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Marseille en Mouvement / Marseille autrement

 Pour une presse libre et démocratique , un réseau et un projet social,  Marseille se mobilise en vue des municipales 2014

 

 Le lundi 11 février 2013 à la criée-théâtre national de Marseille,

à partir de 20h00

 Mediapart, Marsactu et Le Ravi vous invitent à une soirée exceptionnell

 


Théâtre de la Criée

30, quai de Rive Neuve 13007 Marseille
Entrée libre

 

"Contre l'affairisme, pour la démocratie, libérons la presse !"

 Bernard Tapie, avec le soutien de Philippe Hersant, exilé en Suisse, a donc mis la main sur les principaux quotidiens du sud-Est de la France : Nice-Matin, Corse-Matin, Var-Matin et le grand quotidien marseillais La Provence et fait ainsi son retour à Marseille, à quinze mois des élections municipales.

Dans cette ville, l’information, sa diversité, son pluralisme, sa rigueur constituent un enjeu particulier.
Bernard Tapie en « rédacteur en chef » de Marseille et en propriétaire de La Provence, c’est une menace pour ce droit intangible des citoyens à une information libre et indépendante.

Pour ces raisons, trois médias indépendants, Marsactu, Le Ravi et Mediapart, organisent une soirée exceptionnelle en défense de l’information indépendante et de la liberté du débat public à la criée-théâtre national de Marseille.

Pierre Boucaud, de Marsactu, Michel Gairaud, pour Le Ravi, et Edwy Plenel, de Mediapart, interviendront sur les enjeux d’une information locale et nationale indépendante.

Laurent Mauduit, qui a révélé le scandale Tapie et les conditions aujourd’hui contestées de l’indemnisation reçue, dressera l’état des lieux de cette affaire d’Etat qui vaut à Christine Lagarde d’être visée par la Cour de justice de la République. Plusieurs personnalités marseillaises interviendront ainsi que des représentants d’associations. Le détail du programme vous sera communiqué dans les jours qui viennent.

 Soyez nombreux à participer à cette grande soirée citoyenne !

 Manifeste-Actions du collectif des GABIANS
(Groupe d'Actions pour le Bien commun et les Alternatives Nouvelles et Solidaires)

Pour information "Gabians" est homophone du mot occitan (langue du peuple de Marseille, Toulouse, Montpellier, Limoges, clermont-ferrand et Bordeaux) "Gavians", qui signifie en français "Goélands". Défendre une culture (comme la culture occitane de Marseille), c'est défendre toutes les cultures, toutes les langues, et pas seulement celle du "plus fort". Le nom de ce collectif et son multiculturalisme affiché m'y font songer.

Merci pour pour cette information…
Franc Bardou

Le 22 déc. 2012 à 16:51, Yann Fiévet <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.> a écrit :


----- Mail transféré -----
De : sebastien.barles13 <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.>
À : discussion <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Envoyé le : Jeudi 20 décembre 2012 12h09
Objet : [Maintenant ! L'écologie !] Manifeste “Les GABIANS“ version définitive.

Bonjour,
Vous trouverez ci-dessous le Manifeste et les signataires du collectif des Gabians naît à Marseille cet automne avec la ferme intention de "turbuler" le système local marseillais.
Ce collectif est composé aux deux tiers de représentants non encartés politiquement (associatifs, acteurs culturels, de quartier, archi, urbanistes, artistes, enseignants, universitaires, simples citoyens, entrepreneurs...) et pour un tiers de représentants politiques (élus et militants du NPA, PG, PCF, MRC, EELV, Modem, PS minoritaires)  et syndicaux (FSU, Solidaires, CGT, CFDT).
Pour l'instant le débouché sur les municipales est encore loin et dépendra de la dynamique médiatique et citoyenne lancée lors du premier semestre 2013. C'est une démarche médiane entre les Motivés toulousains de 2001 et le processus Europe écologie de 2008 / 2009.
Peut-être dans quelques mois les Gabians auront-ils rejoints les poubelles de l'histoire ou accompagneront-ils, à force de "chier sur la tête des caciques" (le gabian -petit goêland- est mal perçu dans la ville), le renouveau d'un Marseille enfin phare de l'euroméditerranée. Ils en seront les vigies démocratiques.
Bonne lecture.
MARSEILLE EN MOUVEMENT / MARSEILLE AUTREMENT

Manifeste-Actions du collectif des GABIANS

(Groupe d'Actions pour le Bien commun et les Alternatives Nouvelles et Solidaires)

4 décembre 2012

À l’occasion d’une de ces fièvres médiatiques dont Marseille est régulièrement l’objet ; dans une ville au bord de l'explosion sociale ;   à l'orée de Marseille Capitale de la culture où l'on espère un bouillonnement culturel salvateur ; en pleine construction métropolitaine et en amont de la campagne électorale des municipales de 2014, ce manifeste est un acte politique citoyen, un cri d’alerte lancé au-delà des partis et des raisonnements à court terme. Il rassemble des citoyens, des acteurs, des porteurs de projet de la ville et de la métropole. Son message :

• faire entendre une autre tonalité dans la vie publique,

• combattre l'inertie des décideurs locaux et le manque de vision pour métamorphoser la ville,

• poser localement les bases d’un nouveau pacte entre citoyens et élus, en faisant confiance à l’intelligence collective en ouvrant un nouvel espace politique,


·      Imaginer une autre ville en répondant aux urgences sociale, écologique et démocratique.


Il s’agit de mettre fin au fatalisme ambiant, de rompre avec cet attachement désillusionné à la ville, en rassemblant tous ceux qui désirent ardemment un changement dans la gouvernance de notre ville, tous ceux qui rejettent le système local fondé sur le clientélisme et la co-gouvernance de la ville sans vision ni projet d'avenir. L'attente est forte chez les Marseillais de voir leur ville se renouveler dans son paysage urbain et ses pratiques locales.

Le renouvellement de la ville passe d’abord par un changement dans les pratiques des dirigeants de la deuxième ville de France. Il faut rompre avec l’héritage d’une ville enlisée depuis plusieurs décennies dans un système où le clientélisme est roi. Il faut qu’enfin les maires des principales agglomérations de l’aire métropolitaine apprennent à dialoguer dans un esprit d’intérêt général et non de défense électoraliste de petits intérêts particuliers et de "deals" permanents.

En dépit de l'insuffisance des équipements collectifs et de l'atrophie des espaces publics, de l'absence de vision à moyen et long terme et d'ambition des dirigeants, en dépit de l'emprise conservatrice d'un syndicat "maison" sur le pouvoir municipal, en dépit de la fracture de la ville en deux avec la Canebière pour frontière, et en dépit des difficultés à incarner une alternative progressiste à la gestion municipale actuelle, Marseille possède des atouts et une vitalité considérables.



Au centre de l’arc latin et au débouché du Rhône, Marseille dispose d’un pôle universitaire et de recherche important, d’un tissu associatif très dense permettant le foisonnement d'initiatives citoyennes ; d'espaces fonciers en friche importants pouvant s’avérer utile pour recoudre la ville et mailler les noyaux villageois en inventant la ville de demain et en s’inventant un nouveau destin ; elle vient de voir se créer le premier parc national périurbain d’Europe avec le parc des Calanques ; elle sera demain capitale européenne de la culture (ce qui peut participer à casser certains stéréotypes et à entamer une mutation de son espace urbain et de son image).



Enfin Marseille, ville rebelle, jouit d’une identité populaire phénoménale et d’un creuset culturel fédérateur nourri dans le mythe fondateur de Gyptis et Protis (la belle choisissant le métèque). Son centre-ville est un espace partagé par tous les Marseillais, une exception unique en France. Marseille esquisse en quelque sorte ce qui pourrait être un universalisme pluriel pouvant participer à la régénération de notre modèle républicain.



Nous proposons de réfléchir ensemble, par-delà tous les clivages (sociaux, culturels) aux façons de libérer cette formidable énergie, cette diversité, cette vitalité et cette intelligence collective. Depuis les questions locales pragmatiques jusqu’aux enjeux internationaux, c’est un projet collectif enthousiasmant, une vision politique globale, que ce mouvement citoyen souhaite lancer et contribuer à construire.


Les 6 chantiers fondamentaux nous semblent être :


1. DEFENSE DES BIENS COMMUNS Lutter contre la privatisation et la marchandisation des éléments vitaux pour l'humanité et pour la planète est un impératif catégorique. Outre l'exploitation des ressources naturelles, ce processus s'accélère et s'étend aux connaissances, à la culture, au vivant, à la santé, à l'éducation... Ce phénomène produit dans notre ville une collusion entre intérêts publics et privés néfaste à l'intérêt collectif (à l'instar de ce qui se passe avec le marché de l'eau délégué aux multinationales), une destruction de l'environnement par le bétonnage et le mitage, une érosion de la biodiversité, empêche toute lutte efficace contre le changement climatique, accentue l'appauvrissement de la diversité culturelle et l'augmentation des inégalités dans l'accès à la connaissance et à l'éducation. L'eau, l'air, le sol, l'énergie doivent être considéré comme des Biens Communs et gérés sous maîtrise publique comme le sont la culture, la santé, l'éducation... 

2. GOUVERNANCE Changer la gouvernance locale en luttant farouchement pour la moralisation de la vie politique locale ; en donnant plus de moyens aux conseils de développement pour favoriser un dialogue constructif et l'émergence d'un espace démocratique sur l'aire métropolitaine ; en mettant en place des commissions pluralistes permettant la transparence dans l'attribution des places en crèches, des logements sociaux... ; en imposant la critérisation et la co-élaboration des politiques publiques pour éviter l'arrosage cliéntéliste et donner du sens à l'intervention publique ; en créant des espaces de démocratie participative avec la mise en place de conseils de quartier, de  comités d'usagers... ; en mettant en place un bureau des temps, des ateliers citoyens d'urbanisme, des espaces vitrines de la ville en mouvement valorisant l'initiative citoyenne et l'émergence de projets collectifs.

3. SOLIDARITÉ Tisser une ville solidaire et innovante en renforçant de façon rationnelle et solidaire les services publics locaux en donnant toute sa place à l'usager et en responsabilisant et valorisant les agents territoriaux ; en  soutenant les structures créatrices de liens sociaux (économie sociale et solidaire), l'économie de pollinisation ; en développant les équipements collectifs de proximité (crèches, gymnases, piscines, médiatiques, centres sociaux...) plutôt que de nouveaux grands « élephants blancs » pour fluidifier la vie quotidienne et renforcer le tissu social ; en liant la rénovation urbaine et la politique de la ville et en luttant prioritairement contre les inégalités sociales et territoriales dont souffrent notre ville.

4. ÉCONOMIE / EMPLOI Elaborer une réflexion de fond en vue d’un redéploiement économique de Marseille et de la métropole fondée sur la reconversion de son tissu industriel en pôles d'innovation basés sur les nouvelles filières vertes liées aux centres de recherches universitaires (ex. création d'un pôle de chimie verte sur l'Etang de Berre) ; soutenir une économie innovante socialement et économiquement tout en valorisant les savoir-faire traditionnels et la relocalisation de la production (à l'exemple du projet de reprise collective des FRALIB en coopérative) et les circuits courts liant directement producteurs et consommateurs (AMAP, épiceries solidaires...) ; développer l'économie contributive en s’inspirant de penseurs comme Patrick Viveret ou Bernard Stiegler ; repenser le territoire et l'activité portuaire en l'ouvrant sur la ville.

5. ÉCO-MOBILITE ET URBANISME Créer un vrai projet d’urbanisme fondé sur la maîtrise d'usage et la participation citoyenne, incluant logements, transports en commun sur l'ensemble de l'aire métropolitaine pour réduire la place de la voiture en ville, isolation thermique des bâtiments pour lutter contre la précarité énergétique, qualité environnementale, espace public partagé, trame verte et bleue, accès à la mer, maintien de terres agricoles et maîtrise du foncier ; renforçant la relation ville/nature, ville/campagne, une ressource culturelle, agriculturale, symbolique, de premier ordre et luttant avec vigueur contre le changement climatique et les pollutions.

6. MULTICULTURALISME MEDITERRANEEN Dessiner une ville pour tous, une "ville monde" fondée sur la laïcité, phare de la Méditerranée en valorisant la richesse populaire et multiculturelle de cette  ville  ; en instaurant un dialogue coopératif entre les 2 rives s'émancipant d'une approche purement sécuritaire et renouant avec l'esprit de la Convention de Barcelone ; en luttant contre les discriminations, l'enclavement des quartiers Nord et les politiques ségrégationnistes fracturant la ville  ; en permettant la création et l'essaimage culturelle sur toute la ville ; en développant l'éco-tourisme, le tourisme vert plutôt que le croisièrisme et le tourisme de luxe.

Comme méthode de travail, nous proposons :

• COMMISSIONS CITOYENNES

La création de 6 commissions citoyennes sur ces 6 sujets principaux. Ces groupes peuvent convier des structures menant déjà des projets exemplaires sur ces questions. Parmi ses objectifs, ces groupes pourraient faire remonter des projets, mais aussi des paroles fortes, émanant de tous les milieux, de tous les quartiers de cette ville mosaïque.

• PEPINIÈRE

Le lancement d'ateliers citoyens, de laboratoires de transformation d'espaces urbains, de mise en lumière d'initiatives citoyennes (mise en réseau, essaimage, expérimentation...) Exemples : jardins partagés ; réappropriation citoyenne des rues (Arc, Sénac, Châteauredon...) ; ilot des Feuillants ...

• PUBLICATION

La parution d’un livre blanc fin 2013 qui rassemble les propositions d’une année de ce travail public.

À mi-chemin de ses sœurs latines Gênes et Barcelone, Marseille peut redevenir un phare entre Europe et Méditerranée en sortant d'une double nostalgie passéiste : celle du Marseille pagnolesque, immuable et folklorique, et celle fondée sur le mythe portuaire d'une Marseille prolétaire disparue avec notre passé colonial.



Une métamorphose doit être enclenchée. Marseille, ville métissée et rebelle, n’a cessé de se renouveler et de se réinventer à chaque génération, au cours de sa longue et tumultueuse histoire. Lutter et innover, c’est rester fidèle au destin de cette ville laboratoire, singulière qu'il faut sauver de toute tentative de normalisation et sortir de son enlisement fait système.

Ensemble, debout Marseille !





MANIFESTE DES GABIANS "MARSEILLE EN MOUVEMENT / MARSEILLE AUTREMENT"

(Groupe d'actions pour le Bien Commun et les Alternatives nouvelles et solidaires)

Premiers signataires :

- Majouba ABDELKADER (gérante brasserie)

- David ABITEBOUL (développeur de projets en écologie urbaine)

- Zohra ADAN (gérante de café)

- Nazika AGGOUNE (chômeuse)

- Olivier AGULLO (conseiller communautaire MPM, enseignant chercheur en physique des plasmas)

- Saïd AHAMADA (militant politique et associatif pour l'éco-développement des Comores)

- Edhna AMRAOUI (aide soignante)

- Thémis APOSTOLIDIS (Maître de conférences en Psychologie Sociale à l'Université de Provence)

- Christian APOTHELOZ (journaliste, chef d'entreprise)

- Alexandre AUBANEL (cuisinier)

- Adeleine AYALA (employée de bureau)

- Sébastien BARLES (conseiller municipal de Marseille, porte parole régional EELV)

- Rachid BATACHE (maçon)

- Jean-Claude BAUDON (artisan/artiste, membre du collectif Noailles)

- Anne Laurence BEAUDOING (spécialiste en éco-mobilité, collectif Vélos en ville)

- Paul-Emmanuel BEAUPERIN (artisan)

- Fatima BENAMOUDA (femme au foyer)

- Josiane BENEZECH (retraitée)

- Jacques BERNARD (coopérateur Proxi-Pouce)

- Philippe BLACHE (chercheur au CNRS, militant antiraciste)

- Olivia BLANC (éducatrice spécialisée)

- Jean-Louis BLANC (cadre administratif)

- Fatima BOUANANI (retraitée, asso. jeunes errants)

- Nina BOUCHAOUR (animatrice éducative)

- Mohamed BOUKROUCHE (citoyen de Marseille, Collectif Noailles) 

- Pascal BOTELLA (citoyen centre ville de Marseille)


- Jean-Marcel BOUGUEREAU (ancien redacteur en chef de Libé et du Nouvel Obs)

- Flora BOULAY (conseillère municipale, EELV)

- Jacques BOULESTEIX (astrophysicien, pdt du Conseil de développement de MPM)

- Soulef BOUMAAZA (enseignante)

- Christine BOURGEOIS (artisan)

- Philippe CAHN (formateur en communication, militant associatif pour l'écomobilité)

- Sophie CAMARD (conseillère régionale Paca, Présidente Commission Emploi, développement économique régional, enseignement supérieur et innovation)

- Jean CANTON (urbaniste, directeur général de l'urbanisme et de l'habitat de la ville de Marseille de 2002 à 2009)

- Nadine CASTELLANI (militante Front de gauche Gauche unitaire)

- Laura CENTEMERI (sociologue, CNRS)

- Emma CHAMARD (chargée de communication, formatrice de FLE -français langue étrangère)

- Marco CHAUTARD (responsable Emmaüs Saint Marcel)

- Bruno COCAIGN (adjoint au maire du 13-14, aide soignant en milieu carcéral)

- Stéphane COPPEY (chargé de mission au Conseil régional, ex. directeur des transports à Toulouse)

- Jean-Marc COPPOLA (Vice-Président du Conseil Régional PACA, Conseiller municipal de Marseille, Front de gauche)

- Peire COSTA (Régions et Peuples Solidaires)

- François COSTE (habitant du 6eme, membre du Conseil de développement de MPM)

- Kélétigui COULIBALY (directeur d’une association de promotion et de diffusion de l’art et de la culture africaine, Afriki Djigui Théatri)

- Bertrand COUSIN (cartographe, Parc national des Calanques)

- Jacqueline CROUSIER-GIROLAMI (Professeur émérite à l'Université)

- Hassene DAHMANI (banquier)

- Henri DALBIES (responsable d'ICD Afrique)

- Fabrice DECOUPIGNY (géographe, maître de conférence à l'Université)

- Emmanuel DELANOY (Institut Inspire)

- Sylvain DELEUNEVILLE (Professeur à l'Ecole des Beaux Arts de Marseille)

- Eric DEMECH (Acteur associatif -SCCM et ACCORDEMONDE et Chef d'entreprise)

- Abdehramane DEHRI (forain)

- Anne-Françoise DEULOFEU (citoyenne marseillaise du 13eme arrondissement)

- Philippe DIEUDONNE (militant de la Ligue des Droits de l'Homme)

- Thomas DJIAN (chargé de mission au Conseil régional)

- Marianne DOULLAY (chargée de production événementielle, professeur à l'EjCM, animatrice de l'asso du Cours Julien)

- Nicolas DUPUIS (ingénieur aéronautique)

- Jacqueline DURANDO (conseillère communautaire MPM)

- Frédéric DUTOIT (président du groupe Front de Gauche, Mairie de Marseille)

- Magali ESCOT (chargée de mission territoriale, militante au Parti de Gauche)

- Victor Hugo ESPINOSA (président d'ECOFORUM)

- Eric FAISSE (militant associatif, Les Amis de la Terre, Eau Bien Commun)

- Kamel FASSATOUI (responsable Emmaüs Pointe Rouge)

- Alexandre FASSI (directeur d'Inter-made)

- Anne-Laure FAUGERE (architecte, porte parole régionale d'EELV)

- Didier FEBREL (médecin de santé publique)

- Manu FERRIER (militant écologiste)

- Philippe FOULQUIE (fondateur de la Friche La Belle de Mai)

- Alain FOUREST (Rencontres Tsiganes, Ligue des Droits de l'Homme)

- Pierre FRICK (responsable fédération nationale des offices HLM)

- Jean-François FRIOLET (conseiller d'arrondissement du 15-16, délégué aux déchets et à la dépollution des sites industriels)

- Céline GARRIC (citoyenne marseillaise)

- Benoît GARRIGUES (militant écologiste)

- Caroline GODARD (permanente de Rencontres Tsiganes, LDH)

- Pierre GODARD (syndicaliste)

- Alun GRIFFITH (urbaniste, enseignant à l'IEP d'Aix)

- Célia GUERRI (coopératrice Proxi-Pouce)

- Christian GUITTON (infirmier psychiatrique, syndicaliste SUD / Solidaires)

- Nassurdine HAIDIRI (adjoint au maire du premier secteur de Marseille, responsable du collectif Nous ne marcherons plus)

- Brahim HALIM (pdt d'association)

- Zoheir HILALI (commerçant)

- Ghitsa IORGA (Fanfare Vagabontu)

- Serge JAMGOTCHIAN(formateur - adhérent d'ARS INDUSTRIALIS)

- Abderahman JANATI (Graphiste, formateur)


- André JOLLIVET (directeur de la Maison de l'Architecture, urbaniste)

- Rbiha KADDOUR (aide à domicile)

- Jean KEHAYAN (journaliste et écrivain, pdt du Club de la Presse de Marseile)

- Linda KERBACHE (vendeuse)

- Nordine KOLLI (électricien)

- Issa KONE (médecin généraliste)

- Jean- Paul KOPP (Président de Rencontres Tsiganes en Paca)

- Jean-Claude LABRANCHE (syndicaliste, militant Front de Gauche, Gauche unitaire)

- Baptiste LANASPEZE (éditeur Wildproject, concepteur du GR 2013)

- Françoise LAROCHE (éducatrice spécialisée, syndicaliste)

- Jacques LERICHOMME (Conseiller régional, ancien syndicaliste, responsable national de la Gauche Unitaire)

- Illan LOUFRANI (animateur de l'Ecomotive)

- Nadia MABROUK (aide à domicile)

- Roland MABILLE (urbaniste, rêveur)

- Robert MACULET (professeur de vidéo, documentariste)

- Jean-Marie MADELENAT (urbaniste)

- Roland MAGNAUDET (coordonateur association Voisins et Citoyens en Méditerranée)

- Christian MARINI (auto-entrepreneur)

- Alain MATTESI (responsable COLLECT-If pour le Parc des Calanques)

- Cédric MATTHEWS (Militant politique)

- Nicole MAUSSET (enseignante, citoyenne)

- René MAZARI (ingénieur urbaniste)

- Assia MEDHI (gérante agence immobilière)

- Horya MELLAHOUF (militante associative, MRAP)

- Wilfried MEYNET (avocat)

- Jean-Paul MOATTI (directeur de recherche, INSERM)

- Mathilde MOKRI (pdte. d'association)

- François MONTAGNON (hydro-géologue)

- Bernard MOUNIER (président d’association, co-organisateur du forum alternatif mondial de l’eau)

- Aïcha MUNIGA (adjointe au maire du premier secteur, déléguée aux solidarités)

- Frédéric NEVCHEHIRLIAN (citoyen marseillais, chanteur compositeur)

- Jean-Paul NOSTRIANO (Adjoint Mairie 2-3 Marseille)

- Thierry OFFRE (responsable Greenpeace Marseille, militant occitaniste)

- Gilbert ORINIER (conseiller financier)

- Christine ORTIZ (Conseillère municipale de Marseille)

- Michel ORTIZ (Adjoint mairie 15-16 Marseille)

- Anne PAGES (médecin phoniatre)

- François PECQUEUR (responsable du Point de Bascule)

- Christian PELLICANI (Conseiller délégué Mairie 1-7 Marseille, Conseiller municipal de Marseille)

- Gérald PERILLI (journaliste à Radio Galère, animateur social)

- Joana PIETRI (éducatrice spécialisée)

- Julien PILLET (comédien, association Artstock)

- Christine PREVOT (responsable centre de formation et d'insertion)

- Tahar RAHMANI (Conseiller communautaire Marseille Provence Métropole)

- Pascal RAOUST (chef de projets culturels)

- Patrick REDON (dessinateur -alias Red)

- Denis REYRE (médecin)

- Andrée REVERSAT (responsable du Comité de ville Marseille, EELV)

- Linda REZOUK (responsable associative)

- Ferdinand RICHARD (directeur d'une association culturelle de musique actuelle)

- Jean-Christophe ROBERT (Président de l'association Filières Paysannes)

- Marine RODALLEC (violloncelliste)

- Pierre ROUSSEAU (Ingénieur transports, ancien directeur adjoint de la Mission Métro Tramway de MPM)

- Michèle RUBIROLA (médecin de santé publique, adjointe en mairie du 2-3)

- Paulette RUBIROLA (retraitée)

- Djamel SAID (commerçant, association commerçant de Noailles)

- Anne-Marie SAMBA (retraitée)

- Roger SAUTEL (chargé de mission territorial)

- Pierre SAUVAGEOT (compositeur, directeur de Lieux publics, centre national de création)

- Frédéric SEIGNON (responsable du développement chez crèches Adale)

- Emmanuel SEMANOU (association Survie 13)

- Pierre SEMERIVA (vice-président de la Communauté urbaine, délégué au Plan Climat)

- Karim SENI (banquier)

- Jean SICARD (militant syndical et politique -Parti de gauche)

- Sophie SICOI (militante Europe écologie Les Verts)

- Kheira SID (retraitée)

- Aïcha SIF (conseillère régionale, présidente de la commission culture)

- Jacques SONCIN (journaliste, Président de l'Association pour la 
coopération des radios libres)

- Christian TAMISIER (paysagiste, ENSP)

- Soued TARBI (archiviste)

- Nassima TERGOU (aide soignante)

- Mousa THOREZ (retraitée)

- Christine TISSOT (adjointe mairie 15-16 Marseille)

- Aurélien VERNET (association Colibris)

- Sophie VIGOUROUX (chargée de développement, militante FCPE)