Pourquoi blanchir les paradis fiscaux et ne pas favoriser les coopérations pour une autre économie ?
Pourquoi blanchir les paradis fiscaux et ne pas favoriser les coopérations pour une autre économie ?
Paradis fiscaux : les Bermudes et Jersey bientôt hors de la liste noire !
Le ministre de l’économie, Pierre Moscovici, va prendre un arrêté, dans les tous prochains jours, si l’agenda politique le permet, pour sortir Jersey et les Bermudes de la liste noire des paradis fiscaux. Le texte est prêt. Il n’attend plus que l’aval du ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius.
Officiellement, Bercy justifierait cette sortie de la liste noire par les récents efforts réalisés pour coopérer avec l'administration fiscale. "Ces deux territoires sous pavillon britannique auraient multiplié les gages de bonne volonté", peut-on lire dans les colonnes du quotidien. Lire la suite
La France fait la paix avec les paradis fiscaux cliquer ici
Les réactions ici
Quelle agriculture voulons-nous ? Relevons le défi climatique avec la démocratie alimentaireAvec la chaîne industrielle de la malbouffe les problèmes commencent : gaspillage , insécurité alimentaire, croissance de la pollution et de la consommation d'énergie, développement du chômage et de la famine , interdiction de produire selon des normes imposées par les grands lobbys : c'est à dire avec des pesticides, des engrais et des OGMs. voir la suite
Ce pouvoir unique condamne les producteurs qui oeuvrent concrètement un modèle plus respectueux de la santé des consommateurs et de l'environnement, refusent les pesticides et autres engrais dangereux pour la santé. Le système de la malbouffe répète inlassablement les erreurs de la semence au gaspillage ; en bloquant le développement de la diversité d'une autre économie non basée sur l'unique spéculation et la lutte de tous contre tous.
Une démocratie économique alimentaire et culturelle est possible pour sortir nos territoires des nombreux problèmes engendrés par le pouvoir d'une caste minoritaire s'auto-protégeant : pour inverser ce système. Favorisons une économie basée sur les besoins alimentaires de plus en plus diversifiés ( ce qui est bon pour un consommateur peut être un poison pour l'autre).
Favorisons la recherche démocratique alimentaire.
Le pouvoir de produire ce que les consommateurs recherchent devient donc un défi démocratique à relever avec des élus locaux qui doivent prendre en considération ce qui est bon pour l'avenir de la République de notre pays, de l'ordre et de la sécurité avec le peuple ou ce que d'autres nommeront la Société Civile.
La démocratie évolutive a pour effet de réguler les revenus décents pour produire des biens communs liés à une production coopérative pour nourrir les êtres humains et non les empoisonner par des pesticides , engrais, OGMs et autres méthodes en prévision ...
Le président de la République avait demandé à être jugé sur sa capacité à régler le problème du chômage, mais en ne prenant pas en compte l'investissement de la diversité économique et de la démocratie à entreprendre avec les acteurs des territoires ; ses promesses sont déjà vouées à l'échec. Les Français(e)s le comprennent , jamais un Président de la République Française n'a été aussi impopulaire, penser que le précédent devrait revenir ou que des chefs d'autres partis politiques régleraient notre misère nationale en pleine croissance, serait de grandes illusions, elles continueraient d'enfoncer la France dans le gouffre. Ce sont les règles du système de la République que nous devons inverser, un système à bout de souffle n'est plus un secret, beaucoup sont payés pour le répéter , mais les constats ne suffisent plus ; les actions nationales doivent voir le jour.
Pour des engagements non tenus Monsieur Hollande gagne 12000 euros par mois, plus de 600 élus de la République Française gagnent encore plus . Pour sortir du blocage et permettre à une autre économie d'apporter de réelles solutions, des associations n'ont plus de moyens financiers ; des présidents d'association ont des revenus de 800 euros ( voire moins) 15 à 20 fois moins que ceux qui sont payés pour ne pas remplir les contrats sur lesquels ils se sont engagés .
Trop d'injustice entre ceux qui travaillent sans moyens et ceux qui sont largement payés pour que l'injustice continue à empoisonner et gaspiller . Aucun statut existe pour que les lanceurs d'alertes face aux dangers du développement de la pollution, du changement climatique puissent avoir un revenu indispensable pour exister et travailler. Ce statut permettrait à des précaires et chômeurs de retrouver une place digne dans la Société. La démocratie alimentaire a besoin d'être reconnue par le bon travail fourni pour le bien de la collectivité . Or les travailleurs pour les biens communs voient leurs revenus fondre, travaillant sans relâche en engageant des fonds personnels, tandis que les associations subventionnées continuent à servir le modèle unique des lobbys privés ne remettant jamais en cause les bases fondamentales créant les inégalités et les incompétences pour un monde meilleur plus équitable. Une réelle coopération pour bâtir l'avenir cultureL-démocratique et économique basé sur un projet national lié à l'alimentation est indispensable avec des institutions locales se remettant réellement en cause pour servir la mise en place de ces projets durables.
Les problèmes sont déjà là que d'autres peuvent surgir avec le changement climatique , anticipons socialement et écologiquement la biodiversité économique portée par les êtres humains acteurs si nous voulons une écologie coopérative.
Pour une autre économie
La réorganisation des filières courtes alimentaires de qualité assurant une sécurité pour les consommateurs passent par une autre économie
vous trouverez ici les conditions et méthodes pour créer de l'emploi durable ayant du sens cliquer ici
photo de Marre de la bouffe gaspillée pendant que d'autres meurent de faim.
Album photos cliquer ici
La mort des salaires au 10 de chaque mois augmente tout en faisant vivre ceux du 1er au 31 qui tendent à devenir "anormaux" la suite