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Alimentons nos régions

L’alimentation dans un  monde complexe gouverné par un système inefficace pour garantir la qualité

Il est urgent de “Déballer” ce système alimentaire mondialisé. suite ici 

Ce système mondialisé favorise la mécanisation, l'automatisation , mais bloque la liberté de penser , la recherche d’un accord avec l’économie de la nature et le respect du vivant ... Voici les principaux risques qui pèsent sur l'économie en 2022 suite ici

Ce projet civilien décentralisé est proposé dans le Tarn&Garonne et autres territoires qui connaisent le même problème .

Du fait que les institutions du pouvoir central pyramidal sont associées à la gentrification;  la place du pouvoir de décision prend toute la place pour des projets coûteux n’ayant aucune vision holistique et durable, répétant les mêmes erreurs liées aux problèmes pour gérer les problèmes sans jamais remonter à leur cause profonde.
Le système de Droit à l'expérimentation par la société civile pour des projets liés à l'alimentation démocratique économique de qualité en accord avec l’être humain et la nature sont  bloqués et ne permettent  pas d’ouvrir d’autres voies que celles qui conduisent à la dépression de la société  lire la suite ici

A Caylus développer un esprit social coopératif ou mourir  ?
Caylus est un village du Tarn et Garonne : situé sur une route de grand passage ( 6000 véhicules par jour ) de Caussade  en direction de l'Aveyon, entre Lot et Tarn

Construire une économie pour et avec les consommateurs responsables.
Potagers solidaires et autonomie alimentaire sur Caylus et ses alentours 
Voir la suite

Le but de cette page n’est pas de rappeler tous les scandales  qui alimentent depuis une cinquantaine d’années les articles des journaux,  mais de réfléchir à l'expérimentation d’une économie plus proche du respect de la vie en accord avec l'être humain et la nature .
Si le système dominant actuellement bien en place produisait une alimentation selon la volonté de garantir la qualité, est-ce que les intoxications, les épidémies voire les pandémies seraient aussi nombreuses aujourd’hui ? Est -ce que les catastrophes écologiques et sociales se multilplieraient autant ?
Construire une filière économique alimentaire civilienne en obtenant le droit à l'expérimentation
Une nouvelle ère s’ouvre. Le besoin d’une santé de la vie sociale et économique est devenu criant. Le modèle de l’État central et unitaire a fait son temps. Celui des Civiliens est venu. Ensemble, posons les bases d’une démocratie de la société civile.
L’économie est malade de la financiarisation. Comment la rendre saine ? Comment transformer la monnaie, le capital, le travail et le foncier-immobilier pour que l’économie soit au service de l’humain et de la terre ?
Lors de cette première rencontre, nous commençons par l’État. Que devrait être son rôle dans une société équilibrée et viable ?
L’idée que nous avons de l’État est-elle encore compatible avec une véritable démocratie, celle de la société civile ? Comment changer vraiment de modèle, sans faire une République de plus, une sixième, puis une septième, puis… ? Et si la société civile était l’État ?Et si la représentativité était le plus grand leurre ? La rencontre en archive vidéo à ce lien

Cuisinier depuis 1967 je propose l'aménagement des territoires s'appuyant sur une filière alimentaire civilienne en accord avec l'économie de la nature à ce lien

Des voies pour une économie en accord avec la nature et avec le Droit

Le temps des civiliens voir le site

L’idée de démocratie a-t-elle cédé le pas au chaos universel, fait de guerres économiques, de terrorisme, d’interventions militaires « préventives », de révolutions colorées, de pandémies orchestrées, etc ? Suite cliquer ici
Plus d’informations de "Comprendre les raisons cachées du désordre mondial" enregistré dans le tableau Pinterest Maladie sociétale&environnementale à ce lien
 

L’alimentation un vaste sujet : social-écologique et économique .
Se nourrir ou se remplir ? La culture pour construire un nouveau monde ?
Et si nous commencions par nous intéresser à la qualité des produits ?
Parce que "bien se nourrir" concerne chacun de nous, la qualité alimentaire est un "bien commun" à développer
La méthode des cristallisations sensibles permet de visualiser la qualité alimentaire


L'alimentation concerne chacun de nous , construire une Alliance entre consommateurs , professionnels et amateurs d'une cuisine issue d'une production respectant la biodiversité et la qualité
Qu’est-ce que la qualité ? La qualité se voit voir la suite


La faim dans le monde s'aggrave, sombres perspectives en 2020
Climat : des moissons compromises
Des récoltes faibles depuis dix ans
La faim pourrait tuer 12 000 personnes par jour à la fin de l'année
Pour faire face au développement de la faim  lire la suite

Nous consommons tous et par conséquent nous sommes évidemment responsables .

C’est la raison pour laquelle nous appelons les consommateurs responsables à créer ensemble à partir de leurs besoins essentiels et prioritaires une organisation pensée à partir de nous mêmes et non plus pensée pour nous mais sans nous .
Des solutions agroalimentaires pour une transition citoyenne planétaire en tenant compte des propositions des consommateurs responsables locaux- Des revenus décents peuvent dépendre d'emplois qui se créeront dans l'agroalimentaire de qualité avec une croissance de la demande des consommateurs responsables

Les Paysans agriculteurs sont une base fondamentale de cette économie
Mais il y a aussi les autres Paysans qui vivent toute l’année et qui constatent la disparition de services publics malgré l’augmentation des taxes et la nécessité de construire une économie à Valeurs Ajoutées Humaines permettant une rémunération pour chaque travail d’intérêt social durable . Voir plus


États généraux de l’alimentation-Quelles avancées pour les consommateurs ?-Les consommateurs, simples spectateurs des réformes Voir l’article à ce lien

Pourquoi Lien en Pays d'OC s'engage avec le développement Biocoop mais aussi avec tout commerce issu d'une économie au service des besoins essentiels unissant dans le concept de développement durable: social et culture. voir plus 
 

Avec Terre de Liens, faites pousser des fermes !

Les terres agricoles, un bien commun en voie de disparition ?
Convoitées, surexploitées et exposées à la spéculation immobilière, les terres agricoles, socle de notre alimentation et nos paysages, se font de plus en plus rares dans l'Hexagone. Les modèles agricoles intensifs et l'usage de produits phytosanitaires remplacent une agriculture paysanne de qualité avec pour conséquences des paysages, des sols et des ressources naturelles qui se dégradent au fil des jours. Plus grave, un petit nombre d'exploitations continuent de s'agrandir en accaparant la ressource foncière, au détriment de jeunes agriculteurs qui se découragent face aux difficultés d'installation.

Comment, dans un tel contexte, permettre aux nouvelles générations d'assurer la relève agricole et la redynamisation économique dans les territoires ruraux? suite
 

"Ce ne sont pas des institutions supra-nationales qui agissant de l'extérieur pourront amener la paix et le juste partage des biens communs d'une même Terre, ni encore les replis nationaux, mais bien les sociétés humaines dont les fondements seront nourris par de justes impulsions venant des individus eux-mêmes". Extrait de la série produite et réalisée par Bernard Bonnamour « L'Economique, le Juridique, le Spirituel Pour un organisme social tri-articulé » .
Suite L'Économique, le Juridique, le Spirituel - 6 (91 mn)
Pour un organisme social tri-articulé voir la vidéo


Développer un esprit social coopératif ou mourir ?
A l'heure du numérique peut-on concevoir des services communs pour l'être humain ?
Les défis à relever sont considérables et complexes car ils sont à la fois mondiaux et locaux: danger de la violence, d'un climat de plus en plus déséquilibré.. voir la suite

Pourquoi une qualité alimentaire économique et démocratique? *****
Manger plus pour se nourrir moins voir plus

Pour passer des paroles aux actes : relocalisons l’économie alimentaire - Coconstruire une transition citoyenne en respectant environnement et santé devient indispensable

Le site de l'Université Francophone d'autonomie alimentaire cliquer ici
Groupe de l'université Francophone d'autonomie alimentaire sur Facebook  cliquer ici
Réseau micro-fermes et acteurs de la transition alimentaire

Le réseau rassemble les micro-fermes, associations et entreprises en accord avec l'agroécologie et la permaculture, acteurs de la transition agricole et alimentaire.
Pourquoi créer un réseau de Micro-ferme ?
- Soutenir la création des fermes résilientes et solidaires
-Offrir une meilleure visibilité et promouvoir les fermes sur petite surface
-Favoriser le partage de techniques, pratiques, d’outils et d’expériences
-Organiser la commercialisation, l’entraide et l’échange au niveau local
-Mutualisation des moyens dans tous les domaines nécessaires au bon fonctionnement des micros-fermes
-Faciliter l’installation et la formation des porteurs de projet voir la suite sur Facebook

Coronavirus : vers un acte 1 de la démondialisation de l'économie ?
Par Jean-Raphaël Chaponnière  
La « mondialisation » de la crise du nouveau coronavirus menace celle de l’économie. Dans l’industrie, les secteurs high-tech sont les plus vulnérables à court terme, devant la pharmacie et l’automobile. Si la crise persiste, elle pourrait conduire les entreprises à repenser leurs stratégies de production, et notamment leur dépendance à l’égard de la Chine.
En mars 2011, l’industrie mondiale était secouée par l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima. Cet épisode avait révélé la situation de quasi-monopole de petites entreprises japonaises dans la fabrication de composants essentiels à plusieurs secteurs. Quelques mois plus tard, les inondations de Bangkok avaient aussi eu des répercussions sur l’industrie informatique du monde entier : 40 % de l’assemblage de disques durs se réalisaient dans des usines situées à Bangkok.
Avec l’épidémie de coronavirus qui se propage, on change de registre et avec la Chine, on change de catégorie. Non seulement elle est l’usine du monde, mais elle occupe des positions souvent incontournables dans les chaînes globales de production.  voir plus

 

A cette question la réponse sans hésitation est OUI , car non seulement le système de mondialisation est fragile et dangereux puisqu’il est dépendant des usines de Chine mais aussi parce qu’il  conduit l’agriculture en France  à la faillite
Explications :
Pour comprendre la situation et les enjeux agricoles et alimentaires du pays, il importe de dresser un état des lieux complet sinon détaillé voir plus 

A qui profite la politique agricole commune ?
Par Antoine de Ravignan
Les agriculteurs profitent peu de la PAC Voir plus

Quelles solutions pour notre avenir d’être humain dans une société ou le vivre ensemble ne sont pas que des paroles en l’air ?
Sortir de ce système incohérent ou l’argent devenu produit entraîne tous les consommateurs à  devenir à leur tour des produits enfermés dans une économie illusoire  .  

Construire une transition citoyenne en respectant environnement et santé devient indispensable pour vivre voire survivre.
Des potagers urbains en libre service ? Vive les "Incroyables comestibles" !
Marre des légumes chers et insipides ? Alors ce mouvement collectif et solidaire va vous emballer !
Par Axel Leclercq   Voir plus

Poursuivre la co/construction de " Nourriture à partager des incroyables comestibles "' avec l’autonomie alimentaire
Sur Groupement les Radios Associatives Libres Sabine Becker a co-écrit avec François Rouillay : “En route vers l’autonomie alimentaire” aux Editions Terre Vivante. Un guide pratique pour reconquérir votre assiette ! Et aussi reconsidérer l’environnement local (et global) socio-économique de la production alimentaire. Vous y découvrirez comment on peut utiliser les friches dans nos communes et construire un jardin partagé ! des solutions et autant de constats qui pourraient changer le futur de nos enfants ! Pour les familles, les villes et les territoires ! Pour aller plus loin, se tiendra une formation-conférence le 25 avril 2020 à la librairie l’Oiseau-Lyre à St Yrieix-la-Perche ! Sabine Becker au micro de Lucie O’Sullivan RCF Limousin, pour les radios du GRAL. Écouter l’émission

Toutes ces initiatives éviteront de soutenir ce modèle d'agriculture intensive  : comment l’Andalousie se transforme en désert. Le plus gros centre européen de production de légumes voir plus

Merci  de soutenir et rejoindre Promouvoir une nourriture démocratique saine en réseaux coopératifs pour participer à des campagnes et à des projets citoyens sur Factio  cliquer sur   ce lien

Mouvement de transition concernant l'alimentation face au dérèglement climatique .

Le but favoriser une alliance avec les agriculteurs paysans, les consom’acteurs dans l'orientation de produire et consommer une alimentation respectant la santé et l'environnement ( Les ami (e) s de la Confédération Paysanne et son réseau évolutif ) .

Campagne municipale 2020 Pour une Démocratie alimentaire voir plus

Pour favoriser une agro-alimentation en crise: créer un pont avec les jardins coopératifs résilients citoyens ( Université Francophone d'autonomie alimentaire )

Favoriser un aménagement de territoire citoyen pour introduire des commerces durables afin de répondre aux besoins essentiels, d'éviter les trajets des habitants pour leurs achats et éviter les concurrences entre les doublons de créations de mini-entreprises qui répètent les échecs sans avoir pris connaissance des besoins des consommateurs actuellement en plein développement coopératif.

Proposer aux communes rurales des services citoyens afin de redonner un sens social indispensable à des projets innovants tournés vers l'avenir comme un habitat intergénérationnel prenant en compte des espaces communs de jardins résilients coopératifs

Communication: diffusion d'informations, mise en relation.

Gestion de sites internet et administrateur de groupes sur les réseaux sociaux ( voir : https://lienenpaysdoc.com/ )

Coopérons sur Factio

Décidons de notre alimentation ! Pour une véritable démocratie alimentaire à ce lien

Promouvoir une nourriture démocratique saine en réseaux coopératifs à ce lien

Informations complémentaires -Informations complémentaires -Informations complémentaires -

Une réflexion sociale pour l’avenir de notre alimentation

Photo du site https://guardian.ng/

Variations climatiques de plus en plus prononcées , orages de plus en plus fréquents et violents…Le dérèglement climatique se manifeste aujourd’hui en ayant  laissé sur la terre entière  des traces  de civilisations pourtant très avancées  mais aujourd’hui disparues.
Le système basé uniquement sur la vente des professionnels ne sera pas suffisant pour nourrir la planète et nos terroirs si celui-ci considère l’homme uniquement comme un produit à consommer  qui paye des taxes .
Les amateurs ne sont pas de trop pour participer à une citoyenneté mettant en activité des échanges , des recherches pour s’adapter aux temps inquiétants qui menacent notre alimentation .
Quels fruits , quels légumes, quelles semences  cultiverons-nous  et échangerons-nous dans nos terroirs lorsque nous nous rendrons compte des récoltes détruites , des sols bétonnés, artificialisés et stérilisés , bref , les missions des ministères et collectivités locales seront dépassées si une alimentation sociale portée par les citoyens eux mêmes ne s’organise pas  pour survivre après l’abondance  ….

Cet article est daté de 2015 mais reste une référence qui circule dans nos réseaux sociaux

 

75 % du marché mondial de semences est contrôlé par dix multinationales. Face à cette mainmise sur le premier maillon de la chaine alimentaire, des citoyens organisent des trocs de graines et de plants partout en France. Dans ces espaces autogérés, les jardiniers amateurs échangent semences et conseils afin de contribuer à préserver la biodiversité cultivée. Une biodiversité libre de tout droit de propriété intellectuelle. Reportage sur un troc de graines, à Pélussin, dans la Loire. Voir plus

Très très peu connu les artisans semenciers dont Graines del Pais font parti voir ici
Les artisans semenciers  voir ici

Depuis plus de vingt ans Lien en Pays d’OC association citoyenne informe des dangers alimentaires sans que les actualités aujourd’hui nous rassurent.  

Les travaux de Bernard Prieur amènent une vision réellement éclairante sur la qualité alimentaire et les moyens de construire des filières portées par les citoyens.
 

Alimentation nourrissante-Se nourrir ou se remplir ? Bernard Prieur voir suite cliquer ici
 

Pourquoi la réflexion  d'un financement coopératif des services publics citoyens pour une alimentation de qualité ?

La qualité alimentaire est l'affaire de chacun de nous  elle doit nourrir !

Alimentation et poisons ( pesticides et OGM ) réunis sont incompatibles avec la santé publique . Ces deux secteurs ne peuvent être gérés par une même multinationale car elle imposerait un business producteur de crimes contre l'Humanité. Voir la suite

Cher (e) s ami (e) s ,

Les problèmes sociaux-écologiques et économiques sont si nombreux qu'ils seraient bien illusoires de prétendre les régler subitement par de nouvelles mesures. Les mesures , les plans de gouvernements providentiels n'ont jamais apportés de transformation profonde de la société si les consommateurs responsables et les contribuables n'ont pas le pouvoir de décision . Parce que nous mangeons tous et que nous n'avons pas tous une juste rémunération pour le travail social effectué des solutions concrètes et durables ne peuvent pas être mises en place par une société libre, égalitaire et fraternelle.

La bonne décision commence par s'organiser autour de projets qui n'oublient aucune partie de l'économie réelle. Cette décision peut commencer dès aujourd'hui à partir d'une consommation responsable d'alimentation de qualité puisque notre souci commun est de pouvoir se nourrir sans développer des frais maladies qui sont pour nos assurances et mutuelles des difficultés à résoudre . Sans la responsabilité des adhérents eux-mêmes les frais de maladie évitent d'investir sur la prévention ; en évitant de perdre la santé nous changerons collectivement et individuellement cette malbouffe qui a envahit nos assiettes.

A notre époque des scandales alimentaires provoqués par cette malbouffe persistent,  bien que les grands lobbies sournoisement comme à leur habitude, changent les étiquettes sans aborder les problèmes en profondeur. Sans prendre en compte la globalité de la question alimentaire ; ni la BIO , ni la qualité alimentaire seront de réelles garanties pour un développement durable si cette qualité alimentaire n'est pas étudiée entre producteurs-distributeurs et consommateurs réunis .

Pourquoi une qualité alimentaire économique et démocratique?

Manger plus pour se nourrir moins 

Aujourd’hui, dans les pays industrialisés, la majeure partie de la population mange à sa faim. Pourtant, de nombreuses personnes souffrent d’une carence en micronutriments comme le fer, cuivre, zinc, mais aussi en acides gras et en vitamines. Au cours de ces cinquantes dernières années, les aliments tels que les fruits, les légumes, la viande, le lait frais, les œufs ou encore le pain, ont perdu jusqu’à 75% de leur valeur nutritive ! voir plus 

La qualité alimentaire économique et démocratique

Après les révélations permanentes de la malbouffe empoisonnée, les médias tiennent avec la qualité alimentaire un sujet inépuisable qui commence à intéresser de plus en plus de personnes étant donné que nous mangeons tous. Quelle qualité alimentaire cherchons nous ?

Voici la qualité alimentaire économique et démocratique

Pourquoi économique ?

Parce que mesurer la vie est moins coûteux que mesurer indéfiniment la matière avec l'argent des consommateurs et des contribuables

Pourquoi démocratique ?

Parce que la science de la vie ouvre des voies créatives que la science matérialiste bloque ou ferme , préoccupée à imposer une loi et des projets basés sur la dualité permanente: source de conflits et de misère.  Voir plus 

Le développement durable basé sur les trois piliers (économie/écologie/social) et l'alimentation de qualité pour les consommateurs responsables de l'économie d'avenir .

Le développement durable a été évoqué par Mme Gro Harlem Bruntland , Premier Ministre norvégien en 1987 : le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs » ainsi qu'en 1992, au Sommet de la Terre à Rio, tenu sous l'égide des Nations unies qui officialisa la notion de développement durable et celle des trois piliers (économie/écologie/social) : un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable.

Les bases fondamentales sont ici évoquées , pas besoin de changer les mots qui créeront certes de nouveaux postes mais aussi de nouveaux problèmes par de nouveaux échecs, si nous ne sommes pas capables consommateurs responsables de mettre en œuvre l'application du développement durable par des projets coopératifs en intégrant nos besoins essentiels .

Ce développement durable ne peut s'investir en priorité sur des grands projets d'autonomie d'énergie locaux pour les 20, 30 et 50 années à venir , si nous n'entreprenons pas immédiatement la réalisation de points de vente pour redynamiser les zones désertifiées par la vie économique et le chômage ( ou de postes aidés et précaires).

Repenser les circuits courts est aussi prioritaire

Pourquoi les circuits «courts» sont-ils si souvent les plus longs? (et les plus chers?) Comment les raccourcir réellement? lire la suite 

Des points de vente sans court-circuiter le distributeur et le dévelopement de son travail dans la vie sociale : information, mise en relation ) sur des grands passages auront plusieurs avantages :

  1. Ils permettront aux consommateurs responsables d'éviter la multiplication des nombreux trajets pour faire eux-mêmes leurs achats dans les villes en économisant immédiatement du carburant ( rien ne sert de prévoir une autonomie d'énergie par des décisions d'en haut et des projets coûteux si d'en bas l'économie ne s'organise pas d'elle même par des points de vente impliquant : consommateurs-distributeurs-producteurs réunis).

  2. Les consommateurs responsables et avertis formuleront des demandes pour des productions d'avenir non pris en compte par la production de masse qui confond quantité et qualité

  3. Ces points de vente dynamiseront l'économie rurale qui sont des voies de passage traversées ( sans arrêt ) par des automobilistes qui seraient ravis de faire une halte pour l'achat de produits de qualité alimentaire et leurs dérivés .

  4. Ils prendront en compte le chômage qui est un problème de travail non rémunéré. Le chômage sera abordé par la nécessité de nouveaux postes donnant un revenu, ce revenu serait attribué pour la part de travail effectué par les distributeurs et leurs fonctions de mise en relation avec les nouveaux produits de qualité . Des milliers d’emplois pour une agriculture sans pesticides

L’agriculture de demain est une promesse d’avenir et d’espoir. Elle permettra la création de dizaines de milliers d’emplois pour nourrir la France sans pesticides ni engrais chimiques, et sans l’aide des machines agricoles. La rentabilité financière est également au rendez-vous de ce pari idéologique devenu réalité, qui ne demande plus qu’à se généraliser pour le bien de tous.lire la suite

  1. Le développement des productions de qualité feront émerger de nouvelles activités dont des formations de production de qualité découlant de la tri-articulation consommateur-distributeur-producteur réunis.

  2. Des formations sur de nouvelles approches de concevoir la qualité alimentaire responsable seront organisées avec l'appui de services publics citoyens ( non soumis aux intérêts de la haute finance spéculative et des décisions d'intérêts de professionnels de la vie politique et des carriéristes sans compétence pour un développement durable appliqué dans la vie économique réelle éviteront le gaspillage de l'argent public. La nourriture devient un sujet de société avec la malbouffe le danger est dans les assiettes et les dépenses maladies sont des conséquences anti-économiques d'un système qui se perd dans des rapports de quantité en oubliant la qualité Voir l'article de Bernard Prieur Les deux mondes Quantité Qualité lire la suite 

  3. Ils permettront aux producteurs développant la qualité d'avoir des points de vente coopératifs ( des multi-boutiques de plusieurs territoires car on ne peut espérer des territoires fernés et autonomes dans une économie mondialisée  ) alliant des ventes par internet ainsi que la possibilité de cette plateforme de vente physique adaptée à l'évolution de la demande . Les producteurs auront ce privilège en donnant aux distributeurs (nouveaux intermédiaires ) à l'ère du numérique la possibilité de développer de nouveaux emplois conciliant un éventail de choix et permettant de libérer leur temps de travail vers la formation de qualité de tri-articulation :producteurs- consommateurs-distributeurs- réunis) des emplois dans la production pourront se développer par le temps de travail mis en coopération de compétences complémentaires . 

Voici les points abordés qui pourraient sensibiliser dans nos territoires la réflexion  d'un financement coopératif des services publics citoyens pour une alimentation de qualité et de consommation responsable.

Approfondir l'alimentation par des questions qui nous touchent tous consommateurs dans nos profondeurs.
 

Quelle qualité alimentaire ? La qualité alimentaire peut elle se mesurer et se voir dans l'analyse par tout consommateur de bonne volonté ?


L'alimentation doit être digérée par notre organisme et de ce fait elle est en relation avec le principe complexe de la digestion

L'alimentation est à la fois individuelle et sociale de ce fait elle est liée à des principes de différences et de complémentarité ce qui est une nourriture pour l'un peut être un poison pour l'autre ( disait déjà Paracelse en son temps)

Question que je me pose sur mon alimentation :

Pourquoi mangeons nous ?

Quelles considérations doit on prendre si on veut une alimentation dynamique?

comment évaluer la qualité énergétique des aliments, autre que « vitamines, protéines, etc..)

livre conseillé de Joel Acremant Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

"Se nourrir aujourd'hui" aux éd. Novalis, en vente notamment sur le site des éditions Novalis.

L'alimentation et les penseurs

" Les animaux se repaissent, l'homme mange,  L'homme-esprit seul sait manger "

Anthelme Brillat-Savarin ( Physiologie du goût)

Nous sommes ce que nous mangeons

Voici une affirmation qui nous vient d’Hippocrate,

«  Ce qui est une nourriture pour l'un, est un poison pour l'autre » Philippus Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim dit Paracelse.

Paracelse a dit «C'EST LA DOSE QUI FAIT LE POISON »

Construire et développer la réflexion d'un financement coopératif des services publics citoyens

Le Samedi 7 Avril 2018 Lien en Pays d'OC invite l'économiste-philosophe Michel Laloux et Bernard Prieur Pdt de l'association des Paysans des Baronnies pour une réflexion sur le financement coopératif de services publics citoyens et le développement de la qualité alimentaire et démocratique. 

Si vous souhaitez vous relier à cette journée de travail à Caylus 82160 merci d'envoyer un mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.       Voir la suite de l'article  ici 

Une plate-forme coopérative de produits de qualité entre producteurs distributeurs et consommateurs pour une filière alimentaire évolutive adaptée aux besoins économiques des uns et des autres.

Après l'intérêt général de celles et ceux qui ont vu la projection du film :

« L'Économique, le Juridique, le Spirituel Pour un organisme social tri-articulé «  Première partie : “L’argent et l’économie” le vendredi 27 Janvier 2017 à Caylus (82)

et avant la venue de Bernard Prieur à la même adresse le Samedi 4 Mars pour présenter l'expérience des paysans des Baronnies réunissant depuis douze années producteurs – distributeurs et consommateurs : le but de l'association  est de mettre à disposition du plus grand nombre de consommteurs la meilleure nourriture possible, provenant de fermes recherchant la biodiversité, dans une nouvelle économie permettant les prix les plus justes pour tous . Du fait que les producteurs, distributeurs et les consommateurs ne fixent pas les prix entre eux, ceux-ci restent fixés en dehors de cette sphère tripartite . Les conséquences sociales catastrophiques se développent : concurrences , faillites, chômages...sans que les intérêts des uns et des autres soient  négociés entre les trois acteurs de la vie économique voir la suite en cliquant ici et (voir dans informations complémentaires le programme du Samedi 4 Mars à Caylus ), nous sommes prêts à former un noyau porteur d'une plate-forme coopérative de produits de qualité entre producteurs distributeurs et consommateurs qui répondrait aux besoins diversifiés de consommateurs vivant toute l'année dans la ruralité .

 

Cette plateforme coopérative rassemblerait des produits de qualité de diverses provenances du Pays d'OC ( Aude, Pyrénées, Lot , Pays Midi Quercy, Aveyron... pour répondre aux besoins des consommateurs vivant en permanence dans la ruralité et qui doivent faire de nombreux trajets individuels pour se procurer ces produits.

Les intérêts des producteurs seront liés aux compétences d'outils numériques afin d'organiser de nouvelles logistiques de distributions évolutives.

Cette plateforme coopérative pourrait être utilisée par les producteurs pour entrer leurs propositions de vente , elle pourrait être utilisée par les métiers de médecine mettant en avant la filière alimentaire économique de qualité favorable à la santé.

 

Cette plateforme coopérative pourrait s'adapter aux différents points de vente souhaitant émerger dans les villages et au-delà, tout en se transformant progressivement en magasin de vente placé sur un passage capable de capter par la consommation de qualité voulue par les consommateurs : la dynamique économique indispensable au développement durable de territoire rural recherché par le Plan d'Equilibre de Territoire Rural du Pays Midi Quercy.

 

Les intérêts des uns et des autres ( producteurs-distributeurs-consommateurs) seront liés à une Economie à Valeurs Ajoutées Humaines afin que chacun puisse pour son travail coopératif avoir un revenu ; il serait complémentaire à une distribution de produits qui seraient plus locaux et saisonniers car  liés à des labels touristiques. De ce fait ce projet coopératif ne serait pas concurrentiel à l'existant mais permettrait à partir de la consommation de la faire évoluer vers la qualité pour et par un nombre de consommateurs de plus en plus engagés dans de réelles voies alliant social-écologie et économie , et contribuant à réduire concrètement le développement du chômage et les inégalités dans une économie globale d'exploitation ayant tendance à une croissance  spéculative sans fin.

 

Ce projet pourra être soutenu par les mairies, les communautés de communes , institutions publiques et élus de Pays Midi Quercy engagés dans un Plan d'Equilibre Territorial Rural lié à un développement durable en pouvant ainsi s'appuyer sur les actions de la société civile qui depuis des décennies travaillent sur les 3 piliers fondamentaux de ce développement durable : social-écologie et économie .

Nous pourrons éviter les échecs des institutions publiques subventionnées qui accompagnent des créations d'entreprises éphémères parce qu'elles ne correspondent pas à un besoin durable de consommateurs . Ces échecs d'institutions publiques méconnaissant la shère tripartite : producteurs, distributeurs -consommateurs ne favorisent pas la vie durable de l'entreprise sociale-économique et écologique  du fait qu'elles ne savent pas anticiper les risques pour les créateurs et les conséquences de la misère résultant d'une faillite . 

Resserrer les liens entre producteurs de qualité du Pays d'OC n'a pas l'ambition de replier ce territoire sur lui-même et son autosuffisance vu que son histoire est fondée sur l'accueil et que sa situation géographique le place sur une terre de passages. Situé  entre la mer Méditerranée ( à l'Est)  et l'océan Atlantique (à l'Ouest ), le Pays d'OC ne peut qu'être favorable à la construction d'échanges de qualité entre  le Nord et le Sud de l'Europe ( lire la suite

Ce projet de plate-forme coopérative de produits de qualité entre producteurs distributeurs et consommateurs pour une filière alimentaire évolutive adaptée aux besoins économiques des uns et des autres sera accompagné par l'association Lien en Pays d'OC qui organise réunions, rencontres et chaque année une journée de transition ( date de l'événement proche du 20 Septembre) pour créer un fil conducteur durable développant un réseau sur le net de correspondants et de potentiels associés dans un projet alimentaire entre les trois acteurs de l'économie alimentaire démocratique : producteurs distributeurs et consommateurs ayant la possibilité de se démultipier dans divers territoires en favorisant la vision globale de la filière alimentaire économique  de la semence au recyclage et de la fourche à la fourchette.

Informations complémentaires

Le Samedi 4 Mars à Caylus (82) à 9h 30  (salle des associations 15 avenue du père Huc entrée médiathèque )

Du fait que les producteurs, les distributeurs, et les consommateurs malgré les apparences ne se rencontrent pas, ne se connaissent pas, donc ne peuvent fixer ni la qualité, ni les prix des productions, ceux-ci sont fixés en dehors du territoire, proviennent des cours mondiaux.

Les conséquences en sont catastrophiques sur tous les plans.

Ce n’est que par une participation active dès le début d’un processus économique que le consommateur en devient partenaire et non victime.

Producteurs, distributeurs et consommateurs êtes invités, avec vos connaissances, à ces rencontres.

Il s’agit de faire naître, dans chaque territoire, chaque terroir, une cellule vivante, destinée à se multiplier, d’un nouveau système économique, juste et moral.  

Bernard Prieur présentera l'association des Paysans des Baronnies qui depuis douze années rassemble des agriculteurs, distributeurs et consommateurs afin de promouvoir la production, la distribution et la consommation d'aliments de qualité dans les Baronnies, un très beau pays situé au nord des premiers contreforts des Pyrénées. Son but est de mettre à la disposition du plus grand nombre de consommateurs la meilleure nourriture possible, provenant de fermes recherchant la biodiversité, dans une nouvelle économie permettant les prix les plus justes pour tous. (lire la suite

La présentation de l'expérience de  l'association des Paysans des baronnies s'inscrit dans une journée de Réflexion à un plan de financement coopératif durable pour un organisme économique alimentaire démocratique durable sans frontières avec les autres besoins essentiels du territoire rural Pays midi Quercy et ceux de proximité ( voire au-delà) . ( lire la suite)

Le Vendredi 27 Janvier 82160 Caylus 19h 30 salle des associations ( 15 Avenue du Père Huc entrée médiathèque ) Projection du film de Bernard Bonnamour L'Économique, le Juridique, le Spirituel Pour un organisme social tri-articulé

99 ans après la naissance de la Tri-articulation sociale (Dreigliederung), sort le premier film exhaustif consacré aux idées sociales de Rudolf Steiner. Aujourd’hui, saurons-nous enfin tirer partie de ce qui constitue, pour l’humanité en péril, une authentique “troisième voie” ?
Première partie : “L’argent et l’économie” 
Qu’est-ce que vraiment l’argent ? Idées fausses sur l’argent. Argent comme instrument de mesure des valeurs économiques. L’argent n’est pas une marchandise. L’argent qui fait de l’argent, une tricherie qui engendre un mal social grave mais banal.
En VoD : Première partie, “L’argent et l’économie” 
Le coffret contient les sept épisodes de la série et les annexes dans un pack de 4 DVD doubles couches (
pour se procurer le coffret cliquer ici

L'association Lien en Pays d'OC propose ( sur demande) de projeter ces films à toutes personnes ou groupes de personnes qui souhaiteraient approfondir L'Économique, le Juridique, le Spirituel Pour un organisme social tri-articulé

René Chaboy

pdt de l'associaton Lien en pays d'OC

membre du Conseil de Développement Pays Midi Quercy

administrateur du site Lien en Pays d'OC http://www.lienenpaysdoc.com/

Faciliter une réflexion coopérative de construction durable d'une économie réelle adaptée aux besoins des consommateurs dans nos ruralités pour un organisme social tri-articulé ( lire la suite

Valorisation du local dans le cadre du Plan d'Equilibre Territorial Rural Pays Midi-Quercy du développement durable 2015-2020 entre élus, institutions publiques et acteurs de la Société Civile ( CDT Conseil de Développement de Territoire ) 

 Une troisième voie pour sortir des guerres économiques et des échecs sociaux -écologiques ( lire la suite

Le projet alimentaire de l'association Lien en Pays d'OC s'inscrit dans le projet alimentaire du PETR : Pôle d’Equilibre Territorial Rural du Pays Midi Quercy

Intitulé : thème alimentaire et les circuits courts coopératifs à développer avec les correspondants internet et les associations locales

Moyens mis en œuvre :

Une journée de la transition citoyenne  à Caylus en Septembre chaque année 

Plus vite nous prendrons notre destin en mains en fixant nous mêmes nos prix , plus vite nous gagnerons du temps à trouver des solutions  

Beaucoup d'entre nous dénoncent une économie spéculative :  les prix sont fixés par les cours mondiaux sans notre avis.  L'évolution plutôt que la révolution : la troisième voie , commençons par nous organiser à fixer nous-mêmes les prix à partir de nos besoins essentiels . Le Samedi 4 Mars à 9h 30 (salle des associations à Caylus 82160 15 avenue du père Huc entrée médiathèque ) 
Du fait que les producteurs, les distributeurs, et les consommateurs malgré les apparences ne se rencontrent pas, ne se connaissent pas, donc ne peuvent fixer ni la qualité, ni les prix des productions, ceux-ci sont fixé en dehors du territoire, proviennent des cours mondiaux.
Les conséquences en sont catastrophiques sur tous les plans. ( lire la suite

Résumé du compte-rendu suite aux deux premières interventions et les propositions faites par Lien en Pays d'OC et ses partenaires pour continuer le développement durable en Pays Midi Quercy en relation avec d'autres territoires  ( lire la suite

La place dynamique de l'intermédiaire dans l'organisme social tri-articulé ( lire la page

Que pourrait apporter l'association Lien en Pays avec un plan de financement coopératif durable ?  ( lire la suite)

Lien en Pays d'OC gère un site et l'information en suivant l'actualité avec son réseau de correspondants sur le net , la démarche est évolutive, adaptable et durable dans un monde en mutation globale et locale.

Son engagement : faire face à une vision statique dominante issue du dogme de la croissance industrielle sans fin portant son fardeau de conséquences : pollution, réchauffement et dérèglement climatique, enrichissement d'une minorité en appauvrissant la majorité : chômage, précarité due à la perte de temps à réparer les erreurs de l'industrialisation irraisonnée .

Le projet évolue dans une vision dynamique :

  • aide à la reconversion d'entreprises alimentaires du système dominant statique conduisant à la faillite vers la coopération en réseaux inter-actifs

  • aide à l'émergence des entreprises innovantes dans les économies à Valeurs Ajoutées Humaines, sociales et solidaires, circulaires pour organiser un nouvel organisme social transitant vers une résurrection de la planète asservie par l'exploitation de ses ressources

  • Mettre la préservation de la santé et de l'environnement au coeur des politiques publiques : une conférence de presse tenue le 20 septembre 2016, les membres du Rassemblement pour la planète et leurs partenaires ont présenté :les résultats d’un sondage exclusif  qui démontre que les questions de santé et d’environnement doivent être au cœur des futures programmes et politiques publiques.( lire la suite )

  • propose à partir d'une commune, d'un pays des solutions là où l'agriculture chimique tue ( voir ici

  • La malbouffe nous rend plus malades que l'alcool et le tabac réunis ( lire la suite

  • Le fondement de l'économie agro-alimentaire : pour se libérer des semenciers, des agriculteurs redécouvrent le maïs population ( lire la suite

    En matière d’écologie, l’homme est capable du pire… mais aussi du meilleur ! ( lire la suite )
  • Déserté, un petit village de Dordogne reprend vie en misant tout sur le bio !

     La preuve avec l'exemple spectaculaire de Saint-Pierre-de-Frugie en Dordogne.(lire le suite )

    La reconfiguration d'une économie alimentaire ou souveraineté alimentaire tient compte des erreurs de l'exploitation massive des ressources naturelles : minérales, végétales, animales et humaines en introduisant les respects de la vie afin de reconsidérer les enjeux philosophiques et moraux manquant dans un système économique uniquement basé sur le développement du pouvoir de la finance .

     

Pour y parvenir elle développe les sens de l'observation, de la critique constructive, de l'innovation ou rénovation dans l'esprit de réanimer la Vie globale.

Sans pratique pas d'innovations possibles, mais rester dans des schémas conçus sans nos convictions profondes écologiques, sociales l'évolution économique est impossible.

Comment devenir libre, vivre à fond et réussir en-dehors du système  ( lire la suite 

Le travail ne manque pas c'est l'emploi ( c'est à dire une activité économique rémunérée ) qui s'épuise .

Face

  • d'une part aux associations subventionnées pour leurs activités demandant de plus en plus de bénévoles .

  • d'autre part à la mécanisation outrancière de l'industrie spéculative, l'activité économique conséquence d'un système révolu se détériore et reste incapable d' inverser l'hémorragie des pertes d'emplois

Moins de bénévolat plus d'emplois et de répartition des revenus car beaucoup de revenus n'ont aucune utilité pour garantir les besoins essentiels des citoyens.       

Si le travail bénévole était reconnu par une rémunération juste et équitable imaginons les emplois créés par le besoin du temps consacré au travail non accompli.

Le travail ne manque pas et comme nous sommes différents, tout le monde ne voit pas ce qui reste à faire ou comment organiser des travaux communs anticipant l'économie du futur .

  • Imaginons que le travail bénévole ne reste pas figé à vie, que soudain il reçoive une rémunération pour les services de biens communs rendus, le manque de temps consacré à certaines activités pourraient être payés en contre partie . Dans ces services tous les travaux que les organisateurs de l'économie coopérative peuvent difficilement assumer pourraient s'accomplir. Du fait qu' aucun être humain n'est capable d'assumer à lui seul toutes les tâches dans une société civilisée qui a évolué avec la division du travail et une économie basée sur les échanges et le temps passé à les réaliser, le bénévolat laissant la place à un revenu permettra de payer les services d'un travail mal ou pas accompli.

Seule la voie des nouveaux intermédiaires ( rien à voir avec les hyper-distributions ) travaillant en étroite collaboration avec les promoteurs des réseaux internet peuvent prétendre à construire un retour de l'emploi possible car ils activent des réseaux de consommateurs reliés à la même cause écologique sociale et économique pour un développement durable du territoire. 

Le choix entre poursuivre un modèle révolu dominé par la compétition de la machine ou en organiser un à partir de l'intelligence coopérative et de la conscience humaine

Douche froide : la liberté des semences une nouvelle fois condamnée !

Lettre circulaire de Nature&Progrès du 16 Septembre 2016

Chers Amis,

Au début de l’été nous vous avions annoncé la bonne nouvelle : un article 11 rédigé et défendu par notre avocate Blanche Magarinos-Rey était adopté, à l’issu de plusieurs remaniements rédactionnels et d’un difficile compromis politique, en vote final, dans la loi Biodiversité par l’Assemblée Nationale.

Il distinguait les semences traditionnelles du domaine public des semences brevetées de l’industrie semencière, en les libérant du carcan réglementaire du « catalogue officiel », parfaitement inapproprié à nos variétés anciennes et, placé exclusivement au service de l’industrie des semences.

C’est en grande partie à cause de ces dispositions discriminatoires que 75 à 80% des variétés de plantes comestibles ont disparu en seulement un siècle (Réf. F.A.O.)

De plus l’article 11 rendait justice aux efforts des associations à but non lucratif, qui œuvrent  depuis plusieurs décennies à la reconquête et à la réhabilitation de notre patrimoine commun, en leur permettant d’échanger, mais aussi de vendre leurs productions pour couvrir leurs frais de structure et de maintenance de leurs collections, souvent très importants et non subventionnés.lire la suite 
 

« Tout le monde le sait, mais tout le monde ferme les yeux » .

http://www.france5.fr/emissions/le-monde-en-face

Remplacer les pesticides - FUTUREMAG - ARTE

https://www.youtube.com/watch?v=mTKZlVOIM_k

Agroécologie en France

Si vous partagez l'humeur inquiète de cette vidéo, à la veille des prochaines élections, partagez la s'il vous plaît.
La personne pour qui nous votons est porté par notre vote, dans ses actions mandatées et leurs conséquences.
Certains ont ils raison de douter du réchauffement climatique ?

https://www.youtube.com/watch?v=SmZ_foU9dtI

Accueuillir les nouveaux paysans en préparant les infrastructures économiques rurales.

Les nouveaux paysans

Ils sont jeunes, ils ont quitté la ville pour vivre leur passion : 
une agriculture respectueuse de la nature. Et leurs produits sont exceptionnels ! ( lire la suite

+ 310 fermes bio en 6 mois en Bretagne

2016 est une année record pour la bio en Bretagne : 310 nouvelles fermes bio en un semestre, contre 230 pour toute l’année 2015 et 137 en 2014. Près de la moitié de celles-ci sont des fermes laitières, effectuant une conversion dans un contexte de crise du monde agricole conventionnel.( lire la suite )

Contre la flavescence dorée, des vignerons se mobilisent pour éviter les pesticides

La flavescence dorée est une maladie mortelle pour les vignes, transmise par un insecte, la cicadelle. Quand un foyer est découvert, les autorités imposent un traitement préventif par insecticide. Des vignerons ardéchois, majoritairement en bio, se mobilisent contre cette maladie pour ne pas se voir imposer la réponse. lire la suite 

Comment impulser l'inversement d'un nouveau modèle ?

La journée de transition à Caylus avec des associations locales partenaires pour pérenniser un événement adapté à construire notre avenir rural

Le but est de promouvoir et de gérer un espace de réfléxions , d'échanges de pratiques mutuelles et coopératives autour de l'économie alimentaire ou souveraineté alimentaire . L'alimentation commence avec les semences . Les semences reproductibles sont le moyen de réunir : producteurs, consommateurs et intermédiaires afin de faire face aux changements climatiques et aux nouveaux besoins variés découlant de la multiplication des allergies et maladies provoquées par l'emploi des pesticides de l'industrie productiviste dominante sous le pouvoir des grands lobbies.

La semence est le sujet permettant de réunir producteurs, consommateurs et intermédiaires sur le fondement de la biodiversité et du vivant . Les nouvelles Technologies permettent de gérer soigneusement l'information alimentaire d'un point de vue gobal : réchauffement climatique, stérilisation des sols et pollution de l'environnement conséquences du modèle imposé par la loi des grands lobbies que d'un point de vue local où nous reprendrons entre producteurs, consommateurs et intermédiaires ces bases du respect du vivant pour construire de nouvelles filières évitant la concurrence productiviste en l'inversant au profit de la coopération .

Ces filières locales ont donc besoin de réunir les 3 pôles de l'économie alimentaire sur un travail de réflexion et de construction méthodologique garantissant l'avenir durable d'entreprises coopératives avec la participation d'apport financier et d'outils adaptés à l'évolution de leur développement progressif.

Des cultures pour une économie écologique peuvent organiser de nouvelles filières mutualisant la maîtrise de qualité de petites cultures et de savoir faire très spécifiques et des productions plus quantitatives sur des marchés complémentaires ( ex chanvre, bambou ….) pouvant venir s'ajouter à ces productions d'économies alimentaires pour assurer un revenu suffisant.

Pourquoi un groupe local de semences proposé par Lien en Pays d'OC

En alimentation tout commence par la semence « porteuse de vie »

Semences reproductibles, semences vivantes : proposition d'un groupe de réflexion et d'échanges


- de « semences vivantes » (semences paysannes), de bouturages, d'échanges de plants et de semences entre particuliers, et rencontres- ateliers

- pour apprendre à récolter et conserver les semences dans de bonnes conditions

- pour rechercher des variétés adaptées à nos territoires, plus résistantes aux changements climatiques, (sécheresse et gels excessifs ) pour favoriser la biodiversité cultivée, pour le plaisir du gôut et une alimentation variée facteur de santé.

- Favoriser, par l'information, les rencontres, les documentaires, la prise de conscience de la nécessité de préserver nos semences, notre patrimoine vivant, pour les générations futures (que mangerons nous demain?)

Ce groupe s'adresse à tous, jardiniers amateurs , maraîchers-professionnels, mais pas seulement, consommateurs également souhaitant œuvrer pour défendre la liberté des paysans à reproduire leurs semences comme on l'a fait pendant des millénaires.

Avec les hybrides f1 les agriculteurs sont obligés de racheter leurs semences tous les ans et les variétés sont très réduites.

Ce groupe peut aboutir par la suite à la création d'une maison des semences dans notre région ou enrichir celles existantes.

Commencer par le commencement: la semence.Mieux connaître les gens qui sèment pour les suivre et s'impliquer dans les lois qui régissent notre alimentation. Les Gens Qui Sèment #1 - Jocelyn Moulin, de Kokopelli (1/3)

Voici la première partie de la nouvelle émission « Les Gens Qui Sèment », avec comme invité Jocelyn Moulin de l'association Kokopelli, qui milite depuis plus de 20 ans pour la sauvegarde des graines. ( voir la vidéo)

“Que mettrons-nous demain dans nos assiettes ? Et savons-nous vraiment ce que nous y mettons aujourd’hui ?”

Durant une année, Anne Butcher et son équipe ont suivi le travail des maraîchers, des sélectionneurs et des chercheurs. ( voir la vidéo
Quels liens scientifiques et économiques entretiennent- ils ? Jusqu’où les manipulations et la mainmise sur le vivant nous entraînent-ils ? (Téléchargement gratuit

Autres parties :
http://www.dailymotion.com/video/xdi0ej_la-fin-des-haricots-y-2005-2-3_news
http://www.dailymotion.com/video/xdi07z_la-fin

À lire :

Les semences paysannes, premier maillon de la chaîne alimentaire

http://www.semencespaysannes.org/semences_paysannes_premier_maillon_chaine_ali_9.php

:« L'industrie semencière, économie d'échelle oblige, ne tire sa rentabilité que de la production de quantités les plus importantes possibles d'un minimum de variétés.

Au-delà de quelques variétés passe-partout, elle ne peut structurellement pas garantir l'offre de diversité permanente dont ont besoin les agricultures post-industrielles, biologiques et paysannes. Quant au consommateur de nourriture industrielle, il doit remplacer son besoin d’une alimentation diversifiée par l’illusion de “nouveaux” produits qui n’ont d’innovant que l’étiquette ou le ré-assemblage d’anciennes recettes. »

Voir www.semencespaysannes.org

Les variétés hybrides : progrès génétique ou arnaque ?

http://www.semencespaysannes.org/bdf/bip/fiche-bip-17.html

Hybrides F1 : un outil efficace pour mettre les paysans sous dépendance

Graine de Troc :

« Mauvaise nouvelle, l’héritage de notre biodiversité est déjà perdu à 75% selon la FAO, détruit par une industrie qui nous impose un nombre toujours plus restreint de variétés. Avant que d’autres ne tombent dans l'oubli et disparaissent, c'est à nous de les entretenir !( lire la suite )

Pourquoi des semences libres ?

Voir la vidéo :

http://www.dailymotion.com/video/x4h26l0

http://cultivonslabiodiversite.org/

Qui est responsable de l'appauvrissement spectaculaire des tomates ? voir la vidéo 

Prendre l'économie alimentaire citoyenne souveraine en mains  peut sauver des savoirs faire en les revalorisant .

La constitution de groupes pour travailler des besoins pratiques sociaux et économiques d'une alimentation citoyenne souveraine autour des semences reproductibles, les bouturages, greffes …sont à organiser

Le travail innovant est aussi possible avec l'intelligence coopérative de la traction animale : ânes, mulets, chevaux, bœufs peuvent susciter de nombreuses vocations pour travailler des parcelles plus réduites ou abandonnées par l'exploitation intensive .

Les idées de la décroissance validées par un modèle scientifique

Les sociétés fondées sur la croissance sont devenues incapables de répondre aux enjeux de l’époque. La décroissance peut-elle être une solution réaliste ? Oui, selon le modèle macroéconomique étudié par l’auteur de cette tribune en tant qu’ingénieur-chercheur à l’École des Mines.( lire la suite )

Seul un réseau d'intermédiaires dégagé (du temps à produire et à transformer l'aliment) ouvert à la promotion par la voie d'internet et l'utilisation des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication pourra construire un noyau dynamique .

Ce noyau dynamique travaillant avec les institutions publiques et les réseaux coopératifs sur la rénovation la coopération et l'innovation permettra à de nouvelles filières de se constituer en intégrant les producteurs en biodiversité , les nombreux petits projets divers et complémentaires liés au secteur alimentaire local . Ces nombreux projets souvent isolés « de la production à la transformation jusqu' à la distribution » répondant à des besoins de biens communs trouveront une cohésion sociale, écologique et économique autour de ce centre de gravité . Ces nouvelles filières permettront de sortir des crises à répétitions que subit le monde agricole dirigé par la grande distribution, car ils ne prendront plus seuls avec les instances gouvernementales les décisions de l'orientation de l'économie alimentaire dans son plus large objet sans l'avis des consommateurs avertis ayant de nouveaux besoins. 

L'économie alimentaire que propose Lien en pays d'OC s'inscrit dans une économie plus large resituant en son centre la conscience de l'être humain .

Cette économie ne s'opposera pas à l'économie de la mécanique mais l'élargira à la créativité humaine, en permettant ainsi de faire évoluer un outillage réadapté à l'échelle humaine afin de s'évader du gigantisme.

Économie à Valeurs Ajoutées Humaines

Une nouvelle approche de l'économie qui a pour but de:

  • Permettre à l'économie de se développer sans recours à l'économie virtuelle.

  • Résoudre la croix de l'économie, c'est-à-dire sortir la monnaie, le capital, l'immobilier et le travail de la sphère des marchandises.

  • Développer les outils permettant que seules les valeurs ajoutées par les facultés humaines interviennent dans la sphère de l'économie.

Comme pour la démocratie, ils nous faut disposer de nouveaux outils pour entrer dans un Économie à Valeurs Humaines, une économie qui parvient à se passer de la finance spéculative par la création d'un nouveau type de monnaie, laquelle permettra une transformation des notions de capital, de valeurs immobilières et de travail.

L'économie devient malade dès l'instant où l'un de ces quatre facteurs - monnaie, capital, immobilier, travail - est considéré comme une marchandise. Il s'agit donc de trouver des formes qui permettent de les sortir de ce domaine. Alors l'économie cessera d'être spéculative. Elle s'affranchira de tout ce qui est devenu virtuel en elle. (Lire la suite)

Principes de la Démocratie Évolutive

1. Une gestion des affaires publiques par la société civile

La Démocratie Évolutive permet à chacun de développer une citoyenneté créative, favorisant l'émergence de nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes sociales sont évolutives, à la mesure de la mobilité et de la créativité des citoyens.

2. La fin des réformes par le haut ( lire la suite)

Mouvement pour la tri-articulation sociale

Presque plus personne ne peut ignorer qu'un système social, économique, financier, politique et « moral » est en train de se fissurer puis de s'effondrer peu à peu sous nos yeux (et sous nos pieds !), entraînant avec lui l'humanité dans un chaos et une misère indescriptibles. Il n'est pas nécessaire ici d'égrainer la longue liste des catastrophes politiques, économiques, écologiques... qui ne fait que s'allonger chaque jour devant notre regard.

Les « solutions » proposées par les États nationaux, au niveau de l'Union européenne ou au niveau mondial, semblent à chaque fois mener à des impasses, voire aggravent les crises. (Lire la suite)

Une révolution douce : l’économie sociale et solidaire La solidarité à la conquête du monde

Créatrice d’emplois, l’Économie Sociale et Solidaire attire les jeunes générations, et notamment ceux des Grandes Écoles qui lui reconnaissent les valeurs nécessaires pour recoder notre société « déshumanisée ». Claire Fauchille et Anne-France L'Hénaff, co-créatrices d’Humaniteam, un laboratoire de design concevant des produits facilitant l'accessibilité aux handicapés, témoignent de leur choix professionnel où le désir d’être utile a prévalu sur la rémunération.

Cette quête de sens incite à se construire une vie en accord avec ses valeurs. Ainsi, l’Économie Sociale et Solidaire déborde-t-elle sur la sphère privée, en abordant les questions du quotidien comme le vivre ensemble. (Écouter l'émission sur France culture

Et si l’écologie devenait enfin une réalité économique !

Certes, la conférence sur le climat #COP21 à Paris l’an dernier n’a pas encore tenue toutes ses promesses. Mais ces rendez-vous diplomatiques, dont la prochaine #COP22, accélèrent une prise de conscience dans les entreprises de la nécessité de réduire la facture énergétique. "Avec, à la clé : des économies souvent non négligeables", constate Frédéric Rodriguez, fondateur et P-DG de GreenFlex, leader européen de la performance environnementale et sociétale. Preuve qu’écologie peut rimer avec économie.

Sandrine Chauvin : L’écologie peut-elle vraiment devenir une réalité économique ? ( lire la suite)  

L'économie de la connaissance : les matières premières sont finies mais la connaissance est infinie

Le biomimétisme s'inscrit dans cette économie de la connaissance ( lire la suite )

L'économie de la connaissance : les matières premières sont finies mais la connaissance est infinie

Le biomimétisme s'inscrit dans cette économie de la connaissance  (  lire la suite 

Si le biomimétisme s'inscrit dans l'économie de la connaissance il s'inscrit de fait dans les principes fondamentaux du développement durable :

Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).

En 1992, le Sommet de la Terre à Rio, tenu sous l'égide des Nations unies, officialise la notion de développement durable et celle des trois piliers (économie/écologie/social) : un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable. 

Toute connaissance infinie a besoin

  • d'une part de transmettre l'information

  • d'autre part de développer des réseaux de transmission si nous voulons que la connaissance ne reste pas limitée entre petits groupes , plus les réseaux de transmission se développeront plus cette économie de la connaissance suivra....

Comment pratiquement développer des réseaux de transmission ? C'est ce que propose notre mouvement Lien en Pays d'OC.

Le numérique et l'abondance d'informations disperse-t-il notre attention ?

Le Digital Society Forum, et ses membres se sont associés à BVA pour mettre en place un observatoire du numérique sur le thème : “Quelle place pour le numérique dans la vie des français ?” Le Digital Society Forum est une plateforme collaborative initiée par Orange, Psychologies Magazine et la FING (Fondation Internet Nouvelle Génération) destinée à donner des clés de compréhension pour mieux appréhender notre vie numérique. 

Pour 71% des Français, le numérique est plutôt positif (lire la suite

L'économie commence avec les consommateurs-citoyens

Pierre Cahuc et André Zylberberg :"L'économie est une science expérimentale"

Les deux économistes publient "Le négationnisme économique: comment s'en débarrasser", et suscitent un débat virulent parmi les économistes français. (Écouter l'émission sur France Inter

"Négationnisme économique" : ce pamphlet est ignoble. C'est un appel direct à l'épuration

Deux économistes, Pierre Cahuc et André Zylberberg, viennent de commettre un pamphlet ignoble, contre tous les économistes critiques, contre ceux qui proposent aux citoyens des pistes de réflexion pour sortir de l’impasse du néo-libéralisme. Pour eux, une pensée unique doit prévaloir en économie, à laquelle tous, économistes et citoyens, doivent se soumettre. ( lire la suite

L'économie commence avec les consommateurs-citoyens

La Démocratie Évolutive permet à chacun de développer une citoyenneté créative, favorisant l'émergence de nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes sociales sont évolutives, à la mesure de la mobilité et de la créativité des citoyens. (lire la suite

Démocratie&économie : la culture d'aujourd'hui pour les temps à venir ( lire la suite

Informations complémentaires

Zone euro : l'économie enlisée

Laurent Faibis

Président-fondateur Groupe Xerfi et Directeur de la rédaction Xerfi Canal TV

A peine relancée, l’économie européenne patine déjà. La demande intérieure est en panne et tout ou presque de ce qu’il reste de croissance est venue de l’extérieur au 2ème trimestre. C’est un constat amer : la zone euro n’est plus capable d’accélérer seule et accrocher 1,5% de croissance devient une prouesse. Surtout, le second semestre s’annonce très périlleux. Le décrochage cet été de l’indicateur du sentiment économique de la Commission européenne en donne un premier aperçu, traduisant à la fois le recul de la confiance des ménages et des entrepreneurs. ( lire la suite

Télétravail et mobilité : une opportunité pour entreprises et salariés

Les contours du poste de travail sont de plus en plus flous. L'exigence croissante des salariés de mieux concilier vie professionnelle et personnelle, et l'irruption des nouvelles technologies dans l'entreprise, ont profondément bouleversé notre rapport à la sédentarité. Télétravail, nomadisme, le travail en mobilité poursuit son développement et invite dirigeants et Ressources humaines à s'adapter et à repenser leurs méthodes de management.

Le travail en mobilité, une tendance de fond Un concept protéiforme  ( lire la suite )

 

Soyons honnêtes: Nous devons choisir !!!

entre notre économie et notre futur !!!

Oublier  les élections qui arrive !!! 

L’heure est venue de créer un mouvement social qui mette la pression aux gouvernements et aux entreprises afin que l’accent soit mis sur la qualité de vie plutôt que sur la croissance économique...( lire la suite

Des exemples à suivre

Habitat coopératif, économique et bioclimatique : quand le rêve s’apprête à devenir réalité

Bâtir son propre cadre de vie, avec des logements aux loyers peu chers, tout en combinant écologie et solidarités, locales comme internationales. C’est ce que tentent les participants de la coopérative d’habitants Mas Coop, près de Toulouse. Ils sont intérimaires, cadres, chômeurs ou retraités et espèrent inaugurer leur confortable bâtiment coopératif et bioclimatique d’ici un an et demi. Reportage sur un projet qui pourrait en inspirer d’autres, au sein d’un mouvement d’habitat participatif en pleine expansion. (lire la suite

Demain tous vêtus de vêtements intelligents : la révolution de la mode connectée

J’ai eu envie d’écrire cet article suite au génial Fashioniscope réalisé par Arte Creative. Des tissus qui soignent, des chaussures qui guident, des maillots de bain qui nous protègent des UV… La mode avancent à grand pas vers l’homme « augmenté », un fantasme de plus en plus réel. Mais quelles sont les innovations majeures et comment vont-elles impacter notre quotidien ? ( lire la suite

« Il y avait 5.000 vaches laitières dans Paris en 1900 ! »

La crise de surproduction laitière est volontiers décrite comme « sans précédent ». Pourtant, des précédents, il y en eut de nombreux, comme le raconte à Reporterre Pierre-Olivier Fanica, historien de la production laitière. Il estime que, pour s’en sortir aujourd’hui, les producteurs devraient reprendre leur destin en main et revenir au modèle coopératif du début du XXe siècle.

Pierre-Olivier Fanica a été ingénieur agronome dans les phytosanitaires. Aujourd’hui retraité, il s’intéresse à la production laitière. En 2008, il publie aux éditions Quae un ouvrage qui retrace l’histoire de la production laitière : Le Lait, la Vache et le Citadin. ( lire la suite)


Alimentons nos régions à partir de la diversité et la complémentarité de nos territoires

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Image de Pour une constituante voir doléances de René Chaboy

Aux reliefs variés dessinés par les forces du ciel et de la terre est venu se joindre le dur labeur de nos ancêtres à cultiver les paysages pour la nourriture de l'homme, un patrimoine à préserver en faisant notre part d'aménagement pour les générations futures .

Le patrimoine territorial en projet

Le patrimoine est aujourd'hui partout, au fondement même de l'identité des territoires. Aménager l'espace en préservant le «déjà-là» est une préoccupation croissante des citoyens, relayée par les élus. De ce fait, la notion de patrimoine s'est élargie depuis une cinquantaine d'années, passant de l'objet exceptionnel au paysage en intégrant des espaces naturels et bâtis à de vastes échelles.
La mise en valeur et la transmission de ce patrimoine territorial est l'œuvre d'un travail de longue haleine, mené par les élus, les habitants, les techniciens et les associations. ( lire la suite)

Le patrimoine, un projet politique de transmission de valeurs communes

Le patrimoine, bien commun territorial par excellence, se situe au fondement même de l’identité de nos territoires. Dépositaire de notre histoire et de ses vicissitudes, il se pose en sentinelle contre la banalisation de nos cadres de vie et nourrit l’attachement des individus à leurs lieux de vie. Les patrimoines dits ordinaires sont les supports de ce processus comme l’est aussi la transmission générationnelle de pratiques sociales et de savoir-faire.

La notion de patrimoine née au 19ème siècle était sous-tendue par l’affirmation d’une identité nationale. Après 1945, les sites identifiés comme patrimoine de l’humanité célèbrent la richesse et la diversité des cultures humaines dans le monde. ( lire la suite)

Patrimoine et territoire, les nouvelles ressources du développement

La démarche présentée ici s'inscrit dans le cadre théorique actuellement travaillé autour de la notion de ressource territoriale. Elle propose une relecture des différents travaux engagés sur cette notion, tente d'y apporter quelques éléments complémentaires et confronte ces propositions théoriques à une première analyse des dossiers déposés par les 342 territoires ayant répondu à l'appel à projet Pôles d'excellence rurale lancé par la Diact en décembre 2005. L’analyse des projets de développement permet au final de proposer une interprétation de la notion de développement durable. Plutôt que de constituer une notion autonome, il s’agirait en fait d’une forme intermédiaire entre un mode de développement productiviste et un mode de développement que nous qualifions de patrimonial. ( lire la suite)

Comment se fabrique le patrimoine ?

Lorsque l'on parle de patrimoine, nous pensons tous à un héritage. Qu'il soit familial (même simplement constitué de quelques objets, voire de photos ou de portraits de famille), culturel (monuments, objets d'art ou d'archéologie, objets d'arts et traditions populaires, savoir faire, etc.) ou naturel (paysages, éléments naturels, ressources de la planète, voire l'ensemble de la planète elle-même), le patrimoine implique l'idée de quelque chose qui nous a été transmis par ceux qui nous ont précédés.

Voilà qui plaide pour une assimilation entre les différents types de patrimoine. Cependant, à la différence des biens appartenant à une personne, nous avons obligation de conserver le patrimoine culturel (et aussi le patrimoine naturel) pour le transmettre aux générations futures. ( lire la suite

Identité et patrimoine

Il n’y a pas si longtemps, au nom de la modernité et du progrès, le passé était systématiquement déprécié, disqualifié, et tout ce qui s’y rapportait pouvait être perçu comme de la « vieillerie ». Dès les années soixante, nouvelles conditions de vie et désillusions ont entraîné ce que Edgard Morin a appelé « une brèche dans l’adhésion au présent » (Morin, 1967). Conjointement le passé a été reconsidéré et réhabilité, il est devenu l’objet de nostalgie. Vingt ans plus tard, l’intérêt pour le passé a pris la dimension d’un phénomène de masse - en témoigne, par exemple, l’engouement pour les musées dont la fréquentation concurrence celle des stades. Il donne lieu, aujourd’hui, à des investissements de plus en plus importants, notamment sur des fonds publics. Parmi les manifestations multiples de ce phénomène, la mise en valeur des patrimoines culturels, dont on n’a pas fini d’inventer de nouvelles formes. ( lire la suite)

L'excellent site  EcoAgri 2000 à découvrir en nos temps modernes durant  lesquels le bon sens bien souvent disparait.

Le paradoxe !! Mécanisation à outrance ! Nous en sommes arrivés à ce stupide paradoxe, ce n'est plus la machine qui est au service de l'homme mais l'homme qui est devenu l'esclave de la machine et ceci me fait penser au célèbre film du non moins célèbre CHARLOT, "Les temps modernes". lire la suite

Livre de 1856 sur le matériel agricole

Voici un trésor d'un dénommé Auguste JOURDIER, un livre sorti pour sa seconde édition en 1856 où les machines présentées sont non motorisées, forcément sans aucune technologie et auto-construites. Quelques exemples d'illustration voir la suite

Et si les forêts comestibles étaient la solution ?

Nous savons tous que pour nourrir de plus en plus d'humains, il va falloir faire des choix quant à notre modèle agricole. Alors que l'on nous fait croire que l'agriculture intensive peut représenter une solution, voire même les OGM qui viendraient sauver l'humanité (quelle blague!), de vraies solutions alternatives existent....et les forêts comestibles représentent une de ces alternatives particulièrement époustouflantes ! Lire la suite

Le jardin mandala est à la fois très beau et très productif.

Marc Grollimund pratique et enseigne le jardin mandala depuis 20 ans, et donne de bons conseils dans cet article de Ouest-France.
Le jardin mandala de la Ferme du Bec-Hellouin, démarré en 2008, sur 800 m2). Potager, ornemental, médicinal... Le jardin mandala ouvre de nouvelles perspectives sur l'organisation de nos cultures.

En sanskrit, mandala signifie cercle : un support de méditation ancestral pour les bouddhistes qui fait de nouveaux adeptes au jardin. Qu'il s'agisse d'un choix esthétique ou d'une démarche spirituelle, le jardin mandala permet de porter un autre regard sur l'organisation de nos cultures. lire la suite 

La solidarité entre villes et campagnes, entre le global et le local sont de vieux débats

 La  survie des peuples de la Planète face à l'invasion industrielle spéculative perpétuelle de produits dénaturés est le sujet de plus en plus fondamental lié à notre modèle français . La création de bidonvilles à la périphérie des villes provenant de l'élimination  progressive des fermes et micro-entreprises des territoires ruraux est le sujet social primordial impliquant  fatalement une révision de  la pensée dominante nommant "économie" un gaspillage mondialisé autant des savoirs faire humains que du temps perdu à la recherche du  rare emploi ou de l' information la plus juste.  La survie touche  producteurs, consommateurs et intermédaires, elle invite citoyens des associations de la Société Civile  à une  réflexion sociale indispensable pour l'organisation de la résistance face au développement de la  pollution sous toutes ses formes possibles. La survie interroge citadins, néoruraux et ruraux sur les formes humaines à inventer pour éviter les concentrations des villes et les désertifications de nos campagnes tout en redonnant à l'économie son véritable sens: un investissent créatif plutôt que spéculatif.

Ces questions étaient déjà au coeur de la réflexion de Jean Jaurès à la fin du XIXe siècle, à l’époque de la « première mondialisation ». Retour sur un débat fondateur pour le socialisme européen.
Le concept de « démondialisation » divise la gauche et les socialistes français. Peut-on élever les tarifs douaniers sans nuire à la solidarité internationale des travailleurs et renchérir le coût de la vie ?

La solidarité entre villes et campagnes

Les premiers textes politiques de Jaurès concernant la question agricole datent du début de l’année 1887 ; il prend alors position dans le débat protectionniste à propos des prix du blé et du pain. L’article de La Dépêche du 29 janvier annonce une intervention parlementaire longue et argumentée le 8 mars suivant. Jaurès pose assez nettement le problème :

« La question est redoutable, car elle met aux prises, au moins en apparence, l’intérêt des villes et l’intérêt des campagnes : les ouvriers ne veulent pas payer leur pain plus cher, et les producteurs de blé, qui bien souvent sont eux aussi des travailleurs, levés avant le jour, veulent vivre »voir la suite

Impossible en 2016 d'aborder la nourriture humaine sans s'informer sur  la spéculation des matières premières de la Planète.

Blythe Masters est la femme qui a inventé les armes financières de destruction massive. 

L'alimentation  fait partie de la culture de nos régions et de la  gastronomie française

 Pour inverser le gaspillage de l'industrie alimentaire cliquer ici

Menu :

Hors d'oeuvre

1 - L'alimentaire, un besoin essentiel

2- Nouvelles orientations avec les outils coopératifs 

3- L'agriculture condamnée à l'excellence (voir fichier pdf)

4-  Recettes bonnes ou mauvaises

en fichiers PDF:

5- enjeux sur l'espace agricole (Ph. Pointereau)

6- Nos produits français, la fin d'un mythe

7- Le bio peut-il nourrir le monde?

8- Les produits bio en Chine

 

DESSERT

Le roi et le millas ( folklore occitan)

 Jadis pour meubler les longues soirées d'hiver , on rappelait qu'un jour, le roi Henri IV, déguisé , serait venu jusqu'à Raissac. Tenaillé par la faim, il aurait demandé l'hospitalité à un habitant. Celui-ci offrit au roi du milhas au miel. Le roi le trouva si bon que, revenu chez lui, il fit augmenter aussitôt les impôts des paysans de la région . N'était ce pas justice puisque ces paysans mangeaient mieux que le roi lui-même?

 Extrait du livre : les grandes heures des moulins occitans , paroles de meuniers

par Bézian Jean et Huguette aux éditions Plon

Où trouver ce livre?

Bibliographie sur les moulins occitans

Curieuse attitude de ce bon roi occitan qui de Pau monta à Paris ? Il donne d'un côté la poule au pot aux paysans ( enfin ce que l'on nous en a dit ) et de l'autre il augmente les impôts sur le milhas?

A croire que là-haut : rois d'hier et d'aujourd'hui d'où  qu'ils viennent ne pensent qu'à augmenter les impôts? Cette petite histoire est une bonne entrée pour la gastronomie française qui se nourrissait autant des provinces et des recettes venant de nos grand'mères des campagnes provinciales que des cuisiniers de la cour royale.

 La cuisine de la cour du roi à elle seule n'est pas  représentative de  cette gastronomie française et  Après la décapitation du couple souverain,  cette lignée des grands chefs fondèrent  leurs  restaurants pour sortir du  chômage. Eh oui! Le chômage existât déjà à cette époque.....

Nous attendons la participation solidaire de  nos grandes toques à  cette alimentation locale de la semence jusqu'au recyclage car une forte partie des produits est  hélas encore issue de centrales d'achats de la grande industrie mondiale. La cuisine des grands chefs   ne peut donc être  seule  représentative de  cette gastronomie française ayant un grand  besoin de se relocaliser à partir de la production d'aliments contrôlés par des associations de consommateurs, d'intermédaires et de producteurs.

Périco Légasse est journaliste et  critique gastronomique. Il célèbre les produits du terroirs à partir desquels est élaborée une cuisine régionale, il publie chez François Bourin un dictionnaire impertinent de la gastronomie qui ne va pas lui valoir que des amis. Voir la suite

 

1- L'alimentaire, un besoin essentiel,

préoccupation principale de Lien en Pays d'OC avec les réseaux solidaires depuis 1994

 

 Notre association fondée entre producteurs, intermédiaires et consommateurs a une vision globale de la semence jusqu'au recyclage et de la fourche à la fourchette .

Elle informe sur  les dangers de l'orientation "grande consommation"et de production alimentaire intensive. Face à cette orientation, nous proposons  certaines solutions , beaucoup d'autres sont possibles , pour que notre alimentation se délivre  des grands lobbies financiers industriels de l'agroalimentaire.

La production alimentaire locale a devant elle un avenir certain car elle fait partie d'une logique économique et écologique,  au contraire de l'agroalimentaire qui entraîne une surconsommation de matériel, d'energie, par ses logistiques de transports et de conservation alimentaire (congélation , réfrigération, irradiation ) coûteuse ...au détriment de la qualité réelle des produits.

Nous vous invitons  à signer et faire signer l'appel « alimentons 2012 ».
Pour prendre connaissance de l'appel :  cliquer ici

pour signer l'appel

Des expériences  alliant le privé et le public commencent à s'organiser pour une production dite de filières courtes  moins coûteuses en investissement et en frais de fonctionnement.

Une doléance sur la question alimentaire a été déposée sur le site pour une constituante ainsi qu'une doléance demandant un plan quinquennal pour sauver la ruralité agricole par un grand emprunt public

 

Lire la suite : Alimentons nos régions