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L'innovation et la justice sociales c'est pour quand?

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photo de Fred Bidouille

Qu'est ce que l'innovation sociale ?

Nicolas Chochoy, directeur de l'Institut Jean-Baptiste Godin, présente une définition de l'innovation sociale selon 4 approches : la modernisation des politiques publiques, l'entrepreneuriat social, l'entreprise sociale, l'approche institutionnaliste (changement des pratiques et des représentations). voir la vidéo

"La loi doit faire entrer l'innovation sociale dans la cour des grands"

  • Quelle est la place des collectivités locales pour favoriser l’innovation sociale ?

  • Pourquoi l’innovation sociale doit elle être reconnue par la loi ?

    Extrait : « Premièrement dans la société française actuelle, il reste des besoins sociaux de base (se loger, se nourrir, se déplacer, se soigner) non satisfaits ou satisfaits dans des conditions qui ne correspondent plus aux enjeux du monde actuel. De plus, des besoins nouveaux apparaissent, par exemple accéder à des moyens de communication interactive (téléphone, internet) indispensables à la vie en société. Il faut donc innover pour mieux répondre à des besoins insatisfaits voir la suite  

  • Crise conjoncturelle ou crise structurelle ? Là est la question.

Dans l'hypothèse d'une crise conjoncturelle, Hollande a raison, il suffit d'attendre que les choses rentrent dans l'ordre. Point n'est besoin d'imagination, de décisions difficiles, de rupture, nous pouvons dormir en paix, le temps joue pour nous.

Dans l'hypothèse d'une crise structurelle, la situation est différente. Les mutations à venir sont inconnues, les avis sont si divergents qu'il n'est pas exclu que ces mutations ne puissent pas se mettre en place sans violence. lire la suite 

Fracture, effondrement et lien social cliquer ici 

La « justice sociale » c’est la fin de l’Etat obèse


C’était l’expression de " justice sociale " qui revenait le plus souvent dans la bouche des commentateurs sur les plateaux télé le dimanche soir, après le résultat du deuxième tour des élections municipales. Il faut plus de « justice sociale », entonnaient les politiques en chœur de droite et de gauche confondues. lire la suite 

Où est passée l'énorme déperdition d'intelligence collective ?

Si la logique de l'organisation l'emporte sur celle de la mission c'est que la main invisible des marchés ne peut pas exister…Puisque je suis tout ne peut que bien fonctionner…Oui nous sommes bien au royaume des aberrations…Comme si un trou dans la sphère de l'intelligence avait produit un pscchiiiiiiiitttttttt vacarme. Et une énorme déperdition d'intelligence … Collectivement, nous avons bien la persistante impression qu'on ne sait plus penser…Que c'est de la gadoue…un chaos confus et impraticable…

La perte de toute vision d'ensemble et l'égarement permanent dans des détails si accessoires – dévoile, clairement, une inaptitude collective à l'action. lire la suite

Quand la folie des grandeurs endort la France dans des habitudes de dépenses pour le contribuable  cliquer ici 1 cliquer ici 2

Du pain et des jeux et le peuple sera content cliquer ici

Quand la folie des grandeurs perd la France dans la mondialisation . François Hollande, monarque en danger cliquer ici 

L'obsession de la grandeur du gouvernement de la France persiste dans la mondialisation . Un président de la République au pouvoir démesuré , des institutions s'ajoutant sans cesse au mille-feuilles administratif, des associations devenant des monstres de la consommation de subventions , alourdissent en permanence la dette publique en croissance constante .

A qui profitent les subventions? Un pour cent des associations touchent 60 % des subventions

Les 200 associations les plus subventionnées, qui représentent 1% du total, touchent plus de 700 millions d’euros, quand les 99 % restant se partagent 500 millions d’euros. Si certaines atteignent des dizaines de millions d’euros, la plus faible est de... quatre euros. Et des milliers d’autres perçoivent quelques centaines ou quelques milliers d’euros lire la suite 

500 associations de 2 personnes valent mieux qu'une seule de 1000 adhérents pour développer l'innovation sociale , si ces associations servent en commun l'information responsable. Elles possèdent l'avantage de la loi du nombre , la multiplicité des têtes pensantes et des idées à  la réduction des seules têtes du Président de la République souverain grassement payé et des Pdts d'associations bénévoles  ayant comme  objectif principal d'obtenir des subventions . Ces subventions ne redonnent pas en contre partie toutes les solutions écologiques, sociales, culturelles , et économiques pratiques pour nos localités . La séparation des différents secteurs d'activités pour recevoir la manne des subventions qui tombe de là-haut sans jamais se répartir à sa base est la conséquence de ce que nous nommons : inégalité et misère.

Voir Les inégalités ne manquent pas cliquer ici

Enquête : les contribuables doivent-ils financer les partis politiques ou les associations citoyennes de démocratie créative ? cliquer ici

Dans son livre «Repenser l'Etat », l'économiste Philippe Aghion conseiller de François Hollande préconise de moderniser l'Etat avec les technologies du numérique.

Former l'administratif aura un coût considérable, pourquoi ne pas bénéficier du bénévolat citoyen ayant déjà constitué un réseau au moindre coût pour les contribuables , puisque ce travail d'innovation s'est réalisé avec les échanges gratuits de savoirs entre citoyens engagés ?

De plus ces réseaux véhiculent une information libre transversale à la base même des besoins d'existences pratiques nécessaires : la valeur rare que recherche nos concitoyens s'appauvrissant à entendre les grands discours perpétuels « il faut , ya qu'à ... » s'éloignant de plus en plus de la misère au quotidien. Ces discours s'enfermant dans les seuls palais dorés des salons de discussions.

Pourquoi les collectivités locales ne paieraient-elles pas des prestations de services aux réseaux citoyens de l'information libre permettant ainsi au bénévolat de sortir de la précarité ?

Tout travail ne mérite-t-il plus salaire dans un pays qui se dit être le modèle des droits de l'homme ?

Pourquoi rajouter une couche de plus au mille-feuilles administratif bloquant toutes les bonnes volontés créatives en leur substituant tous les moyens financiers nécessaires à tout travail créatif ?

L'information au quotidien ce n'est pas que des discours ou des photos sur des magazines le jour des élections ; l'information se cherche, s'envoie, se reçoit, se trie, se vérifie, s'échange . elle est à la source du savoir tel que Socrate l'a subtilement pensé «  le savoir est la seule matière qui s'accroît quand on la partage ».

La France a toujours résisté à l'esclavagisme . Nos parents ont su s'organiser face au pouvoir totalitaire que leur imposait le National Socialisme. Aujourd'hui le totalitarisme est incarné dans le système de production qui gaspille les ressources naturelles et les volontés créatives de ses enfants mais comme César donne des jeux au peuple pour qu'il soit content.

Ceux qui gouvernent la France sont ils incapables d'inverser cette tendance comme lors de la dernière guerre , lorsque notre pays était sous la botte de l'occupant nazi ? Vraisemblablement pas, la justice sociale viendra de la conscience du peuple lui-même à placer l'innovation avant les jeux.

Changer de Président ou changer de Constitution ?

Par André Bellon Le Monde Diplomatique Mars 2007 cliquer ici

« On sait que » fait partie des affirmations que nous infligent quotidiennement les porte-parole de la pensée officielle. Nous sont ainsi imposées, sondages à l’appui, de prétendues évidences, y compris sur ce que nous pensons avant même que nous ayons pu y réfléchir ! Lire la suite

"L’éléphant au milieu de la cour" ou "Que signifient les élections municipales ?"

Le scénario est bien réglé depuis trente ans. Chaque élection intermédiaire entre deux présidentielles inflige un désaveu au parti du Président. Mais les institutions permettent de maintenir à flot le pouvoir d’un Président intouchable.

Les municipales ont amplifié le scénario habituel : par la montée de l’abstention, par le vote Front national. Pour le reste, c’est l’alternance habituelle entre PS et UMP. Mais la légitimité des institutions est atteinte. Lire la suite

Un retour vers le précédent monarque cliquer ici