Le " grand chaud de l'été 2018 " marquera-t-il les esprits pour construire des coopérations globales et locales durables ?
Un terrible "effet domino" menace de transformer notre planète en une étuve
Par Sciences et Avenir avec AFP (Lire tous ses articles)
Publié le 07.08.2018 à 12h28
Même si l'humanité réduit les émissions de gaz à effet de serre la planète elle-même pourrait perturber les efforts des hommes et basculer dans un état durable d'étuve, selon une étude publiée lundi 6 août 2018. suite
Canicule en ville : l’îlot de chaleur, ennemi public numéro 1
Par Dominique Pialot
Face au réchauffement climatique et à la poursuite de l’urbanisation, qui devrait voir 75% de la population mondiale vivre en ville d’ici à 2050, les températures plus élevées encore dans les zones urbaines constituent un sujet de préoccupation. Des solutions existent, mais les plus efficaces impliquent de repenser les usages de l’espace public urbain, à commencer par la place de la voiture… suite
Un moyen d'éviter la progression de l'urbanisation: favoriser le repeuplement des zones rurales plus fraîches , beaucoup de maisons sont à vendre et beaucoup de logements solidaires et coopératifs pourraient se créer. Je propose d'en créer un à Caylus complété par un projet durable fondé sur les besoins essentiels .
Eau , semences reproductibles pour le fondement d'un patrimoine rural de jardins coopératifs
La cascade pétrifiante de Caylus-St Pierre Livron : un patrimoine naturel du Tarn et Garonne
En été elle ne coule pas...Pour les passionnés on trouve un festival de stromatolithes au confluent avec la Bonnette...Bonne promenade....voir la vidéo
Ce projet porté par la société civile est de cultiver des zones intermédiaires en période de réchauffement climatique et à partir d'échanges , de dons et ventes de gérer les fruits et légumes d'une alimentation indispensable à l'être humain.
Nous pouvons prendre conscience que le système doit s'ouvrir à des coopérations entre professionnels amateurs citoyens et toutes bonnes volontés si nous voulons amortir le choc en ne poursuivant pas l'illusion que notre système est durable et en continuant avec des méthodes qui ne le sont pas .
La période de réchauffement climatique que nous avons vécu cet été 2018 , nous a fait observer des périodes d'inondations dans certaines zones provoquées par des orages violents et soudains alors que d'autres zones subissaient les sécheresses et les feux . Lire la suite
La question alimentaire permet de relier les initiatives des villes et des ruralités , des professionnels mais aussi des amateurs citoyens
Pour réussir face à l'effondrement dû au changement climatique que nous vivons déjà ; la vision globale est nécessaire .
Christiane Roques à Caylus en milieu rural met en avant d'abord le besoin essentiel de l'eau pour des jardins coopératifs plutôt que la demande des subventions qui ne sont pas liées aux activités du développement durable. voici les titres
L’eau, un bien commun à protéger voir la suite
Canicule et manque d’eau au jardin voir la suite
Adapter les cultures au changement du climat voir la suite
Pour rejoindre le blog http://semons-la-vie-dans-nos-jardins.fr/
Canicule : la climatisation accroît la consommation électrique
Grâce aux énergies nucléaire et solaire, la France exporte une partie de sa production depuis le début de la canicule.
Par Nabil Wakim
La canicule n’échauffe pas seulement les esprits. Elle pèse aussi lourdement sur la consommation et la production d’électricité. Après avoir battu des records en juillet dans plusieurs pays d’Europe, les températures du mois d’août s’annoncent comme certaines des plus hautes du siècle. lire la suite
Le système électrique français face à la canicule : jusqu’ici tout va bien
Par Dominique Pialot
Malgré l’arrêt de plusieurs réacteurs et un parc éolien qui tourne au ralenti, la production électrique française couvre largement des besoins limités par une activité économique très réduite. Cependant, le réchauffement climatique pourrait entraîner en France et dans le monde un boom de la climatisation, de sa consommation et des émissions de gaz à effet de serre. Suite
De cause à effets, le magazine de l'environnement
par Aurélie Luneau
100 solutions pour inverser le cours du réchauffement climatique
Et si le réchauffement climatique n’était plus l’objet de seuls rapports alarmants et de réactions anxiogènes ?
Émission en partenariat avec le service Planète-Sciences du Monde
Et si le réchauffement climatique avait pour vertu de réunir des chercheurs et des scientifiques du monde entier afin de produire des études pratiques, modéliser les 100 moyens les plus efficaces à mettre en œuvre pour inverser le cours du réchauffement climatique ? Des solutions en matière de réduction du CO2 et de préservation de notre planète…à portée de tous ?!
Ce n’est pas un film de fiction, mais le résultat de l’entreprise lancée il y a quelques années par l’écologiste et entrepreneur américain Paul Hawken, inquiet des dégâts du défaitisme et donc bien décidé à renverser la vapeur. lire la suite
Actuellement le système permet à certains pouvoirs publics et entreprises de décider pour les décennies à venir en évinçant les citoyens engagés de la prise de décision et en illusionnant sur les solutions . Il est fort probable qu'après la fin de la canicule peu de ces intérêts conjugués au pouvoir se remettent en question.
Des tonnes de légumes jetées dans la nature au nom de l’économie
Par Mr Mondialisation
Alors que la lutte contre le gaspillage alimentaire est une cause à laquelle tous sont aujourd’hui sensibilisés, on ne peut que s’étonner des procédures et dysfonctionnements institutionnels qui conduisent à ce que plusieurs tonnes de nourriture non consommée puissent finir directement à la poubelle. C’est notamment le cas d’un marché en Belgique qui a décidé de jeter cette semaine des quantités astronomiques de tomates en pleine nature. Suite
Par contre la société civile peut persister à favoriser l'expérimentation de projets réellement durables ... pour éviter la poursuite de ce pire fondé sur l'exploitation la sur-production et la destruction.
Nous ne pouvons qu'amortir le choc en ne poursuivant pas l'illusion que notre système est durable en continuant des méthodes qui ne le sont pas .Les pouvoirs publics locaux doivent arrêter de subventionner avec des lignes budgétaires de développement durable des entreprises et associations qui n'amènent aucune solution à l'urgence . Vous trouverez de nombreuses informations sur le site Ainsi que les plus récentes au fil d'actualités ici
Bonne coopération
Proposition d'une gouvernance de la société civile intégrant l'éthique et l'équitable dans l'évolution...
Dans le rural des services de formation sont mis en place avec bien sûr des subventions publiques alors que nous n'avons pas de moyen collectif de mobilité , le tourisme de masse continue de vouloir faire fonctionner l'économie 2 mois dans l'année . Commençons par développer l'économie de consommation de qualité ( commerces performants coopératifs comme les biocoops) les habitants éviteront de faire de nombreux trajets afin de se procurer leurs besoins qu'ils ne trouvent pas dans le village. Evitons les gouvernances qui font tout à l'envers pour créer des postes qui n'ont pas la vision économique-sociale et écologique globale pour que les ruralités puissent organiser et permettre à des personnes d'y vivre et d'y travailler durablement toute l'année.
Des entreprises coopératives en réseau ( magasin biocoop , fermes à échelle humaine avec Terre de liens) des initiatives économiques à accompagner avec un noyau de consommateurs engagés et responsables .
Caylus un lieu de passage
6000 véhicules passent aujourd'hui tous les jours dans le village*, les commerces du centre du village ne profitent pas de cet avantage du fait que les parkings sont insuffisants, quant aux nouveaux commerces ils disparaissent dans les 2 ou 3 années qui suivent leur inauguration .
Un commerce issu d'un réseau coopératif à l'entrée du village sur ce lieu de passage serait le bienvenu pour l'économie du village et de ses habitants mais sans groupe porteur de la société civile, une grande distribution ne s'imposera-t-elle pas par la logique que tout vide fini par être rempli ?
* Chiffres communiqués par la Direction Départementale des Territoires voir la suite
La planète vit, elle n'est ni une marchandise ni une poubelle et pourtant elle continue d'être considérée comme telle par les gouvernances dominantes .
Tout ce qu’annonçait Hubert Reeves est en train de se produire
En 2008, le célèbre astrophysicien listait les menaces qui pesaient sur notre planète. Aujourd'hui, la réalité lui donne raison sur toute la ligne...
Par Axel Leclercq
« S’il n’y a pas d’écologie, l’économie s’effondre. On n’a plus le choix, comme avant, de dire écologie ou économie. Si on ne réussit pas à avoir un développement durable, l’économie s’effondre. On ne peut plus dire : l’écologie c’est une affaire de riches. »
Depuis cette prise de parole médiatique, tout reste vrai… en pire. Normal, puisque tout a continué comme si de rien n’était. Preuve s’il en fallait que ce genre de discours doit encore et toujours être relayé jusqu’à ce que, enfin, la prise de conscience soit suivie par des actes. Suite
Des astronautes concernés ont été impactés par la fragilité de la planète bleue perdue au milieu de l’espace, protégée du vide intersidéral par la couche ténue de l’atmosphère, comme un organisme vivant qu’il était urgent et impératif de protéger, dont il fallait prendre un soin immense lire la suite
En quête d'économie publique et de redistribution équitable de biens communs choisissons bien
En période d'effondrement de changement climatique et de développement de la dette publique: quelle gouvernance pour transformer l'idée d'exploitation et de surproduction en gestion réelle de l'économie planétaire ?
En ne restituant pas en priorité des ressources naturelles à la Planète , certains élus locaux bénéficient d'élections favorisant le soutien de leurs réseaux d'amis et de conseillers d'entreprises ne remettant pas en cause le système de gouvernance dominant.
Ces réseaux antiques de gouvernances ne se sont pas adaptés à vérifier que certains projets, certaines constructions n'ont pas été nécessaires voire indispensables à la vie sociale écologique et économique autrement dit aux biens communs nécessaires au développement durable d'un village et d'un territoire . Seule une vérification chiffrée peut éviter à ce que les collectivités persistent à soutenir des projets inadaptés à vivre en bonne intelligence avec la planète et des êtres qui y vivent.... La planète a besoin des êtres vivants et des hommes comme les êtres vivants et les hommes ont besoin de la Planète.
Gérer le gaspillage est la première des économies. Le grand déficit de l'économie est le manque d'emplois c'est à dire le manque de travaux rémunérés . Ce manque d'emplois est compensé par l'encouragement au travail bénévole et aux activités subventionnées . Réfléchir à créer des emplois durables dans un milieu rural est la première des activités à introduire dans une gouvernance de territoire qui sera capable d'accompagner des exemples économiques de biens communs liés à l'essentiel : nourriture, logement , mobilité ...pour construire l'économie réelle afin de sortir du superflu
Fruit and Food : récupérez les fruits et les légumes de vos voisins
Le gaspillage alimentaire n'a pas lieu que dans les supermarchés et dans le réfrigérateur, cela se passe également dans les jardins Suite
Rencontres, Trocs, Dons et Ventes/ Achats de fruits et légumes du jardin
www.lepotiron.fr met en relation les particuliers et les jardiniers (amateurs ou professionnels) qui veulent proposer leur surplus de jardin.
www.lepotiron.fr c’est s’approvisionner en produits frais de la région, faire des économies et bien manger.
- Exemple des Ateliers Renova Voir la suite
Un autre exemple lié aux fruitiers "Les Vergers Vivants" sauvent des pommes et créent de l’emploi. Suite
Parlons nouvelle économie d'énergie
[ENTRETIEN] Jean-Louis Butré : “Éoliennes, le suicide d’EDF”
Par Mickaël Fonton
/Entretien. Avec le “One planet summit”, la France n’a parlé que de transition écologique et d’énergies renouvelables. Jean-Louis Butré, Président de la Fédération Environnement Durable (FED), qui regroupe plus de mille associations confrontées à l’éolien, revient sur la réalité concrète de cette source d’énergie. Et promet un avenir compliqué à EDF, qui s’engage chaque jour plus avant dans cette impasse technologique et financière.
Valeurs actuelles. Comment définiriez-vous la situation actuelle, en France, sur le front de l’éolien ?
Jean-Louis Butré. Aujourd’hui en France 7000 éoliennes terrestres sont en fonctionnement. Selon les dernières informations données par le Ministre de l’Environnement Nicolas Hulot, 20000 sont à venir à l’horizon 2023. Ces machines, qui peuvent atteindre désormais 230 mètres de haut et être implantées à 500 m d’une habitation, sont composées d’un socle de béton armé de 1500 tonnes, d’un mât en acier ou en béton de plus de 100 mètres et d’une nacelle contenant le générateur d’électricité entraîné par une hélice tripale. Chaque pale peut atteindre 60 mètres. La nacelle pèse plus de 70 tonnes. Le coût complet de sa construction est de l’ordre de 3 millions d’euros. Voilà pour l’objet en lui-même.
Ce qu’il faut noter ensuite, c’est qu’il n’y pas d’industrie française de fabrication d’éoliennes terrestres. Elles sont toutes importées, principalement d’Allemagne et du Danemark, pour un montant total de 21 milliards d’euros. lire la suite
Choisir entre deux types de projets
Des projets décidés entre les pouvoirs publics et les entreprises sans l'avis de la société civile
La débâcle de l'énergie solaire subventionnée en Allemagne
Du Temple du soleil à la Vallée de la mort : comment l’industrie solaire allemande a implosé – et comment l’automobile risque de suivre. Par Pierre L. Gosselin. Implanté au début des années 2000 au cœur de l’ancienne Allemagne de l’Est communiste, entre Dessau et Leipzig principalement, le nouveau paradis du photovoltaïque était censé transformer cette région sinistrée en « Temple du Soleil » en lui apportant la prospérité économique grâce à une multitude d’emplois high-tech. À la belle époque de sa splendeur, pas une semaine ne passait sans que la presse ne mentionne de nouvelles innovations et leur cortège d’inaugurations en présence de politiciens trop heureux de se congratuler les uns les autres.
Des subventions par millions D’après le journaliste allemand Dirk Maxeiner, le gouvernement allemand a déversé l’argent des contribuables par centaines de millions d’euros pour mettre tout cela en place : « On a vu affluer 142 millions d’euros dans le Brandebourg, 120 millions en Saxe-Anhalt et 143 millions en Thuringe. » lire la suite
La société civile prend ses responsabilités sans les pouvoirs publics pour soutenir des entreprises locales
La société TOI-SOL propose la réalisation d’une installation de production thermique pour l’habitat à partir d’une couverture solaire innovante..
Valoriser les apports solaires et environnementaux gratuits par à un système exclusif d'utilisation de la toiture en tuile pour absorber la chaleur. le prix de l’installation sera inférieur à celui d’un toit traditionnel qui comprend aussi la facture de chauffage et d'eau chaude. La toiture conserve une apparence classique et pourtant permet de réaliser le chauffage et l'eau chaude des habitations voir la suite
EVERLUM est la solution d'éclairage à leds "low tech" et "long life" répondant à l'ensemble des contraintes énergétiques, sociales, environnementales et climatiques du 21ème siècle.
Un projet porté par EVERLUM voir la suite
En assurant une durée d’éclairage de plus de 12 ans sur sites sans maintenance, sans gaspillage d’énergie, ni production de chaleur, sans éblouissement ni pollution lumineuse ou lumière bleue, la technologie brevetée EVERLUM, fabriquée en France, révolutionne l’éclairage extérieur à leds. Aujourd’hui, avec la lutte contre le réchauffement climatique et la mise en application des lois Grenelle de l’Environnement, Transition Energétique et Biodiversité, EVERLUM est la seule solution d’éclairage répondant à l’ENSEMBLE de ces enjeux environnementaux, face à une concurrence ayant privilégié productivité et obsolescence. Dans ce contexte favorable à notre développement et pour soutenir notre action commerciale avec le déploiement de notre réseau d’éco-conseillers dans toute la France puis à l’Export, nous avons lancé avec succès une campagne de levée de fonds sur WEDOGOOD, plateforme spécialisée dans le financement participatif en royalties pour les entreprises à impact positif. EVERLUM a déjà levé 40.150 € investis par 123 personnes, lui permettant de continuer cette levée de fonds jusqu’au 30 Septembre 2018, suite
Tout commence au quotidien - En quête d'économie publique et de redistribution équitable de biens communs
Manger, boire, se doucher, s’habiller… Des alternatives responsables au quotidien
De la nourriture aux vêtements, les alternatives pour une consommation plus durables se développent. Voir la suite
Réponse à l'un de nos correspondants suite à la diffusion de l'article de l'INRA Effet cocktail de pesticides à faible dose par l’alimentation : les premiers résultats chez l’animal montrent des perturbations métaboliques suite
« Y avait il vraiment besoin d'une étude si vous êtes exposés à un produit nocif ? »
Il y a toujours ceux qui veulent des chiffres pour des solutions qui sont de bon sens pour d'autres . Mais ceux qui veulent des chiffres à vérifier le bon sens des autres n'en donnent pas pour mesurer l'inefficacité voire les échecs répétés de leurs gouvernances . Cette vérification permettrait de rectifier le mauvais sens du développement durable et de l'éviter de devenir celui de la dette .
Respecter le bon sens du développement durable lire la suite
Depuis 30 ans, les dépenses des collectivités locales augmentent de manière régulière. Elles sont passées de 8 % du PIB en 1980 à 11,2 % en 2017.
par La finance pour tous
La dette des collectivités locales
D’une manière globale, les dépenses des collectivités locales sont supérieures à leurs ressources, accroissant ainsi leur dette. En 2016, la dette totale des collectivités locales se montait à 148,5 milliards d’euros.
L’encours de la dette des collectivités locales a progressé de 1,8 % en 2016 après une hausse de 3,0 % en 2014.
L’endettement des collectivités locales en 2014 (en milliards d’euros) lire la suite
Contre le surendettement, vous reprendrez bien un peu de dette ?
Par Simone Wapler.
10 ans après la crise financière mondiale, les folies collectives se multiplient comme les dettes et le crédit. Suite
Rien n’est bon dans « subvention »- Résistance au développement de la dette publique qui génère l'effondrement écologique planétaire-Offre de services sociaux-écologiques et économiques aux administrations publiques
Pourquoi la France est en déficit depuis 1975 ? Suite
Lorsque les pouvoirs publics et les entreprises choisissent d'obtenir des subventions publiques sans l'avis de la société civile, celle -ci doit gérer elle même les affaires publiques des projets de services publics de démocratie évolutive sont indispensables
Tout commence au quotidien- En quête d'économie publique et de redistribution équitable de biens communs
Depuis plusieurs années des associations appellent à la prise de conscience « que la Planète vit à crédit » , c'est à dire qu'elle sur-consomme sans être capable de renouveler ces ressources.
Le « jour du dépassement» symbolise le moment de l'année où ont été consommées les ressources que la Terre peut renouveler en un an.
Si la Planète vit à crédit elle constitue par conséquent de la dette , curieusement ces associations ne mettent pas en avant cette logique liée directement aux chiffres ….
La dette est pourtant l'origine de l'effondrement planétaire actuellement en cours , des solutions seraient de trouver d'autres moyens de gouverner l'économie réelle . Voir la suite
Michel Serres : " A nous d’inventer un lien social nouveau ! "
Philosophe, enseignant depuis un demi-siècle (Panthéon-Sorbonne, Stanford), auteur de nombreux ouvrages sur la philosophie et l’histoire des sciences, membre de l’Académie française, Michel Serres est aujourd’hui l’un des intellectuels français majeurs et aussi l’un des plus populaires. Docteur ès lettres, il propose une vision du monde qui associe les sciences et la culture. L’arrivée des nouvelles technologies se traduit, à ses yeux, par un bouleversement radical dans la vie de l’humanité. L’avènement de la « civilisation de l’accès » favorise la diffusion du savoir, provoque un nouvel équilibre entre les détenteurs « historiques » des connaissances et des pouvoirs, et les « autres ». Encore faut-il inventer de nouveaux liens entre générations pour faire émerger une société démocratique.
Jeune Dirigeant : à l’heure où certains esprits prédisent la fin du monde actuel et font des comparaisons avec l’atmosphère pré-1789, vous exprimez une vision confiante. Seriez-vous un éternel optimiste ?
Michel Serres :ce n’est pas une question de confiance, mais de lucidité. Aujourd’hui, nous assistons à une troisième révolution, aussi capitale que les deux précédentes, qu’étaient celles du passage de l’oral à l’écrit et de l’écrit à l’imprimé. C’est là vraiment la raison de mon enthousiasme. Il se passe quelque chose de comparable à la fin du Moyen Âge et au début de la renaissance.
JD : vous voulez parler d’internet ? Lire la suite
Pourquoi faut-il s’intéresser aux profils atypiques ?
Par Nicolas Lacombe chargé de communication du site www.jaipasleprofil.fr
La situation actuelle sur le marché de l’emploi est paradoxale : le taux de chômage est au plus haut mais les entreprises et notamment les TPE/PME rencontrent de plus en plus de difficultés à recruter les bonnes personnes.
Selon une étude de Manpower près d’une entreprise sur trois se retrouve confrontée à des difficultés de recrutement.
Cette situation s’explique essentiellement par :
- Un niveau de compétences techniques insuffisant
- Le manque de candidats
- Le manque de savoir-être
- L’inexpérience des candidats
- Des prétentions salariales trop élevées
Quand une entreprise n’arrive pas à recruter en temps voulu cela entraîne un impact négatif sur son développement et sur son chiffre d’affaires immédiat et à moyen terme.
Pourtant il est estimé que seulement une entreprise sur cinq est prête à s’ouvrir à des candidats ayant un profil atypique : reconversion, autodidactes, sans expérience, longue période d’inactivité... lire la suite