« Comment un éleveur peut-il accepter de vendre sa viande 3,98€ et de la retrouver à 14,50€ sur les étals des grandes surfaces? Qui se goinfre au passage? Quand on est au bord du gouffre, on a le droit de s'en exaspérer. »

Alors que se poursuivent les manifestations d'éleveurs protestant contre les trop faibles prix de la viande qui ne leur permettent pas de couvrir leurs coûts de production, Périco Légasse analyse les raisons pour lesquelles le secteur agricole est en crise. lire la suite

Pourquoi devrions-nous continuer à suivre des modèles qui ont prouvé et prouvent encore leur inefficacité dans l'économie réelle ? La grande distribution au service de la grande exploitation et du gaspillage, depuis une cinquantaine d'années a prouvé son incapacité à rechercher l'équilibre entre l'offre et la demande et vice-versa.

En plus des quantité de pubs qui partent dans les poubelles , il faut payer une justice pour que cette exploitation de la distribution pense à  ses fournisseurs.

Leclerc condamné par la cour d'appel lire la suite

Grande distribution : "Comment j’ai tué des petits producteurs"

Pour la première fois dans le numéro de "Marianne" en kiosques ce vendredi, un acheteur, intermédiaire entre les petits producteurs et les principales enseignes de la grande distribution, parle. Il révèle les pratiques les plus sombres, entre manipulation et corruption, qui étranglent toujours plus agriculteurs et éleveurs. Un témoignage accablant ! lire la suite

La grande distribution n'a pas pris en compte dans ses fondements une vision globale de l'économie . Elle distribue des produits avec pour objectif de faire tomber les prix rappelons-nous le célèbre "Mammouth écrase les prix" . Cet objectif a pour effet de réduire les coûts de fabrication en favorisant la délocalisation des productions toujours moins chères ailleurs ( sans prendre en compte le coût et la pollution des transports). La recherche de l'équilibre entre la demande et l'offre et vice-versa devient inexistante , la grande distribution est un outil conçu pour un système qui ne s'appuie pas sur l'économie réelle ( faire vivre décemment chaque acteur de la filière). Que peut-on faire ? S'approprier des projets de circuits courts coopératifs en tenant compte que chaque acteur puisse recevoir une part de rémunération pour son travail. Ni le chômage, ni le bénévolat à vie sont des réussites sociales conséquences d'un système basé sur l'exploitation. 

Pourquoi est-on si tenté par ce qui est mauvais pour la santé ?

Distraire pour faire consommer

Ces processus inconscients prennent souvent le dessus lorsque notre attention est distraite. Une expérience a montré, chez les participants qui devaient retenir une série de nombres, qu'ils choisissaient plus souvent de la tarte au chocolat que de la salade de fruits comme goûter. Le souci d'une alimentation saine passait donc à l'arrière-plan. Ce que nous faisons lorsque nous sommes assis devant la télévision est un autre bon exemple : si une assiette de biscuits ou un sachet de chips est à portée de main, nous en mangeons parfois - sans nous en rendre vraiment compte - jusqu'à ce qu'il n'en reste plus. Et si, à la télévision, une publicité s'affiche pour une boisson ou une friandise que nous avons justement à la maison, il n'est pas rare que nous nous rendions à la cuisine pour la consommer avec, parfois, un sentiment de satisfaction quelque peu surprenant. lire la suite 

L'avenir de l'agriculture française : l'excellence alimentaire conjuguée avec le travail des réseaux sociaux utilisant les nouvelles technologies de communication . Des circuits courts en réseaux coopératifs permettant à tous les acteurs des filières de recevoir une participation pour leur contribution au travail de lien et de promotion de produits alimentaires sains.

Plutôt que de casser des poternes d’écotaxe, les Bretons feraient mieux d’interroger le système productiviste qui les a conduit à l’impasse et à la crise. En Loire-Atlantique, des paysans ont choisi d’en sortir - et ils s’en sortent bien ! lire la suite 

"Ca ne coûte pas plus cher d'acheter local en bio" - Jacques Caplat voir la vidéo voir la vidéo 

"Laissons à la FNSEA le terme d’exploitants" :  Benoît Biteau un réel paysan-agriculteur s'exprime . Une vidéo à voir pour mieux comprendre d'où viennent les problèmes du modèle agricole dominant assujetti à la loi du marché et à ses injustices. cliquer ici

Vous pouvez rejoindre notre mouvement. ici 

Mettons en lien : les consommateurs , les producteurs et tous les acteurs de la filière alimentaire de l'excellence ( intermédiaires , réseaux sociaux, sociologues, juristes, économistes, nutritionnistes, médecins holistiques, naturopathes, scientifiques du vivant …. lire la suite

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