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Infos à la Une

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L'alimentation et la faim dans le monde nous concernent

La faim dans le monde s'aggrave, sombres perspectives en 2020
Climat : des moissons compromises
Des récoltes faibles depuis dix ans
La faim pourrait tuer 12 000 personnes par jour à la fin de l'année

De l’importance de la coopération et de la solidarité dans le combat contre la faim et la pauvreté*

par Daniel Gustafson**

Les deux dernières années ont démontré avec éclat combien les problèmes les plus sérieux auxquels le monde fait face sont indéniablement de nature planétaire et, en même temps, posent des questions graves sur notre capacité d’affronter l’ampleur des problèmes et des injustices affligeant l’humanité.
L’extraordinaire rapidité de la mondialisation et des communications a amplifié considérablement la circulation des personnes, des biens et des connaissances autour de la Terre. Elle a créé une explosion de nouvelles interdépendances entre les individus, les nations et les régions, qui a évoluée plus vite que notre faculté de bien comprendre la totalité de leurs implications sur nos vies et nos sociétés, ou d’atténuer leurs conséquences négatives. suite à ce lien

La faim dans le monde s'aggrave, sombres perspectives en 2020 

Près d'un humain sur neuf souffrait de sous-alimentation chronique en 2019, une proportion appelée à s'aggraver en raison de la pandémie de Covid-19, selon un rapport annuel de l'ONU publié lundi. voir plus

Climat : des moissons compromises - Des récoltes faibles depuis dix ans

Commencer les moissons en avance n’est pas forcément une bonne nouvelle. Ici, dans le Tarn, près d’Albi, les moissonneuses sont entrées dans ce champ d’orge avec deux semaines d’avance. La récolte s’annonce décevante. Principale raison : les conditions météo. “Il y a eu beaucoup trop de pluie en hiver, et de suite, on est passés à un printemps chaud et sec qui a stressé la plante au niveau hydrique. Cela engendre de mauvais rendements et une mauvaise qualité du grain”, explique Marc Puech, agriculteur-éleveur.  suite
La faim pourrait tuer 12 000 personnes par jour à la fin de l'année

Selon un rapport d'Oxfam publié ce jeudi, le ralentissement de l'économie et le confinement généralisé risquent de pousser 121 millions de personnes vers un niveau critique de faim.  suite

Pour faire face au développement de la faim
Décidons de notre alimentation ! Pour une véritable démocratie alimentaire
Formons un Conseil Citoyen de Souveraineté Autonomie Résilience Alimentaire et aménagement civilien du territoire

Informations complémentaires
Sécheresse : "une approche globale au cycle de l’eau est absolument nécessaire"
Par  Adèle Magnard
En plus des mesures à court-terme, comme l’interdiction d’alimenter les méthaniseurs avec des fourrages, la Confédération paysanne prône une approche globale du cycle de l’eau, afin de faire face aux pénuries de plus en plus fréquentes.
« Pour les années qui viennent, une approche globale au cycle de l’eau est absolument nécessaire », alerte la Confédération paysanne dans un communiqué le 17 juin. L'été 2019 a vu près de 90 départements en alerte pénurie d’eau ou soumis à restrictions de prélèvements. « Cette année, les prévisions ne sont guère meilleures, note le syndicat. Des territoires ont subi des graves inondations, tandis que d’autres n’ont pas été touchés par des précipitations suffisantes ». voir plus

Crise alimentaire mondiale : « Nous sommes au bord d’une pandémie de faim »
par Sophie Chapelle
Un risque de pénurie alimentaire n’est, pour le moment, pas à craindre. Mais des dizaines de millions de personnes sont menacées de ne plus pouvoir manger à leur faim, du fait de l’absence de revenus, de protections sociales et de rupture des chaînes d’approvisionnement. Voir plus

- Le départ en retraite d’un agriculteur sur trois d’ici trois ans va bouleverser le paysage agricole
Par Laurence Girard , Mathilde Costil , Sylvie Gittus et Floriane Picard
Décryptages La France en cartes. Près d’un tiers des agriculteurs ont plus de 55 ans. La question de la transmission se fait donc de plus en plus pressante à l’heure où le nombre des installations ne cesse de baisser. Suite

- Face au défi des départs en retraite massifs d’agriculteurs dans les 10 ans
Sur Agrimutuel
La moitié des exploitants agricoles va partir à la retraite dans les 10 prochaines années, un problème de société autant qu'un défi pour la mutualité sociale agricole (MSA) qui prend en charge les pensions de retraite, a souligné mercredi la MSA. Suite 

Avec les départs en retraite massifs de nos paysans , les suicides, les consommateurs devront bientôt pour se nourrir , compter sur leurs productions personnelles si ils ne veulent pas  attendre  le bateau de légumes et de fruits venu du bout du monde !!! Des coopérations entre fermes locales de tailles raisonnables et jardins coopératifs civiliens sont à mettre en activité.

FRANCE. Sans nouvelle loi foncière, la destruction des espaces naturels se poursuivra à un rythme insoutenable
20 janvier 2020
Source: AGTER (link is external), Le Monde
Tribune publiée par lemonde.fr le 3 décembre 2019
Rédigé par : Collectif
Date de rédaction : 3 décembre 2019
Organismes : Association pour contribuer à l’Amélioration de la Gouvernance de la Terre, de l’Eau et des Ressources naturelles (AGTER) (link is external), Alternatives agroécologiques solidaires (SOL) (link is external), Comité Catholique Contre la Faim - Terre Solidaire (CCFD-Terre Solidaire) (link is external), France Nature Environnement (FNE) (link is external), Confédération Paysanne (link is external), Terre de Liens (link is external), Fédération des conservatoires d’espaces naturels (link is external), Notre affaire à tous (link is external), Solidarités nouvelles pour le logement (SNL) (link is external), Fédération nationale d’agriculture biologique (FNAB) (link is external)
Type de document : Communiqué
Documents sources
Le Monde. 3 décembre 2019 lire ici

TRIBUNE publiée par le journal LE MONDE le 3 décembre 2019
Collectif
Tant pour maintenir et créer des emplois que pour préserver la terre nourricière, il est urgent de refonder la politique foncière, affirme dans une tribune au « Monde » un collectif de dix organisations actives dans l’agriculture, le logement et le développement.
De nombreuses voix s’élèvent avec raison contre les incendies en forêt amazonienne dont les causes sont structurelles et mondiales. Au même titre qu’il faut en combattre les effets là-bas, il convient de s’insurger contre la destruction des terres agricoles en France et en Europe. L’abandon du projet Europa City est à cet égard un bon signal, mais ne suffit pas : chaque jour l’agriculture française perd plus de 100 hectares et vingt emplois.
Parce que les espaces agricoles et forestiers sont à la fois limités et indispensables à la vie de chacune et chacun d’entre nous, ils constituent un patrimoine commun. A l’échelle mondiale, ce patrimoine procure 97 % des calories alimentaires consommées par l’humanité. Or, la production alimentaire sera de plus en plus affectée par le dérèglement climatique et l’érosion de la biodiversité.
Il est donc impératif de préserver ces espaces, tant en quantité qu’en qualité. Ce sont eux qui captent et séquestrent le carbone et qui accueillent la biodiversité. La préservation de ces espaces dès maintenant est la condition d’un système alimentaire mondial sain et durable pour demain.
La France et l’accaparement foncier
    voir plus

 

Il faut « instaurer une démocratie alimentaire qui vise une meilleure santé économique, sociale, environnementale et humaine »   voir l'article
Oui mais avec les
consommateurs responsables et un aménagement civilien des territoires .

Le Ceta ou la trahison démocratique permanente
 Des associations et syndicats écologistes
Il y a un an, le Ceta était ratifié, soulevant l’ire, entre autres, des écologistes. « Le chapitre sur l’environnement n’a qu’une fonction ornementale, puisqu’il n’est pas contraignant », soulignent les auteurs de cette tribune, qui rappellent que lutter contre le dérèglement climatique, c’est sortir des accords de libre-échange climaticides.
lire la suite


 Le besoin essentiel des peuples : celui de se nourrir et la difficile réforme de la loi illégitime sur les semences de l'Europe

Avec le développement de la sous alimentation , de la famine et des mauvaises récoltes réunir la souveraineté-l’autonomie et la résilience alimentaire permettra la liberté des semences en respectant le Développement Durable tel que le rapport Bruntland l’a défini en 1987.

Le développement durable selon le rapport Bruntland de 1987 s’appuie sur les 3 piliers : social-écologie et économie
Devant l’ONU ce rapport a fait date pour sa définition « un mode de développement qui répond aux besoins du présent en incluant les plus pauvres tout en permettant aux générations futures de répondre aux leurs Le projet politique que sous -tend cette définition repose sur une solidarité intra et inter générationnelle , c’est l’ambition sociale aujourd’hui qui est essentielle , la préservation de l’environnement est une contrainte pour demain. »
En attaquant la France pour la vente des semences l’Europe ne respecte pas le Développement Durable voir Difficile réforme de la loi illégitime sur les semences ! À ce lien

Nous vous invitons dans notre réseau souveraineté autonomie et résilience alimentaire pour faire face au développement de la sous alimentation et des famines. Un modèle de résilience alimentaire pour l’aménagement de nos territoires Voici l'initiative de Colomiers dans la Haute Garonne que nous soutenons avec notre réseau civilien alliant souveraineté autonomie résilience alimentaire et social-écologie - économie Voir le communiqué de Patrick Jimena suite sur le site

Université Francophone de l'Autonomie Alimentaire En route pour l’autonomie alimentaire
Le blog de François Rouillay   voir le site


Habitat coopératif et jardins solidaires pour une transition  sur Facebook

Engageons nous  dans la coconstruction d’une production coopérative alimentaire civilienne  de qualité pour nous évader  du piège des grands lobbies de l’agro-industrie  et participons  à l’organisation sociale face au développement de la misère en participant à créer des entreprises durables et des distributions coopératives .
Si nous n’entreprenons pas ce travail en cours , nous risquons de continuer à subir le pouvoir qui ne change jamais ; se nourrissant perpétuellement de notre incapacité à nous organiser civiliennement . Depuis les années 1960 ( traité de Rome :1957 lire Le Scandale de l'agriculture folle de André Pochon ) , l’organisation sociale au début d’une écolonomie alimentaire n’a pas rempli son travail.
Rester sous le pouvoir des lobbies de l’agrochimie business nous a fait subir le coût de l'exportation à coups de subventions pour acheter matériels démesurés , pesticides et autres poisons ainsi que la constitution d' institutions que nous payons toutes et tous avec nos impôts ( TVA)  mais sans se faire entendre par les propositions faites d'en bas.
Les parallèles qui ne se rencontrent jamais.....développent des doublons voir des triplons sans pour autant résoudre les réels problèmes puisque les initiatives  créant le lien social au début d'un autre mouvement sont ignorées.
Contrairement au système millefeuilles ajoutant des outils numériques qui coûtent en énergie et à tous les contribuables en créant des oppositions permanentes sans résoudre les réels problèmes sociaux ; voici un réseau civilien qui évitera les voies qui ne se rencontrent jamais en Construisant avec le numérique des entreprises coopératives capables de s'adapter à la demande conciliant : social -écologie et économie
 Ces 4 campagnes prenant en comte des organisations transversales civiliennes ( ONG) feront pression d'en bas auprès d'élus ( comme Joël Labbé ) pour ne pas continuer à subir les millefeuilles administratifs d'en haut Europe, Etat, Region, Départements, Communauté de Communes, Territoires, Communes ....et la cumulation d’outils numériques qui les prolongent.

Le développement durable selon le rapport Bruntland de 1987 s’appuie sur les 3 piliers : social-écologie et économie faisons le respecter

Un exemple d’oppositions permanentes  dans le système qui évite d’avancer dans une coconstruction bénéfique pour les 3 piliers : social-écologie-économie .

Un pas en avant , un pas en arrière , rien ne bouge tout reste figé sur le surplace pour la liberté des semences et la démocratie alimentaire et cela depuis une quarantaine d’années   Explications

Organisons une communication et mise en relation d’en  bas vers les étoiles
Alimentation de qualité et habitat: des besoins prioritaires cliquer ici

L’après confinement ...la souveraineté , l'autonomie , la résilience alimentaire dans un territoire sont devenues indispensables cliquer ici
Conseil Citoyen de Souveraineté Autonomie Résilience Alimentaire et aménagement civilien du territoire
Voir plus 
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Vivre les mureaux ont organisé un Débat résilience alimentaire et sécurité nationale avec Stéphane Linou que vous retrouverez à ce lien
Résilience alimentaire et sécurité nationale: oser le sujet & le lier à celui de l'effondrement  voir ici