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Oui à la transition énergétique

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Avec la hausse du tarif de rachat de l’électricité de 5% pour le photovoltaïque[1], et les choix pour les maisons passives, les maisons BBC, et les maisons ossatures bois [2], il est l’heure d’encourager la construction écologique pour tous pas seulement les écologistes. Même les maisons en paille sont une possibilité ! [3]

Il faut protéger l’habitat où se trouvent nos logements. Voici quelques sites 

Réglementation thermique 2020 : les maisons écologiques ont de l’énergie à revendre ! voir ici 

Construction écologique

Rêve ou réalité ? Une réalité pour un nombre croissant de propriétaires qui placent l'écologie, les économies d'énergie et le respect de l'environnement au centre de leur mode de vie. Le logement ‘vert’ existe sous plusieurs facettes, à travers des démarches et quelques applications concrètes. Panorama des différentes possibilités existantes. lire la suite 

Trucs et astuces pour une maison économique et écologique

Un ménage dépense en moyenne 1400€/an pour son énergie. 55% de ce budget servent au chauffage, 27% à l'éclairage et à l’électroménager, 12% à l’eau chaude et 6% à cuisiner. Voici quelques réflexions pour réduire chacune de ces dépenses lire la suite 

Cordialement,
Thomas PilotteCette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Sources:

1) Photovoltaïque : augmentation de 5% d’un des tarifs d’achat

Le gouvernement vient d’annoncer une hausse de 5% de l’un des tarifs subventionné auquel EDF achète l’électricité photovoltaïque. Ce tarif concerne les installations intégrées au bâti d’une puissance comprises en 36 et 100 kilowatts, soit les petits projets installés sur les toitures. lire la suite 

2) Construction bois, Maison BBC et Maisons passives : Différences et avantages

Confort, respect de l’environnement, économies d’énergie : les motivations pour choisir une maison ossature bois, BBC ou passive sont nombreuses. Laquelle répond le plus à vos critères ? lire la suite

3) Des bâtiments en paille et solides, c'est possible

Le Béarn est devenu un laboratoire de l'éco-construction. À Salies-de-Béarn, le pôle scolaire des Pupilles de l'enseignement public (Pep 64) est le premier bâtiment public construit à base de paille.

Un deuxième bâtiment verra le jour, toujours sur le site du Hameau Bellevue, et la pose des premiers murs a démarré ce mois-ci. lire la suite

La première maison active B10 produit 2 fois plus d’énergie qu’elle n’en consomme !

Dans la banlieue de Stuttgart en Allemagne, la première « maison active B10 » a été installée en 2014. Son architecte Werner Sobek s’est fixé pour objectif les « 3 zéros » : zéro déchet, zéro énergie et zéro émission. Le résultat semble prometteur !

La maison active B10, de taille moyenne (85 m²), produit plus d’énergie qu’elle n’en consomme. Elle est construite à partir de matériaux performants et 100% recyclables (pour anticiper une éventuelle déconstruction), comme le bois, du verre ultra fin et isolant pour ses larges baies vitrées, du métal et de la fibre de verre lire la suite 

POC21 : une éolienne en kit à 30 dollars

Dans le cadre de la conférence sur le climat COP 21, qui se tiendra en décembre prochain à Paris, les collectifs Ouishare et OpenState ont lancé une initiative inédite baptisée POC21. Pendant cinq semaines, 12 équipes vont développer des solutions innovantes et Open Source pour la transition énergétique. La rédaction d’Industrie & Technologies vous propose de découvrir ces 12 projets, encore à l’état de prototype. Zoom aujourd’hui sur une éolienne en kit low cost.      lire la suite 

Politique du développement du  nucléaire = poubelles des déchets.  Que ceux qui le soutiennent  récupèrent les poubelles chez eux.

Le téléphone sonne: le nucléaire une filière d'avenir ? écouter l'émission

Petit manuel anti-nucléaire

Le nucléaire serait une énergie au coût de production raisonnable et rentable, une garantie d’indépendance, propre, sûre, recyclable, pacifique, écologique et démocratique, bref incontournable.

Il n’y a rien de plus faux, démonstration par les faits. lire la suite 

En Islande, les ressources naturelles sont maintenant "détenues par le peuple " lire la suite

Voir réseau sortir du nucléaire voir ici

Débat national : tansition énergétique voir ici

 Il faut sauver Bure et&Soulaines voir ici

L'Economie d'énergie , je sais faire voir ici

 Inventaire des énergies renouvelables voir ici

 Mobiliser la Société face au pic pétrolier voir ici 

Limiter le réchauffement climatique à 2°C : mission impossible ? voir ici

La recherche de gisement de gaz de schiste incompatible avec la charte du parc régional des causses du Quercy lire ici

Et pour les autres ???

 

Risques nucléaires et risques technologiques une même problématique  ? voir ici 

Le constat est grave...Le gaspillage et la précarité énergétique s'accroissent. L'épuisement des ressources non renouvelables conduit à l'impasse du modèle énergétique actuel et accroit les inégalités au niveau mondial. Les accidents, les pollutions et les déchets menacent la vie, la santé et l'environnement . La montée des émissions de gaz à effet de serre renforce les risques de changement climatique. Des solutions existent sobriété, efficacité énergétique, et développement des énergies au coeur des territoires, voilà le chemin de l'avenir!

Participez à la transition énergétique ...Investissez dans les énergies renouvelables citoyennes ! voir ici

Implication citoyenne pour transition énergétique: énergie partagée voir ici

 Innovations et développement en énergies renouvelables voir ici

 

Bâti-cités: un outil financier citoyen au service d'un habitat écologique et humain  http://www.bati-cites.fr/

Comment qualifier d'énergie d'avenir" une technologie du siècle dernier, qui écrase les vraies énergies de demain que sont les énergies renouvelables et empêche la mise en oeuvre de mesures massives d'économie d'énergie ? lire l'article  


La géographie française est-elle en marge de l'écologie? écouter l'émission

 

Informations complémentaires

Géographie, écologie, politique : un climat de changement

  • www.colloque.ird.fr/ ​geographie-ecologie-politique/Telechargements/ ​... · Fichier PDF

    Géographie, écologie, politique : un climat de changement Colloque international - 6 au 8 septembre 2012 Université d’Orléans - France La géographie française ... cliquer ici

Incident ou accident nucléaire à Penly ?

Par Claude-Marie Vadrot - 5 avril 2012

Comme à l’ordinaire, EDF a tenté de minimiser ce qui s’est passé ou se passe encore à Penly(Normandie). L’électricien a d’abord prétendu que les pompiers avaient été appelés dans l’aprés-midi de jeudi pour éteindre des "flaques d’huile" dans le bâtiment du réacteur N° 2. Avec l’habituelle précision que l’incident n’avait pas entrainé de conséquences sur l’environnement.
Comme si de l’huile avait pu spontanément prendre feu dans un espace hautement sécurisé. D’autant plus que l’on apprenait de source syndicale que le réacteur n’avait pas "été arrêté" comme le prétendait EDF, mais qu’il avait victime d’un arrêt d’urgence automatique. Probablement pour cause de défaut de refroidissement. Tandis que la cellule de crise de l’IRSN de Fontenay aux Roses était activée et tous ses personnels d’astreinte rappelés d’urgence pour suivre les progrès de cet incident, on apprenait que l’incendie avait été en fait provoqué par des fuites d’huile surchauffée provenant d’une pompe du circuit de refroidissement primaire dont personne ne s’était aperçu qu’elle était défaillante. Le circuit primaire et celui dont l’eau est au contact direct du réacteur qui est donc hautement radio-active. Il n’a fallu qu’une ou deux heures pour que l’on sache, que l’avarie de cette pompe avait entrainé des fuites d’eau active dont les quantités n"étaient pas connues dans la nuit de jeudi à vendredi. Etant évidemment encore précisé par EDF que l’incident "n’avait pas entraîné de conséquences sur l’environnement". Refrain connu. Remarque : l’arrêt brutal et non programmé de ce réacteur, c’est exactement ce qui s’est produit à Fukushima. Et l’on sait que ce type d’arrêt brutal a toujours des conséquences sur un réacteur et que ces conséquences sont par définition imprévisibles. Le réacteur N° 2 est donc à l’arrêt, son système refroidissement fuit, nul ne connait l’importance de la fuite et où s’en va l’eau contaminée. Une seule certitude déjà : le réacteur n’est pas prés de repartir, s’il repart un jour...
A suivre….
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http://www.liberation.fr/depeches/01012400708-alarme-incendie-declenchee-a-penly-arret-automatique-du-reacteur
05 avril 2012 à 23h36

Penly: le réacteur 2 en cours de refroidissement malgré une fuite d'eau

PENLY (Seine-Maritime) (AFP) - Le réacteur n°2 de la centrale nucléaire de Penly s'est arrêté automatiquement jeudi après deux départs de feu dans son bâtiment, et était en cours de refroidissement dans la soirée, malgré une fuite d'eau radioactive de son circuit primaire.
Le réacteur "continue à être refroidi normalement" et la fuite "n'a aucune conséquence sur l'environnement", a affirmé EDF ajoutant que l'eau radioactive était "collectée dans des réservoirs prévus à cet effet" et situés "à l'intérieur du bâtiment réacteur".
Le directeur général de l'ASN Jean-Christophe Niel a indiqué à l'AFP que selon les informations qui lui étaient communiquées par EDF, le volume de la fuite qui était de 2,3 mètres cube par heure en début de soirée avait baissé à 0,1 mètre cube ( cent litres) par heure.
De l'eau est injectée dans le circuit primaire pour compenser la fuite, et le circuit primaire continue de la sorte à assurer son rôle dans le refroidissement du réacteur, a-t-il indiqué.
L'ASN n'a pas pu indiquer à quel niveau se situait l'incident sur l'échelle internationale des événements nucléaires Ines, mais a précisé qu'elle irait "faire une inspection sur le site" dès vendredi.
Elle a aussi mobilisé jeudi soir son centre d'urgence parisien pour suivre la situation, une cellule de crise d'une dizaine de personnes suivant l'évolution de la situation au plan technique et assurant également un rôle d'information des médias.
"Le circuit primaire c'est celui qui circule dans la cuve (du réacteur), celui qui refroidit directement le combustible. Une fuite du primaire c'est évidemment extrêmement important", a indiqué à l'AFP Yannick Rousselet, spécialiste du nucléaire à Greenpeace.
"C'est sérieux. Il est évident que pour le moment on ne peut pas dire que ce soit grave au niveau conséquences environnementales ou de santé extérieure puisqu'il y a rien pour le moment. Par contre en terme de type d'accident c'est un accident grave au sens de la sûreté", a-t-il ajouté, en souhaitant que l'ASN exige "un contrôle de toutes les pompes" des centrales nucléaires.
Selon EDF, la fuite vient d'un défaut "sur un joint de l'une des quatre pompes de refroidissement du circuit primaire dans le bâtiment réacteur de l'unité de production numéro 2".
Ce défaut "fait suite aux départs de feu survenus au niveau de cette pompe en milieu de journée et maîtrisés par les équipes de secours", indique-t-on de même source.
"En faisant baisser la pression et la température, les travaux d'expertise de la pompe et de sa réparation pourront être entrepris", selon le communiqué.
"Le réacteur qui s'était arrêté automatiquement continue à être refroidi normalement et les équipes de la centrale travaillent pour faire baisser la pression et la température de l'eau contenue dans le circuit", selon la même source.
EDF avait annoncé dans l'après-midi que deux départs de feu avaient été maîtrisés par les pompiers dans le bâtiment réacteur n°2.
Selon les explications à la presse du directeur délégué du site, Laurent Lacroix, les pompiers ont constaté que le feu avait pris sur "deux petites flaques d'huile", et les flammes ont été maîtrisées "à l'aide d'extincteurs".
La centrale de Penly, située au bord de la mer entre Dieppe et Le Tréport, compte deux réacteurs nucléaires.
Le site a été retenu pour accueillir un nouveau réacteur EPR, après celui de Flamanville (Manche), mais le gouvernement a décidé en octobre 2011 de reporter le lancement de l'enquête publique sur ce projet controversé.
© 2012 AFP
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http://www.rmc.fr/editorial/244351/laccident-nucleaire-de-la-centrale-de-penly-est-il-si-anodin/
La Rédaction avec Christophe Bordet | nRMC.fr | 06/04/2012

NUCLEAIRE

L'accident nucléaire de la centrale de Penly est-il si anodin ?

Après la coupure d’électricité, jeudi, à la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime) qui a entrainé l’arrêt du réacteur N°2, une fuite radioactive contenue a été constatée. L’Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) a annoncé cette nuit qu'elle levait le dispositif de crise. Quelle est la gravité de cet incident ?
La centrale est sous surveillance. Un incident de niveau 1 provisoire (selon le classement ASN sur une échelle de 7) à la centrale de Penly en Seine-Maritime a été constaté jeudi. Une fuite d'eau radioactive contenue a été détectée sur le site où deux départs de feu ont pris jeudi après-midi dans le bâtiment réacteur numéro 2 qui s'est arrêté automatiquement. Un défaut a été identifié sur un joint de l'une des quatre pompes de refroidissement du circuit primaire dans ce bâtiment. En faisant baisser la pression et la température, les travaux d'expertise de la pompe et de sa réparation pourront être entrepris. Le réacteur qui s'était arrêté automatiquement continue à être refroidi normalement et les équipes de la centrale travaillent pour faire baisser la pression et la température de l'eau contenue dans le circuit.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, l'Autorité de Sureté Nucléaire a annoncé qu'elle levait le dispositif de crise qu'elle avait mis en place dans la soirée.
« Ce qui s’est passé est un incident grave »
Pour Sophia Majnoni, chargée de campagne nucléaire chez Greenpeace, « on ne peut pas dire que ce qui s’est passé n’est pas grave. L’incident s’est produit à l’intérieur du bâtiment réacteur sur une pompe qui permet d’assurer le refroidissement du réacteur. Or, on a vu après Fukushima que le refroidissement était un élément central dans la sûreté d’un réacteur nucléaire. Donc ce qui s’est passé est un incident grave ».
« La situation s’améliore doucement »
Jean-Christophe Niel, le directeur général de l’ASN, explique que « cet évènement n’est pas anodin. La situation s’améliore doucement puisque la température baisse, la pression baisse donc c’est favorable pour la diminution de la fuite. Les dernières informations dont je dispose c’est que la fuite est d’une centaine de litres par heure avec une pression qui serait passée de 150 bars quand le réacteur est en puissance à 82 bars. Les fuites sont collectées dans des bacs de stockage ».

 

Les énergies libres  : la solution pour sortir du nucléaire
Ce texte a été publié sur facebook par un de nos correspondants sur l'état de l'énergie nucléaire en France dans notre pays:
La sécheresse 2011 s'annonce pire que celle de 1976. Aujourd'hui, les centrales nucléaires françaises fournissent 75% de l'électricité du pays, et pour cela elles ont besoin de jusqu'à 19 milliards de mètres-cubes d'eau par an *, c'est à dire environ 40% de l'eau consommée en France. Sans refroidissement, une centrale nucléaire ne peut pas fonctionner. Les centrales nucléaires const...ituent une technologie complètement inadaptée à un contexte de réchauffement climatique. Pire, en chauffant des milliards de tonnes d'eau, elles agravent les conséquences du réchauffement.
Malheureusement, la France a pris un retard énorme dans l'installation de capacités éoliennes et photovoltaïques, qui ne requièrent pas une seule goutte d'eau pour produire de l'électricité. Elle va probablement être contrainte cet été, si la sécheresse se confirme, de l'électricité éolienne et solaire en provenance d'Espagne et d'Allemagne.

voir les concepteurs innovants
http://www.mygraal-innovation.com/page,tous-les-concepteurs,id_rubrique,2

Printemps 2011: "La saison est également particulièrement sèche : la quantité d’eau recueillie sur la France représente environ 45 % de la moyenne relevée entre 1971 et 2000. Le précédent record datait de 1976, où ce taux atteignait 54 % (...)"
et maintenant ils demandent au cultivateur de faire des economies d'eau de 20% pour faire marcher leur saloperie d'epr ct car ils savent que l'eau va manquer pour leur centrale et que le risque est là. et Lors de la sécheresse de 1976, la part du nucléaire en France était insignifiante.
Ce texte a suscité de la part des membres du groupe Evenement Quercy Rouergue une vive réaction
François Delonnay On est en plein délire! A croire qu'on le fait exprès!
Steve Williams C'est terrible l'arrogance française.....
François Delonnay Je refuse la paranoia à ce point en tant qu'être humain....c'est que nous sommes alors gouvernés par de vrais cons,des enfants capricieux irresponsables qui méritent des baffes!
Steve Williams Exact, François....que tous t'entendent....
Marie Claire Exact, c'est l'un des dégâts du nucléaire dont on parle peu! En séjour chez une amie du Tarn-et-Garonne, entre Montauban et Moissac, j'ai pu constater combien cette région devient un désert... merci Golfech!
Marie Claire Pourquoi on ne peut pas partager?
René Chaboy IL est temps que nous nous organisions non pas pour la décroissance ( comme certains le préconisent puisque nous avons dans notre pays des personnes qui n'ont même pas l'essentiel pour vivre) mais pour la décroissance de la consommation des énergies pour les transports et toute la consommation pour la réfrigération et la congélation de l'alimentation ( même bio qui vient de très loin) Reproduire localement en mutualisant nos énergies humaines et compétences pour parvenir à ce défi démocratique de la Société Civile est déjà la base de nos actions économiques à mener coopérativement .
Vous pouvez bien entendu venir participer à ces échanges entre concitoyens responsables de notre avenir de la terre et de l'être humain

 Les 58 réacteurs français sont aussi fragiles que ceux de Fukushima.

Selon un rapport publié hier par l'organisation Greepeace, les 58 réacteurs français seraient très vulnérables autant que la centrale japonaise de Fukushima, dévastée le 11 mars 2011 après un tsunami. Les experts indépendants sont dubitatifs, ils reprochent aux évaluations d'être trop théoriques, de ne pas prendre suffisamment en compte le facteur humain, ou le viellissement ......

Suite http://www.leprogres.fr/france-monde/2012/02/21/les-centrales-nucleaires-francaises-aussi-fragiles-que-fukushima

Nous vivons la fin d'une époque ; celle d'une économie fondée sur les énergies fossiles ; mais aussi, celle du travail à temps plein, du capitalisme patrimonial, de l'organisation pyramidale des entreprises, et de la gestion exclusivement marchande du monde.

Voir la troisième révolution industrielle

http://lienenpaysdoc.com/index.php?option=com_content&view=article&id=203:la-troisieme-revolution-industrielle-&catid=13:agenda&Itemid=59


Du solaire même sans soleil

L’énergie solaire dite à concentration vient de faire un grand pas, grâce à des chercheurs du célèbre MIT (Massachussets institute of technologie). Avec le CSPond, le solaire pourra en effet produire de l’électricité par tous les temps !

http://www.faiteslepleindavenir.com/2011/12/01/du-solaire-meme-sans-soleil%C2%A0/

OUI à la transition énergétique ! Non au gaz de schiste

NON au gaz, pétrole et huile de Schiste !  Pour signer la pétition, cliquer ici

 10402 km², soit la moitié du département du Lot-et-Garonne, plus une partie de la Dordogne, du Lot, de la Haute-Garonne, du Tarn-et-Garonne, de l'Ariège, du Gers et des Hautes-Pyrénées sont concernés par une demande de permis de recherches d'hydrocarbures (dit Permis Beaumont de Lomagne) déposée par BNK Petroleum, société californienne, ceci en l’absence totale d’information de la population. Cette demande a pour objet d’explorer le sous-sol à la recherche de «gaz de schiste». Face au mécontentement des citoyens et aux actions des collectifs, une loi a été promulgée le 13 juillet 2011. Elle interdit la recherche « sauf à but scientifique » et l’exploitation d’hydrocarbures de roche-mère par le procédé de fracturation hydraulique. Mais cette loi ne définit pas ce procédé de fracturation hydraulique et n'interdit pas l'exploration et l'exploitation des pétroles et gaz de schiste.

Pourtant les risques sanitaires et environnementaux sont inhérents à la recherche même d'hydrocarbures dans la roche-mère. Cette loi ne protège donc pas des risques liés à cette recherche.

 
Pourquoi  serait-il  dangereux d'attendre la solution de nos seuls élites actuels ,  ne donnant jamais  aux acteurs locaux de l'économie sociale et solidaire, aux engagés pour la défense de nos biens communs,  les moyens d'investir pour répondre à la production de nos besoins essentiels  ?

  Réponse : parce que  le gaspillage du  train de vie de nos élites-élus permet une  création de dettes  nous rendant  esclaves de leur manque d'idées sociales créatrices. Avec eux les produits circulent , mais les idées restent immobiles : diviser pour mieux régner restant la seule  stratégie qu'ils connaissent.

 ALTERNATIVES ENERGETIQUES  DEPARTEMENT DU LOT

  • Cogénération et Méthanisation, ou.... Gaz de Schiste ?  Lire l'article

  • Un article très clair sur le MOX envoyé par un correspondant de France Nature Environnement

S'il permet de recycler une partie du plutonium produit dans les centrales nucléaires, le MOX est plus radiotoxique et plus «réactif» que les combustibles classiques.

Dans le texte de l'accord trouvé entre EELV et le PS, un paragraphe prévoyant la «reconversion» de la filière de fabrication du MOX a été subrepticement supprimé par les socialistes avant le vote du bureau national du parti. Les écologistes demandent pourtant depuis des années l'abandon de ce combustible qu'ils jugent particulièrement dangereux. Explications.

Composition

Contrairement aux combustibles classiques ne contenant que de l'uranium naturel enrichi, le MOX est un mélange d'oxydes d'uranium (UO2) et de plutonium (PuO2) extraits de cœurs nucléaires usagés. Le plutonium est un produit de fission de la réaction nucléaire - un assemblage d'uranium naturel enrichi usé en contient typiquement 1% - qui n'existe pas à l'état naturel. Le MOX en contient entre 5 à 12,5% (typiquement 8% en France).

Intérêt

Il permet de recycler le plutonium, un produit particulièrement radiotoxique, produit dans les centrales nucléaires. A titre d'exemple, un MOX contenant 8% de plutonium n'en compte plus que 4% après son utilisation dans un réacteur à eau pressurisée (REP). Le MOX est à l'heure actuelle le seul débouché du plutonium si on met de côté son usage à des fins militaires (bombe atomique).

Limites

«La stratégie industrielle actuelle est de tendre à l'équilibre entre la production de plutonium séparé et sa consommation en réacteur», note l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Seuls 22 des 56 réacteurs français sont autorisés à utiliser du MOX. D'après Thierry Charles, un responsable de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, cela suffirait toutefois pour consommer tout le MOX fabriqué à partir de 90% des cœurs usagés. En revanche, le MOX usé n'est pas retraité car le plutonium est trop dégradé pour servir à nouveau dans les réacteurs actuels.

Dangers

Le MOX est 5 à 7 fois plus radiotoxique que les crayons de combustibles classiques. Il nécessite donc des précautions d'usage particulières. D'autre part, le plutonium est un matériau plus réactif ce qui rend le contrôle du réacteur légèrement plus délicat. Après l'arrêt du réacteur, les fissions nucléaires se poursuivent plus longtemps dans le MOX que dans un combustible classique. En pratique, les crayons restent donc plus chauds, plus longtemps. Une des piscines de refroidssement à Fukushima contenait justement du MOX ce qui avait provoqué l'inquiétude des écologistes.

Enfin, en cas d'accident, la plus grande quantité de plutonium contenue dans le réacteur présente un danger accru pour l'environnement.

Stratégie à long terme

L'usine de La Hague permet d'extraire le plutonium et l'uranium appauvri du combustible usagé. Il est ensuite assemblé en crayons de MOX dans l'usine Melox de Marcoule. A l'origine, l'idée était de fabriquer du combustible pour la quatrième génération de réacteurs qui pourraient absorber de grandes quantités de plutonium. Lorsque l'usine de La Hague est devenue fonctionnelle, la France a abandonné cette voie pour se consacrer à l'EPR (une troisième génération bis). EDF a alors fait le choix du MOX et pris la décision d'entreposer le MOX usé en attendant la 4e génération. Celle-ci pourra en effet utiliser comme combustible le plutonium dégradé, inutilisable dans les réacteurs actuels.

  

 


  • Le moteur Minato et les énergies libres

 

Le moteur Minato est une machine(mise au point au Japon) fonctionnant à l’énergie libre qui est aujourd’hui en production.
Actuellement, les quatre type de moteur (normaux) les plus répandus sont: les systèmes les plus modernes, les AC (courant alternatif), les DC (courant continu), servo ou pas à pas. Ils utilisent tous les quatre le principe de force électromagnétique d’attraction qui fut découvert il y a près de 200 ans. Leur conception implique des pertes considérables dues aux bobinages, aux noyaux et aux courants vagabonds, qui se transforment en chaleur.
Le moteur de Minato utilise la répulsion comme source d’énergie du noyau. Il subit très peu de pertes, ne chauffe pratiquement pas et a un rendement de 330 %, très largement supérieur aux moteurs conventionnels. De plus il fonctionne presque « silencieusement». lire l'article

L'inventeur souhaite confier la fabrication à de petites entreprises plutôt qu' à de géantes multinationales: lire l'article

  • Les énergies libres existent

http://www.dailymotion.com/video/xfx4f_les-energies-libres-existent_news

 Ensemble coopérons MAIS équitablement et durablement..

  • La fusion froide la solution pour sortir du nucléaire ? Communiqué de Philippe Derruder


Voici selon moi une très bonne nouvelle du côté des énergies nouvelles sans gaz à effet de serre ni déchets nucléaires. Je parle de ce qu’on a appelé trop rapidement la fusion froide, découverte par Pons et Fleischmann en 1989, et qu’on appelle aujourd’hui des Réactions Nucléaires à Basse Énergie (RNBÉ).

Et bien, le 28 octobre dernier, Andrea Rossi, l’inventeur principa...l d’un nouveau type de RNBÉ, a fait la démonstration d’un réacteur qui a produit 479 kW de puissance thermique, en moyenne, pendant 5 heures et 30 minutes (durée du test). L’énergie thermique produite pendant ce temps a été de 2635 kWh alors que l’énergie électrique consommée n’a été que de 66 kWh, principalement dans la première demi-heure pour démarrer la réaction à l’aide d’éléments chauffants. Pendant ce test, le réacteur RNBÉ de Andrea Rossi aurait donc produit 40 fois plus d’énergie qu’il n’en a consommé! Après le test, le premier client a signé le contrat pour l’achat du réacteur, et 13 autres seraient déjà dans le carnet de commande! Voir les deux articles suivants

http://www.wired.co.uk/news/archive/2011-11/06/cold-fusion-heating-up

Notons que dans l’expression Réactions nucléaires à basse énergie (RNBÉ) les mots «basse énergie» ne signifient pas que les énergies dégagées sont faibles, mais plutôt qu’on peut déclencher ces réactions nucléaires avec très peu d’énergie, comparativement à la fusion chaude, par exemple, qui nécessite d’atteindre d’abord des températures de plus de cent millions de degrés Celsius. Notons aussi, et ce n'est pas rien, qu'aucune radiation dangereuse n’est émise à l’extérieur et qu'il n’y a aucun déchet radioactif. Cette percée majeure est réellement porteuse d’espoir pour l’avenir.

Bonne journée
Philippe Derruder

La presse a nommé  "fusion froide" ce qui semblait être une fusion nucléaire réalisée dans des conditions de températures et de pression ambiantes. Voir la suite: cliquer ici

Ensemble coopérons mais équitablement et durablement

 Arrêter ce qui va mal pour développer ce qui va bien