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Travailler plus ou travailler mieux en créant des emplois durables ?

Depuis bien longtemps, des retraités citoyens responsables travaillent bénévolement dans la Société Civile . Rappelons que l'emploi est un travail rémunéré que le système dominant spéculatif est incapable d'assumer pour le plus grand nombre, tout en profitant du bénévolat durable . Malgré la campagne faite pour le " travailler plus ", cette idée n'est pas souhaitable lorsqu'elle assure la conduite de projets la plupart du temps inutiles aux besoins essentiels et prioritaires de nos concitoyens. Travailler mieux pour garantir l'emploi durable à des  besoins essentiels et prioritaires  dans l'approche globale sociale liée à l'économie et à l'écologie devient indispensable pour garantir la place de l'être humain responsable du vivant et se libérer du modèle à "créer toujours plus de problèmes à ceux déjà en cours ". 

Les certitudes du système spéculatif dominant ne pouvant ou ne voulant pas se surpasser dans l'expérimentation de l'innovation et de l'évolution du vivant se limitent aux intérêts personnels de ceux qui veulent prolonger le même fonctionnement sans partager les décisions démocratiques. Ce partage prendrait en compte l'engagement de la Société Civile pour les besoins essentiels et prioritaires de nos concitoyens. Ce partage pourra-t-il se faire à partir du même système dominant ?

S.O.S. MAIRES- Autonomie et résilience des communes rurales

Les maires sont les gardiens des valeurs tangibles  
Nous pensons que les Maires des communes rurales doivent prendre en compte la possibilité d’un bouleversement radical même passager et des conséquences qui en découleraient au niveau de la gestion de leur commune.
Au delà de ce risque, la transition vers des économies plus localisées, et donc des communes plus autonomes, est souhaitable.
Les bassins économiques créés par les Maires peuvent répondre à ces besoins de sécurisation !
Vous êtes un Maire rural conscient de cette problématique, alors lisez ce site et n’hésitez pas à prendre conseil pour autonomiser l’ensemble des services et équipements nécessaires au bon fonctionnement de votre commune ainsi que ceux qu’il vous sera nécessaire de mettre à disposition d’un nombre de citoyens supplémentaires réfugiés, le cas échéant. voir plus 

Hausse record de 40 % des indemnités des élus des plus grandes villes…

7 février 2018 / par Auguste Bergot

Hausse record de 40 % des indemnités des élus des plus grandes villes…
7 février 2018 / par Auguste Bergot
En décembre, le Sénat puis l’Assemblée nationale votaient l’augmentation de 40% du salaire des maires de grandes villes et des présidents de région et de département. Une mesure froidement accueillie par les maires des petites et moyennes communes qui estiment qu’il s’agit là d’une injustice dans la mesure où la revalorisation générale des indemnités de fonction des élus locaux a pour sa part été repoussée à 2019.
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Une tri-organisation sociale entre élus décideurs , citoyens engagés de la société civile et habitants pour la démocratie et l'économie évolutives des villages et des territoires

Les citoyens engagés de la société civile proposent leurs contributions pour prolonger la lourde tâche des élus de nos communes Concernant les incivilités en général, un groupe s'est constitué suite au " Mot du Maire de Caylus-Incivilités STOP " . Les citoyens engagés de la société civile proposent leurs contributions pour prolonger la lourde tâche des élus de nos communes qui décident en tenant compte souvent d'avis d'intérêts personnels de techniciens issus du concept de la démocratie participative sans ceux de la Démocratie Evolutive suite 

Quel Etat, quel Argent, quelle Finance choisirons-nous pour garantir l'évolution de l'être humain ?

Dans quel État finirons-nous ? Conférence en vidéo***

Écrit par  Michel Laloux

(...) « vous pouvez vous apercevoir qu’existe non seulement en France, mais dans d’autres pays aussi, une aspiration extrêmement grande pour que la société civile, prise dans son ensemble, s’empare des questions qui la concernent, et que ces questions ne soient pas seulement réglées de manière extérieure. » (...)

(...) « Nous allons vers une transformation, il y a tellement de choses qui germent un peu partout dans le champ social ; inévitablement à un moment, des changements vont prendre racine » (…)

Plusieurs questions brûlantes résultent de ces transformations voir la suite

« L'économie, le juridique, le spirituel et l'économie"

  • Une série de Bernard Bonnamour.

Le premier épisode de la série, "L'argent et l'économie",  est en accès libre (gratuit).  Voir la vidéo

Halevy, Roudaut, Vittori, Un Trio de choc à BordeauxFinTech !

Quelle finance voulons-nous pour demain ? Les 3 intervenants dessinent les enjeux d'aujourd'hui et les défis qui nous attendent pour construire le monde ... voir la vidéo 

Poursuivre l'empoisonnement de la vie sociale ou la reconstruire en coopération? suite 

De nombreux emplois peuvent être créés dans l'esprit du développement d'une alimentation de qualité ….si nous sommes capables de nous réunir entre producteurs, consommateurs responsables et distributeurs autour d'un projet coopératif . suite 

Contrats à Impact Social : quel bilan, 2 ans après leur arrivée en France ?

Cet article, première pierre d’une réflexion en deux parties, n’a pas vocation à prendre position sur le bien fondé des CIS, mais plutôt à éclairer sur leur genèse et effectuer un point d’étape, pour observer leur mécanisme et les premiers résultats à l’aune de l’expérience. Le mois prochain, un second article, plus critique, nous permettra de pousser la réflexion sur l’avenir des CIS en France.

Rétrospective : l’origine des Social Impact Bonds (SIB) anglo-saxons

Le SIB, créé en Grande-Bretagne, suit une logique anglo-saxonne de “Pay for Success” : l’état rémunère des investisseurs privés en fonction de l’impact social (et non économique) d’un projet qu’ils ont financés, sur des taux allant jusqu’à 15%. suite 

SCIC : une nouvelle alliance public-privé

Publié le 16/06/2014 • Par Madeleine Chopin •

Les sociétés coopératives d’intérêt collectif (Scic) portent des projets présentant un caractère d’utilité sociale. Les collectivités locales pourront à l’avenir détenir jusqu’à 50 % de leur capital. Rassemblant collectivités, associations, salariés, entreprises, les Scic constituent une nouvelle forme de partenariat public-privé et s’inscrivent dans une logique de développement local. Si l’écomobilité, l’énergie et l’alimentation constituent les secteurs phares des Scic, ce statut pourrait aussi s’avérer pertinent dans le domaine de la santé.

« Le risque est que les élus s’immiscent trop dans le fonctionnement quotidien de la Scic. Or, c’est avant tout un projet économique, une PME qu’il faut pérenniser. Si on est dans un pilotage politique quotidien, on va droit à l’échec », prévient Nathalie Carthonnet, directrice de la Scic Auvergne bio distribution, une plateforme qui met en relation des producteurs agricoles et des acheteurs à l’échelle de l’Auvergne. Suite