Pour se libérer de la prison de l'égocentrisme du Pdt et des institutions à son service , les réseaux de la société civile s'organisent pour ouvrir des solutions durables inter-connectées et inter-actives
Photo de Anartist
Ouvrir le mur de notre prison institutionnelle ou tout devient marchandise commence dans nos têtes par la liberté de penser et d'agir
La société civile doit porter une démocratie et une économie évolutives pour éviter la dette publique puis la faillite
Des articles et conférences pour aider à faire son choix de liberté à penser des organisations sociales au service des citoyens
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Emmanuel Macron : "Son projet politique est trop centré sur sa personnalité"
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Cet article de l'association pour une constituante date de 2008 ! Changer de Président ou changer de Constitution ?
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Présidentielle NON - Constituante OUI
- Dans quel Etat finirons-nous? De l'Etat sauveur à la démocratie évolutive
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Les aides sociales sont retirées, par contre des postes sont financés pour prolonger des structures qui continueront à servir les intérêts de l'économie spéculative des grands lobbies en développant la dette publique .
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Invitation à une réflexion pour de nouvelles formes d'organisations sociales d'entreprises écologiques et économiques portées par la société civile . Les emplois aidés des citoyens entrepreneurs actuellement supprimés peuvent-ils être remplacés par de nouvelles formes coopératives ?
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Claude Gruffat : le bio peut-il perdre son âme ?
Dans les années 60, au moment où se développait l’agriculture conventionnelle, des pionniers ont imaginé un modèle agricole respectueux des sols, de l’environnement et des animaux : l’agriculture biologique. Que reste-t-il aujourd’hui du travail de ces pionniers, à l’heure où les magasins et produits bio en toute sorte sont devenus omniprésents dans les sociétés occidentales ? Quelles solutions pour que l’agriculture biologique se développe sans perdre son âme ? Claude Gruffat, président du réseau de magasins Biocoop, s’interroge sur notre avenir alimentaire dans le livre «Se nourrir demain» (préface de Marie-Dominique Robin) aux éditions La Mer Salée. Voir la vidéo
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APL : l’État ne peut pas tout payer… et en même temps
Non seulement « l’État n’a pas à payer tout », mais il devrait même passer en revue toutes ses missions et se recentrer prioritairement sur celles qui visent à assurer la sécurité des personnes et des biens avant de se lancer dans des politiques sociales et industrielles ruineuses et inefficaces.
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Le marché de l’éolien en pleine déconfiture
Malgré toutes les subventions dont elles bénéficient, les entreprises de l’éolien sont en faillite.
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"Travail "… Mais de quel "Travail ", parlons-nous ?
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Les contribuables doivent pouvoir aller en justice
Emmanuel Macron : "Son projet politique est trop centré sur sa personnalité"
Le 9 mai, au lendemain de la victoire d'Emmanuel Macron à la présidentielle, la presse internationale poussait un soupir de soulagement. Marine Le Pen avait été battue, et pour beaucoup, l'élection d'Emmanuel Macron était de bonne augure. Aux Etats-Unis, le New York Times y voyait notamment "un nouvel espoir pour l'Europe". Quatre mois plus tard, presque jour pour jour, le ton a bien changé.
De ce côté de l'Atlantique, la popularité du chef de l'Etat s'effrite, forçant nos voisins à s'interroger sur les raisons de ce désamour. C'est ce qui est fait dans le New York Times. Dans une tribune publiée ce jeudi, Chris Bickerton, qui enseigne la politique européenne à l'université de Cambridge, assassine le président français et sa politique.
" Son projet politique est trop centré sur sa personnalité" voir la suite
Cet article de l'association pour une constituante date de 2008 !
Changer de Président ou changer de Constitution ?
« On sait que » fait partie des affirmations que nous infligent quotidiennement les porte-parole de la pensée officielle. Nous sont ainsi imposées, sondages à l’appui, de prétendues évidences, y compris sur ce que nous pensons avant même que nous ayons pu y réfléchir !
« On sait », par exemple, que les Français sont fortement attachés à l’élection du président de la République au suffrage universel direct. Pourtant, les résultats électoraux, depuis le premier scrutin de ce genre en 1965 jusqu’à l’élection de 2002, permettent d’en douter. Le taux d’abstention au premier tour de la présidentielle est passé de 15,3 % à 28,4 %. voir plus
Présidentielle NON - Constituante OUI
Pétition lancée le mercredi 16 mars 2016. En dépit du silence des grands medias, elle a rassemblé 2 206 signatures sur le site change.org. |
L’élection présidentielle va mobiliser, une fois de plus, avec plus ou moins de bonheur. Or, cette élection est de plus en plus un instrument contre la démocratie. Il est grand temps de sortir de ce piège. La présidentielle n’est pas la solution, elle est le problème.
Le texte ci-dessous propose une solution en posant un principe pour la reconstruction de la démocratie, de la souveraineté populaire. Il est signé par 55 citoyens originaires de nombreux départements français et dont la liste est ci-dessous. Il a déjà reçu environ 2000 signatures sans aucun appui médiatique. Sur ce dernier, la pétition étant maintenant fermée en raison de leur mode de fonctionnement, vous pouvez continuer à la signer sur notre site voir
Dans quel Etat finirons-nous ? De l'Etat sauveur à la démocratie évolutive..
Conférence de Michel Laloux économiste-enseignant auteur de " Démocratie évolutive" et "Dépolluer l'économie" Le rideau est tombé sur la scène électorale française. Une fois de plus on y a joué un jeu de dupes. Une fois encore, de très nombreux citoyens ont été contraints de voter contre leurs choix, à voter pour un projet qu’ils avaient combattus pendant des mois, à choisir entre le pire et le moins pire ; ou bien à s’abstenir, c'est-à-dire à refuser ce non-choix. Mais alors, ils ont été considérés comme de mauvais citoyens. Les plus médiatiques ont été cloués au pilori par la bien-pensance. Voir la conférence
Les aides sociales sont retirées, par contre des postes sont financés pour prolonger des structures qui continueront à servir les intérêts de l'économie spéculative des grands lobbies en développant la dette publique .
Les pouvoirs politiques continueront à se faire payer pour être dirigés par les grands lobbies prédateurs à décider des investissements pour des projets n'ayant aucune vision globale pour la recherche d'équilibre entre social -écologie et économie .
Il nous faut donc redéfinir un nouveau modèle capable de donner des revenus à l'innovation et l'expérimentation.
Merci de prendre le temps d'étudier les principes à la suite qui vont dans ce sens si nous voulons nous donner les moyens de faire face aux problèmes qui continuent de s'accumuler avec le système qui nous emprisonne.
Principes de la Démocratie Évolutive
1. Une gestion des affaires publiques par la société civile
La Démocratie Évolutive permet à chacun de développer une citoyenneté créative, favorisant l'émergence de nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes sociales sont évolutives, à la mesure de la mobilité et de la créativité des citoyens.
2. La fin des réformes par le haut
Un mythe tenace empêche la réalisation d'une véritable démocratie. Il s'agit de la croyance que l'on peut réformer par le haut. On attend alors la femme ou l'homme providentiel qui prendra en main les destinnées du pays et apportera les solutions. Cette illusion s'intensifie lors de chaque campagne présidentielle et culmine le jour du vote populaire.
Mais les surlendemains ont toujours un air de « gueule de bois ». Au fond de lui, le citoyen sait que toute réforme par le haut est mission impossible. Mais il s'adonne à ce mirage, faute d'une autre perspective.
Refondre la démocratie c'est se tourner vers le changement qui, en permanence, cherche à prendre corps sur le terrain, là où les citoyens vivent et agissent.
3. Le droit à l'expérimentation
La Démocratie Évolutive place donc en son centre le droit à l'expérimentation. Pour entreprendre des réformes, elle n'attend pas que se dessine une majorité au niveau national et que des représentants du peuple votent une loi. Un tel processus tue la prise d'initiative par le citoyen, se révèle trop lourd et trop lent.
En démocratie, une réforme et une innovation doivent pouvoir prendre corps là où elles apparaîssent comme projet.
Une telle approche suppose de revisiter les notions de gouvernement unitaire et de service public uniforme.
4. Évolution au lieu de révolution voir plus
Économie à Valeurs Ajoutées Humaines
Une nouvelle approche de l'économie qui a pour but de:
Permettre à l'économie de se développer sans recours à l'économie virtuelle.
Résoudre la croix de l'économie, c'est-à-dire sortir la monnaie, le capital, l'immobilier et le travail de la sphère des marchandises.
Développer les outils permettant que seules les valeurs ajoutées par les facultés humaines interviennent dans la sphère de l'économie.
Comme pour la démocratie, ils nous faut disposer de nouveaux outils pour entrer dans un Économie à Valeurs Humaines, une économie qui parvient à se passer de la finance spéculative par la création d'un nouveau type de monnaie, laquelle permettra une transformation des notions de capital, de valeurs immobilières et de travail.
L'économie devient malade dès l'instant où l'un de ces quatre facteurs - monnaie, capital, immobilier, travail - est considéré comme une marchandise. Il s'agit donc de trouver des formes qui permettent de les sortir de ce domaine. Alors l'économie cessera d'être spéculative. Elle s'affranchira de tout ce qui est devenu virtuel en elle.
Une économie entièrement basée sur le réel est possible. Il s'agit d'un économie qui ne prend en compte que ce qui provient d'une activité issue des capacités humaines, c'est-à-dire une valeur ajoutée qui procède de l'être humain et non d'un mécanisme spéculatif.
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Invitation à une réflexion pour de nouvelles formes d'organisations sociales d'entreprises écologiques et économiques portées par la société civile
Les emplois aidés des citoyens entrepreneurs actuellement supprimés peuvent-ils être remplacés par de nouvelles formes coopératives ?
Des emplois aidés disparaissent alors que des subventions réapparaissent dans de nouveaux programmes . L'information des programmes de subventions accordées à des créations de commerces par les communautés de communes m'a été donnée par l'adjoint au maire de Caylus qui lui-même est agent immobilier et souhaitait louer un local . Quelques jours après avoir reçu cette information, je pouvais constater qu'un magasin de vente de peintures avait été ouvert dans ce local. A qui profitera ce magasin de peintures ?
Le village a besoin en priorité d'autres commerces que de peintures , notamment pour une alimentation de qualité et de besoins essentiels . Pour se les procurer , des habitants du village font de nombreux trajets dans des villes et villages voisins . L'économie d'énergie ne pouvant se faire dans l'immédiat par la création de commerces responsables indispensables au plus grand nombre de consommateurs ( y compris en tenant compte du grand passage), certains élus locaux demanderont d'autres subventions pour construire des Plans d'autonomie d'énergie pour les 20 ou 30 années à venir, mais ces projets ne sont-ils pas une illusion de plus ?
Si les territoires ruraux reçoivent des subventions pour le développement durable ( dont le fondement repose sur les 3 piliers : social-écologie-économie) pourquoi des villages redistribuent des subventions pour des projets éphémères ? Nous sommes encore très loin de la démocratie et de l'économie évolutives portées par la société civile qui nous libéreraient de cette illusion démocratique participative découlant toujours des mêmes mécaniques administratives dirigées par des solidarités de décideurs .
Lorsque démocratie et économie ne sont pas encore perçues comme indispensables à reconnaître les ressources humaines engagées dans la vie citoyenne , des risques de désertification des zones rurales sont réellement à craindre. La société civile organisée en réseaux développe une vision globale qui évitera la fracture sociale, écologique et économique et une future désertification de ces zones qui ne seraient plus que des sources d'alimentation d'énergies pour les grandes urbanisations ne cessant jamais de grossir faute d'avoir face à elles un réel projet de réorganisation démocratique et économique des villages portée par la société civile.
Du fait que les décideurs ne possèdent pas la vision globale et les moyens suffisants d'éviter une dette publique qui risque d'être portée par tous les contribuables , la société civile a besoin de construire des organisations démocratiques et économiques évolutives .
René Chaboy encore membre bénévole du Conseil de Développement du Territoire Rural Pays Midi Quercy
INVITATION à la Fête des Possibles le 23 Septembre 2017
à Caylus 82160
salle des associations entrée médiathèque 15 avenue du Père Huc
à partir de 9h (repas tiré du sac)
Pour aller dans le sens " D'une démarche de commune citoyenne par une alimentation de qualité et de besoins essentiels "
Programme : " L'évolution sera plus constructive qu'une nouvelle révolution. Fête des possibles « pour le mieux plutôt que pour le pire "
pour le consulter voir www.lienenpaysdoc.com/
Lien en Pays d'OC Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. www.lienenpaysdoc.com
APL : l’État ne peut pas tout payer… et en même temps
Par Nathalie MP.
L’État n’a pas à payer tout !
Comme il me plait quand il parle comme ça ! Non seulement « l’État n’a pas à payer tout », mais il devrait même passer en revue toutes ses missions et se recentrer prioritairement sur celles qui visent à assurer la sécurité des personnes et des biens avant de se lancer dans des politiques sociales et industrielles ruineuses et inefficaces. Car qui dit dépenses de l’État (et des institutions apparentées) dit forcément aussi impôts et dette publique
L’État n’a jamais rien payé
En réalité, à quelques exceptions près, l’État n’a jamais rien payé car il n’a jamais tiré de revenus de productions qui lui seraient propres. Et c’est logique : comment l’État, censé garantir les droits des individus, pourrait-il devenir juge et partie en entrant en concurrence avec les activités de ceux qu’il doit protéger ? Voir plus
Le marché de l’éolien en pleine déconfiture
Malgré toutes les subventions dont elles bénéficient, les entreprises de l’éolien sont en faillite.
Par Simone Wapler.
Le secteur français des équipements d’éolien est en faillite, malgré les subventions, malgré le « capitalisme d’État », malgré tout. La nature et le marché sont têtus. Le vent tourne. Les marchés baissent, l’or monte, les banquiers centraux hésitent…
Le mythe du crédit infini et gratuit va–t–il être emporté par un ouragan ? Trop tôt pour le dire, cher lecteur.
Le marché de l’éolien est en train de sombrer
Mais un autre petit marché local, plus facile à analyser, sombre sous nos yeux. Francéole, l’unique fabricant français de mâts d’éolienne, en redressement judiciaire, verra son sort scellé par le tribunal de Chalon-sur-Saône jeudi 7 septembre. Un des actionnaires de Francéole est Pélican Venture, la holding du groupe familial Gorgé. Le secteur entier paraît en déconfiture
Vergnet (moteurs et turbines, panneaux photovoltaïques) est également en redressement judiciaire. C’est un peu de notre argent qui s’envole, car Bpi France détient 42,5% de cette entreprise.
Autre cas, New Wind, une startup bretonne du secteur placée en liquidation en mars dernier. Cette fois, on trouve à la présidence du conseil de surveillance, l’homme à la marinière moulante, Arnaud Montebourg, ex–ministre du Redressement productif. Il a perdu les 56 000 € qu’il avait personnellement investis.
Un marché de l’éolien pourtant largement subventionné
À propos des éoliennes, écoutons un spécialiste :
Ce sont des énergies intermittentes qui vont nécessiter de grandes capacités de réserves qui vont reposer sur le gaz naturel (…) Résultat des courses, on va payer trois fois. D’abord parce qu’il faudra construire deux systèmes, éolien–gaz (…). Deuxièmement, il faudra subventionner les éoliennes. Troisièmement, les turbines gaz vont fonctionner seulement 70% du temps et donc le coût en capital du mégawattheure va être augmenté à due concurrence. Donc je pense qu’il faut bien réfléchir avant de vouloir s’engager trop massivement dans des productions intermittentes de renouvelables. Gérard Mestrallet, président de GDF–SUEZ, L’Usine Nouvelle, 8 juin 2011 Voir plus
"Travail "… Mais de quel "Travail ", parlons-nous ?
Après la loi El Khomri modifiant le droit du travail pour le rendre plus flexible dans l’intérêt exclusif des entreprises, en dépit du libellé trompeur de cette loi, les ordonnances MACRON/PHILIPPE veulent aller encore plus loin dans cette voie-là, au nom de la « réforme ». Réforme qui, de fait, n’est qu’une « contre-réforme » ou plutôt la restauration de formes passées de rapports sociaux tels que la France les a connus sous LOUIS-PHILIPPE (1830-1848) et François GUIZOT [1] (1787-1874), dans le premier tiers du 19ème siècle et jusqu’à son milieu, avant la naissance des syndicats et partis ouvriers, au moment où les grandes fortunes se constituent en quelques années, tandis que les classes les plus aisées se convertissent à la pratique de l’épargne et de la rente. Voir la suite de cet article
Les contribuables doivent pouvoir aller en justice
Chère amie, Cher ami,
Contribuables Associés est à un tournant décisif de son histoire.
Vous connaissez notre détermination sans faille dans le combat contre la corruption, la mauvaise gestion de l’argent public et pour la moralisation de la vie publique…
Souvenez-vous :
Le scandale du Crédit Lyonnais, le financement politique au Conseil général de Moselle, les salaires occultes dans la fonction publique…
À chaque fois que nous avons soulevé et dénoncé ces affaires, que nous avons porté plainte, et que nous avons pu aller jusqu’au bureau d’un juge d’instruction, celui-ci nous écoutait mais ne donnait pas suite : la loi française ne reconnaît pas à Contribuables Associés l’intérêt à agir.
Mais cela peut changer.
C'est pourquoi je vous demande de soutenir Contribuables Associés en interpellant le Président de la HATVP (Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique) en cliquant ici.
Il faut pouvoir faire condamner les hommes politiques qui nous réduisent au silence pour mieux couvrir leurs erreurs et leurs malversations.
Jusqu’à présent, votre association n'a pas le droit de défendre les contribuables devant la justice. Et c’est un scandale !
Pourtant d'autres associations ont, elles, obtenu le droit de représenter l'intérêt général devant les tribunaux. Il s'agit, par exemple, des associations familiales, antiracistes ou de lutte contre le sexisme. Ou encore des associations de défense des animaux.
Leurs actions sont louables, mais pour les contribuables, interdiction de se défendre. Nous sommes juste bons à payer. C'est une honte, un déni flagrant de justice !
Va-t-on encore laisser des politiciens et des hauts fonctionnaires peu scrupuleux continuer en toute impunité à :
Créer des emplois fictifs pour verser des salaires de complaisance aux amis politiques ou à leurs proches ;
Truquer les marchés publics pour toucher des commissions occultes ;
Détourner à leur profit nos impôts via la création d'associations bidon.
Depuis des années, Contribuables Associés dénonce ces détournements de l'argent public.
En 2015, avec votre soutien, nous avons créé l’Observatoire de la Corruption.
Grâce à vous, notre travail d'information a porté ses fruits auprès de l’opinion publique, des médias et des députés.
Nous avons ainsi pu obtenir du Président de l’Assemblée nationale que l’indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) ne soit plus utilsée par les députés pour acheter sa permanence parlementaire.
C’est un début et nous avons peut-être la chance d’aller encore plus loin !
Nous allons pouvoir poursuivre en justice tout détournement d’argent public !
Aujourd’hui, nous sommes à un tournant décisif et j’ai besoin de vous.
Pour poursuivre notre combat et faire condamner les élus corrompus, nous avons besoin de recevoir un agrément de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP).
J’ai donc entamé les démarches requises. Et même si j’ai bon espoir, ce n’est pas gagné !
J’ai officiellement demandé à Jean-Louis Nadal, Président de la HATVP, en application de la loi n° 02013-1 117 du 06/12/2013 et n° 2-23 du code de procédure pénale, de bien vouloir accorder à Contribuables Associés l'agrément qui nous permettra de saisir la justice dans les cas de lutte contre la corruption.
C’est pourquoi je vous demande expressément de signer votre pétition en cliquant ici.
Nous sommes proches du but et j’ai besoin de vous. Je dois pouvoir compter sur vous pour appuyer ma demande. Je dois pouvoir remettre des dizaines de milliers de soutiens pour montrer à Jean-Louis Nadal que vous êtes avec moi dans notre volonté de combattre la corruption.
Depuis des années, nous avons régulièrement organisé des réunions de travail avec les députés à l'Assemblée nationale, en voici quelques exemples :
« La moralisation de la vie politique » ;
« Corruption, fraude : l'exemplarité contre le soupçon » ;
« Argent public : la transparence pour renouer la confiance avec les citoyens » .
De plus, sur le plan législatif, notre association a collaboré activement au travail des députés.
Nous avons participé à la rédaction et soutenu les propositions de loi suivantes qui ont été déposées :
Transparence financière des associations percevant des subventions publiques ;
Instauration d’une peine complémentaire d'inéligibilité pouvant être perpétuelle pour tout élu condamné pour des faits de fraude fiscale ou de corruption ;
Contrôle de l’utilisation de l'indemnité représentative de frais de mandat des parlementaires ;
Obligation de détention d’un casier judiciaire vierge pour tout candidat à une élection.
Mais ce n’est pas assez.
En complément de notre travail législatif, nous devons aller plus loin et pouvoir ester en justice quand il y a détournement d'argent public ou malversation !
Vous êtes nombreux à nous demander de poursuivre élus et hauts fonctionnaires quand ils sont pris la main dans le sac !
Cela ne deviendra possible que si nous obtenons cet agrément…
Alors mon but est de mobiliser toute une armée de contribuables français !
Ce sont les droits et l'argent des contribuables qui sont en jeu !
Je me souviens qu’à la suite du rapport de la Cour des comptes révélant que des dizaines de millions d'euros servaient à verser des primes occultes aux fonctionnaires de la Direction générale des impôts et sur lesquelles, bien sûr, ils ne payaient pas d'impôts, Contribuables Associés avait déposé plainte et saisi la Cour de Justice de la République.
Mais comme notre plainte avait été jugée irrecevable, l'affaire a été classée sans suite.
Alors, pour les prochaines affaires, à votre avis, qui ira porter le dossier devant la justice ? Un fonctionnaire des impôts ?
Toute l'équipe de Contribuables Associés et moi-même avons besoin de votre soutien pour engager toutes nos forces dans cette bataille.
Nous devons obtenir cet agrément sans tarder !
Il faut que Jean-Louis Nadal, Président de la HATVP, soit submergé de dizaines de milliers de demandes quand je le rencontrerai.
Aidez-moi à faire entendre votre voix.
Par avance, merci.
Je compte sur vous.
P.S : Se défendre en justice est un droit reconnu à tous... sauf aux contribuables. Quand des représentants de l'État sont soupçonnés de détournements de fonds publics ou de corruption, les contribuables sont réduits au silence. Cet agrément est une occasion que nous ne devons pas laisser passer. Je vous demande d'être à nos côtés et de le faire savoir.
EUdes Directeur NL 22062017
Eudes Baufreton
Directeur
Contribuables Associés