, il me rappelait . Immédiatement il m'a posé des questions ; je lui a fait un rapport de ces réunions de "passants"  mais sans travailler réellement la démarche de constitution d'un groupe porteur

Nous avons définis qu'un point de vente de produits de qualité pourrait devenir la première étape du projet économique .

 Ensemble  nous avons fait le point du village, de son potentiel et de la nécessité d'une volonté commune locale à vouloir mettre en œuvre ce projet coopératif pour que certaines personnes de Caylus s'engagent ou du moins le soutiennent . Cette réunion téléphonique a duré environ trente minutes. 

Pour avoir créé voici 30 ans des magasins de produits biologiques à Toulouse ( avec plats cuisinés en plus) , mais sous statut familial , je suis convaincu  que le magasin a cet avantage de créer du lien social direct avec les consommateurs directement impliqués dans la vie économique . Aujourd'hui un magasin coopératif serait indispensable, accompagné d'un groupe responsable, il pourrait assurer un développement économique du village.   

Michel Laloux accompagne régulièrement depuis quelques années un groupe de producteurs dans le Lot et le travail est fructueux dans l'esprit organisateur coopératif et économique.

 Il est déjà intervenu en 2015 à Caylus dans une conférence avec André Bellon « Démocratie & économie : que peut faire la Société Civile ? organisée par Lien en pays d'OC

Le lundi 23 novembre a eu lieu une conférence à Caylus (Tarn et garonne) avec André Bellon et Michel Laloux Voir la suite .

Les deux intervenants ont été interrogés par Radio CFM. Vous pouvez écouter et faire écouter cette émission par le lien suivant :
Le Samedi 7 Avril 2018, nous organiserons une journée pour la constitution et l'engagement du groupe porteur . La journée commencera à 8h30 voire 9 heures pour s'achever à 17 30 . Le Vendredi soir une introduction à cette journée de travail pourrait s'envisager. Cette journée demandera une participation financière indicative de 40 euros pour les frais de l'intervenant.

Un  noyau porteur pourra se constituer pour une démarche concrète en s'appuyant sur les 3 piliers fondateurs du développement durable : social-écologique et économique alimentaire de qualité en pleine demande et une relation avec les villes pourra se prolonger.
Une demande de Fond de dotations pour communication coopérative et germes d'entreprises de biens communs est prévue pour la suite du développement économique. 

La filière de la qualité alimentaire est une économie d'avenir , elle concerne en plus de la tri-articulation sociale entre consommateurs-producteurs et distributeurs,

- les transformateurs , les restaurateurs

- les médecines prenant en compte cette qualité alimentaire , les éducateurs ( trices) à cette consommation de qualité , les mutuelles qui ont un intérêt à la prévention santé .....

- les semences reproductibles, les emballages , le matériel de cuisson , de conservation, les couverts , les poteries, les nouveaux outils d'agriculture et de  jardinage  ...

De nombreuses entreprises innovent pour éviter les conservateurs, les pesticides , les métaux  lourds .....

Comment pourrait-on attirer les touristes pendant l'été dans nos villages , voire à l'année si la financiarisation des grandes puissances industrielles achètent les terres, les villages , les ressources naturelles de nos territoires en les remplaçant par des entreprises de plus en plus polluantes ? 

La société civile organisée en coopération peut ouvrir des événements responsables sur notre village de Caylus qui meurt en s'exposant  à l'invasion de la financiarisation des espaces par les grandes  puissances de l'argent spéculatif . En organisant des événements responsables pour la qualité alimentaire et la santé , l'environnement sera respecté,  la fracture sociale et l'incivilité  seront compensées par la coopération d'une nouvelle culture favorisant le lien social pour construire l'avenir économique, touristique, écologique. 

Voici pourquoi la tri-organisation pour une alimentation de qualité prenant en compte les consommateurs- les producteurs et les distributeurs réunis est une nécessité . 

Parce que nous mangeons et consommons tous élus, non élus, distributeurs producteurs...nous ne pouvons être mis à l'écart de décisions qui nous concernent en majorité ….

Une association portée par la société civile est indispensable.  lire la suite 

 Oui le pouvoir du bon sens est dans l'assiette! 

A/ Projet MULTIBOUTIQUES – de quoi s'agit-il ?.....


Il s'agirait donc, d'aprè ce que j'ai compris, d'un site internet VITRINE, çàd non-marchand. Y seraient mis en avant les producteurs régionaux qui répondent à certains critères (à définir) pour fournir des « produits de qualité pour une alimentation saine », Ils auraient déjà chacun leur site internet pour la VENTE de leurs produits. Le site « multiboutiques » aurait comme fonction de regrouper sur une même plateforme numérique virtuelle tous les produits de consommation retenus pour ce projet. Le site aurait une fonction de SENSIBILISATION et serait un outil de « MARKETING éclairé ».

Dans ces conditions, en quoi consisterait le volet « distribution » ?.... il n'y en a pas.... !

Réponse de René Chaboy : la place du point de vente de produits est éclairci dans la réponse globale .

Réponse de Christiane Roques

Voir dans le titre de l'atelier : création d'un multi boutique alimentation de qualité précédant un point de vente physique

Un site multi boutique dans un second temps pourra localiser les productions alimentaires , de qualité, locales, ou proches, les services, les acteurs d'une même démarche (selon une charte?), permettra d'avoir une idée des attentes des consommateurs : si bcp de personnes veulent de ces produits naturels bons et bios, (et j'ai l'impression que ça va se développer même dans notre village de Caylus) un point de vente sera le bienvenu et pourquoi ne pas questionner les consommateurs intéressés par ces produits ?

Que veulent ils ? Il peuvent aussi amener des idées. Le site peut aussi servir à ça.

Pour les personnes non habitantes du coin, de passage, ce site peut servir à donner une image du village, de la région. Une vitrine oui mais pas que. (Tout cela avait déjà été évoqué lors de la réunion avec C. Bergé concepteur de sites)

  • Soit il est question avec le site multiboutiques de créer une plateforme logistique pour regrouper les PRODUITS des producteurs et les COMMANDES des internautes , les PREPARER et les EXPEDIER/LIVRER et là.... attention.... c'est de la distribution mais c'est une mise en place très coûteuse qui demande une maîtrise très pointue en gestion des stocks et transport

  • Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif .
    - Soit, c'est chaque producteur qui prendra en charge les demandes générées par le site vitrine multiboutiques et qui traitera ses propres commandes comme à son habitude (livraisons/expéditions). Dans ce cas, la « tri-articulation » n'est pas appliquée. On se retrouve dans une configuration basique de « Direct producteurs Consommateurs » avec juste un outil « communication » intermédiaire qui sera le site vitrine.

  • Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif .

  • Réponse de Christiane Roques

  • Le distributeur a un rôle nécessaire :

  • un exemple : moi qui utilise en ce moment les paniers d'un groupe producteurs (graine de terroirs) je vois les limites : des œufs cassés, des produits abimés forcément tout mis dans un sac de toile, en vrac ne peut pas fonctionner correctement C'est bien pour un dépannage. Les producteurs ne peuvent pas tout faire.



  • - Site vitrine qui serait financé par qui ?.... l'impact sur les ventes des producteurs serait évalué et quantifié comment ?....

 

  • Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif .

 

B/ La notion de PORTAIL – concept plus large que le MULTIBOUTIQUES

 

C'est une notion plus large que le simple site vitrines. Elle suppose la mise en avant de producteurs plus ou moins locaux/régionaux qui tous réunis offriront un catalogue-produit qui pourra couvrir tous les besoins essentiels pour une alimentation de qualité, et en plus, le portail regroupera l'information sur tous les SERVICES AU PUBLIC DE PROXIMITE . Un portail donc qui viserait à référencer tous les besoins du quotidien pour le bassin de vie autour de Caylus.

 

  • Ce sera un énorme travail de coordination, au moment de sa création, et un énorme travail de suivi pour que l'initiative soit pérenne. Qui va financer le webmaster ???? et la publicité pour faire connaître le site ??.....

  •  

    Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif .

     

  • Le travail de coordination a déjà commencé par la création le financement du site Lien en pays d'OC et la constitution des réseaux sur le net avec les moyens diversifiés : facebook, LinkedIn , Viadéo, Twitter, Horyou

  • Dans son CR, René parle « d'entreprises en germe ».... Ces entreprises n'auront sans doute pas de site internet ... Est ce que le projet inclue de créer des pages web personnalisées pour les producteurs qui débutent ??....

  • Réponse de René CHABOY : Les entreprises en germes seront soutenues . Une demande de fonds de dotations sera constituée, si nous voulons que nos villages accueillent des entreprises innovantes , nous devrons penser aux logements des entrepreneurs .


- Dans son CR, René écrit aussi «  le numérique est un outil favorisant la méthodologie et la logistique » …. ce n'est pas tout à fait exact.... le numérique requiert une méthodologie préalable sans faille pour exister efficacement.... et la logistique requiert également une méthodologie préalable sans faille pour que le numérique soit un outil d'exécution et d'anticipation efficace.

  • Réponse de René CHABOY Oui

Le numérique est un outil qui favorise la méthodologie et la logistique selon la vision de la tri-articualtion sociale ( basée sur la démocratie et l'économie évfolutives ) ; pas sur celle du nerf de la guerre économique

Je confirme cette affirmation, pour avoir créé un magasin de produits et plats cuisinés biologiques en 1984 sans informatique. J'ai pris soin après cette expérience de mettre l'informatique et le numérique pour créer un réseau avant de concevoir un point de ventes qu'il soit par des sites déjà existants ou physique.

Dans cette dynamique de lien social avec pour but de rapprocher : consommateurs , producteurs et distributeurs

Pour cela, il faut penser à créer et gérer des réseaux , c'est ce que je fais quotidiennement avec des moyens diversifiés : facebook , LinkedIn, Viadéo , Twitter , Horyou

Un espace de coopération commence pour l'intérêt des biens communs si bien sûr la recherche commence par celui d'échanger des informations , c'est le lien de tri-articulation qui réunit responsabilité et social contrairement au système binaire qui les oppose .

Innovation sociale et innovation responsable : deux approches différentes suite 

 

C/ Point de vente physique – encore plus d' investissements et plus de risques

  • A propos de « enquêteur pratique » : il n'est pas raisonnable de créer un site vitrine, avec tout l' investissement que cela représente, juste pour « tester » la viabilité d'un PDV à venir. D'autant que dans un avenir proche, ce sont les ventes par internet qui vont continuer à augmenter considérablement !

  • Réponse de René CHABOY

Rien n'est sûr dans cette affirmation publicitaire pour vendre du matériel informatique plus que de raison « dans un avenir proche, ce sont les ventes par internet qui vont continuer à augmenter considérablement ! » Si l'on admet que la plate-forme multi-boutiques ne peut être prioritaire parce que trop compliquée à gérer, peux-tu défendre l'accélération de la vente par internet ? Le projet de construire des micro-entreprises de biens communs en réseaux coopératifs ; point de vente alimentaire de qualité , point de semences et outils de jardins, restaurant ….sur un même lieu chaque entreprise se responsabilisant dans son rapport avec l'argent et le moyen d'obtenir des fonds coopératifs restera un lien direct entre les humains. Des événements thématiques ( sur l'alimentation en général : des semences reproductibles à l'assiette avec tous les problématiques des déchets …) viendront compléter une vision de l'informatique qui déraperait en se coupant du lien social concret et de nouvelles formes à promouvoir l'économie d'un village et d'un territoire.

 

Rien n'est sûr effectivement, que les ventes par internet vont augmenter considérablement , pas pour les produits alimentaires de qualité, dans une démarche ou les consommateurs responsables ont besoin de contact direct, du « lien social concret » de visualiser leur produits, de conseils sur le choix du produit, quand on recherche à vivre mieux et plus sain, on questionne beaucoup on se questionne aussi sur de nouvelles formes de société, etc ce que ne permet pas les commandes par internet même dans le bio. Et la vision de un point de vente

alimentaire (avec point de semences et outils de jardins, restauration etc ) me paraît au contraire d'avenir dans notre lieu rural

 

  • Bien-sûr, nous ne perdons pas de vue que l'ouverture d'un PDV physique suppose des budgets considérables et des risques importants. Qui va vouloir financer ?....

    Réponse de René CHABOY

    L'obsession de se poser des questions répétitives qui va payer demain fait oublier ce que l'on pourrait commencer à payer personnellement pour le collectif de demain dès à présent .

Lors de l'intervention de Didier Gusse , la question argent n'a pas été abordée comme elle aurait dû l'être  . Nous avons conscience Christiane Roques et moi-même qui finançons ce projet de la nécessité d'inclure le lien social dès le départ d'un processus . La demande de prestation de 360 euros de Didier Gusse a donc été assumée par Christiane et moi-même . Ce nouveau processus a besoin de trouver des participations coopératives de financement y compris dans le paiement des intervenants.

Avant de parler sans cesse du financement, il faudra déjà mettre la main à la poche pour payer les intervenants et les frais de fonctionnement de l'association Lien en pays d'OC qui ne reçoit pas de subventions , pas d'adhésions ; mais continue à s'engager dans la constitution d'un groupe porteur partageant un projet de la société civile pour Caylus et le territoire s'appuyant sur le développement de la qualité alimentaire . Ce projet en réseau avec les Biocoops a les possibilités de participer à l'évolution du développement de la qualité alimentaire comme support d'un développement économique adapté au besoin des consommateurs responsables avec des créations d'emplois dans la distribution et la production.

 

Nous proposons des projections de films pour s'éduquer à une autre approche de l'argent 

L'Economique, Le Juridique, le Spirituel une série de 4 Dvds produite et réalisée par Bernard Bonnamour.

Le Mouvement pour la tri-articulation sociale informe

L'économie, le juridique, le spirituel.
Le 1er épisode de la série, "L'argent et l'économie", est actuellement en accès libre.

Contenu de cet épisode :
Qu’est-ce que vraiment l’argent ? Idées fausses sur l’argent - Argent comme instrument de mesure des valeurs économiques - L’argent n’est pas une marchandise - L’argent qui fait de l’argent, une tricherie qui engendre un mal social grave mais banal. suite 

En conséquence, d'un point de vue stratégique, ne devrait on pas s'interroger sur les différentes étapes du développement de ce projet coopératif ….

Réponse de René CHABOY

C'est ce que nous proposons actuellement comment poursuivre le financement coopératif pour sa communication et celui des germes d'entreprises innovantes de biens communs respectant les 3 piliers fondamentaux du développement durable et sa charte voir sur le site Lien en pays d'OC

Le bon et le mauvais sens du développement durable suite 
 

Un dossier pour la demande d'un fond de dotations sera déposé . Ce fond de dotations permettra le financement de ces entreprises de biens communs qui ne rentrent pas dans les cadres de financements traditionnels.

Ce fond de dotations évitera les dérives de certaines collectivités recevant des fonds publics pour le développement durable et le redistribuant à des associations d'éphémères n'ayant aucun intérêt pour les biens communs , ce qui évitera des projets qui avortent et la dette publique qui continue de croître.

 

Plutôt qu'un site vitrine, envisager un site marchand coopératif  (avec grosse campagne de pub sur la zone de chalandise pour faire connaître le site) ??

Réponse de René CHABOY

  • Avec le travail qui se fera le 7 Avril 2018 et le groupe porteur qui se sera engagé ; le projet pourrait se mettre en marche

    Plutôt qu'un PDV, pourquoi pas envisager un simple point-relais – sur le passage de ce fameux axe routier très fréquenté de Caylus – où les commandes passées en ligne par les internautes/automobilistes pourraient être retirées par eux-mêmes à un moment de leur choix fixé à l'avance ?

    Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif .

  •  

    A moins que le point-relais puisse être sur le lieu où seront entreposées les marchandises pour expédition si, comme l' a évoqué René, il y a la possibilité de CONSTRUIRE à la sortie de Caylus sur cet axe routier « porteur ».
    Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif sur un lieu de passage 6000 véhicules par jour.

     


  • le nerf de la guerre reste qui finance quoi ???? Il s'agit là d'un projet COMMERCIAL, qui va bien au-delà d'une initiative pour créer du « lien social », immatériel.... Ici nous sommes dans une configuration de BUSINESS ….. même éthique et vertueux.... donc, la question de l'argent pour pouvoir concrétiser cette vision « d'approvisionnement citoyen en pdts de qualité » est fondamentale ....

  •  

Réponse de René CHABOY

Projet alimentaire économique de qualité un potentiel sans limite du développement et de l'investissement sûr .

Je mange, tu manges, il mange , nous mangeons, vous mangez,ils mangent : oui nous mangeons tous que nous soyons élus , non élus, producteurs, distributeurs ….autant que ce soit une alimentation de qualité plutôt qu'une alimentation dangereuse pour la santé.

Comme nous pouvons tous développer ce bon sens , nous pouvons développer un financement coopératif qui évitera celui du danger ou nous sommes , consommateurs mis à l'écart des décisions. États généraux de l’alimentation-Quelles avancées pour les consommateurs ?

Les consommateurs, simples spectateurs des réformes

Voici pourquoi la tri-organisation pour une alimentation de qualité entre producteurs , consommateurs et distributeurs portée par la société civile est indispensable Rejoindre Association Lien en Pays d'OC

Voir site http://www.lienenpaysdoc.com/

Le financement coopératif sera assuré par une association entre consommateurs responsables , producteurs souhaitant répondre à cette qualité et les distributeurs souhaitant organiser sa vente.

Ce projet évolutif pourra s'appuyer sur l'association Lien en Pays d'OC ayant déjà mis en place une organisation de rencontres et d'événements autour de cette notion culturelle de qualité afin de ne pas tomber en panne, comme la plupart des projets décidés d'en haut , mais jamais sans les compétences déjà en marche du bas .

Guerre économique ou Economie pour la Paix ?

Voici cent ans en pleine guerre et révolution, Rudolf Steiner élabora en Europe Centrale dans l'empire austro-hongrois en déliquescence , les idées de tri-organisation sociale qui aurait évité le pire. En France Jean Jaurès proposait la paix plutôt que la guerre, il fut assassiné et après 1914-18 , celle de 1939-45 lui succéda avec ses millions de morts en touchant profondément nos familles.

Et maintenant dominerons -nous l'agressivité par une tri-organisation sociale fraternelle sur une même planète ?

« La couardise demande : est-ce sûr ?

L’efficacité demande : est-ce politique ?

La vanité demande : est-ce populaire ?

Mais la conscience demande : est-ce juste ?

Et il vient un temps où l’on doit prendre une position qui n’est ni sûre, ni politique, ni populaire, mais on doit la prendre simplement parce qu’elle est …JUSTE. » Martin Luther King Jr

Et si 2017 était l’année à partir de laquelle la catastrophe climatique avait vraiment commencé ? Retour sur 5 événements majeurs qui montrent que le climat commence à être totalement hors de contrôle et comme nous dit notre Président, nous sommes en train de perdre la bataille. suite 

De la difficulté à être citoyen

Pour la plupart d’entre nous, être citoyen relève de la performativité, pour peu que nous en possédons, naturellement, les qualités juridiques nécessaires et suffisantes.

Etre citoyen  : c’est bénéficier d’un statut qui ouvre des droits, impose des obligations et incite à participer à la vie de la cité.

Etre citoyen : c’est avoir cette part de souveraineté que lui confère la Constitution lui permettant de présider, ainsi, à la destinée de la nation.

Bref, être citoyen : c’est un état permanent dont nul ne peut être dessaisi (1). Suite 

Projet commercial économique de Paix pour sortir de la guerre économique

Des projections de films pour s'éduquer à une autre approche économique afin de sortir de ce «  nerf de la guerre ancré  dans beaucoup d'idées » qui ne permet pas de nous remettre en question sur la question de l'argent responsable, démocratique et coopératif sont proposés par Lien en Pays d'OC .

A étudier : L'Economique, Le Juridique, le Spirituel une série de 4 Dvds produite et réalisée par Bernard Bonnamour.

Le noyau porteur du projet présenté à Caylus ne sera pas basé sur cette logique de guerre économique qui nous a valu les morts de 1914-18 , l'assassinat de Jean Jaurès et les morts de 1939-45 sans oublier tous ceux qui sont persécutés dans le monde parce qu'ils sont mis hors circuit de ce système du superflu, des compétitions et de la lutte de tous contre tous.

Rudolf Steiner voici plus de cent ans a commencé par donner ces idées de tri-organisation sociale parce qu'il constatait que les esprits dominants pour l'agressivité , le non respect de la vie commençaient à s'échauffer  .

Le noyau porteur sera capable par l'esprit démultiplicateur de faire vivre ce projet en réseau économique .

 

Pourquoi Lien en Pays d'OC s'engage avec le développement Biocoop mais aussi avec tout commerce issu d'une économie au service des besoins essentiels unissant dans le concept de développement durable: social et culture.

         parce que le réseau Biocoop propose un accompagnement à la création d'une Biocoop locale

  • parce que le réseau Biocoop demande les motivations qui font rejoindre cette démarche coopérative; ce qui évite de futurs échecs liés  aux incompétences

  • parce que la démarche Bioccop favorise la création d'emplois à partir de la distribution alimentaire de qualité entraînant  les emplois de production de qualité 

  • parce que le réseau Biocoop travaille avec des producteurs locaux en Bio

  • parce que le réseau Biocoop met en place un espace vrac qui va dans le sens de la démarche zéro déchets . Les déchets empoisonnent notre environnement , notre vie, notre santé et nos poubelles, ils consomment une quantité en pleine croissance d'énergie pour le recyclage

  • parce que le réseau Biocoop développe une démarche coopérative globale alimentaire de qualité qui correspond à la charte de Lien en Pays d'OC « Une démarche responsable de qualité alimentaire entre producteurs, consommateurs et distributeurs 

    Entreprendre autrement avec Biocoop - Créer mon magasin Biocoop  ici 

    Offres d'emploi Biocoop ici 

    Rencontre avec le Président de Biocoop, un réseau engagé
    Sur le site Agronomes et Vétérinaires Sans Frontières
    Le « ensemble » est au coeur de notre organisation, de notre projet sociétal
    "L'intelligence collective" est le meilleur moyen de répondre aux enjeux de la transition citoyenne suite à ce lien

    Claude Gruffat Président du réseau des magasins Biocoop  : "On aura besoin de 60 000 producteurs de proximité en bio de plus dans les cinq ans"

    Claude Gruffat : le bio peut-il perdre son âme ?

    Claude Gruffat, , s’interroge sur notre avenir alimentaire dans le livre « Se nourrir demain» (préface de Marie-Dominique Robin) aux éditions La Mer Salée. Voir la vidéo 

L'association Lien en Pays d'OC propose une charte pour suivre « Une démarche responsable de qualité alimentaire

- entre producteurs, consommateurs et distributeurs pour une démarche coopérative globale alimentaire de qualité 

- entre distributeurs du  réseau Biocoop et consommateurs pour entreprendre la responsabilité civile  de  la problèmatique des déchets

- entre élus, responsables de la société civile et habitants pour respecter les subventions publiques engagées dans le développement durable 

Lien en Pays d'OC a organisé régulièrement des réunions pour favoriser la coopération entre producteurs, consommateurs et distributeurs réunis, ces réunions ont révélé  la difficulté d'entreprendre ensemble une économie favorable à tous.

Ce n'est pas en amenant de nouveaux problèmes aux problèmes existants, ni en proposant à réfléchir sur un travail que Lien en Pays d'OC assume depuis plusieurs années : une communication informant des idées constructives avec le développement du réseau que nous développerons une économie locale favorable à tous s'appuyant sur le développement de la qualité alimentaire .  C'est en réfléchissant sur le financement coopératif de l'organisation : frais de l'association , paiement des intervenants que la société civile basée sur l'engagement de chacun construira une économie responsable . 

Nous avancerons en respectant cette charte de développement civil accompagné  avec une réflexion sur l'argent.  

Le monde est en changement perpétuel. Les compétences développées dans le travail coopératif d'un réseau évolutif à valeurs ajoutées humaines évitent les incompétences liées aux entreprises qui oublieraient un aspect du développement durable : soit social, soit écologique, soit économique pour une fois de plus tomber en panne. 

Mouvement pour la tri-articulation sociale

L'économie, le juridique, le spirituel.
Le 1er épisode de la série, "L'argent et l'économie", est actuellement en accès libre.

Contenu de cet épisode :
Qu’est-ce que vraiment l’argent ? Idées fausses sur l’argent - Argent comme instrument de mesure des valeurs économiques - L’argent n’est pas une marchandise - L’argent qui fait de l’argent, une tricherie qui engendre un mal social grave mais banal. voir la suite 

« La couardise demande : est-ce sûr ?

L’efficacité demande : est-ce politique ?

La vanité demande : est-ce populaire ?

Mais la conscience demande : est-ce juste ?

Et il vient un temps où l’on doit prendre une position qui n’est ni sûre, ni politique, ni populaire, mais on doit la prendre simplement parce qu’elle est …JUSTE. » Martin Luther King Jr 

Projet alimentaire économique de qualité un potentiel sans limite du développement et de l'investissement sûr .

Je mange, tu manges, il mange , nous mangeons, vous mangez,ils mangent : oui nous mangeons tous que nous soyons élus , non élus, producteurs, distributeurs ….autant que ce soit une alimentation de qualité plutôt qu'une alimentation dangereuse pour la santé.

Comme nous pouvons tous développer ce bon sens , nous pouvons développer un financement coopératif qui évitera celui du danger ou nous sommes , consommateurs mis à l'écart des décisions. États généraux de l’alimentation-Quelles avancées pour les consommateurs ?

Les consommateurs, simples spectateurs des réformes

Voici pourquoi la tri-organisation pour une alimentation de qualité entre producteurs , consommateurs et distributeurs portée par la société civile est indispensable  suite 

Rejoindre Association Lien en Pays d'OC suite 

 

L'espace vrac pour une démarche responsable  de zéro déchets avec les consommateurs 

Pourquoi je suis consommateur fidélisé à la Biocoop de Villefranche de Rouergue

 Je suis consommateur fidélisé à la Biocoop de Villefranche de Rouergue pour deux raisons principales  :

- parce que je trouve les aliments correspondants à ma recherche : des aliments évitant les pesticides et autres produits chimiques 

Le curcuma est entré dans ma cuisine depuis que j'ai eu des problèmes de prostate . Par cette consommation régulière , j'ai évité l'opération, je tiens donc à me le procurer ...

Rechercher sur le net pourquoi le curcuma permet d'éviter bien des maladies conséquences de notre alimentation moderne fortement acide.

Le millet très riche en silice ; il est recommandé pour sa digestibilité, sous forme de flocons on peut l'intégrer dans des préparations très agréables d'accompagnements de légumes Voir le site Passeport santé 

Huile d'olive

Légumes fruits céréales ( riz de camargue..boulghour....

- La Biocoop de Villefranche de Rouergue par sa démarche permet de garantir une non rupture de stock ; ce qui n'est pas toujours le cas dans d'autres magasins Bio . En présentant les produits en vrac avec une installation appropriée , elle permet de contribuer à une démarche civile entre consommateurs et distributeurs en évitant les emballages .

Nous connaissons les problèmes de nos villages pour la gestion des déchets , dernièrement le maire de Caylus dans un mot adressé à la population a indiqué l'incivilité autour des déchets éparpillés autour des poubelles . En participant à la démarche Zéro Déchet  Bio Coop, nous participons par la consommation responsable à la civilité de nos villages en évitant de suivre sans réfléchir autrement, le système spéculatif , polluant, producteurs de déchets et d'ordures sans limites.

L'accroissement de la production des déchets reste problématique en France voir la suite 

La démarche Zéro Déchet  Bio Coop

Ne plus produire de déchets, qui n’en a pas rêvé ?

Comment modifier sa manière de consommer et son mode de vie pour aller vers le zéro déchet et diminuer son impact sur l’environnement et les écosystèmes ? voir la suite 

Une démarche entre consommateurs et distributeurs ne peut être que constructive et coopérative , certaines personnes n'ayant aucune vision claire de l'avenir coopératif responsable économique pensent que les habitants d'un village ont le devoir d'acheter dans les commerces existants pour qu'ils survivent. 

Pourquoi devrais-je consommer des cigarettes, des produits superflus, des jeux ou autres...  pour conserver des commerces ou autres associations dans le village ; si  en priorité j'ai besoin en conscience de produits alimentaires de santé ? Des commerces coopératifs tenant compte de nouvelles tendances démocratiques, économiques et écologiques s'organisent ailleurs , pourquoi pas à Caylus ? Les consommateurs responsables de leur santé individuelle et publique continueront à s'organiser pour faire leurs courses si des efforts ne sont pas fait dans nos villages. Nous proposons d' organiser des co-voiturages pour faire nos achats à la Biocoop de Villefranche de Rouergue en attendant que nous puissions avoir cette volonté responsable coopérative de faire la même chose à Caylus. Une Biocoop créerait des emplois de distributeurs et de producteurs locaux dans une première étape et beaucoup d'autres dans une deuxième étape ….et ainsi par la société civile de la consommation responsable nous éviterions bien des problèmes qui fatalement nous envahirons; usine de productions polluantes, d'exploitations des ressources naturelles et peu à peu disparition des services destinés aux besoins des populations. 

Présentation Biocoop Villefranche de Rouergue voir ici 

Qui sont les consommateurs bio ? En quoi se différencient-ils des consommateurs de produits conventionnels ? Notre partenaire Bio Consom'acteurs vous propose de le découvrir grâce à cette BD qui nous montre qu'il n'existe pas une mais de nombreuses façons de consommer bio et qui dépend de facteurs multiples. Qui sont les consommateurs bio ? En quoi se différencient-ils des consommateurs de produits conventionnels ? Notre partenaire Bio Consom'acteurs vous propose de le découvrir grâce à cette BD qui nous montre qu'il n'existe pas une mais de nombreuses façons de consommer bio et qui dépend de facteurs multiples. voir la suite 

Voici pourquoi la tri-organisation pour une alimentation de qualité prenant en compte les consommateurs- les producteurs et les distributeurs réunis est une nécessité . 

Parce que nous mangeons et consommons tous élus, non élus, distributeurs producteurs...nous ne pouvons être mis à l'écart de décisions qui nous concernent en majorité ….

Une association portée par la société civile est indispensable.  lire la suite 

 

Voici pourquoi la tri-organisation pour une alimentation de qualité prenant en compte les consommateurs- les producteurs et les distributeurs réunis est une nécessité .

États généraux de l’alimentation
Quelles avancées pour les consommateurs ?
Les consommateurs, simples spectateurs des réformes
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Prix alimentaires : le projet de loi pourrait coûter cher aux consommateurs

Par Sophie Amsili

Les distributeurs seront désormais obligés de vendre leurs produits au moins 10 % de plus que leur prix de revient. - JOEL SAGET/AFP

+VIDEO. L'UFC-Que Choisir chiffre à 5 milliards d'euros - soit 177 euros par ménage - l'impact du seuil de revente à perte décidée par le gouvernement.

Le président de l'UFC-Que choisir n'a pas de mots assez durs pour  le projet de loi sur les prix alimentaires presente la semaine derniere en Conseil des ministres et censé rééquilibrer les relations entre agriculteurs, industriels et distributeurs. Dénonçant un «  matraquage des prix fera inutilement souffrir le pouvoir d'achat des consommateurs  », Alain Bazot critique en particulier le relèvement du seuil de revente à perte à 10 %....voir la suite 

Loi sur l'alimentation : le consommateur paiera plus, mais où iront les sous ? 
Par Philippe Brochen — 5 février 2018 à 19:35 
Le projet de loi présenté la semaine dernière prévoit pour les distributeurs un relèvement du seuil de revente à perte de 10%, lequel va mécaniquement engendrer de l’inflation sur les prix. Reste à prouver que l’argent ainsi récolté profitera aux producteurs. suite 

Les filières s'interrogent sur la restructuration voulue par Emmanuel Macron 

Emmanuel Macron veut engager l'agriculture française dans une restructuration en profondeur, aux conséquences potentiellement sensibles pour certaines filières comme le porc par exemple.

Dans un discours-fleuve prononcé mercredi devant des producteurs, transformateurs et distributeurs français réunis symboliquement au marché de gros de Rungis, le président a fixé le cap : parvenir à une alimentation qui soit à la fois rémunératrice pour les producteurs, « saine, durable, et accessible à tous », via une réorganisation des « filières » du secteur. Ces filières, ou interprofessions, sont au nombre d'une soixantaine, elles réunissent toute la chaîne, du produit brut au produit fini et parfois même jusqu'au distributeur, via un système complexe d'élections et de représentativité, où le principal syndicat agricole FNSEA est très impliqué.

Le président espère également que ces instances parviennent à procéder « aux bonnes régulations », par exemple « arrêter des productions, qu'il s'agisse de la volaille ou du porc, qui ne correspondent plus à nos goûts, à nos besoins », a-t-il déclaré. Il a même fait de ces plans stratégiques des filières une condition pour continuer à aider l'agriculture, via des aides financières à l'investissement, ou pour légiférer afin de limiter le pouvoir de la distribution. suite

L'expérience des ceintures alimentaires en Belgique pour expérimenter un autre modèle

Au-delà des circuits courts, que proposent les Ceintures alimentaires ?

Liège, Charleroi, Verviers… dans de plus en plus de périphéries urbaines se lancent des ceintures alimentaires. Avec un objectif principal : nourrir les habitants d’un territoire par une alimentaire saine, produite localement, dans de bonnes conditions écologiques et sociales.

Nous avons encore peu de recul par rapport à ces démarches récentes. C’est pourquoi Barbara Garbarczyk (SAW-B) propose une analyse qui vise surtout à introduire le sujet : derrière l’image, en quoi consiste vraiment une ceinture alimentaire ? Quelles sont les démarches déjà en cours ? À quels enjeux ces initiatives doivent-elles faire face ? voir la suite 

Les partenaires porteurs du projet ici 

Quand la minorité décide l'alimentation pour tous, la place des consommateurs est vide . Parce que nous mangeons et consommons tous élus, non élus, distributeurs producteurs...nous ne pouvons être mis à l'écart de décisions qui nous concernent en majorité ….

Une association portée par la société civile avec les consommateurs responsables , les producteurs et distributeurs pour une alimentation de qualité est indispensable.

« L’esprit de concurrence s’est imposé dans la culture jusqu’à notre époque, de façon à ce que, au final, on soit toujours le perdant de quelqu’un d’autre. »

Libérons coopérativement les semences! Nous libèrerons la vie alimentaire économique de qualité avec les consommateurs responsables. suite 

La consommation évolue, elle se responsabilise vers la recherche de la qualité voir la suite 

La consommation responsable de qualité : facteur de créativité économique d'emplois voir la suite 

Voici la réalité des emplois durables créés à partir d'un besoin essentiel s'alimenter en qualité 

Claude Gruffat (Biocoop) : "On aura besoin de 60 000 producteurs de proximité en bio de plus dans les cinq ans"

Le président de Biocoop Claude Gruffat était l'invité de L'interview éco, mercredi soir, à la veille de la clôture des Etats généraux de l’alimentation. Avec près de 500 magasins, la coopérative est le premier réseau de magasins bio en France. Suite

 Le pouvoir du bon sens est dans l'assiette! 

Pourquoi je suis consommateur fidélisé à la Biocoop de Villefranche de Rouergue lire la suite 

Les Bourguignon comparent les carottes bios aux conventionnelles

Lydia et Claude Bourguignon reviennent sur une étude menée par l'INRA dans les années 80 et comparent les carottes bio aux conventionnelles.

Par Raphaëlle Dormieu

Publié le 28 décembre 2017 à 13:08 - Mis à jour le 29 décembre 2017 à 9:36

Lydia et Claude Bourguignon, les spécialistes de la vie des sols, comparent les carottes bio aux carottes conventionnelles dans cet extrait du documentaire « Sous les pavés, la Terre« . Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le résultat est sans appel.

Pour Lydia et Claude Bourguignon, les résultats issus de leurs observations sur les terres cultivées de manière biologique sont édifiants : les carottes bios seraient plus riches en nutriments que les carottes conventionnelles. Regardez la vidéo 

Commentaire de Arnaud Daguin relation de 1er niveau1er

Conseil culinaire - stratégie alimentaire - chef invité chez L'Avenir est dans l'Assiette

L'avenir est dans l'assiette

Christian Constant, Paris

Paris 18, Île-de-France, France

Arnaud Daguin   "Notre avenir se construira sur des sols vivants " 

Arnaud Daguin, chef étoilé : "Notre système alimentaire est mort"

INVITÉ RTL - Pour Arnaud Daguin, cuisinier et chef dans des restaurants étoilés à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) et à Auch (Gers), notre système de production alimentaire est devenu obsolète.

C'est un chef amoureux des bons produits et qui croit toujours au fait que le métier d'agriculteur est un métier d'avenir. "Je le dis à nos jeunes, intéressez-vous à l'agriculture", lance Arnaud Daguin, chef étoilé, qui officie dans un restaurant à Biarritz (Pyrénées-Atlantique) et à Auch (Gers). Mais il précise son propos : "Intéressez-vous au métier d'agriculteur du bon côté, c’est-à-dire du côté du bon produit". 

Car si nos agriculteurs sont en difficulté aujourd'hui, la raison est simple pour ce cuisinier étoilé : "On leur demande de produire une telle quantité et d'une telle façon que le système est arrivé au bout". Pour lui, l'erreur a été pendant tout le XXème siècle de baser notre agriculture sur deux enjeux, la quantité et le prix : "On a décidé que tout le monde devait manger énormément de viande et tout autant de choses transformées et c'est ça qui a foutu en l'air le système", s'agace Arnaud Daguin. voir la vidéo 

La filière de la qualité alimentaire est une économie d'avenir , elle concerne en plus de la tri-articulation sociale entre consommateurs-producteurs et distributeurs,

- les transformateurs , les restaurateurs

- les médecines prenant en compte cette qualité alimentaire , les éducateurs ( trices) à cette consommation de qualité , les mutuelles qui ont un intérêt à la prévention santé .....

- les semences reproductibles, les emballages , le matériel de cuisson , de conservation, les couverts , les poteries, les nouveaux outils d'agriculture et de  jardinage  ...

De nombreuses entreprises innovent pour éviter les conservateurs, les pesticides , les métaux  lourds .....

Comment pourrait-on attirer les touristes pendant l'été dans nos villages , voire à l'année si la financiarisation des grandes puissances industrielles achètent les terres, les villages , les ressources naturelles de nos territoires en les remplaçant par des entreprises de plus en plus polluantes ? 

La société civile organisée en coopération peut ouvrir des événements responsables sur notre village de Caylus qui meurt en s'exposant  à l'invasion de la financiarisation des espaces par les grandes  puissances de l'argent spéculatif . En organisant des événements responsables pour la qualité alimentaire et la santé , l'environnement sera respecté,  la fracture sociale et l'incivilité  seront compensées par la coopération d'une nouvelle culture favorisant le lien social pour construire l'avenir économique, touristique, écologique. 

 

 

 

 

 

Le Tarn&Garonne pourra-t-il s'humaniser face à l'exploitation intensive des espaces naturels ?

Cette question est la suite logique à se poser  face à deux nouvelles qui viennent de nous parvenir : 

- La liquidation de BIO 82 

- Le projet d'élevage intensif à Septfonds 

Bio 82 n’est plus… liquidation en cours voir l'article 

L'élevage de porcs de Septfonds fait débat

L’expression veut que tout soit bon dans le cochon. Pourtant l’élevage de 6 500 porcs en projet à Septfonds semble totalement indigeste pour France Nature Environnement (FNE) Midi-Pyrénées, FNE Tarn-et-Garonne, le Collectif de sauvegarde de Lavaurette, du Daudou et de son environnement (Cosalde), et la Confédération Paysanne du département. La semaine dernière, ces structures ont déposé un recours au tribunal administratif de Toulouse dans le but d’annuler l’autorisation préfectorale pour cette extension.

Pas d’étude d’impact sur l’environnement

« Depuis quelques années, la procédure est simplifiée, souligne Hervé Hourcade, juriste à FNE Midi-Pyrénées. Il n’y a plus d’études d’impact obligatoire, d’enquête publique, cela se fait sur Internet par un onglet sur le site de la préfecture. Le préfet avait la possibilité d’imposer cette étude. Il ne l’a pas fait. D’où notre recours. » Les associations s’insurgent notamment que cette augmentation de 200 % de la taille de l’élevage soit autorisée alors que les ruisseaux du secteur seraient pollués par les nitrates d’origine agricole selon les données de l’agence de l’eau Adour-Garonne. « L’endroit est classé en zone vulnérable en plus du fait que les parcelles du nouveau plan d’épandage sont situées en bordures de zones naturelles sensibles. Lire la suite

Un projet d’élevage intensif à l’entrée d’un ancien camp de concentration à Septfonds dans le le Tarn &Garonne soulève l’indignation 

À Septfonds, dans le Tarn-et-Garonne, une porcherie géante pourrait accueillir 6.500 animaux. Cet élevage intensif serait situé à l’entrée d’un ancien camp de concentration, celui de Judes, expliquent les auteures de cette tribune, qui voient dans ce prolongement « troublant » de l’Histoire une superposition « obscène ».

Célia Izoard est journaliste. Colette Berthès est l’auteure de L’Exil et les Barbelés (2011), essai historique sur le camp de Judes.  lire la suite 

Septfonds : des cochons et des hommes

Article extrait du site Moissac au cœur

"Un projet d’extension d’élevage industriel de porcs suscite indignation et colère à Septfonds, dans le Tarn-et-Garonne. En effet, la préfecture vient d’autoriser le doublement de la taille d’une exploitation agricole qui produira annuellement 6500 porcs charcutiers… Or, celle-ci se situe à l’entrée de l’ancien camp de concentration de Judes où ont été enfermés de 1939 à 1942 16000 soldats républicains anti-franquistes réfugiés de la guerre d’Espagne, et à 500 mètres du mémorial qui leur rend hommage. Ce fut un lieu de regroupement de juifs, d’officiers polonais, de militants communistes avant qu’ils ne soient déportés dans les camps d’extermination.

Un travail d’information et d’opposition citoyenne a été entamé par les habitants qui s’opposent à ce projet : réunion publique, tractage et banderole au marché, interpellation de la préfecture. France Nature Environnement promet de faire appel en justice de l’autorisation préfectorale. De quoi mettre de sérieux bâtons dans les roues du projet ? Pas sûr, tant l’opposition locale semble isolée face à un véritable empire agro-industriel voir l'article complet 

Cochons entassés dans une "usine à viande "

Collectif contre l'extension de la porcherie de Sepfonds

Un agrandissement de la porcherie de Lalande est prévu.
La consultation publique est passée inaperçue.
Un collectif citoyen se constitue.
Une pétition "
Collectif contre l'extension de la porcherie de Septfonds " circule 

Pétition adressée à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. pour signer ici
Des actions de sensibilisation s'adressent à la population.
Les habitants de Septfonds, Montpezat, Montalzat sont très concernés. ¨Pour demander à rejoindre le groupe sur facebook et se tenir informé (e)s
cliquer ici  

J'ai signé cette pétition parce que ce modèle d'élevage intensif n'est ni social , ni économique , ni écologique respectons les fondements du développement durable. Rappelons pour la gouvernance de nos territoires ces fondements. Voir la suite 

Le modèle d'exploitation et de spéculation poursuit son invasion

Les porcheries industrielles

Le cas particulier des porcheries

Par leurs fortes concentrations en têtes de bétail, les porcheries industrielles sont une source de pollution très importante. Lire la suite

Quel avenir pour les territoires ruraux face à la financiarisation de l'accaparement des terres nourricières et la pollution des espaces ?

Nos territoires se dégradent et la France ne peut être détruite sous l'emprise des finances étrangères .....

Hervé Juvin : "La fin du XXe siècle, c'est la liquidation du monde pour fabriquer de la richesse" voir la vidéo

Société/La maladie de la surconsommation

Après le Nutella, les couches-culottes. Des promotions dans les magasins Intermarché ont provoqué des scènes d’émeutes. Entre la société de consommation malade et la grande distribution aux pratiques sauvages, le gouvernement veut remettre de l’ordre. suite 

Face à la consommation irresponsable, la société civile propose un projet de consommation responsable

Caylus village du Tarn&Garonne construira-t-il un avenir Démocratique et Economique ? suite 

De nombreux emplois peuvent être créés dans l'esprit du développement d'une alimentation de qualité ….si nous sommes capables de nous réunir entre producteurs, consommateurs responsables et distributeurs autour d'un projet coopératif . voir la suite