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Caylus village du Tarn&Garonne construira-t-il un avenir Démocratique et Economique ?

Caylus village du Tarn et Garonne : situé sur une route passante de Caussade  en direction de l'Aveyon, entre Lot et Tarn 

Pour éviter de mourir figés dans la financiarisation de leurs espaces , pour ne pas subir l'exploitation de leurs ressources naturelles : eau, gaz de leurs sols et de leurs sous sols....la défiguration de leurs sites naturels, les villages doivent avoir une réflexion impliquant la société civile .  Les villages doivent faire vivre une économie capable de permettre  à l'argent de devenir  le lien vivant entre les consommateurs responsables, les producteurs et les distributeurs réunis dans la  recherche coopérative d'une qualité alimentaire. 

« Nos territoires se dégradent et la France ne peut être détruite sous l'emprise des finances étrangères » .....voir la vidéo d'Hervé Juvin 

Le Tarn&Garonne pourra-t-il s'humaniser face à l'exploitation intensive des espaces naturels ? Cette question est la suite logique à se poser face à deux nouvelles qui viennent de nous parvenir : 

- La liquidation de BIO 82 

- Le projet d'élevage intensif à Septfonds   voir plus 

Aider les paysans à s'installer 

On l’oublie trop souvent, mais s’installer en agriculture ou développer une activité rurale, cela passe d’abord par un lieu prêt à accueillir le projet. Aujourd’hui, la spéculation foncière rend les prix de la terre inaccessibles et la ressource elle-même se fait de plus en plus rare. Dans ces conditions, trouver une terre pour lancer son projet peut relever d’un parcours du combattant.
L’accès à la terre s’avère plus difficile encore pour ceux qui ont choisi le métier d’agriculteur sans être issus d’une famille d’exploitants, parce qu’ils ne bénéficient pas de l’appui d’un réseau professionnel ou familial, et parce que les financeurs potentiels n’accordent pas leur confiance de prime abord. Enfin, choisir de se lancer dans un projet à forte dimension écologique (bio, biodynamie) conduit encore, à notre époque, à un parcours semé d’embûches.
Pour toutes ces raisons, Terre de Liens intervient sur l’accès au foncier rural et facilite ainsi l’éclosion de projets qui redonnent vie aux territoires ruraux et participent fortement à recréer du lien social. Suite

Le 4 Novembre 2015 une conférence Démocratie &Economie : que peut faire la Société Civile ?   A été organisée par l'association Lien en Pays d'OC.

Nous avions annoncé prématurément qu'un noyau porteur s'était rassemblé  après les interventions de Michel Laloux économiste philosophe-enseignant voir ici  et André Bellon Pdt de l'association pour une constituante voir ici

Suite à cette conférence, d'autres journées ont été organisées par Lien en Pays d'OC dans l'objectif de réunir producteurs, consommateurs et distributeurs autour d'un projet coopératif pour une alimentation de qualité . Des personnes intéressées par le thème alimentation de qualité sont passées dans ces réunions mais un réel travail de groupe n'a pu encore se mettre en place. voir la suite 

Cependant, la démarche de Lien en Pays d'OC poursuit sa logique de réunir des consommateurs responsables , des producteurs et distributeurs pour construire un modèle développant une qualité alimentaire évolutive afin de s'évader du modèle dominant imposant la guerre économique et la concurrence.

La bienveillance serait plus efficace que la concurrence

« L’esprit de concurrence s’est imposé dans la culture jusqu’à notre époque, de façon à ce que, au final, on soit toujours le perdant de quelqu’un d’autre. »

Par Axel Leclercq

Le Darwinisme social prétend que les humains progressent par les conflits et la compétition. Pourtant, Darwin, s’il avait en effet théorisé que la compétition était bien à l’origine de l’évolution des espèces, avait cependant précisé qu’elle devait aussi s’accompagner de la coopération. Alors, pourquoi n’avoir retenu que ce qui nous opposait ? Et tout le monde s’en fout, qui s’est penché sur le concept de bienveillance, répond. suite 

Le projet proposé par l'association Lien en Pays d'OC est un projet pérenne respectant le développement durable

Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
En 1992, le Sommet de la Terre à Rio, tenu sous l'égide des Nations unies, officialise la notion de développement durable et celle des trois piliers (économie/écologie/social) : un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable. 

D'autres dénoncent le mauvais sens du développement durable sous l'emprise des lobbies transnationaux voir la suite 

Caylus un village rural du Tarn&Garonne, comme d'autres villages ruraux en recherche de coopération basée sur l'engagement de la société civile

Le village de Caylus est peuplé de plus de 1600 habitants composés en grande partie de personnes âgées, de propriétaires de maisons secondaires, les entreprises économiques manquent et la plupart des habitants  travaillent ailleurs .

La vie sociale basée sur les idées novatrices n'est pas partagée dans des projets coopératifs économiques tournés vers l'avenir entre citoyens du village .

La vie sociale du village de Caylus n'est pas unique, elle se retrouve dans de nombreuses ruralités qui vieillissent avec leurs populations et leurs coutumes de gouvernances basées sur un esprit du passé.

Afin d'éviter la confusion entre la pratique du pouvoir politique locale enfermée dans des intérêts d'entreprises déjà en fonction en ignorant une économie d'avenir s'appuyant sur les biens communs à accompagner : une association de démocratie évolutive liée à gouvernance d'une tri-articulation sociale sera fondée . Elle permettra l'émergence de projets coopératifs pour des porteurs de projets en germes de biens communs afin de proposer l'alternance à la désertification de la vie économique et citoyenne du , voire des villages et la disparition progressive et fatale des commerces non intégrés en réseaux coopératifs . Cette dynamique de gouvernance s'appuyant sur les biens communs essentiels et prioritaires à la santé comme la qualité alimentaire construira le lien social manquant dans les villages ruraux .

L'association Lien en Pays d'OC portant l'organisation d'un déloppement durable continuera à sensibiliser des évènements sur le thème prioritaire de l'économie des biens communs comme solution d'avenir pour

  • faire connaître leur utilité sociale et économique

  • mieux anticiper les structures à construire (dans l'information, le financement …) et permettre aux entreprises d'évoluer par leur innovation et leur adaptation à la demande des nouveaux besoins sociaux

  • d'ancrer l'activité économique coopérative du et des villages en les sortant de la vision unique de demandeurs de subventions publiques

  • organiser des événements de cuisine avec des groupes locaux , sur la coopération pour les semences reproductibles ...

  • voici quelques exemples d'animations possibles à proposer afin de senbiliser la dynamique par la contitution d'un groupe porteur

La consommation responsable est le terme-moteur du projet de Développement durable que Lien en Pays d'OC propose avec ses partenaires d'aujourd'hui et à venir pour le village de Caylus voire du territoire et des territoires . Un site multiboutiques a été proposé pour précéder  un point de vente physique et servir les habitants tout en profitant des avantages du lieu de passage, cette solution n'a pas été retenue comme possible .

Cela ne supprime pas cette réalité : 6000 véhicules passent tous les jours dans le village, les commerces du centre du village ne  profitent  pas de cet avantage du fait que les parkings sont insuffisants. Un commerce coopératif à l'entrée du village sur ce lieu de passage serait le bienvenu pour  l'économie du village et de ses habitants mais sans groupe porteur de la société civile, une grande distribution ne s'imposera-t-elle pas par la logique que tout vide fini par être rempli ? 

La consommation responsable de qualité :  facteur de créativité économique d'emplois

Les ZADs ( Zone A Défendre) doivent se prolonger par des ZACs ( Zone A Construire ) pour que la consommation responsable de qualité puisse devenir un facteur  Démocratique et Economique créateur d'emplois.  voir la suite 

Projets pour villages et territoires en communs

Qui dit biens communs , dit aussi problèmes communs. Les villages et territoires ont des problèmes communs et des atouts différents. Ce sont ces atouts différents que le commerce dans l'histoire a su valoriser par l'organisation des échanges. Si la distribution peut apporter aujourd'hui des innovations dans les moyens d'échanger, elle reste qu'un aspect du commerce qui s'élargit aux cultures entre les peuples.

 La qualité alimentaire démocratique  et économique  : un atout pour nos villages voir la page .   

La solution réunir : producteurs-consommateurs et distributeurs sur le sujet qui nous concerne tous : l'alimentation de qualité .

« Ce n’est que par une participation active dès le début d’un processus économique que le consommateur en devient partenaire et non victime. Il s’agit de faire naître, dans chaque territoire, chaque terroir, une cellule vivante, destinée à se multiplier, d’un nouveau système économique, juste et moral.   On introduit ainsi les bienfaits du commerce équitable, car les besoins des 3 types de partenaires sont satisfaits ; les intérêts s'équilibrent. Les biens circulent alors à leur juste et vrai prix. L'argent reste dans le pays. Les éleveurs du groupe soignent leurs bêtes dans la tradition des anciens : d'abord au lait maternel, ensuite l'herbe de la ferme ou des estives, le foin l'hiver et pour finir, des céréales et légumineuses, si possible produites sur le domaine. L'ensilage est à proscrire. Bernard Prieur présente Paysans des Baronnies : une association qui rassemble depuis une dizaine d'années des agriculteurs, distributeurs et consommateurs » lire la suite 

La seconde vie de nos villages ( Publié sur le site Say Yess. Passons à l'action.)

Pour offrir une nouvelle jeunesse à des villages endormis, des entrepreneurs sociaux, des habitants et des élus remontent leurs manches. Ils (ré)inventent des services de proximité à l’origine de nouvelles formes de solidarité.

Remettre au goût du jour des services de proximité

A La Commoderie, l’achat de produits locaux est le service le plus demandé. « La consommation responsable réunit les habitants, anciens comme nouveaux », constate Blandine. A Saint-Martin de la Cluze (Isère), les nouveaux patrons du café « Chez Jeanne », seul commerce du village, ont fait le même pari : ils ont amplifié le coin épicerie en allant voir des producteurs locaux. Les agriculteurs les livrent en priorité, heureux de vendre chez eux, et la demande est là. lire la suite

Caylus "sans frontière" et le tourisme en transition , recherche de l'autonomie alimentaire et énergétique voir la suite 

La consommation responsable permet de construire des coopératives d'actions entre ruralités et zones urbaines et d'éviter la croissance des fractures sociales entre les unes et les autres. 

La consommation responsable propose de nombreux avantages que nos mutuelles ne peuvent ignorer, la prévention santé par une alimentation de qualité favorise une bonne gestion de nos frais maladies. L'augmentation de nos adhésions sera un gros problème pour beaucoup de nos concitoyens dans les années à venir si nous ne prenons pas en compte cette qualité alimentaire.

La consommation responsable participe à fixer le juste prix entre les trois acteurs de la filière alimentaire plutôt que de le subir faussement de la bulle administrative dirigeant les cours mondiaux .

La consommation par une consommation responsable peut créer des emplois ( c'est à dire du travail rémunéré) le plus tôt possible pour les besoins essentiels de nos concitoyens . La consommation responsable contribuera au financement des retraites comme beaucoup d'autres sujets sociaux fondamentaux . Une économie responsable portée par la société civile permettra de soigner une économie déconnectée de l'être humain et de sa réflexion sociale . 

La vente d'alimentation de qualité permet à la consommation responsable de remonter en direction de la production de qualité en lui insufflant  la dynamique d'un développement durable qui respecte les 3 piliers fondamentaux du développement durable ( social-écologie-économie).

Sur la même zone artisanale et commerciale , micro-entreprises , associations pourront allier leurs efforts pour construire un développement durable porté par la société civile et intégré dans la vie réelle de l'économie conduisant elle-même un projet coopératif de tout un village s'étendant positivement aux voisins . La vie de l'esprit entraîne la vie à mettre en pratique dans une économie sociale.

Cette initiative s'intègre parfaitement dans la logique de l'Economie A Valeurs Ajoutées Humaines valorisant le travail par un revenu plutôt que le bénévolat . Le bénévolat en période de chômage est une calamité lorsqu'il perdure et qu'il ne se transforme pas en emploi car si il permet dans l'urgence à de nombreux emplois administratifs de perdurer, il ne permet pas à la création économique, écologique et artistique d'ouvrir des lendemains aux emplois ( travaux rémunérés ) des jeunes sur des activités de première nécessité. L'alimentation de qualité de la semence jusqu'à l'assiette, l'énergie renouvelable portées par des créations de micro-entreprises sont des bases économiques capables de répondre à la consommation responsable des citoyens.

- L'économie ne peut s'arrêter à des fonctionnements répétés qui créent des dettes publiques sans assurer en retour l' investissement d'infrastructures par et pour une consommation responsable en croissance constante. 

  • Le développement durable ne peut rester figé dans des investissements coûteux qui ne bénéficieront ni aux jeunes des villages à la recherche des emplois qu'ils ne pourront assurer durablement localement,  ni aux aînés qui nous quitteront pour les villes par manque de services économiques réels adaptés aux besoins essentiels et prioritaires. 

  • Par le fait qu'il doit prendre en compte le volet social , le développement durable ne peut servir qu'une seule minorité de décideurs ne cherchant pas à ouvrir leur vision économique aux défis que nous devrons relever : le changement climatique et les recherches alimentaires pour y faire face, les changements pour gérer nos déchets ( le tri-sélectif consomme une énergie considérable pour la refonte des verres) etc...etc...

  • Le développement durable s'appuyant sur la consommation responsable et sur les infrastructures indispensables pour y répondre a l'avantage de créer des emplois pour les jeunes basés sur la consommation la plus immédiate tout en assurant aux projets coopératifs de continuer à vivre et à se partager par des échanges ouverts sur le monde.

Il est indispensable en période des possibles vers un meilleur de s'ouvrir à la fête de la recherche des informations et à la conscience collective plutôt qu'une fête des possibles « d'un plaisir limité à l'amusement » nous conduisant vers le pire sans chercher les bonnes solutions en toute conscience .

Ne pas rechercher cette information consciente à l'heure d'internet afin de mieux gérer les habitudes de la surconsommation vers une transformation profonde est une lacune qui ne permettra pas de saisir le travail de tous nos concitoyens qui économisent par nécessité et qui pratiques déjà par nécessite  des créations économiques possibles d'être partagées. En ne cherchant pas à les reconnaître en priorité:  ni l'insouciance,  ni les formations dirigées par des institutions ne cherchant pas à trouver leurs propres limites permettront à l' économie s'appuyant sur la consommation responsable de se développer collectivement. 

Dans nos villages,  les activités positives et quotidiennes qui se font ailleurs et se partagent sur le net par les citoyens eux-mêmes investis dans l'économie parce qu'ils n'ont pas le choix, "la pauvreté oblige à trouver des solutions" sont souvent ignorées par le Conseil de Développement d'un territoire.  Il serait sage que nos "responsables " des collectivités nationales jusque dans nos villages ne confondent pas administrer et financer pour économiser demain , ce ne sont pas les mêmes approches que d'apprendre à savoir économiser dans l'immédiat en partageant les médias sociaux. Investir pour le lendemain sur des projets qui semblent bons parce que la force et la puissance des lobbies appuient ce choix de gouvernance a conduit l'agriculture industrielle à la faillite, soyons prudents pour nos villages et nos ruralités afin que les gouvernances locales ne retombent pas dans les mêmes illusions , les mêmes mirages et les mêmes catastrophes.

La fête des possibles pour une consommation responsable est non seulement utile elle devient indispensable pour une survie collective des générations futures face au développement de la dette publique conséquence d'un pouvoir égoïste-archaïque qui ne peut se transformer vers la fraternité constructive. Pour y parvenir un groupe porteur doit être capable de s'engager dans l'innovation sociale. 

Vive la coopération de la Société Civile pour éviter de poursuivre le développement de la dette publique

La France toujours en marche vers la faillite

Par Simone Wapler.

Aujourd’hui, nous ne sommes pas encore en faillite car les intérêts de la dette – qui grossit toujours – ne cessent de diminuer. Imaginez une seconde que la vapeur se renverse et que les intérêts de la dette se remettent à augmenter…

La médiocrité en héritage

Ce n’est pas seulement le précédent gouvernement, c’est l’héritage de 43 ans d’impérities. Durant plus de quatre décennies, les gouvernements de tous bords ont financé leurs largesses non pas par l’impôt mais par la dette publique, c’est-à-dire l’impôt différé. La droite et la gauche possèdent un programme commun : l’étatisme.

Toujours plus d’État-providence, toujours plus d’interventionnisme, toujours plus de dettes.

Ce cercle vicieux ne sera pas brisé de sitôt : plus de 100 économistes, issus du monde universitaire et pas seulement français, ont plébiscité le programme économique de Jean-Luc Mélenchon. Ce programme prévoyait 100 milliards de dépenses supplémentaires dans des secteurs « pas ou peu soumis à la concurrence internationale » et prône la politique de l’État comme « employeur en dernier ressort ».

La dette n’est plus un problème car avec des taux à zéro, elle peut, en théorie, devenir infinie.

Il y a cependant un os.

Le rôle de l’épargne

Si les taux restent indéfiniment à zéro, l’épargne est tuée. Il se trouve qu’en dehors de notre douce France, dans certains pays peuplés de buveurs de bière pratiquant une austérité démoniaque, l’épargne finance non seulement les investissements privés mais aussi les systèmes de retraite.

En France même, l’assurance-vie est en réalité le plus souvent une épargne retraite par capitalisation. Tuer l’épargne avec des taux zéro, c’est pousser le curseur encore plus loin vers le collectivisme. Tout le monde n’y est pas encore prêt en Zone euro.

Les buveurs de vin ont tendance à croire que plus on boit le vin de la cave, plus on s’enrichit. C’est ce que nos doctes économistes appellent la « politique de la demande ».

La politique de l’offre

Ces universitaires, esprits purs planant très au-dessus des viles contingences matérielles, ne se demandent jamais comment la cave s’est remplie ou comment faire pour qu’elle soit le plus remplie possible. lire la suite 

Quand les citoyens gèrent l’argent de leur député, la transparence avance

Pour répartir les 130.000 euros de leur réserve parlementaire, des députés et sénateurs font appel à des citoyens de leur circonscription. Ce mode de fonctionnement transparent est au programme de plusieurs candidats aux législatives.

Même si la loi a évolué — depuis 2013, les parlementaires doivent rendre publics les destinataires de leurs subventions —, la distribution de l’enveloppe se fait à la discrétion de l’élu, qui n’a de comptes à rendre à personne. voir plus 

Les prix vont-ils continuer à grimper ? L’avis de trois analystes

Merci de lire la solution proposée dans nos territoires et de garder contact avec nos travaux

http://www.lienenpaysdoc.com/

Les prix vont-ils continuer à grimper ? L’avis de trois analystes

Alors que la moisson 2017 a démarré dans certaines régions au sud de la Loire, le prix du blé a repris une dizaine d’euros sur les marchés depuis le 5 juin. Voir la suite 

Informations complémentaires

La place dynamique de l'intermédiaire dans l'organisme social tri-articulé lire la page 

La qualité alimentaire économique et démocratique : un atout pour nos villages lire la page 

Faciliter une réflexion coopérative et constructive durable d'une économie réelle adaptée aux besoins des consommateurs dans nos ruralités et au-delà lire la page