Pourquoi le Mecanisme Européen de Stabilité est une aberration?
APPEL POUR UN REFERENDUM SUR LE TRAITE EUROPEEN
pour signer: www.referendum-europe.org
10000, 15 000... en route vers les 50 000!
Le nouveau traité européen aura des conséquences importantes sur la vie des peuples d'Europe qui doivent donc pouvoir s'exprimer sur le sujet. Il n'est pas acceptable qu'il soit simplement soumis pour ratification au Parlement. Il faut un référendum, un grand débat, pour permettre une expression démocratique de la souveraineté populaire.
Pourquoi le Mecanisme Européen de Stabilité est une aberration?
voir http://www.bastamag.net/article2142.html
Un véritable coup d'Etat se prépare le 21 Février
Vous pouvez rejoindre le groupe Facebook Manif Sénat 26-28 Février contre le vote du MES
https://www.facebook.com/#!/events/288436687890726/
Est-ce que la QPC " Question Prioritaire de Constitutionalité pour rejeter le vote du Mécanisme européen de stabilité (MES) par les députés, est réalisable ?
Cette question a été posée au sein des forum des cercles de la constitutante
Voici une réponse:
Je répond bien que n'y étant pas invité et bien que je ne sois pas un fin spécialiste de la QPC
La réponse est sans doute non
D'abord le député n'a vis-à-vis de la QPC aucune qualité de plus que celle qu'a n'importe quel citoyen.
Ensuite cela ne concerne que les textes votés par notre parlement. Il faut aussi que la disposition législative en question porte atteinte aux droits et libertés que la Constitution garantit
J'entends bien que le MES va être ratifié par notre Parlement sous forme d'une loi de ratification. En fait deux lois : la ratification d'une décision du Conseil Européen modifiant un article du traiét sur le fonctionnement de l'union européenne afin de permettre la mise en place du MES et la ratification du traité instituant le MES signé le 30 janvier dernier, et ceci en application de l'article 53 de la Constitution. Mais je ne vois pas sur quel argument recevable se fonder. En outre, cela reviendrait à contrôler la constitutionnalité d'un traité en fait. De mon point de vue la contestation ne peux se faire que sur le terrain politique et non juridique. Maintenant, c'est certain que malgré cela on peux toujours invoquer artificiellement une atteinte quelconque (par exemple atteinte à la souveraineté du peuple : article 14 de la DDHC et atteinte à la compétence du Parlement :article 34 de la Constitution) pour porter une QPC sur la scène publique mais se sera peine perdu, à mon avis, sauf pour l'effet médiatique et politique éventuellement recherché sur le terrain purement politicien. Le raisonnement est à peu près identique pour la saisine directe du conseil constitutionnel par 60 députés ou sénateurs en vertu de l'article 61 de la Constitution. Il ne s'agit pas ici de la QPC. Le champ de saisine est cependant plus large (on peut évoquer ici, en plus, la non consultation du Conseil constitutionnel qui est d'usage dès lors que l'on modifie le périmètre de souveraineté de la France, ce qui oblige, si c'est le cas, à une révision constitutionnelle en vertu du principe énoncé à l'article 11 de la Constitution : pas de ratification d'un traité contraire à la constitution). Il n'est pas invraisemblable de penser que le PS fera cette démarche avec tous ces arguments cumulés. Je pense, sans résultat.
Pour plus de détails : la plaquette du conseil constitutionnel sur la QPC
cordialement alain darles - Lille
Veuillez trouver ci-dessous la lettre d'information de Mars de l'Association pour une Constituante. Elle comprend une sélection de textes que vous pouvez retrouver sur le site www.pouruneconstituante.fr
La Constituante et la présidentielle
En quelques années, l’évidence d’une crise profonde de la démocratie s’est imposée dans les esprits, puis dans le mouvement social, et aujourd’hui dans le débat politique. De la violation du vote des Français, émis le 29 mai 2005 sur le traité constitutionnel européen au passage en force de la « réforme » des retraites, les institutions comme la vie politique révèlent toute leur dérive liberticide.
Facteur aggravant, la Gauche semble elle aussi incapable d’affronter le problème. Pire, elle s’englue dans des stratégies politiciennes aussi opaques qu’inefficaces. Ainsi, la recherche, lors de la présidentielle de 2007, d’un candidat du « non de gauche » a réussi la prouesse d’émietter les très nets 55% exprimés le 29 mai et de créer un candidat à 2%. Ce résultat doit peu au hasard et tout à la logique de nos institutions qui, très personnalisantes, ne sont pas en mesure de traduire un mouvement collectif. Une chance historique a sans doute été manquée à ce moment car la nature profonde du 29-Mai était, au-delà du clivage droite/gauche, de révéler l’incurie du système politique et la crise de la représentation démocratique. L’affirmation de revendications d’intérêt général aurait été plus appropriée que la précipitation à participer aux jeux pipés de la Ve République : dissolution de l’Assemblée nationale, démission du Chef de l’Etat et surtout appel à l’élection d’une Assemblée Constituante au suffrage universel.
Suite de La Constituante et la Présidentielle
Réunion du cercle de Marseille
Mars 2012, le printemps du service public ?
Quand la justice interroge et s’interroge
Appel aux élus
Discours de Pierre Mendes-France contre le traite de Rome le 18 janvier 1957
Un véritable Coup d’Etat se prépare le 21 février
Rencontre-débat à l’ENS Lyon, 29 février
La "pensée" de la BCE
Rencontre-débat le 20 février à Marseille sur le nucléaire
En soutien aux Grecs pour la démocratie
Rencontre-débat à Clermont-Ferrand, le 16 février.
Du respect... par Merkel et Sarkozy
Doléance de René Chaboy: urgence, équitable local
Rencontres-Débats à Aix-en-Provence le 9 février
Amicalement
André bellon
------------------- Tous ensemble contre le M.E.S. ! ----------------------
également sur : http://www.senat.fr/
Le MES a été voté le 21 Février
Voir Tout sur le MES http://lelab.europe1.fr/t/tout-sur-le-mes-958