La dictature libérale fondée sur la liberté , nous berce d'illusions .
" L'esclave moderne est persuadé qu'il n'existe pas d'alternative à l'organisation du monde présent. Il s'est résigné à cette vie car il pense qu'il ne peut y en avoir d'autres. Et c'est bien là que se trouve la force de la domination présente : entretenir l'illusion que ce système qui a colonisé toute la surface de la Terre est la fin de l'Histoire. " -- Jean-François Brient, De la servitude moderne, Chap VIII, 2007.
La dictature libérale
Le secret de la toute puissance des démocraties au XXème siècle - Jean-Christophe Rufin (Auteur) - Paru en janvier 1994 - Essai (broché)
La civilisation libérale a vaincu tous les totalitarismes de ce siècle. Pourquoi ? Parce qu'elle est elle-même une forme subtile et puissante de dictature. A la différence de celles fondées sur la contrainte, cette dictature de la liberté est dotée d'une étrange propriété : elle est capable de se nourrir de ce qui s'oppose à elle. Tout ce qui prétend la détruire la renforce ; tout ce qui la pertube, l'alimente. Elle tire son énergie de la menace. Pendant le soixante-dix ans où elle a prétendu combattre le marxisme soviétique, elle l'a en même temps soutenu et utilisé comme régulateur de la révolte sociale et comme "grand organisateur des défaites" de la révolution mondiale. Aujourd'hui, la civilisation libérale s'appuie sur de nouvelles peurs : le sud, l'écologie, l'exclusion sociale. Mais derrière la rhétorique catastrophale le même mécanisme de récupération est à l'oeuvre. voir la suite
L'élite enfin dévoilée 20 minutes pour comprendre ce monde
Vous ne pourrez plus jamais dire : je ne savais pas ! Voir la vidéo
Euro : vers de nouveaux abandons de souveraineté
Un nouveau rapport prônant un saut fédéral en deux étapes a été soumis au Conseil européen. Pointant les « défauts » de l’intégration monétaire, le texte propose d’enlever aux Etats de la zone euro leur souveraineté en matière de politique économique, afin de faire converger leur « compétitivité ».
« notre but commun est de rendre impensable (…) un avenir sans Europe » lire la suite
Le capitalisme, voilà la « source du mal », écrit Einstein
Ce texte a été écrit par Albert Einstein en mai 1949 et publié dans la revue américaine progressiste « Monthly Review»
Albert Einstein: «Est-il convenable qu’un homme qui n’est pas versé dans les questions économiques et sociales exprime des opinions au sujet du socialisme ? Pour de multiples raisons, je crois que oui.» lire la suite
« Soldats, vous n'êtes pas des machines » extrait du film Charlie Chaplin Le dictateur Voir la vidéo La saviez-vous?
La fondation Rockefeller et les débuts de la recherche sur la guerre psychologique
La fondation Rockefeller a été la principale source de financement pour la recherche concernant l’opinion publique et la guerre psychologique entre la fin des années trente et la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Le gouvernement et les grandes entreprises n’ayant pas encore manifesté d’intérêt particulier ni soutenu les études en lien avec la propagande, la plus grande partie du financement de ces recherches provenait de cette puissante organisation qui comprit l’importance d’évaluer et d’orienter l’opinion publique dès l’immédiat avant-guerre. lire la suite
Ces mensonges sont tellement énormes que nous y avons tous cru. Pourtant lorsque l’on décortique certains sujets, il n’y a aucune difficulté à détecter la supercherie. voir la suite
L'écopsychologie : faire en sorte que nos concitoyens sortent du consumérisme exacerbé par son outil de guerre, la publicité, implique une éducation populaire alternative.
Mais comment persuader nos concitoyens de choisir d’autres voies plus respectueuses de l’environnement et de l’humain?
Le déclic peut se faire par l’écopsychologie lire la suite
Climat: foi et mauvaise foi ...raison et manipulation de la raison
Publié le 7 août 2015 par jmmasson
Les connaissances scientifiques vérifiées par de nombreuses académies des sciences confirment les résultats des recherches: nous allons vers des changements climatiques anthropiques, c’est à dire liés à l’hyperactivité humaine, en particulier dans le domaine des énergies sales.
La prise de position du Pape, dans ce domaine, est un fait marquant.
La conférence de Paris sur le climat sera-t-elle à la hauteur des enjeux?
Le brouillage entretenu par des climatosceptiques et/ou certains lobbies continuera-t-il de semer le doute pour repousser aux calendes grecques toute décision efficace qui permettrait de limiter ces changements délétères? lire la suite
Régions : Lamentables magouilles des élus pour sauver leurs postes
En septembre 2015, il n’existera plus qu’une réalité politique, et qui sera purement électorale : la présidentielle de 2017.
A « Gauche », Hollande a deux préoccupations. La première n’est pas trop compliquée : remplacer Rebsamen, premier rat à quitter le navire, par un prestidigitateur qui va nous démontrer l’inversion de la courbe du chômage. La seconde est plus délicate, mais vitale : éviter la multiplication des candidatures à Gauche pour être qualifié pour le second tour. Pour les écolos, ce sera le retour au gouvernement, l’affaire est pliée. Pour les « radicaux de gauche » (quelle blague…) ce sera des postes d’élus locaux distribués aux régionales. Les uns et les autres auront leur assiette garnie, et tout va bien se passer. lire la suite
L’affaire Séralini et la confiance dans l’ordre normatif dominant de la science
Florence Piron et Thibaut Varin,Université Laval
D’où vient la confiance dans la science? Comment est -elle nourrie et renforcée? Dans un contexte où, au prétexte de la crise des finances publiques, les politiques scientifiques nationales semblent privilégier la voie du financement de la science par des partenariats avec le secteur privé, notamment la grande industrie , la confiance dans la science reste un argument majeur pour justifier le maintien ou même le renforcement du soutien de l’État à la recherche scientifique. L’enjeu de la confiance dans la science apparaît ainsi fondamentalement politique et non pas seulement éthique: une science inspirant confiance aux citoyens/contribuables pourra justifier son financement par les fonds publics, par la richesse collective. lire la suite
Face aux diplômes des "scientistes de l'agro-industrie" un couple préoccupé par la sécurité alimentaire et la facture médicale. Entretien avec Claude et Lydia Bourguignon voir la vidéo
La théorie de la peur « Je n’ai pas d’autre ennemi à craindre que la peur. » voir la suite
La voie d'espoir: l'union pour des biens communs
L’alimentation n’a jamais autant été au coeur de nos préoccupations, l’actualité nous le rappelle au quotidien. Voilà un nouvel exemple de projet qui va dans le sens de la transition d’un modèle agricole qui s'essouffle, vers une alternative durable et réfléchie. L’union fait la force
Le plus grand viticulteur bio de France va planter 10.000 arbres en agroforesterie pour sauvegarder la biodiversité -
À la tête de bientôt 600 hectares de vignes en biodynamie, Gérard Bertrand s’engage auprès de la fondation GoodPlanet à soutenir un projet agroforestier d’envergure en Languedoc Roussillon. Pas moins de 10.000 arbres vont être plantés dans ses vignobles afin de soutenir un projet d’agriculture durable lire la suite
Lien en pays d'OC participe à un mouvement d'étude économique porté par la Société Civile afin de dissocier l'économie de consommation de l'économie spéculative.
Lien en Pays d'OC s'appuie sur le développement économique afin d'assurer la souveraineté alimentaire comme ressource fondamentale de nos territoires ruraux.
Lien en Pays d'OC travaille en lien direct avec Démocratie évolutive cliquer ici
Constitution de groupe d'étude " Dépolluer l'économie"
-
Pour ne plus dépendre de la Banque Centrale Européenne qui ne dissocie pas l'économie de consommation de l'économie spéculative : une solution préconisée par Michel Laloux une expérience de création monétaire selon l'expérience WIR .
Lien en Pays d'OC : qui sommes-nous ? activités, moyens, projet.... Voir la suite
Informations complémentaires
"Le biomimétisme : s'inspirer de la nature pour innover durablement". Le biomimétisme et les circuits courts coopératifs lire la page
Malbouffe et vaccination : deux mamelles de l'industrie médico-alimentaire ? lire la page
Le troisième homme: une communauté fraternelle d'hommes libres et déterminés, en alternative aux pièges de la société moderne Fondamentaux de la communauté : découvrez-les ici
Civilisation et barbarie
Le monde moderne aime à se présenter comme l’aboutissement et le gardien de la civilisation. « Moi ou le chaos ». Il ne semble pas se souvenir qu’il doit son existence à l’ancienne tradition de la discussion critique et à la lutte contre l’arbitraire monarchique. Un discours - quel qu’il soit - se présentant comme le seul raisonnable et possible est précisément l’inverse d’un discours civilisé. C’est une barbarie avide, qui a pris une apparence convenable pour mieux parvenir à ses fins.
L’absence d’une recherche sincère du vrai dans le monde moderne se trahit par des contradictions qu’il parvient de moins en moins à masquer.
Ainsi défend-il des valeurs universelles, l’aspiration de tout homme à la liberté, à la justice, à l’égalité devant la loi, contre toutes les formes de communautarisme ou de particularisme. lire la suite
La fascination des femmes pour Hitler
Soutien inconditionnel des nazis tant qu’ils ont gagné, usines de bébés pour filles-mères, élimination des trisomiques, adoubement des sanguinaires communistes, esclavage des travailleurs étrangers, oppression des prisonnières dans les camps de concentration ; au-delà du discours sur les pauvres femmes qui auraient été hypnotisées par Hitler et inconditionnellement manipulées par l’Église catholique (qui était contre Hitler!!!), vous pouvez comprendre entre les lignes comment une majorité de ces femmes a plutôt profité d’une situation qu’elle avait créée de toute pièce, de la naissance d’Hitler à sa mort. lire la suite
«Histoire vivante»/Troisième Reich • Des milliers de femmes, institutrices, secrétaires, infirmières ou gardiennes de camps ont participé plus ou moins activement à la Shoah dans les territoires de l’Est. Une facette méconnue de l’histoire. lire la suite