La culture de l'engagement péférable au tirage au sort pour la démocratie créative et évolutive
L'alarme d'Edgar Morin : voici un gouvernement d’hommes qui se sont laissés encercler par les intérêts dominants, qui n’ont pas pu les surmonter, qui n’ont pas été assez déterminés. cliquer ici
Cultiver la liberté de penser autrement, pour retrouver la confiance en la relance de l'économie.
La propagande n'est pas nouvelle, aujourd'hui dans un système basé sur le profit permanent et le culte de la personnalité elle prend petitement le titre "de réussite sociale" . Les conseils sont souvent grassement payés ? Comment, par qui ? Quel réseau commercial a formé ces conseilleurs ? Sommes-nous certains de ne pas devenir esclaves-consommateurs de savoirs douteux s'avérant nuisibles dans notre vie ? Sommes-nous avant tout des consommateurs ou des êtres humains ? Peut-on développer la confiance en des conseils dépassants les manipulations au service des intérêts du pouvoir dirigeant le système ?
Toutes ces questions dirigent la conscience vers une culture de l'engagement par le développement de la résistance non-violente dépassant les frontières entre êtres humains et cultures des peuples.
Le pouvoir de l'engagement Cliquer ici
Comment articuler liberté individuelle et bien commun?: Pour écouter ou réécouter l'émission
L'information responsable : nouveau lien social ( entre la demande et l'offre) basée sur l'engagement personnel et social .
L'info responsable : un défi démocratique cliquer ici
Concevoir une démocratie créative réelle engage un réel partenariat cliquer ici
Trop de fonctionnaires ou trop de haut-fonctionnaires en France ?
Dans son article : « la France, le pays des fonctionnaires "centralisés" Acteurs publics écrit :
"La France fait davantage travailler des agents publics en administration centrale que dans les autres pays développés, selon le panorama des administrations publiques 2013 dévoilé le 14 novembre par l’OCDE.
Comme nombre de ses voisins, la France met en avant des valeurs de transparence ou des objectifs d’amélioration de la performance publique, la création de valeur ou de richesses à travers sa politique d’open data. Pour autant, l’influence qu’une telle politique pourrait exercer sur l’engagement des citoyens dans le débat public ne figure pas au nombre des priorités, selon l’OCDE. " Lire la suite
Presse nationale : trop de subventions
En 2013, l'Etat versera plus de 500 millions d'euros de subventions directes à la presse . Aides directes et indirectes représenteront un total d' 1 , 1 milliards d'euros soit 10% du chiffre d'affaire des médias. Selon le président du Syndicat de la presse quotidienne régionale (SPQR).
Jean Viansson-Ponté a récemment été auditionné par la Commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée nationale.
lire la suiteLe domaine flou et inéquitable des subventions cliquer ici
« Trop de haut-fonctionnaires » explique le trop de subventions accordé à la presse nationale mais aussi à des accompagnements pour projets non concurrentiels au pouvoir centralisé. Rien d'étonnant que les accompagnateurs formés par la tête du pouvoir archaïque ne reconnaissent pas les porteurs de projets citoyens basés sur les collectifs des droits à la terre, à l'agriculture paysanne, aux semences et aux ressources naturelles .
La peur de la perte du « pouvoir centralisé » pour ceux qui le détiennent , freine la réelle coopération entre Institutions de l'Etat , collectivités et société Civile dans une France imprégnée d'esprit colonialiste. Pourtant dans l'économie de survie que l'humanité se doit de développer dans un avenir rempli de dangers, la coopération est la seule issue pour dépasser le risque de naufrage .
Une solution Investissez dans l'autofinancement-coopératif de l'information responsable qui créera des revenus...
Quand l'information irresponsable dirigée crée de la dette publique. Comparez les chiffres cliquer ici
Ne rien attendre du haut commencer d'en bas : tout est possible!
Viva Favela de Joaquim Melo ( Quand les démunis prennent leur destin en main). Edition Lafon disponible dans toute librairie.
Joaquim Melo, 47 ans, vit au coeur d'une favela brésilienne. En 1988, il initie un projet d'organisation des favelas qui, à ce jour, marche au-delà de ses espérances et se développe dans le pays et à l'étranger. Il revient, ici, sur sa vocation et sur les étapes de sa vie. Il parle de ses craintes et de son espoir que les bidonvilles du monde entier sortent de la misère et de la maladie.
Joaquim Melo, ancien séminariste et pilier de cette aventure, témoigne avec émotion de son engagement dans ce combat collectif contre la pauvreté. Après de nombreuses batailles pour relier le bidonville aux services de la ville, il nous explique comment, allant contre l'avis de la Banque centrale du Brésil, il a créé une monnaie propre à la favela et relancé le commerce local, notamment grâce au micro-crédit. Depuis, quarante-six banques communautaires ont vu le jour sur le modèle de celle du Conjunto Palmeiras : la Banque Palmas. Les habitants gèrent à présent une enveloppe de près de deux millions de reais !
Apprendre d'un mouvement Va nu-pieds
A Rajasthan, en Inde, une école hors du commun forme hommes et femmes venant de milieux ruraux -- illettrés pour la plupart -- pour devenir ingénieurs en énergie solaire, artisans, dentistes et docteurs dans leur propre villages. Elle s'appelle l'Université des Va-nu-pieds, et son fondateur, Bunker Roy, nous explique comment elle fonctionne.
En effet cela donne des idées et nous rappel l 'esprit des université populaire rurales, et les richesses de savoirs vernaculaires partout présents.. lire la suite