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La méthanisation : ses dangers , ses solutions

La méthanisation est un sujet encore peu connu du grand public . Le développement de la méthanisation étroitement lié à l’extension de l’exploitation de la vie animale rompt la recherche du développement de l’équilibre entre l’écologie- le social et l’économie . Le développement durable s’appuyant sur ces 3 piliers perd son bon sens , de plus l’élevage intensif devient vecteur d’épidémies.
 Les réseaux de la société civile informent de ses dangers liés aux effets secondaires , tout en proposant des solutions . Voir les articles pour aborder la méthanisation

 Quelques articles pour aborder la méthanisation
La méthanisation, l’usine à gaz qui séduit les gros agriculteurs
Durée de lecture : 7 minutes
Par Julie Lallouët-Geffroy (Reporterre)
Séduits par la perspective de garantir leurs revenus, les éleveurs se lancent dans la production de biogaz et installent des méthaniseurs. Reporterre a enquêté sur cette pratique subventionnée, qui suscite aussi plusieurs inquiétudes.
Voir l’article complet à ce lien

La méthanisation : Une aberration écologique ? Voir la vidéo
Gare aux effets secondaires de la méthanisation agricole, une fausse bonne idée écolo
Par CHRISTOPHE GATINEAU le 19 mars 2021
Les unités de méthanisation agricole se multiplient en France. Mais cette technologie soi-disant verte, vendue par Engie et Total, menace les milieux naturels et l’avenir des sols.
La méthanisation agricole, c’est quoi ? Une technologie de recyclage qui consiste à produire de l’électricité, du gaz ou du carburant à partir des fumiers d’élevages hors sol, auxquels on ajoute des plantes cultivées exprès pour ça. Cela se passe dans des machines anaérobies appelées « digesteurs », où des bactéries spécialisées, en consommant ces matières organiques, vont produire du méthane et des boues (digestat). Ces boues sont présentées au grand public comme du compost pour l’agriculture, et c’est là où se situe un des problèmes.
4 CONTRE-VÉRITÉS  suite

La méthanisation  les solutions proposées par la société civile ( les Organisations Non Gouvernementales )
La solution pour la méthanisation proposée par Hubert SERRET Créateur fondateur sherpa du projet NegaCarbOne à ce lien

Il est positif que la production de biométhane (issu de méthanisation) augmente en France, car il peut se substituer à des carburants fossiles. Cependant, l'utiliser pour produire de l'électricité n'est probablement pas le meilleur usage qu'on puisse en faire.
Certes le plus simple quand on produit du biométhane est de l'utiliser dans des applications actuellement servies par du gaz fossile.
Par Maxence Cordiez •
Contributeur régulier des Echos, du Figaro et de Connaissance des énergies sur les thématiques énergie et climat.
Aussi présent sur Twitter : @maxcordiez
L'ensemble de mon activité sur Linkedin, Twitter et dans les médias n'engage que moi.

Cependant, atteindre la neutralité carbone impose d'adopter une approche systémique. Plutôt que de maintenir des dépendances au gaz (sous prétexte qu'on a du biogaz) dans des domaines où l'on pourrait faire autrement, il faut se projeter dans l'avenir et voir comment on pourra faire fonctionner à terme notre société dans son ensemble sans combustibles fossiles.

Le biométhane devrait donc davantage être vu comme un nouveau vecteur énergétique à utiliser en priorité dans les applications qu'il est le seul à pouvoir décarboner, plutôt qu'un simple substitut (onéreux) au gaz fossile dans ses applications actuelles.
Voir activité de Maxence Cordiez à ce lien

Pour en savoir plus sur la méthanisation
ENVIRONNEMENT - La méthanisation, en plein développement en France, permet de transformer les déchets organique en biogaz, tout en produisant du digestat, qui sert de fertilisant aux cultures. Mais la technique n'est pas sans risque, comme le montrent les inquiétudes autour d'un gros site installé dans le Lot en 2018.
Par Matthieu Jublin -
La méthanisation, sur le papier, c'est du gagnant-gagnant : valorisation des déchets organiques, production locale d'énergie et de fertilisant renouvelables, compléments de revenus pour les agriculteurs... Mais cette technique qui connaît un développement sans précédent en France doit être maîtrisée pour ne pas polluer l'environnement. Illustration dans le Lot, où l'installation d'un gros méthaniseur industriel a provoqué de nombreuses critiques chez les riverains et les scientifiques.
De quoi est accusé le site de méthanisation dans le Lot ? Suite

Conférence de Claude et Lydia Bourguignon le 7 septembre 2018, à Capdenac : « Le procédé de méthanisation retenu dans le Lot représente une catastrophe pour les sols, dont on va se rendre compte dans les prochaines années.

On ramène trop d’azote dans les sols et en même temps on augmente la perte de matière organique. On ne se projette pas suffisamment sur les conséquences de nos actes, dans le futur ! Avec l’utilisation du digestat, on détruit la faune et les microbes des sous-sols » voir plus

Collectif National Vigilance Méthanisation CNVM
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5 petites minutes pour comprendre la méthanisation...
En France le modèle est pire en ce qui concerne le "digestat" bien plus dégradé et utilisé comme "engrais" et qui impacte nos ressources en EAU POTABLE et notre BIODIVERSITE. Métaux lourds des stations d'épuration, antibiotiques d'élevages industriels et étrangers, pesticides des cultures intensives, bactéries, etc...ne sont pas détruits à 40 degrés, ni à 71° en cas d'hygiénisation. Ces températures de traitement développent même la toxine du botulisme...
Déjà 15% des terres nourricières sont dédiées ainsi que les cultures intermédiaires (CIVES) qui servent en première destination, à alimenter le bétail et qui manquent cruellement jusqu'à augmenter son prix à 400€ la tonne...
Notre agriculture et notre élevage sont menacés...
pour atteindre les objectifs fixés par l'Etat et l'ADEME, il faudrait consacrer en superficie, l'équivalent de 6 départements Français sans constructions, ni rivières, ni montagnes...C'est IMPOSSIBLE.
La méthanisation ne peut en elle seule, se substituer aux énergies "fossiles". Il faudrait 1 méthaniseur tous les 3 à 6 Kms, ce qui entraînera une guerre commerciale des "intrants" et n'assurera plus la pérennité de la filière. (Friches industrielles et argent public gaspillé...)
Enfin la vidéo vous montre les nuisances et le mensonge sur le bilan carbone et les émissions de gaz à effet de serre...
Bon visionnage et n'oubliez pas de signer notre pétition en ligne. Merci pour votre soutien  voir plus
L’ÉTAT DOIT CESSER DE JOUER AVEC LA SANTÉ DES FRANÇAIS
Le Collectif National Vigilance Méthanisation CNVM a lancé cette pétition adressée à l'Etat Francais
C'est ici...


Flore 54 alerte sur les dangers de la production de méthane

Par Leïla JMOUHI La méthanisation est un procédé qui fait de plus en plus débat, en France et notamment dans la région Grand Est, devenue le premier producteur de biogaz dans le pays. La fédération départementale pour la promotion de l’environnement, Flore 54 et son président Raynald Rigolot, s’interrogent sur les dérives du procédé. suite

Coopération des villages autour du respect de l'être humain et de la Terre . L'exploitation de l'animal ne peut être oubliée dans l'extension de la méthanisation qui toucherait l'avenir de nos villages.
Stéphanie Omnes
Bonjour à tous, comme je l'expliquais dans un post hier, mon village, bastide médiévale classée parmi les plus beaux villages de France, est menacé par la construction d'un méthaniseur géant de 20 000 m2, à 500 mètres du village et à 100 mètres de la rivière, le Dropt. Nous cherchons des solutions tous azimuts et postons régulièrement des informations sur les méthaniseurs. Important : Pour être référencé par Google, le site doit désormais recevoir un maximum de visites, donc, vous êtes les bienvenus   Voir bien vivre à Villeréal  voir plus

Stéphanie Omnes sur Facebook
Quel implication de GRDF "Gaz Réseau Distribution France" dans l'implantation de méthaniseurs en France ? GRDF se propose d'accompagner les communes dans leurs démarches. Échanges proposés avec la chargée de projet biométhane de GRDF .. Recommandations : "Comment maintenir une communication positive sur la méthanisation pour ne pas laisser l'espace aux oppositions..." Donc à qui profite les méthaniseurs ?   suite

Spéculation et accaparement de terres : les dérives de la production du « gaz vert »
par Rachel Knaebel
L’Allemagne a développé le biogaz à grand échelle depuis le début des années 2000. Mais les installations industrielles ont rapidement pris le contrôle du secteur, accaparant de plus en plus de terres agricoles.  suite

La méthanisation, un procédé qui fait de plus en plus débat en Bretagne
Par Hélène Duvigneau, AFP
Spéculation foncière, nuisances liées au transport, risques de pollution... Interrogé par la députée socialiste Claudia Rouaux sur les "dérives" de la méthanisation, le ministre de l'Agriculture Julien Denormandie a estimé qu'il fallait "établir des garde-fous" vis-à-vis de cette technique alors que, sur le terrain, la résistance s'organise.
Promue pour valoriser les déchets organiques et lutter contre le réchauffement climatique, la méthanisation suscite aujourd'hui des interrogations, notamment en Bretagne, première région dans de nombreux secteurs de l'élevage, qui recensait 130 unités de méthanisation au 1er janvier 2020, avec plusieurs dizaines d'autres en projet, selon l'association Aile.
"Il y a une défiance grandissante de la population qui porte d'abord sur les effets sanitaires, les pollutions et les nuisances", estime Daniel Chateigner, membre du CSNM, qui comptabilise "environ un accident tous les 15 jours sur les méthaniseurs installés en France, ce depuis quatre ans". Voir l’article complet

La méthanisation agricole ou la fabrique d’un mensonge
Sur le jardin vivant
Pour vendre la méthanisation agricole, les multinationales ont plein d’arguments positifs. Positifs pour la planète ou leur porte-monnaie ? Honnêtes ou voyous quand leurs porte-paroles arguent que le fonctionnement naturel de la Nature accélère le réchauffement climatique ! Oui, vous avez bien lu, nos représentants politiques ont dit oui sur la base de cet argument hallucinant. Retour sur cette farce de mauvais goût que vont payer très cher nos enfants.  suite

Méthanisation agricole : pourquoi les politiques font-ils l’autruche ?
Sur le jardin vivant
« La méthanisation, c’est 163 accidents sur 113 sites en France, des incidents, des pollutions, des morts. Je peux fournir la carte d’accidentologie. Le tout pour un gain énergétique ridicule, et un appauvrissement des sols qui conduira à une perte progressive de souveraineté alimentaire. » Daniel Chateigner, physicien et membre du CSNM, le Collectif scientifique national pour une méthanisation raisonnée, en réaction à l’accident (photo ci-dessus) de Saint-Gilles-du-Mené dans le 22. Le Télégramme du 29/08/2020.
Depuis, ce sont 271 incidents répertoriés sur 170 sites, dont plus de 80 % sont des atteintes aux milieux naturels, à l’exemple des centaines de m3 de boues (digestat) retrouvées dans un lac landais mercredi dernier.

Un silence assourdissant  Suite

La méthanisation ,  la santé , le social , l'écologie et l'économie

Covid-19, une maladie du "Capitalocène" ?
Sur France Culture
Les coronavirus sont des zoonoses, c'est à dire des maladies transmises de l'animal à l'homme. Pour Jérôme Baschet, ces transmissions sont le résultat de l'exploitation et de la destruction de l'environnement par l'homme dans une logique capitaliste et donc des maladies du "capitalocène".
Face à la multiplication de crises liées à la condition planétaire, dont le coronavirus est un avant-goût, certains craignent un effondrement à venir. Dans Basculements. Mondes émergents, possibles désirables.(La Découverte, 2021), Jérôme Baschet rejette cette idée d'effondrement, trop dépolitisée et déresponsabilisante à son goût, et préfère explorer, pour penser notre avenir, les basculements possibles. 
Le retour à la normale serait le retour aux mêmes conditions qui ont mené à cette épidémie, et donc préparer une prochaine épidémie. Nous entrons dans l’ère des pandémies, elles seront de plus en plus meurtrières et produiront des dégâts économiques de plus en plus importants. C’est parce que nous, les humains, avons déclaré la guerre au vivant depuis le lendemain de la Seconde Guerre mondiale avec la destruction générale des écosystèmes, l’effondrement de la biodiversité, et tout ce qui mène à ces zoonoses. (Jérôme Baschet) Ecouter l’émission

L'élevage intensif est-il une des causes des zoonoses ?
Sur CIWF France
Oui, dans de nombreux cas.
La propagation des maladies est souvent imputée aux animaux sauvages, mais les déplacements des personnes, des animaux et des biens est le principal facteur de propagation. Un groupe de travail des Nations Unies a déclaré que « les épidémies de grippe aviaire hautement pathogène (IAHP) sont généralement associées à une production intensive de volaille, au commerce et systèmes de commercialisation ”.
Les maladies se propagent à partir d'animaux élevés de manière intensive ET extensive. Cependant, plus le nombre d’animaux est grand, plus les densités dans les bâtiments sont élevées, et plus le risque augmente d’apparition et de propagation des maladies.
L'élevage intensif, qui implique un grand nombre d'animaux enfermés à l'intérieur et des densités très élevées, augmente forcément le risque de transmission des maladies parmi les animaux. Ceci est particulièrement le cas pour les porcs et les volailles.
De plus, les élevages intensifs utilisent généralement des animaux à faible diversité génétique et les conditions de stress dans ces élevages provoquent souvent un affaiblissement du système immunitaire des animaux. La grande majorité des 65 milliards de poulets de chair abattus chaque année proviennent par exemple d'une dizaine de croisements hybrides seulement produits par trois entreprises mondiales et vendus dans le monde entier. Celles-ci ont remplacé d'innombrables races traditionnelles, qui s’étaient adaptées au fil des siècles aux conditions locales.
Ce manque de diversité génétique des animaux élevés et leurs fortes densités dans les bâtiments offrent des conditions idéales pour que les agents pathogènes se propagent rapidement, ainsi que davantage d'opportunités pour eux de muter en de nouvelles souches plus virulentes. Suite
L’élevage intensif, facteur aggravant de la propagation des épidemies
Depuis la crise sanitaire liée à la pandémie mondiale du coronavirus, les modèles actuels de l’élevage animal industriel ont été remis en question, notamment comme facteur de propagation de certains virus...Suite

25 ans de la crise de la vache folle: les farines animales reviennent par la petite porte
Par Matthieu Balu
En un quart de siècle, la filière s'est transformée. Mais certains principes sanitaires édictés après la crise du prion sont aujourd'hui remis en question.
Parties à grand bruit, revenues à tous petits pas. Les farines animales reviennent sur le devant de la scène à l’occasion d’un lugubre anniversaire. Le 28 février 1991, il y a 25 ans, c’était la découverte du premier cas français d’encéphalopathie spongiforme bovine, une maladie neurodégénérative touchant les bovins, et pouvant se transmettre à l’homme. À l’origine de l’épizootie, des farines animales contaminées par les restes d’animaux malades.
C’était le début, encore peu médiatisé, de l’une des plus graves crises agroalimentaires de la fin du XXe siècle, qui entraînera l’abattage de millions de bovins et la mort de plus d’une centaine de personnes causée par la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Suite

Les gouvernances de l’économie malade ne peuvent apporter de solutions contraires à leurs intérêts de détruire ou d'exploiter .
« Pour construire ensemble les métamorphoses sociales et sociétales post-crise, pensons et imaginons le monde autrement dès maintenant, allons au-delà du concept de Citoyen, devenons des Civiliens! »

Via ce site, vous pourrez participer en direct à des rencontres en vidéo conférence entre civiliens, qui n'hésiteront pas à sortir complètement des sentiers battus, tout en restant les pieds sur terre !  suite à ce lien

Retrouver les 11 rencontres civiliennes à ce lien

Respecter le bon sens du développement durable
Rappelons le bon sens du développement durable trop souvent mal interprété par les pouvoirs publics.
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
Le développement durable est né avec le concept d’entreprise citoyenne dans les années 1985-90, et il s’agit , selon les termes de la déclaration  de madame Brundland du nom de la norvégienne Gro Harlem Brundland dans un rapport à l’ONU en 1987 a fait date sur la définition du développement durable , ndlr devant l’ONU,  d’un mode de développement « qui répond aux besoins du présent en incluant les plus pauvres tout en permettant aux générations futures de répondre aux leurs , précise-t-il. Le projet politique que sous -tend cette définition repose sur une solidarité intra et inter générationnelle , c’est l’ambition sociale aujourd’hui qui est essentielle , la préservation de l’environnement est une contrainte pour demain. » voir plus