Nourrir la planète, énergie pour la vie
Nourrir la planète, énergie pour la vie ”, c’est le thème choisi pour l’Expo universelle 2015 qui se tiendra à Milan de mai à octobre.
Développer une alimentation suffisante, de qualité et durable est une préoccupation mondiale. Entre technologies, économie circulaire et ressources inédites, une seule solution : l’innovation.
Les problèmes de surpopulation, la crise économique et financière, mais aussi l’urgence écologique n’ont fait que resserrer l’attention autour de nos assiettes dans lesquelles nous avons parfois l’impression que tout se joue : notre santé, notre plaisir, mais aussi les équilibres planétaires et les questions d’éthique. Or, l’industrie agroalimentaire, énorme machine de guerre, semble encore à la traîne face à des consommateurs toujours plus critiques et plus exigeants. lire la suite
La France doit dire « non » à l'arbitrage privé dans les accords de libre-échange transatlantiques
Alors que l’Union européenne est engagée dans la négociation de deux accords de libre-échange transatlantiques, avec le Canada et les Etats-Unis, le débat public est devenu extrêmement vif autour du dispositif envisagé pour protéger les investisseurs : le règlement des différends investisseurs-Etats (RDIE en français ou ISDS en anglais).
Le RDIE permet à un investisseur étranger d’attaquer un État devant un tribunal arbitral international, plutôt que devant une juridiction nationale, s’il considère que ce dernier a pris une décision qui affecte négativement ses activités. Il peut demander des compensations financières, y compris pour « atteinte » aux profits non réalisés, présents et futurs. lire la suite
Comment élever des paysans voir la vidéo
Gilles Lartigot - Meta TV - Les dangers de l'alimentation industrielle voir la vidéo
Dans une économie réelle prévenant la santé peut-on "bouffer" n'importe quoi et n'importe comment ?
Que risque-t-on à manger des insectes ?
On le sait, l'alimentation à base d'insectes pourrait bien se généraliser au cours des prochaines décennies. L'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) s'est prononcée en faveur du développement de l'élevage de petites bêtes à grande échelle pour parvenir à nourrir plus de 9 milliards d'êtres humains d'ici à 2030.
Deux milliards de personnes en consomment déjà, particulièrement en Afrique, en Asie et en Amérique latine. En Europe, de plus en plus de restaurants, d'entreprises, et même de grandes surfaces, se lancent dans ce marché en éclosion. Mais que risque-t-on à les consommer ? C'est à cette question que tente de répondre un avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) publié jeudi 9 avril. lire la suite
Menacé de boycott, Senoble renonce à acheter le lait de la ferme-usine des Mille vaches
Suspecté d’utiliser le lait issu de la ferme-usine des Mille vaches dans ses produits, Senoble jette l’éponge et se dégage de toute responsabilité. Le réseau Biocoop a en effet décidé de dé-réferencer ses produits. lire la page
La coopérative Agrial, qui collecte le lait de la ferme des mille vaches, a décidé de ne plus fabriquer de yaourts à partir de cette production. Suite aux pressions de la distribution.
L’élevage dit des « Mille vaches » revient sous le feu des projecteurs. Cette fois, c’est son client, la coopérative Agrial connue pour ses marques Danao, Florette ou Loïc Raison, qui est à l’origine de nouvelles émotions pour cet élevage unique en France par sa taille. Celle-ci a décidé, a-t-on appris de plusieurs sources, de ne plus fabriquer de yaourts, crèmes et autres fromages blancs sous marques de distributeurs (MDD), à partir du lait qu’elle collecte auprès de l’élevage situé à Drucat dans la Somme. En savoir plus sur
Appel aux agriculteurs français: s'adapter à la demande plutôt qu'aux investissements conseillés par les lobbies, leurs banques et leurs intérêts; vous éviterez ce piège : en Californie, les agriculteurs vendent leur eau, plus leurs légumes
Tirer un trait sur sa récolte pour mieux gagner sa vie ? Confrontés à une quatrième année de sécheresse les maraîchers californiens n'irriguent plus leurs parcelles pour mieux négocier leur « droit à l'eau ». lire la suite
Il retrouve et cultive des variétés anciennes de blé pour éviter la chimie
Contrairement aux gros céréaliers, Jean-Jacques Mathieu ne mise pas sur les pesticides et les engrais pour faire pousser du blé, mais sur le riche potentiel génétique de ses deux cents variétés. lire la suite
Trop d'investissements dans le développement du gigantisme tuent l'investissement....durable et coopératif tout en ne répondant pas à une demande croissante de consommation. C'est la mise en garde aux agriculteurs français qui seraient contraints de vendre leurs terres, puis l'eau ( un bien précieux et commun) à des entreprises transnationales privées, tout en se retrouvant sans travail, venant rejoindre les chômeurs et précaires de plus en plus nombreux en France et en Europe.
Le travail coopératif de réflexion face à la financiarisation des biens communs ( ressources naturelles : eau , terres ….) devient donc indispensable à développer à partir de nos territoires.
Quel avenir pour les territoires ruraux face à la financiarisation de l'accaparement des terres nourricières ? lire la suite
Des médecins nutritionnistes éduquent les consommateurs, en tenir compte pour faire le bon choix de production.: ensemble développons une philosophie alimentaire adaptée au besoin de chacun lire la suite
Obervatoire des tendances de l'agroalimentaire et de l'alimentation rejoindre le groupe
Promouvoir une nourriture saine en réseaux coopératifs fraternels locaux et dans le monde rejoindre le groupe
En quelques années, les questions d'environnement sont arrivées sur le devant de la scène. La prise de conscience ne s'est pas faite sans douleur. Terre à terre souhaite faire le lien entre les informations qu'on reçoit de partout ; tisser un réseau entre tous ceux qui, en France et à l'étranger, sont dans la recherche active, expérimentent des solutions ; resituer chaque question dans un contexte, prendre assez de recul pour voir comment elle a évolué sur dix ou quinze ans dans son traitement comme dans l'opinion ; être à l'affût des initiatives locales, qu'elles émanent de particuliers, d'associations ou de collectivités territoriales pour accéder aux émissions pour écouter les nombreuses émissions
Etats-Unis: San Francisco, la ville zéro déchet
Si « zéro déchet » est un modèle à suivre pour gérer les conséquences d'un système productif basé sur la croissance , n'oublions pas l'économie locale « court circuit aux déchets » . Cette économie locale réduira à la cause même cette surproduction, en proposant en supplément une alimentation saine évitant les transports inutiles et coûteux.
Favorisons pour les biens communs , l'installation locale des productions en maraîchage et agriculture à tailles réduites.
Chaque nuit, un million de tonnes de détritus produits par San Francisco arrivent au Pier 96, le plus grand centre de recyclage de la planète. Dans cette ville, le zéro déchet n'est pas loin.
Avec bientôt 100 % de ses détritus recyclés, San Francisco est en train de prouver au monde que la lutte contre le gaspillage et les émissions de CO2 est non seulement possible mais très rentable. Comment l'une des principales villes d'Amérique a-t-elle réussi à transformer une contrainte en challenge économique et en aventure citoyenne? Explications. En savoir plus sur
Poisons, déchets, pollutions, surproductions et surconsommations de médicaments ….sont les conséquences d'un système de croissance infernale et sans limites, ajoutant problèmes aux problèmes, voire catastrophes aux catastrophes . Sans le courage politique de laisser une gouvernance locale seule capable de permettre la transformation de ce système : nous resterons les esclaves des intérêts de pouvoirs privés transnationaux. C'est en aménageant une législation souveraine d'entreprendre librement à partir de biens communs, que démocratie et république évolueront pour gérer les réels problèmes à partir de la Société Civile investie localement dans nos territoires en se réappropriant l'économie réelle qui nous échappe.
Pour sauver le climat, faisons la grève de l’économie ( de l'économie-gaspi) .
Le changement climatique résulte d’une organisation sociale précise : le capitalisme productiviste, qui engloutit la société par et dans l’économie. Il faut cesser de ne s’attaquer qu’aux conséquences de l’économie productiviste, mais la saper à la base. Grève de l’économie ! lire la suite
Des vaccins pas si anodins
Les bienfaits de la vaccination sèment le doute. L’Agence Nationale de la Sécurité des Médicaments vient d’annoncer les décès de 2 nourrissons en 2012 et en 2014 suite à l’administration du vaccin Rotateq® et Rotarix® (1).
Le plus souvent présentés comme « sans danger », les vaccins ne sont pourtant pas si anodins. Les accidents post-vaccinaux se répètent, et cette annonce nous le rappelle une fois de plus. lire la suite
Noam Chomsky : Tout lecteur d’Orwell reconnait bien les manœuvres des Etats-Unis
Noam Chomsky, philosophe et professeur de linguistique au Massachusetts Institute of Technology a partagé son opinion sur l’agissement des grands médias américains au cours d’une interview accordée à la chaîne RT.
Les principaux médias américains répètent inlassablement que les responsables politiques veulent que le public sache tout au sujet des affaires globales, a dit l’historien Noam Chomsky à RT. Pour les dirigeants américains, les sources d’informations «qui ne relaient pas la propagande américaine ne sont pas acceptables», a-t-il dit.
La culpabilité de l’Occident – pour ne pas citer les Etats-Unis – vis à vis des affaires internationales, telles que le conflit ukrainien ou les tensions avec l’Iran, c’est encore un concept qui n’est pas concevable pour les grands médias américains, a expliqué Chomsky en ajoutant que l’opinion mondiale importe peu si cette opinion va à l’encontre de la stratégie américaine. lire la suite