Les ZADs ( Zone A Défendre) doivent se prolonger par des ZACs ( Zone A Construire ) pour que la consommation responsable de qualité puisse devenir un facteur Démocratique et Economique créateur d'emplois.
La consommation responsable de qualité : facteur de créativité économique d'emplois
La recherche d'un emploi ou la mise en place d'un projet professionnel sont des besoins sociaux actuels face à la calamité du chômage.
Ces besoins sociaux nécessitent une orientation vers une activité économique capable de rémunérer de nouveaux postes .
Les dangers alimentaires régulièrement révélés contribuent à ouvrir les consciences : une consommation de qualité est un besoin vital autant individuel que collectif .
La filière alimentaire de qualité de « la terre à l 'assiette» demande à s'organiser en inversant les tendances imposées par la gouvernance industrielle et spéculative basées sur des décennies d'exploitation. Cette inversion prend en compte les réflexions pratiques tendant à éviter le gaspillage .
En réfléchissant à éviter gaspillages et déchets d'emballages, des réorganisations de filières locales impliquant producteurs-consommateurs et distributeurs éviteront de subir les méthodes des multinationales alimentaires alliant surproduction , surconservation, longs transports et tout le matériel assurant le fonctionnement d'intérêts contraires au développement coopératif.
La consommation évolue, elle se responsabilise vers la recherche de la qualité voir ici
Le gapillage alimentaire, la gestion des déchets : des solutions prioritaires à chercher coopérativement entre producteurs, consommateurs et distributeurs pour commencer dès à présent à réduire la consommation d'énergie . Devenir autonome en énergie pour les décennies à venir pourrait s'avérer illusoire si nous oublions la mise en pratique de la première responsabilité coopérative économique de la tri-organisation sociale alimentaire voir la suite
L'exploitation découle d'un pouvoir à produire un asservissement au développement d'un matériel toujours plus envahissant , toujours plus sophistiqué nourrissant de moins en moins les populations , mais ayant aussi ce triste privilège de les empoisonner de plus en plus.
La filière alimentaire de qualité devient un besoin de la société civile de consommation capable de rémunérer des postes , puisqu'ils innovent de nouvelles manières de travailler ; reste qu'un financement responsable coopératif devient indispensable . Ce financement coopératif responsable développera le pouvoir de reconnaître l'utilité du travail de mise en relation et d'informations comme prioritaires à l'inter-activité dynamique des entreprises , des associations , des organisations et des projets engagés dans les biens communs de qualité et des méthodes innovantes à construire plutôt que continuer à les combattre parce qu'elles ne détruisent pas.
Lien en Pays d'OC depuis plus de 20 années informe et crée des espaces de rencontres pour s'organiser entre producteurs, consommateurs et distributeurs en mettant gratuitement à disposition du public un site et en développant des réseaux sur le net.
Par cette méthode pratique Lien en Pays d'OC s'est donné les moyens de prolonger les informations et de faire connaître régulièrement des réseaux comme : Terre de liens, Semences paysannes, Mouvement en Biodynamie, Nature&Progrès , CCFD terre solidaires, La faim expliquée ? ...et bien d'autres, autant d'associations responsables issues de la société civile constituant les piliers d'un fondement d'une qualité alimentaire et solidaire à développer pour nous mêmes et les générations futures.
Avec une banque éthique telle que la NEF mettant en avant la capacité de soutenir des entreprises en germes assurant le prolongement de l'innovation de l'avenir économique, le réseau coopératif citoyen pour une qualité alimentaire poursuivra son développement.
Ce développement durable n'est pas qu'une appellation comme d'autres pour obtenir des subventions publiques ; il assure dans la pratique un avenir économique respectant la Planète en sortant de l'enlisement de la guerre économique. La guerre économique elle, prolonge les lois et concepts issus de la fin des deux guerres mondiales 1914-18 et 1939-45 dévastatrices pour beaucoup de nos familles laissant derrière...des cimetières humains alors que les cimetières d 'épaves d'armements empoisonnent encore nos sols ou gisent au fond de nos océans.
Lien en Pays d'OC s'est engagée dans cette vision de qualité alimentaire en prolongeant aujourd'hui la vision coopérative des Biocoops mais aussi de tout commerce issu d'une économie au service des besoins essentiels unissant dans le concept de développement durable: social et culture.
Ce développement durable reste une démarche de la société civile qui innove les réponses aux besoins essentiels avant que les institutions publiques aient toutes compris le réel sens de ces besoins essentiels.
Voir en complément
Le mouvement de la tri-organisation sociale informe
L'économie, le juridique, le spirituel - 1er épisode, "L'argent et l'économie", en accès libre voir ici .
L’ascension d’Emmanuel Macron et l’avenir de l’Europe - Partie 2 : «Europe des États» ou bien «Europe des élites» ? écrit par Alain Moreau voir ici
Épaves et pollution – Les larmes noires de l’océan :
Epaves de la Seconde Guerre : face au risque de pollution aux hydrocarbures les scientifiques sonnent d’alarme.
Diffusé sur Arte le samedi 1 juillet 2017 à 22:16 – Durée : 53 min
Au large des côtes du monde entier reposent de véritables bombes à retardement, ignorées du grand public : six mille trois cents épaves de navires coulés pendant la Seconde Guerre mondiale, qui rouillent depuis plus de soixante-dix ans au fond de l’eau. Ces épaves, toujours chargées en carburant, représentent une source de pollution potentielle extrêmement préoccupante, la corrosion fissurant peu à peu les coques. Et la menace dépasse de loin les pires marées noires de l’histoire : à titre de comparaison, les 37 000 tonnes de carburant déversées par le pétrolier Exxon Valdez, qui s’échoua en 1989 au large de l’Alaska, ne constituent qu’une proportion infime de ce que pourraient contenir les épaves de la dernière guerre mondiale. Selon les estimations, leurs réservoirs renfermeraient jusqu’à 15 millions de tonnes de pétrole, qui menacent de s’échapper. Sur les côtes de Pologne, de Norvège ou des États-Unis, et jusqu’au fond de l’océan Pacifique, Christian Heynen suit des chercheurs qui évaluent l’ampleur de cette catastrophe à venir. Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme : si on veut éviter le drame, le contenu des cuves doit être pompé de toute urgence. Alors que la course contre la montre est désormais engagée, les gouvernements tardent pourtant à agir. Voir la vidéo sur youtube
Pourquoi Lien en Pays d'OC s'engage avec le développement Biocoop mais aussi de tout commerce issu d'une économie au service des besoins essentiels unissant dans le concept de développement durable: social et culture.
Le monde est en changement perpétuel. Les compétences développées dans le travail coopératif d'un réseau évolutif à valeurs ajoutées humaines évitent les incompétences liées aux entreprises de copinages qui découlent de la vision étroite d'une économie ni sociale , ni écologique et d'un développement durable qui tombe toujours en panne suite
PROJET MULTIBOUTIQUES POUR ALIMENTATION DE QUALITE PRECEDENT UN PDV PHYSIQUE
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Questionnements et suggestions de Sylvie Léveillé du Cercle de Gindou suite à l'atelier coopératif organisé à Caylus le 10 Décembre
Réponse globale de René Chaboy engagé dans un projet de la société civile pour Caylus et le territoire s'appuyant sur le développement de la qualité alimentaire
L'atelier proposé avec post-it n'était pas adapté à la nature du projet que nous avions , du coup nous sommes partis avec des questions mais pas encore de groupe porteur du projet.
J'ai contacté Michel Laloux pour faire le point et préparer la suite avant sa venue du 7 Avril 2018. Avec sa contribution et sa connaissance actuelle des projets et leurs tendances ; nous avons réfléchi dans quel ordre ce projet de lien social dans l'organisation économique du village pouvait se réaliser . Le point de vente a été finalement retenu pour être mis en place dans une première étape, Michel Laloux a donné de forts arguments sur le fait que le site multi-boutiques sur le net serait compliqué à gérer, bien qu'utile pour la communication locale et le lien social . Lien en Pays d'OC avec son site gratuit mis à disposition du public régulièrement mis à jour et son réseau sur le net assure déjà cette fonction .
Michel Laloux a insisté sur le fait qu'un groupe porteur était nécessaire .
Même si des Caylusiens ne s'investissaient pas directement dans ce groupe porteur, nous pouvons espérer que certains d'entre eux soutiendraient un projet de ventes de produits alimentaires de qualité dans le village plutôt qu'un système U .
J'ai contacté la Biocoop de Villefranche de Rouergue . La démarche Biocoop peut accompagner de différentes façons la création d'un point de vente . Des personnes qui souhaiteraient créer leurs emplois de gérants pourraient bénéficier d'une formation Biocoop . D'autre part ils bénéficieraient de l 'appui d'un groupe porteur qui se constituerait à partir des réunions organisées par Lien en pays d'OC . Cette démarche associative d'animation culturelle , sociale et de rencontres innovantes dans le village de Caylus apporterait la dynamique d'une société civile engagée pour l'organisation sociale , écologique et économique du village tourné vers son avenir. Ce groupe porteur s'engagerait à compenser ce manque de civilité du village que le maire a indiqué lors d'un message adressé aux habitants.
Le 7 Avril 2018 Michel Laloux interviendra pour favoriser la réflexion autour d'un projet coopératif pour le village de Caylus et le territoire .
Le projet alimentaire de qualité présenté et proposé par Lien en pays d'OC et dont la mise en place progressive pour porter la distribution , la communication et l'information déjà consultable sur le site ne peut qu'être partagé par un groupe porteur s'engageant dans la coopération.
Le dernier atelier coopératif du 10 Décembre n'a pas facilité la constitution de ce groupe porteur car afficher des « post-it » est sympathique mais n'a pas permis de faire avancer la démarche constructive économique rassemblant déjà tous les éléments mais ne définissant pas dans quel ordre commencer.
N'ayant pas perçu dans l'atelier du 10 Décembre cette capacité de l'engagement dans un groupe porteur ; j'ai contacté Michel Laloux économiste enseignant et accompagnateur de groupe voulant s'engager et porter en commun un projet économique ( bien réel).
J'ai appelé Michel Laloux en lui laissant un message, quelques heures après, il me rappelait . Immédiatement il m'a posé des questions ; je lui a fait un rapport de ces réunions de "passants" mais sans travailler réellement la démarche de constitution d'un groupe porteur
. Nous avons définis qu'un point de vente de produits de qualité pourrait devenir la première étape du projet économique .
Ensemble nous avons fait le point du village, de son potentiel et de la nécessité d'une volonté commune locale à vouloir mettre en œuvre ce projet coopératif pour que certaines personnes de Caylus s'engagent ou du moins le soutiennent . Cette réunion téléphonique a duré environ trente minutes.
Pour avoir créé voici 30 ans des magasins de produits biologiques à Toulouse ( avec plats cuisinés en plus) , mais sous statut familial , je suis convaincu que le magasin a cet avantage de créer du lien social direct avec les consommateurs directement impliqués dans la vie économique . Aujourd'hui un magasin coopératif serait indispensable, accompagné d'un groupe responsable, il pourrait assurer un développement économique du village.
Michel Laloux accompagne régulièrement depuis quelques années un groupe de producteurs dans le Lot et le travail est fructueux dans l'esprit organisateur coopératif et économique.
Il est déjà intervenu en 2015 à Caylus dans une conférence avec André Bellon « Démocratie & économie : que peut faire la Société Civile ? organisée par Lien en pays d'OC
Le lundi 23 novembre a eu lieu une conférence à Caylus (Tarn et garonne) avec André Bellon et Michel Laloux Voir la suite .
Les deux intervenants ont été interrogés par Radio CFM. Vous pouvez écouter et faire écouter cette émission par le lien suivant :
Le Samedi 7 Avril 2018, nous organiserons une journée pour la constitution et l'engagement du groupe porteur . La journée commencera à 8h30 voire 9 heures pour s'achever à 17 30 . Le Vendredi soir une introduction à cette journée de travail pourrait s'envisager. Cette journée demandera une participation financière indicative de 40 euros pour les frais de l'intervenant.
Un noyau porteur pourra se constituer pour une démarche concrète en s'appuyant sur les 3 piliers fondateurs du développement durable : social-écologique et économique alimentaire de qualité en pleine demande et une relation avec les villes pourra se prolonger.
Une demande de Fond de dotations pour communication coopérative et germes d'entreprises de biens communs est prévue pour la suite du développement économique.
La filière de la qualité alimentaire est une économie d'avenir , elle concerne en plus de la tri-articulation sociale entre consommateurs-producteurs et distributeurs,
- les transformateurs , les restaurateurs
- les médecines prenant en compte cette qualité alimentaire , les éducateurs ( trices) à cette consommation de qualité , les mutuelles qui ont un intérêt à la prévention santé .....
- les semences reproductibles, les emballages , le matériel de cuisson , de conservation, les couverts , les poteries, les nouveaux outils d'agriculture et de jardinage ...
De nombreuses entreprises innovent pour éviter les conservateurs, les pesticides , les métaux lourds .....
Comment pourrait-on attirer les touristes pendant l'été dans nos villages , voire à l'année si la financiarisation des grandes puissances industrielles achètent les terres, les villages , les ressources naturelles de nos territoires en les remplaçant par des entreprises de plus en plus polluantes ?
La société civile organisée en coopération peut ouvrir des événements responsables sur notre village de Caylus qui meurt en s'exposant à l'invasion de la financiarisation des espaces par les grandes puissances de l'argent spéculatif . En organisant des événements responsables pour la qualité alimentaire et la santé , l'environnement sera respecté, la fracture sociale et l'incivilité seront compensées par la coopération d'une nouvelle culture favorisant le lien social pour construire l'avenir économique, touristique, écologique.
Voici pourquoi la tri-organisation pour une alimentation de qualité prenant en compte les consommateurs- les producteurs et les distributeurs réunis est une nécessité .
Parce que nous mangeons et consommons tous élus, non élus, distributeurs producteurs...nous ne pouvons être mis à l'écart de décisions qui nous concernent en majorité ….
Une association portée par la société civile est indispensable. lire la suite
Oui le pouvoir du bon sens est dans l'assiette!
A/ Projet MULTIBOUTIQUES – de quoi s'agit-il ?.....
Il s'agirait donc, d'aprè ce que j'ai compris, d'un site internet VITRINE, çàd non-marchand. Y seraient mis en avant les producteurs régionaux qui répondent à certains critères (à définir) pour fournir des « produits de qualité pour une alimentation saine », Ils auraient déjà chacun leur site internet pour la VENTE de leurs produits. Le site « multiboutiques » aurait comme fonction de regrouper sur une même plateforme numérique virtuelle tous les produits de consommation retenus pour ce projet. Le site aurait une fonction de SENSIBILISATION et serait un outil de « MARKETING éclairé ».
Dans ces conditions, en quoi consisterait le volet « distribution » ?.... il n'y en a pas.... !
Réponse de René Chaboy : la place du point de vente de produits est éclairci dans la réponse globale .
Réponse de Christiane Roques
Voir dans le titre de l'atelier : création d'un multi boutique alimentation de qualité précédant un point de vente physique
Un site multi boutique dans un second temps pourra localiser les productions alimentaires , de qualité, locales, ou proches, les services, les acteurs d'une même démarche (selon une charte?), permettra d'avoir une idée des attentes des consommateurs : si bcp de personnes veulent de ces produits naturels bons et bios, (et j'ai l'impression que ça va se développer même dans notre village de Caylus) un point de vente sera le bienvenu et pourquoi ne pas questionner les consommateurs intéressés par ces produits ?
Que veulent ils ? Il peuvent aussi amener des idées. Le site peut aussi servir à ça.
Pour les personnes non habitantes du coin, de passage, ce site peut servir à donner une image du village, de la région. Une vitrine oui mais pas que. (Tout cela avait déjà été évoqué lors de la réunion avec C. Bergé concepteur de sites)
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Soit il est question avec le site multiboutiques de créer une plateforme logistique pour regrouper les PRODUITS des producteurs et les COMMANDES des internautes , les PREPARER et les EXPEDIER/LIVRER et là.... attention.... c'est de la distribution mais c'est une mise en place très coûteuse qui demande une maîtrise très pointue en gestion des stocks et transport
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Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif .
- Soit, c'est chaque producteur qui prendra en charge les demandes générées par le site vitrine multiboutiques et qui traitera ses propres commandes comme à son habitude (livraisons/expéditions). Dans ce cas, la « tri-articulation » n'est pas appliquée. On se retrouve dans une configuration basique de « Direct producteurs Consommateurs » avec juste un outil « communication » intermédiaire qui sera le site vitrine. -
Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif .
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Réponse de Christiane Roques
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Le distributeur a un rôle nécessaire :
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un exemple : moi qui utilise en ce moment les paniers d'un groupe producteurs (graine de terroirs) je vois les limites : des œufs cassés, des produits abimés forcément tout mis dans un sac de toile, en vrac ne peut pas fonctionner correctement C'est bien pour un dépannage. Les producteurs ne peuvent pas tout faire.
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- Site vitrine qui serait financé par qui ?.... l'impact sur les ventes des producteurs serait évalué et quantifié comment ?....
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Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif .
B/ La notion de PORTAIL – concept plus large que le MULTIBOUTIQUES
C'est une notion plus large que le simple site vitrines. Elle suppose la mise en avant de producteurs plus ou moins locaux/régionaux qui tous réunis offriront un catalogue-produit qui pourra couvrir tous les besoins essentiels pour une alimentation de qualité, et en plus, le portail regroupera l'information sur tous les SERVICES AU PUBLIC DE PROXIMITE . Un portail donc qui viserait à référencer tous les besoins du quotidien pour le bassin de vie autour de Caylus.
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Ce sera un énorme travail de coordination, au moment de sa création, et un énorme travail de suivi pour que l'initiative soit pérenne. Qui va financer le webmaster ???? et la publicité pour faire connaître le site ??.....
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Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif .
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Le travail de coordination a déjà commencé par la création le financement du site Lien en pays d'OC et la constitution des réseaux sur le net avec les moyens diversifiés : facebook, LinkedIn , Viadéo, Twitter, Horyou
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Dans son CR, René parle « d'entreprises en germe ».... Ces entreprises n'auront sans doute pas de site internet ... Est ce que le projet inclue de créer des pages web personnalisées pour les producteurs qui débutent ??....
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Réponse de René CHABOY : Les entreprises en germes seront soutenues . Une demande de fonds de dotations sera constituée, si nous voulons que nos villages accueillent des entreprises innovantes , nous devrons penser aux logements des entrepreneurs .
- Dans son CR, René écrit aussi « le numérique est un outil favorisant la méthodologie et la logistique » …. ce n'est pas tout à fait exact.... le numérique requiert une méthodologie préalable sans faille pour exister efficacement.... et la logistique requiert également une méthodologie préalable sans faille pour que le numérique soit un outil d'exécution et d'anticipation efficace.
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Réponse de René CHABOY Oui
Le numérique est un outil qui favorise la méthodologie et la logistique selon la vision de la tri-articualtion sociale ( basée sur la démocratie et l'économie évfolutives ) ; pas sur celle du nerf de la guerre économique
Je confirme cette affirmation, pour avoir créé un magasin de produits et plats cuisinés biologiques en 1984 sans informatique. J'ai pris soin après cette expérience de mettre l'informatique et le numérique pour créer un réseau avant de concevoir un point de ventes qu'il soit par des sites déjà existants ou physique.
Dans cette dynamique de lien social avec pour but de rapprocher : consommateurs , producteurs et distributeurs
Pour cela, il faut penser à créer et gérer des réseaux , c'est ce que je fais quotidiennement avec des moyens diversifiés : facebook , LinkedIn, Viadéo , Twitter , Horyou
Un espace de coopération commence pour l'intérêt des biens communs si bien sûr la recherche commence par celui d'échanger des informations , c'est le lien de tri-articulation qui réunit responsabilité et social contrairement au système binaire qui les oppose .
Innovation sociale et innovation responsable : deux approches différentes suite
C/ Point de vente physique – encore plus d' investissements et plus de risques
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A propos de « enquêteur pratique » : il n'est pas raisonnable de créer un site vitrine, avec tout l' investissement que cela représente, juste pour « tester » la viabilité d'un PDV à venir. D'autant que dans un avenir proche, ce sont les ventes par internet qui vont continuer à augmenter considérablement !
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Réponse de René CHABOY
Rien n'est sûr dans cette affirmation publicitaire pour vendre du matériel informatique plus que de raison « dans un avenir proche, ce sont les ventes par internet qui vont continuer à augmenter considérablement ! » Si l'on admet que la plate-forme multi-boutiques ne peut être prioritaire parce que trop compliquée à gérer, peux-tu défendre l'accélération de la vente par internet ? Le projet de construire des micro-entreprises de biens communs en réseaux coopératifs ; point de vente alimentaire de qualité , point de semences et outils de jardins, restaurant ….sur un même lieu chaque entreprise se responsabilisant dans son rapport avec l'argent et le moyen d'obtenir des fonds coopératifs restera un lien direct entre les humains. Des événements thématiques ( sur l'alimentation en général : des semences reproductibles à l'assiette avec tous les problématiques des déchets …) viendront compléter une vision de l'informatique qui déraperait en se coupant du lien social concret et de nouvelles formes à promouvoir l'économie d'un village et d'un territoire.
Rien n'est sûr effectivement, que les ventes par internet vont augmenter considérablement , pas pour les produits alimentaires de qualité, dans une démarche ou les consommateurs responsables ont besoin de contact direct, du « lien social concret » de visualiser leur produits, de conseils sur le choix du produit, quand on recherche à vivre mieux et plus sain, on questionne beaucoup on se questionne aussi sur de nouvelles formes de société, etc ce que ne permet pas les commandes par internet même dans le bio. Et la vision de un point de vente
alimentaire (avec point de semences et outils de jardins, restauration etc ) me paraît au contraire d'avenir dans notre lieu rural
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Bien-sûr, nous ne perdons pas de vue que l'ouverture d'un PDV physique suppose des budgets considérables et des risques importants. Qui va vouloir financer ?....
Réponse de René CHABOY
L'obsession de se poser des questions répétitives qui va payer demain fait oublier ce que l'on pourrait commencer à payer personnellement pour le collectif de demain dès à présent .
Lors de l'intervention de Didier Gusse , la question argent n'a pas été abordée comme elle aurait dû l'être . Nous avons conscience Christiane Roques et moi-même qui finançons ce projet de la nécessité d'inclure le lien social dès le départ d'un processus . La demande de prestation de 360 euros de Didier Gusse a donc été assumée par Christiane et moi-même . Ce nouveau processus a besoin de trouver des participations coopératives de financement y compris dans le paiement des intervenants.
Avant de parler sans cesse du financement, il faudra déjà mettre la main à la poche pour payer les intervenants et les frais de fonctionnement de l'association Lien en pays d'OC qui ne reçoit pas de subventions , pas d'adhésions ; mais continue à s'engager dans la constitution d'un groupe porteur partageant un projet de la société civile pour Caylus et le territoire s'appuyant sur le développement de la qualité alimentaire . Ce projet en réseau avec les Biocoops a les possibilités de participer à l'évolution du développement de la qualité alimentaire comme support d'un développement économique adapté au besoin des consommateurs responsables avec des créations d'emplois dans la distribution et la production.
Nous proposons des projections de films pour s'éduquer à une autre approche de l'argent
L'Economique, Le Juridique, le Spirituel une série de 4 Dvds produite et réalisée par Bernard Bonnamour.
Le Mouvement pour la tri-articulation sociale informe
L'économie, le juridique, le spirituel.
Le 1er épisode de la série, "L'argent et l'économie", est actuellement en accès libre.
Contenu de cet épisode :
Qu’est-ce que vraiment l’argent ? Idées fausses sur l’argent - Argent comme instrument de mesure des valeurs économiques - L’argent n’est pas une marchandise - L’argent qui fait de l’argent, une tricherie qui engendre un mal social grave mais banal. suite
En conséquence, d'un point de vue stratégique, ne devrait on pas s'interroger sur les différentes étapes du développement de ce projet coopératif ….
Réponse de René CHABOY
C'est ce que nous proposons actuellement comment poursuivre le financement coopératif pour sa communication et celui des germes d'entreprises innovantes de biens communs respectant les 3 piliers fondamentaux du développement durable et sa charte voir sur le site Lien en pays d'OC
Le bon et le mauvais sens du développement durable suite
Un dossier pour la demande d'un fond de dotations sera déposé . Ce fond de dotations permettra le financement de ces entreprises de biens communs qui ne rentrent pas dans les cadres de financements traditionnels.
Ce fond de dotations évitera les dérives de certaines collectivités recevant des fonds publics pour le développement durable et le redistribuant à des associations d'éphémères n'ayant aucun intérêt pour les biens communs , ce qui évitera des projets qui avortent et la dette publique qui continue de croître.
Plutôt qu'un site vitrine, envisager un site marchand coopératif (avec grosse campagne de pub sur la zone de chalandise pour faire connaître le site) ??
Réponse de René CHABOY
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Avec le travail qui se fera le 7 Avril 2018 et le groupe porteur qui se sera engagé ; le projet pourrait se mettre en marche
Plutôt qu'un PDV, pourquoi pas envisager un simple point-relais – sur le passage de ce fameux axe routier très fréquenté de Caylus – où les commandes passées en ligne par les internautes/automobilistes pourraient être retirées par eux-mêmes à un moment de leur choix fixé à l'avance ?Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif .
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A moins que le point-relais puisse être sur le lieu où seront entreposées les marchandises pour expédition si, comme l' a évoqué René, il y a la possibilité de CONSTRUIRE à la sortie de Caylus sur cet axe routier « porteur ».
Réponse de René Chaboy : cette question ne se pose plus si le point de ventes est un magasin coopératif sur un lieu de passage 6000 véhicules par jour. -
le nerf de la guerre reste qui finance quoi ???? Il s'agit là d'un projet COMMERCIAL, qui va bien au-delà d'une initiative pour créer du « lien social », immatériel.... Ici nous sommes dans une configuration de BUSINESS ….. même éthique et vertueux.... donc, la question de l'argent pour pouvoir concrétiser cette vision « d'approvisionnement citoyen en pdts de qualité » est fondamentale .... -
Réponse de René CHABOY
Projet alimentaire économique de qualité un potentiel sans limite du développement et de l'investissement sûr .
Je mange, tu manges, il mange , nous mangeons, vous mangez,ils mangent : oui nous mangeons tous que nous soyons élus , non élus, producteurs, distributeurs ….autant que ce soit une alimentation de qualité plutôt qu'une alimentation dangereuse pour la santé.
Comme nous pouvons tous développer ce bon sens , nous pouvons développer un financement coopératif qui évitera celui du danger ou nous sommes , consommateurs mis à l'écart des décisions. États généraux de l’alimentation-Quelles avancées pour les consommateurs ?
Les consommateurs, simples spectateurs des réformes
Voici pourquoi la tri-organisation pour une alimentation de qualité entre producteurs , consommateurs et distributeurs portée par la société civile est indispensable Rejoindre Association Lien en Pays d'OC
Voir site http://www.lienenpaysdoc.com/
Le financement coopératif sera assuré par une association entre consommateurs responsables , producteurs souhaitant répondre à cette qualité et les distributeurs souhaitant organiser sa vente.
Ce projet évolutif pourra s'appuyer sur l'association Lien en Pays d'OC ayant déjà mis en place une organisation de rencontres et d'événements autour de cette notion culturelle de qualité afin de ne pas tomber en panne, comme la plupart des projets décidés d'en haut , mais jamais sans les compétences déjà en marche du bas .
Guerre économique ou Economie pour la Paix ?
Voici cent ans en pleine guerre et révolution, Rudolf Steiner élabora en Europe Centrale dans l'empire austro-hongrois en déliquescence , les idées de tri-organisation sociale qui aurait évité le pire. En France Jean Jaurès proposait la paix plutôt que la guerre, il fut assassiné et après 1914-18 , celle de 1939-45 lui succéda avec ses millions de morts en touchant profondément nos familles.
Et maintenant dominerons -nous l'agressivité par une tri-organisation sociale fraternelle sur une même planète ?
« La couardise demande : est-ce sûr ?
L’efficacité demande : est-ce politique ?
La vanité demande : est-ce populaire ?
Mais la conscience demande : est-ce juste ?
Et il vient un temps où l’on doit prendre une position qui n’est ni sûre, ni politique, ni populaire, mais on doit la prendre simplement parce qu’elle est …JUSTE. » Martin Luther King Jr
Et si 2017 était l’année à partir de laquelle la catastrophe climatique avait vraiment commencé ? Retour sur 5 événements majeurs qui montrent que le climat commence à être totalement hors de contrôle et comme nous dit notre Président, nous sommes en train de perdre la bataille. suite
De la difficulté à être citoyen
Pour la plupart d’entre nous, être citoyen relève de la performativité, pour peu que nous en possédons, naturellement, les qualités juridiques nécessaires et suffisantes.
Etre citoyen : c’est bénéficier d’un statut qui ouvre des droits, impose des obligations et incite à participer à la vie de la cité.
Etre citoyen : c’est avoir cette part de souveraineté que lui confère la Constitution lui permettant de présider, ainsi, à la destinée de la nation.
Bref, être citoyen : c’est un état permanent dont nul ne peut être dessaisi (1). Suite
Projet commercial économique de Paix pour sortir de la guerre économique
Des projections de films pour s'éduquer à une autre approche économique afin de sortir de ce « nerf de la guerre ancré dans beaucoup d'idées » qui ne permet pas de nous remettre en question sur la question de l'argent responsable, démocratique et coopératif sont proposés par Lien en Pays d'OC .
A étudier : L'Economique, Le Juridique, le Spirituel une série de 4 Dvds produite et réalisée par Bernard Bonnamour.
Le noyau porteur du projet présenté à Caylus ne sera pas basé sur cette logique de guerre économique qui nous a valu les morts de 1914-18 , l'assassinat de Jean Jaurès et les morts de 1939-45 sans oublier tous ceux qui sont persécutés dans le monde parce qu'ils sont mis hors circuit de ce système du superflu, des compétitions et de la lutte de tous contre tous.
Rudolf Steiner voici plus de cent ans a commencé par donner ces idées de tri-organisation sociale parce qu'il constatait que les esprits dominants pour l'agressivité , le non respect de la vie commençaient à s'échauffer .
Le noyau porteur sera capable par l'esprit démultiplicateur de faire vivre ce projet en réseau économique .