L'autogestion coopérative de l'information responsable: le moyen de réduire la dette, de remplacer les subventions publiques imposées par les hautes sphères du pouvoir détruisant les services publics.
Le fric de la conquête du pouvoir
Partis politiques alimentés par des dessous-de-table, rétrocommisions, financements occultes... La chronique politico-judiciaire le démontre à chaque enquête ou mise en examen de membres de la Sarkozye : l'argent reste le plus petit dénominateur commun de la politique. cliquer ici .
Le désastreux bilan économique de Nicolas Sarkozy cliquer ici
Contre la corruption, pour l'éthique en politique ANTICOR Cliquer ici
David Jones : " Nous ne sommes qu'au début de la révolution numérique" cliquer ici
Une boite à outils pour agir contre le changement climatique et pour la transition énergétique et écologique
Des années décisives : Les municipales de 2014 mettront en place les équipes qui auront à gérer notre territoire au plus près de ses habitantEs jusqu’en 2020. Il s’agit là d’une période doublement décisive. lire la suite
Le coût extravagant du site de Carla Bruni-Sarkozy fait polémiqueLE MONDE | 31.07.2013 à 10h53 • Mis à jour le 31.07.2013 à 15h21 | Thomas Wieder
C'est un démenti qui soulève plus d'interrogations qu'il n'apporte de réponses. Dans un communiqué adressé à l'AFP, dimanche 28 juillet, Me Richard Malka, avocat de Carla Bruni-Sarkozy, assurait que la fondation caritative qui porte le nom de celle-ci n'avait pas touché le "moindre centime" de la présidence de la République.
Ce faisant, il entendait couper court à de "fausses informations" circulant depuis quelques jours sur "un prétendu et imaginaire financement du site Internet de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy par des fonds publics".
En réalité, l'avocat n'a fait que rendre plus épais un mystère qui l'était déjà, et qui peut se résumer en une question : comment expliquer que la présidence de la République ait dépensé 410 000 euros pour le site Internet de Mme Bruni-Sarkozy entre le 1er janvier 2011 et le 15 mai 2012 ? lire la suite
Le développement régulier du chômage et de la dette publique conséquences de ce fric à la conquête du pouvoir permanent , des subventions publiques accordées sans l'avis des contribuables, confirme que la crise ne repartira pas d'elle-même, elle se généralise à l'ensemble des individus. Un changement de société est en cours par l'information responsable et le système politico-économique doit se réadapter . L'information responsable participe à comprendre ce changement en cherchant les exemples de ceux qui gèrent autrement la construction économique, tout en informant en toute conscience de ce qui ne fonctionne plus dans la Société prisonnière des pouvoirs des Etats nationaux et Européens.
Peut-on s'en sortir ?
Oui en réduisant la dette en priorité socialement et équitablement cliquer ici
En ne consommant pas n'importe comment et en supprimant le crédit à la consommation qui développe la dette publique , si vous voulez aidez les pauvres faites leur des dons par les réseaux directs cliquer ici
Voici l'exemple de Vandoncourt ( dans le Doubs) premier village de France à voter pour une Démocratie Participative Directe dite de co/construction. cliquer ici
L'argus des contribuables associés note la gestion des villages et confirme la réussite de la méthode de Vandoncourt. Péparez les municipales de 2014, voyez si votre maire est dépensier? . cliquer ici
Nos villages préparent les prochaines municipales de 2014. Ils ont tout à gagner de remettre en cause les habitudes des subventions bien installées atribuées uniquement aux associations se qualifiant de travailler en « bons professionnels » . Ne pas voir et suivre les associations citoyennes portant les réelles valeurs équitables changeant le Monde par le lien social et l'information responsable
-
n'exclurait pas les conservateurs et prolongerait l'unique système de consommation irresponsable en alourdissant la dette publique
-
ferait plonger nos Etats déshumanisés et nos territoires dans les pires cauchemars.
Autant miser pour la solution de donner aux conservateurs un revenu d'existence de manière à ce que leur travail ne détruise plus les biens publics, cela coûterait moins cher à chacun.