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L'économie commence avec les consommateurs responsables locaux

Malgré l’épidémie du coronavirus ...continuer à construire et développer une économie réelle au service des besoins essentiels et prioritaires de l’être humain.

J’habite Caylus un village qui manque de magasin diffusant une gamme complète de produits bio , beaucoup de Caylusiens doivent individuellement faire des aller retour pour faire leurs courses dans les villes voisines .

Adapter des solutions pour élargir la gamme des produits dans des structures existantes est ma démarche pour éviter les pertes de temps, les économies et éviter la consommation de carburant à l’époque ou nous cherchons à diminuer le CO2
Un magasin à Caylus qui réceptionnerait des livraisons permettrait des achats alimentaires de qualité d'une boutique en ligne d'un site de magasin coopératif . En adaptant ce service durable aux besoins de la consommation , l'économie commencera avec les consommateurs responsables locaux .

Dans Projets à essayer sur Pinterest la diversité et la complémentarité des projets et méthodes à concilier permet de combler la fracture sociale inter-générationnelle voir à ce lien

Les consommateurs responsables locaux ont des besoins sociaux, écologiques et économiques . La consommation responsable : un art social essentiel et prioritaire pour le développement durable des territoires et la diversité des compétences innovantes

Dans le système dominant qui se nomme lui-même exploitation avant d’être écologique , l’acheteur n’est qu’un produit de consommation au bout d’une chaîne industrielle .Le consommateur contribuable paie des taxes en subissant une qualité douteuse de production et de ce fait il est toujours le pigeon plumé sans avoir pu donner son avis .

Prendre la place de consommateurs-contribuables dans un organisme plutôt que subir le système  dominant fondé sur l’exploitation compétitive basée sur la guerre économique et par voies de conséquence sur la destruction de la Planète et des êtres vivants.   Ce système  compétitif  décide sans l’ avis des consommateurs-contribuables qui paient les taxes ; ce système fabrique les pertes d’emplois sans pour autant préserver l’environnement .
La place des consommateurs dans un organisme tri-articulé permet à la production de répondre à la demande , de donner la place à l’intermédiaire ( magasin coopératif et réseaux sociaux ) pour  réfléchir à partir du lien social au début d’un autre modèle afin d’éviter  les réformes répétitives par le haut   multipliant  les incohérences, les dépenses pour des fonctionnements (en doublons voire triplons ) qui tombent en panne engendrant le gaspillage de temps et de ressources.

La déconsommation : Consommer moins mais mieux !

Par Bioconsom’acteurs

La deconsommation : mais qu’est-ce que c’est ? 

Avez-vous déjà entendu parler de « déconsommation ». Si vous prenez part à la transition des modes de consommation que nous prônons, nous l’espérons ! 

Démarrons avec le chiffre qui choque : pour assouvir les besoins moyens d’un français sur une année, il faudrait 2,8 planètes. Et on ne vous parle pas de l’empreinte d’un australien, américain ou d’un suisse, qui se dressent tout en haut du tableau, chaque jour du dépassement, atteint cette année en France dès le 29 juillet 2019.
On touche à une réalité factuelle, celle de l’incompatibilité entre nos modes de vie et les limites finies de notre planète.

Face à ce constat, la déconsommation est une pratique de résilience, voire de décroissance, qui renvoie à une prise de conscience d’un individu sur l’importance de ses choix de consommation. Voir plus

« Les besoins artificiels. Comment sortir du consumérisme »

Par Bioconsom’acteurs

De quoi avons-nous vraiment besoin pour vivre ? Comment distinguer les besoins authentiques, réels, des besoins superflus, artificiels ? Deux questions qui prennent une dimension particulière dans le contexte d’urgence climatique. Professeur de sociologie à l’université de Bordeaux, Razmig Keucheyan nous en parle dans son nouveau livre « Les besoins artificiels. Comment sortir du consumérisme» aux Editions Zone. Voir plus

Amazon : Le parfait exemple de notre société de surconsommation

Par Bioconsom’acteurs

« La société de masse est peut-être encore plus sérieuse, non en raison des masses elles-mêmes, mais parce que cette société est essentiellement une société de consommateurs où le temps du loisir ne sert plus à se perfectionner ou à acquérir une meilleure position sociale, mais à consommer de plus en plus, à se divertir de plus en plus. » (Hanna Arendt, 1961).

Que dire sur le géant américain du commerce en ligne, accessoirement devenue l’entreprise la plus cotée en bourse en début d’année 2019, détrônant Apple par une capitalisation de l’entreprise dépassant à ce jour les 873 milliards de dollars… Entre un impact dévastateur sur l’environnement, les procédés d’optimisation fiscales, les promesses de neutralité carbone du PDG Jeff Bezos, et les conditions de travail indécentes lié au management « amazonien ».. l’unique mot d’ordre est : productivité. Amazon est loin d’être irréprochable sur ces sujets, et cela nous parait utile de dresser un état des lieux non exhaustif de ses manquements. En s’appuyant sur de récentes enquêtes à l’encontre de la firme multinationale faisant appel au « Green washing » pour embellir leur image (voir Reporterre, ou encore Greenpeace), nous allons voir en quoi il nous apparait évident qu’un « comsom’acteur » devrait éviter de passer par commande sur Amazon. Voir plus

Avec votre participation , la plateforme citoyenne Factio.org peut contribuer à faire bouger les lignes

Vous pouvez soutenir "Décidons de notre alimentation ! Pour une véritable démocratie alimentaire sur Factio.org  en cliquant à ce lien

 

Obstacles à la transition-Pourquoi est-il si difficile de rendre notre système alimentaire plus durable et plus respectueux du climat ?
    Par la faim expliquée

 

Au cours des années, les scientifiques ont rassemblé une quantité considérable d’éléments prouvant que notre système alimentaire n’est pas durable1 et qu’il est une des principales causes et victimes du dérèglement du climat2. L’analyse de ces preuves a également amené beaucoup de personnes à envisager la possibilité d’un krach alimentaire futur3.
Malgré cela et en dépit d’une mobilisation croissante des organisations de la société civile, les changements requis pour rendre notre système alimentaire plus durable et plus respectueux du climat n’ont été que marginaux4. Les obstacles au changement sont nombreux et il est essentiel de les expliquer, de même que leurs causes profondes, afin d’augmenter les chances de pouvoir les surmonter. C’est ce que cette note tente de faire.

Pour cela, les obstacles à la transition seront organisés ici en trois catégories principales :

    1. 1.L’histoire.
    2. 2.L’idéologie.
    3. 3.La structure.
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Pouvoir d'achat et écologie sont les principales préoccupations des français
Par Ma Planète Mieux
Quoi d'étonnant ? Manque d'argent, peur de l'avenir, crainte des aléas climatiques dus au réchauffement de la planète... Les sujets d'inquiétude ne manquent pas et les medias s'en font d'ailleurs des relais actifs. Pas de surprise donc dans le résultat de l'enquête annuelle réalisée fin août par Kantar-Onepoint pour France Info. Voir plus

Au delà du bio : la consom'action voir plus

Une avancée démocratique dans la filière alimentaire . Biocoop intègre le consommateur dans sa gouvernance et son conseil d'administration . C'est unique en Europe et important à souligner.
Rencontre avec Pierrick De Ronne, Président de Biocoop, pour qui “l’intelligence RENCONTRE collective” est le meilleur moyen de répondre aux enjeux de la transition citoyenne voir plus

D’incessantes pétitions , manifestations sont organisées sur le net sans inverser la tendance que le consommateur contribuable subit puisque les grandes décisions sont prises par des instances favorisant le développement de millefeuilles administratifs de plus en plus complexes en s’éloignant  de nos lieux de vie .
Si les réseaux sociaux permettent de mieux s’informer ; le consommateur pour devenir responsable ne peut se dispenser de devenir acteur local dans une organisation citoyenne sociale écologique et économique durable  de son territoire.

Un magasin coopératif soutenu par un réseau de consom’acteurs :

la solution durable pour un aménagement du territoire au service de tous les habitants

Le chômage longue durée en Midi Quercy sévit, les nouveaux commerces ne peuvent durer lorsqu’ils ne travaillent pas avec les réseaux de la société civile alliant la démocratie évolutive aux consom’acteurs ( autrement dit aux consommateurs responsables ) voir plus

Jardins en Quercy Rouergue par la pratique du lien social et l’émergence possible d’emplois durables
Face au dérèglement climatique la gestion de l’eau ( comme bien commun ) prendra une place essentielle pour survivre dans l’effondrement en cours Voir

Mais avant d’y parvenir , un peu d’histoire .

Après des décennies de développement :  le modèle d’exploitation de sur-production conjugué à celui de sur-consommation  a progressivement éclaté la société   en chacun pour soi , pour son clan , pour son corporatisme ou en groupuscules ayant la certitude qu’ils changeront le monde à partir de l'entresoi …. ; mais ni la misère sociale, ni   les problèmes écologiques pour la Planète sont résolus .
 Des services dit publics prétendent apporter leur aide à la multiplication de tous ces problèmes en obtenant des subventions publiques dit compensatrices pour réparer les dégâts  . Nous nous rendons compte que les dépenses publiques compensées  par des taxes que tous les contribuables payent par la consommation profitent prioritairement à des missions qui fonctionnent en parallèles ( en doublons voire triplons) dans un millefeuille particulièrement flou et coûteux sans résultats pour de plus en plus d’êtres humains et sans réelle transparence des comptes de résultat.
La consommation responsable devient un bien commun , elle appelle à un autre modèle découlant non plus de la division ni de la reconstruction à partir des groupuscules qui ne se rencontrent jamais entre eux , ni avec tous les habitants . A partir de l’information coopérative sociale et solidaire  :  l’art de bien consommer par la responsabilité évitera de suivre les esprits qui décident en vase clos en rassemblant l'intérêt commun de consommer économique et écologique. Cet art de bien consommer se cultive par la recherche  à bien s'informer : un moyen d’espérer construire un nouveau modèle, une troisième voie portée par la conscience et l'intelligence collective.
Cet art de bien-consommer prend en compte : social -écologie et économie ( en globalité et non séparé ) d’une part et d’autre part le lien à construire entre producteurs de qualité , consommateurs responsables et intermédiaires ceux qui distribuent en coopération et en réseaux éthiques et ceux qui informent des solutions en proposant ( par exemple) des installations de fermes , de maraîchages locaux  …) mais aussi des solutions aux manques des habitants qui vivent dans un territoire le long de l'année .
L’intermédaire fait gagner du temps aux petits producteurs qui vendent eux-mêmes en multipliant leur travail  , l’information coopérative  évite de perdre du temps dans les pièges tendus continuellement par une économie réduite à la seule réussite des ventes . Ni des petits producteurs accompagnés par de nouvelles structures issues du millefeuille pyramidal demandant la répétition des aides publiques , ni des groupement de consommateurs cherchant à faire chuter les prix ne résoudront les problèmes qui continuent à se multiplier dans ces visions qui s'opposent continuellement.

Les variations du climat du global au local et du local au global  appellent l’individualité  au service du collectif lire le témoignage de Catherine Bernard  Vigneronne Les vignes brûlées dans le Sud ne sont pas une calamité agricole
Ce qui s’est produit dans les vignes du Gard et de l’Hérault vendredi 29 juin, est d’une tout autre nature, d’un tout ordre, ou plus exactement d’un tout autre désordre.
Je suis vigneronne. Je n’écris pas en qualité de vigneronne.
 Suite

Sans chercher à prendre en compte les  mauvais investissements des dépenses publiques  souvent jamais analysées les échecs se répètent par automatisme.

Le droit des consommateurs responsables dans un territoire doit prendre en compte un aménagement de services à partir des personnes qui vivent toute l’année et se sentent responsables des besoins essentiels et prioritaires pour une économie réelle sociale et solidaire
L’économie réelle dans le développement durable d’un village, d’un territoire .
Les solutions liées au développement durable d’un village , d’un territoire ne viendront pas d'une gouvernance qui les décrétera d'en haut , elles se construiront et se démultiplieront à partir des besoins essentiels et prioritaires de la base citoyenne afin de survivre   aux nombreux problèmes sociaux-écologiques et économiques que nous devrons affronter et gérer individuellement et collectivement .
Les Paysans agriculteurs constituent une base fondamentale de cette économie
Mais il y a aussi les autres Paysans qui vivent toute l’année et qui constatent la disparition de services publics malgré l’augmentation des taxes et la nécessité de construire une économie à Valeurs Ajoutées Humaines permettant une rémunération pour chaque travail d’intérêt social durable . Voir plus

L’économie réelle propose de prendre en compte la Valeur Ajoutée Humaine qui innove et expérimente d’autres possibles que la gouvernance issue du schéma modèle pyramidal millefeuille ignore.
Attendre que les solutions descendent d'en haut sans engagement individuel ne permet pas d' améliorer durablement les conditions sociales globales pour tous . La classe moyenne doit identifier et travailler à inter-connecter des porteurs de projets , des compétences , des  savoir faire etc ...pour travailler avec la terre et non contre elle,  tout en ne se perdant pas dans des initiatives superflues de groupuscules en entresoi et voulant l'imposer à toutes et à tous. Des projets de biens communs intégrés dans un développement durable doivent intégrer dans le dispositif des outils collaboratifs permettant les échanges entre citoyens des territoires et de la planète puisque nous sommes habitants de la même terre.
 La rencontre du 28 septembre à Caussade Habitat , alimentation et humanisme dans un développement local citoyen durable pour un aménagement équitable du territoire est prévu pour bâtir ces circuits courts d’économie réelle  court-circuitant les dépenses inutiles. voir le programme page d'accueil du site .

Lorsque les propositions citoyennes ne sont pas entendues par le millefeuille des collectivités locales , elles deviennent des actes incontournables de ces  entreprises du Travailler autrement .

L’économie réelle des circuits courts doit apprendre à court-circuiter le développement des dépenses publiques cause des taxes qui s’ajoutent aux taxes et que tous les contribuables consommateurs paient  sans avoir toute la transparence des comptes et l’analyse des résultats qui conduisent à un appauvrissement général , des  faillites et le risque de développement des conflits.

L’économie réelle propose de prendre en compte la Valeur Ajoutée Humaine qui innove et expérimente d’autres possibles que la gouvernance issue du schéma modèle pyramidal millefeuille ignore.
Ces autres possibles sont de nouvelles compétences citoyennes adaptées à la pratique du  lien social et l’art d’inter-connecter des compétences , des savoir faire dans la mise en relation pour travailler avec la terre et non «  contre elle » tout en évitant les initiatives superflues, incohérentes avec l’intérêt des biens communs de tout un village , de tout un territoire.
Ces autres possibles permettent l’innovation de services essentiels et prioritaires pour les habitants d’un village , d’un territoire en favorisant l’inter-générationnel.

 

Le système d’exploitation considère le consommateur comme un pigeon à plumer sans que celui-ci puisse donner son avis .

Face à l’uniformisation de la presse des grands groupes subventionnés, favoriser l’information coopérative vers une consommation responsable
Des partenaires pour l’information des consommateurs
Que choisir
60 Millions de consommateurs

 
Un relais bioconsom’acteur 82 est né,  avec vous il peut se développer pour en savoir plus nous
contacter  en cliquant ici

Ce relais peut devenir l'espace de réflexion  pour faire émerger un magasin coopératif de qualité (tel une Biocoop). Le réseau aujourd’hui est nécessaire pour assurer une construction ouverte et connectée à  la vie du monde.
Sur un axe de passage comme Caylus ( 6000 véhicules par jour selon les Chiffres communiqués par la Direction Départementale des Territoires ) un magasin géré par une coopérative éviterait tous les trajets aux habitants qui doivent aller chercher ailleurs .
La combinaison du passage et de répondre au besoin local par des magasins compétents en coopération répond concrètement au  durable et ne s’oppose pas mais complète le service de magasins situés au centre du village investis sur la qualité de la vente et des produits essentiels , indispensables, éthiques et écologiques .

Autre modèle de magasin possible sur le passage de Caylus Les comptoirs de la Bio – Groupement de magasins indépendants
Le Meilleur du Bio, accessible à tous et pour tous les jours !
Notre mission est de vous proposer un choix incomparable de produits de grande qualité en vous accompagnant tout au long de votre visite. Retrouvez ici les grandes familles de produits que vous trouverez dans votre magasin. voir plus sur facebook https://www.facebook.com/LesComptoirsDeLaBio/

Concernant les besoins d’évolution de médias indispensables à informer sur les questions sociales , écologiques et économiques , notre réseau est en lien avec les indépendants qui cherchent d’autres moyens de financement que les subventions publiques.

La survie de l’être humain à partir des droits de consommateurs responsables ou le développement de nouvelles fonctions incohérentes voire incompétentes pour prolonger le même système destructeur de la vie dans sa globalité ?
Toujours plus d'incohérences pour toujours plus de structures qui s'ajoutent les unes aux autres à la pyramide gouvernementale millefeuille avec toujours plus de taxes pour tous les consommateurs contribuables réunis . Misère de misère avait compris Coluche

Construire ensemble la consommation responsable

La consommation responsable : un art social essentiel et prioritaire pour le développement durable des territoires  et la diversité des compétences innovantes
Une piste pour y parvenir La Démocratie Évolutive
Principes de la Démocratie Évolutive 1. Une gestion des affaires publiques par la société civile La Démocratie Évolutive permet à chacun de développer une citoyenneté créative, favorisant l'émergence de nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. voir la suite